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15 octobre 2014 3 15 /10 /octobre /2014 07:46

~~L’abolition de la prostitution revient sur le devant de la scène médiatique par la fenêtre. Nous avons une personne qui s’est prostituée pendant plus de vingt ans volontairement en justifiant cette action par ce qu’elle a subi dans son enfance et met sur le dos des consommateurs son choix de se prostituer. L’hyperlibéralisme débile de la solution allemande n’est pas tenable. L’abolition est une imposture intellectualiste. Un juste milieu doit être trouvé. C’est la légalisation, mais avec une gestion réelle des prostituées. Pour cela il faut que les personnes qui feront rentrer les euros soient correctement rémunérées et qu’elles chassent la racaille. Les formes de prostitution réelle ou dissimulée sont extrêmement variées. Il reste à savoir si les institutionnels veulent mettre un terme aux réseaux. Pour ma part j’en doute, car eux-mêmes vivent des cercles, des réseaux et des clientèles. En légalisant la prostitution, en instaurant une brigade nationale de vérification des prostituées, en créant une carte infalsifiable des métiers du sexe, en contrôlant les niveaux de vie, il est plus qu’évident que la prostitution serait considérablement limitée, ou que seules des personnes réellement volontaires pour ce type de vie la pratiquerait, à l’image de la pornographie qui est une prostitution déguisée et une violence faite aux femmes par les comportements inculqués. Pour légaliser la prostitution tous et toutes les travailleurs et travailleuses de sexe devront être recensés afin de recevoir leur carte. Toute personne exerçant sans sa carte serait immédiatement emprisonnée pour une durée de six mois et une amende de plus de dix mille euros. Pour parvenir à ceci les illusionnistes politiciens et les brasseurs d’air ministériels doivent agir et imaginer l’argent qui entrerait dans les caisses de l’Etat devenu proxénète. Une telle option exige du courage, exige que l’on cesse les bouffonneries médiatiques, exige que la pornographie soit mise à son niveau qui est celui de la prostitution, exige que ceux et celles qui choisisse de vendre leur corps pour des relations sexuelles soient considérés au même titre que ceux qui sont les esclaves d’un système qui méprise et exploite ceux qui ne sont pas dans la norme. Tout cela réclame du courage et la capacité à se projeter à après-demain, cela n’est pas dans les normes des politiques. Ceux-ci préfèrent les impostures médiatiques et les propos vides de perspectives afin de manipuler les peuples. Le temps est venu de répondre aux lâchetés... !

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18 août 2014 1 18 /08 /août /2014 08:39

~~La prostitution presque invisible existe. Elle se pratique sur les parkings des autoroutes dans les départements du Var et des Alpes Maritimes sans oublier les Bouches-du-Rhône. Chaque nuit sur les parkings où sont entassés les poids lourds, des dames, voire des hommes vendent leurs services sexuels contre rémunération. Ils, elles se déplacent de camion en camion, frappe à la porte afin d’attirer l’œil et l’oreille du conducteur. Sur le nombre, ils, elles feront bien un nombre de passe suffisamment rentable pour les macros qui les déposent. Les institutionnels savent que ce phénomène de prostitution existe. Pourtant, il apparaît que rien n’est entrepris pour lutter réellement contre ce fléau. Il est vrai que mes propos sont pour la légalisation de la prostitution avec l’instauration d’une carte de travail, d’impôts et de contrôle drastiques sans oublier des sanctions extrêmement lourdes pour toutes travailleuse ou travailleur qui ne serait pas en règle. De cette manière, la prostitution dissimulée dans la pornographie rapporterait des revenus à l’Etat. Pour ce qui est de la prostitution invisible et si présente sur les parkings d’autoroute pour les camions, il est nécessaire de réagir afin de limiter l’exploitation sexuelle de femmes mises sous la coupe, sous le joug de quelques esclavagistes sexuels. Il suffirait de peu de chose pour endiguer cette mouvance et faire en sorte que les conducteurs aient un peu de quiétude sur les parkings, même ceux qui sont adeptes de ce type de consommation. Mais, les réseaux semblent avoir suffisamment d’influence pour demeurer dans ces territoires d’activité au mépris des lois de la nation. Les prostituées et surtout les proxénètes savent que la chasse n’est pas réellement lancée contre la prostitution. Tous savent que les sanctions ne sont pas dissuasives pour les exploiteurs. Tous savent que la volonté de lutter efficacement n’est qu’une illusion. Tous savent qu’ils peuvent jouer de l’inertie technocratique pour poursuivre leurs méfaits. Tous savent que la prostitution est une nécessité et qu’étant donné que les politiques sont trop lâches pour la légaliser et la contrôler, les proxénètes ont encore de beaux jours d’exploitation sexuelle. Cette misère de la prostitution invisible pour la multitude qui ne peut pas voir les gagneuses sur les parkings n’a que peu d’importance au regard de ceux qui ne se sentent pas concernés. Pourtant, les faits sont là. Des personnes vendent des services sexuels sur les parkings des autoroutes en toute impunité. J’ai déjà mis en avant les travaux de Yannick Brun-Picard sur ces thématiques de la prostitution pour lesquels les zones proximales des zones industrielles étaient un territoire propice et pratiqué pour l’exercice d’une prostitution discrète. Aujourd’hui, il n’a pas encore sorti un article sur cette prostitution qui matérialise une violence territorialisée. Que font les institutionnels ? Je doute qu’ils veulent réellement lutter pour limiter l’esclavagisme sexuel, preuve en est avec le développement de la pornographie qui n’est qu’une forme de prostitution portée par l’exhibitionnisme. Il est temps de réagir et de légaliser… en plus cela donnera du travail financer par les taxes prises sur la prostitution puisque les macros ne pourront plus se servir sur le dos des gagneuses…

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5 juillet 2014 6 05 /07 /juillet /2014 08:28

~~Un drame vient d’endeuiller une école et le monde éducatif. Une enseignante a été poignardée avec préméditation, puisque l’arme se trouvait dans le sac du possible agresseur. Ce triste fait paroxysmique nous ramène aux constats d’Une école de violences. Et oui, à nouveau un retour sur les formes de violences que les institutionnels commencent juste à admettre sous le couvert de chiffres qui ne sont pas la réalité, qui ne sont qu’un vernis de ce qu’est la désagrégation du système éducatif. Le meurtre qui a eu lieu ce vendredi est intolérable et son déroulement montre que des pulsions peuvent faire basculer dans l’horreur en un rien de temps. Il est temps que le ministre Hamon cesse de fréquenter les illusionnistes et de se rouler dans le lustrage d’ego. Il est temps que le président Hollande accepte les réalités du système éducatif et qu’il mette un terme aux impostures qui donnent un vernis d’efficience, mais qui en réalité ne font que dissimuler la misère de l’effritement général d’une institution qui n’a pour finalité que de préserver les cercles, les réseaux et les clientèles. Il est temps que les institutionnels cessent de se gargariser au sujet des sciences prétendues de l’éducation et qu’ils fassent en sorte que la praxéologie soit inculquée aux enseignants afin que dès les premières années d’école chaque élève prennent conscience des réalités du monde et que l’on cesse de vivre dans la médiocratie de la téléréalité. Il est temps que les médias fassent leur travail et cessent les impostures médiatiques qui chaque jour nous bercent d’illusion quant aux potentialités virtuelles de prétendues possibilités qui sont autant de paroles en l’air. Il est temps que ceux qui se sont arrogés le droit et le rôle d’alerter les populations au sujet des réalités et des dysfonctionnements le fassent sans dissimulations en exposant ce qui est vraiment la réalité accessible et non l’exposition de dogmes, d’idéaux et de croyances. Alors ! A quel moment Hollande et Hamon vont-ils avoir le courage d’aller chercher ceux qui ont mis en évidence Une école de violences ? Jamais, car pour cela il faudrait admettre que des personnes en poste ne font que donner l’illusion, que la formation et que l’éducation de donnent aucun repère sociétaux pour que les individus avancent en direction de la convivance. Un ouvrage dont le titre est Une école de violence, dépeint quelques traits de potentielles pulsions exacerbées de violence, et aucun média n’a le courage de mettre de tels travaux sur le devant de la scène. Les institutionnels préfèrent le confort de l’ignorance, de la fuite et de l’illusionnisme afin de ne pas avoir à prendre de décision quant au devenir du système éducatif. Le moment est venu de faire en sorte d’avancer, de bousculer ceux qui n’ont pour objectif que de préserver leurs privilèges en ignorance des réalités sociétales fondées sur des croyances d’impostures politiciennes et médiocratiques. L’inaptocratie pavlovienne est devenue la norme. Des capacités sont prises pour des compétences, ce qui est la démonstration éclatante de la perversité d’un système qui n’a qu’une finalité : que rien ne change ! Qui sait ? Ce drame fera que les prétendus responsables accèdent au courage de prendre en compte les écrits de Yannick Brun-Picard : Une école de violence, et que cela contribue à rendre le monde éducatif un peu plus vivable. Mais, lorsque l’on observe la réalité des faits, comme les harcèlements sexuels ou les pratiques sexuées dans certains établissements nous ne pouvons qu’être effrayés de la démission de ceux à qui le devoir incombe…

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24 mai 2014 6 24 /05 /mai /2014 08:27

Le hasard fait parfois bien les choses. Je viens de trouver un ouvrage dont le thème est l’école de violence. Cela signifie qu’une personne perçoit la réalité de ce qui se passe dans les établissements scolaires et qui parfois émaille les informations lorsque les faits sont trop violents.

Je ne connais pas la teneur de cet ouvrage, mais la quatrième de couverture, que je reprends ici, annonce de quoi secouer l’inertie médiocratique dans laquelle se vautre un système qui refuse de percevoir, de voir et de conscientiser la réalité.

Cet ouvrage, destiné aux parents, aux enseignants et aux institutionnels, pose l’hypothèse que le système éducatif est une école de violences. Afin de vérifier cette proposition, qui peut sembler iconoclaste, nous nous interrogeons sur la formation de la violence au sein des établissements scolaires. Nous portons notre attention sur des violences non signalées, plus particulièrement dans la cour de récréation qui devient, dans ce contexte, une interface éducative de référence.

Une présentation de facettes de la violence scolaire et de ses ramifications ancre l’analyse des faits non signalés de violence dans les cours de récréation. L’objet construit, le cheminement méthodologique et les influences de la pratique géographique, permettent d’accéder aux violences non signalées ainsi qu’aux mécanismes de mise en œuvre. Il est alors possible de percevoir l’interface de référence, d’avoir des éléments de compréhension et de voir ce qu’est l’école de violence. Par la suite nous pouvons « mettre les pieds dedans » pour répondre à l’émergence pour tendre en direction de l’autonomie contrainte et de la convivance. Au final un regard critique est porté sur nos propositions. Nous suggérons des perspectives pour répondre à ce fléau sociétal par l’intermédiaire d’une distanciation empathique et de la proposition d’une théorie au sujet d’une école de violences.

L’intérêt de cette étude est de montrer que des violences sont présentes dans les établissements scolaires sans que les adultes conscientisent cette réalité et que leur existence entraîne des reproductions, des expansions et une normalisation de la violence au cœur des interfaces éducatives.

Il est probable que de nombreuses personnes prennent le temps, aient le courage de lire ce que cet ouvrage annonce. Qui sait enfin, nous aurons une personne qui ne lustre pas l’ego des politiques, des médias et des institutionnels qui sera portée par la réalité non déformée des faits.

Pour ma part je ne me fais pas trop d’illusion l’auteur Yannick Brun-Picard, restera là où il se trouve, hors des cercles, des réseaux et des clientèles. Il est plus qu’évident que le Hamon, le ministre, avec ses conseillers n’auront jamais le courage, le sursaut d’humanité et de conscience pour ne serait-ce que valoriser ces faits. Il est plus qu’évident que cet auteur restera au stade de donneur d’alerte sans jamais contribuer à la formation des esprits de demain… trop dangereux pour les tenants du pavlonisme et du mérycisme qui sont les deux jambes d’une France qui plonge vers l’abîme de la négation.

Gardons l’espoir, pour lui, qu’enfin les conseillers des politiques s’extraient de la gangue médiocratique d’une idéologie politicienne pour s’efforcer de répondre à ce fléau que sont les violences scolaires. Tu rêves Charles, tu rêves… !

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12 avril 2014 6 12 /04 /avril /2014 07:28

Un triste fait : un viol dans un lycée survenu il y a quelques mois, et une enquête où plus de 500 tests ADN seront effectués pour trouver le violeur. Ce fait n’est plus une violence non signalée, mais au niveau inférieur les violences sexuelles dans les établissements scolaires existent.

C’est une réalité présente depuis au moins deux décennies au regard des travaux et des recherches de Yannick Brun-Picard au sujet des violences scolaires non signalées, vous savez ces faits où des collégiennes pratiquent des fellations, où des mises-à-l’air sont la norme, où les jeunes filles ne sont que des objets à satisfaire des pulsions sexuelles formatées aux références pornographiques.

J’ai appris par le réseau de connaissances que bientôt devrait paraitre un ouvrage : ECOLE DE VIOLENCES, ça va certainement arracher. Cela signifie que Yannick Brun-Picard est enfin parvenu à publier un ouvrage où il expose des violences scolaires que personne ne veut regarder, admettre et endiguer simplement parce qu’il faudrait reconnaitre de profonds dysfonctionnements.

Un viol dans un lycée est la démonstration que des comportements fortement sexués étaient présents et que rien n’a été entrepris pour juguler les glissements qui ont conduit le prédateur sexuel à perpétrer son méfait. Le violeur est responsable de ses actes, mais l’institution qui a laissé se déliter des comportements à même d’inciter au viol est tout aussi responsable.

En effet, un prédateur sexuel qui se sent tout puissant qui n’a aucune considération pour les filles et les femmes, qui les laissent comme des objets sexuels avec lesquels il peut et doit jouer, ne peut pas prendre conscience que l’on ne doit pas forcer une personne à des relations sexuelles. Pour lui, il est normal d’assouvir ses pulsions, sa puissance, sa domination, son rang d’intouchable qu’il a acquis par impunité. Voilà ce que la lâcheté devant les devoirs des adultes entraine.

Le viol, cet intolérable abus, cet instant paroxysmique qui anéanti une femme ou une jeune fille simplement parce que des comportements sexuels formatés par la culture pornographique pour laquelle la femme est un objet hypersexué, totalement soumis aux pulsions et à la volonté du mâle, qui doit être un réceptacle disponible pour tous ceux qui veulent se soulager, est intolérable et démontre l’impérieuse nécessité de voir les adultes agir en acteurs responsables et qu’ils cessent de se voiler la face et de se dissimuler derrière l’inaptocratie du dogme des illusionnistes.

J’ignore ce que l’on trouvera dans l’ouvrage à venir de Yannick Brun-Picard sur les violences scolaires non signalées, mais il est probable qu’il secoue la médiocratie ambiante et qu’il mette les faits sur la table afin que les imposteurs agissent. Là j’ai des doutes. Cependant, un viol est survenu. Un prédateur sexuel a pu agir, perpétrer ses méfaits sexuels sans se faire prendre. Des adultes n’ont pas agi et n’ont pas été capables de déceler les signes annonciateurs d’un violeur.

Il est temps monsieur Hamon que les acteurs du système éducatif prennent conscience des réalités des violences de nature sexuelle qui existent dans les établissements, des réalités des formes de harcèlement que les imposteurs des sciences dites de l’éducation et autres sociologues ne veulent pas voir, lamentablement dissimulés derrière des questionnaires sans aller voir les faits, sans analyser les comportements, sans mettre les mains dedans.

A nouveau le doute, monsieur Hamon, comme vos prédécesseurs vous ignorerez les réalités des violences scolaires non signalées. Vous demeurerez gangréné par le dogme de l’infaillibilité institutionnelle des illusionnistes pour lesquels seule l’idéologie est valable pour servir les cercles, les réseaux et les clientèles.

Des faits paroxysmiques émaillent le monde de l’enseignement, il est temps que les illusionnistes soient chassés et que vous acceptiez de regarder les réalités en face, pour tenter d’endiguer les violences sexuelles. Nul ne détient la réponse absolue, mais en prenant en compte ce qu’aucun prétendu spécialiste n’a le courage de mettre ne évidence, il est plus que probable que les violences scolaires et les violences sexuelles soient limitées. Faut-il accepter de sortir des cercles, des réseaux et des clientèles et faire en sorte que les adultes fassent leurs devoirs d’adultes dans les établissements scolaires.

Là tu rêves Charles ! Imposer la présence des adultes dans la cour de récréation pour éviter l’effervescence par la violence… Là tu rêves Charles !

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5 avril 2014 6 05 /04 /avril /2014 08:30

La pornographie arrive par tous les moyens dans les références, les images et la normalité de ce qui nous est proposé et de ce à quoi les plus jeunes sont exposés en toute ignorance de ce qu’est la réalité.

Les films, les séries, les émissions de télé-poubelle, de téléréalité, ou encore les publicités exposent les femmes tels des objets de consommation sexuelle normalisée. En effet, il devient normal qu’une femme soit dévêtue, provocatrice, aguicheuse, hypersexuée, certaines qui n’ont pas compris que près de 80% des hommes pensent avec la petite tête, diront que ce sont des femmes libérées et qu’il est normal qu’elles s’exposent de cette manière.

Mais, la pornographie dans ses canons comportementaux pour lesquels les femmes sont des exutoires sexuels, où elles sont soumises, où elles sont partagées, où elles doivent se plier aux pulsions des mâles, inculque aux générations de moins de trente ans des comportements sexuels dégradants pour les jeunes filles qui deviennent des objets.

Hélas, la pornographie qui n’est que de la prostitution dissimulée, puisque les actrices vendent leur corps pour des pratiques sexuelles et des exhibitions sexuelles, devient une normalité, un référent, voire un exemple relationnel pour nombre de jeunes filles et garçons qui pratiquent une sexualité selon les modèles des films pornographiques et ouvrent ainsi largement la porte à la prostitution estudiantine et à tous les abus dans divers lieux où les pratiques sexuelles exacerbées sont assimilées comme la norme d’appartenance.

Etre la femme de tout le monde, être capable de prendre trois, quatre et plus de partenaires par jeu, par défi, par obligation devient une normalité comportementale. Comment, des jeunes filles peuvent-elles arriver à une stabilité sentimentale, familiale et sociétale alors qu’elles sont identifiées comme des objets sexuels de consommation dans lesquels l’homme se vide et qu’elles passent à un autre sans sourciller ? Qu’elle misère sexuelle !

Pornographie et prostitution sans oublier libertinage, ou prétendu tel, pour lesquels les femmes ne sont que des objets de consommation sexuelle deviennent une norme sociétale soutenue par les médias, l’industrie cinématographique et les mouvances institutionnelles.

Sans vouloir ni attendre que nos sociétés deviennent des cloitres, nous pouvons faire en sorte que la pornographie soit définie comme étant de la prostitution dissimulée. Nous pouvons faire en sorte que les imposteurs de l’industrie cinématographique cessent de nous mettre des femmes dévêtues, des relations sexuelles, des comportements de consommation normalisée où la femme n’est qu’un objet de pulsions sexuelles et où sont occultés les dégâts pour les personnes concernées.

La lâcheté, la médiocratie, l’inaptocratie, le mépris pour tous ceux qui ne s’exposent pas comme les bouffons qui en ont fait leurs fonds de commerce, fait que nos sociétés deviennent des vecteurs de normalités sexuelles où il est normal que des hommes et des femmes pensent à 65% au Brésil que les femmes aguicheuses doivent être violées…

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23 mars 2014 7 23 /03 /mars /2014 10:06

La pornographie sous toutes ses formes éclatantes, perceptibles ou invisibles, s’est immiscée dans nos prétendues références sociétales, dans les normes de la normalité médiatique pour lesquelles il est indispensable de montrer un bout de sein pour attirer l’œil.

La sexualisation à outrance que nous voyons tous les jours gangréner nos sociétés devient si prégnante que mettre en évidence cette violence sexuelle est compris comme étant une attitude rétrograde pour ne pas dire inquisitrice quant au regard porté sur la liberté des femmes et des hommes à disposer de leur corps comme bon leur semble.

Ce n’est pas un procès du libertinage ou des nus ou encore des calendriers de sportifs et autres artisans dénudés pour tenter de récolter un peu de fonds qui est entrepris. Bien loin de là se trouve notre regard, qui trouve ses références dans les travaux sur les violences scolaires effectués par Yannick Brun-Picard. C’est une conscientisation de la sexualisation de nos projections sociétales qui donnent des repères de consommation immédiate et débridée de toute pratique sexuelle pour les jeunes.

La sexualisation des publicités pour lesquelles les acteurs sont toujours plus dénudés et provocateurs avec des scènes à la limite de la pornographie, la sexualisation de ce qui est défini comme étant de la mode où les jeunes femmes ne sont considérées que comme des projections sexuées rachitiques afin d’assouvir des conceptions d’esclavagisme soumises à un dogme, la sexualisation des émissions de téléréalité ou de télépoubelle où les maillots de bain ne sont là que pour ne pas faire de la pornographie, où le voyeurisme est élevé au rang de normalité où les acteurs ne sont que de la viande à l’illusion médiocratique, sont autant de forme de violences produite par la sexualisation.

Que dire de la pornographie qui est une forme de prostitution ? Que c’est une sexualisation pour violence ? C’est une évidence. Les comportements sexuels mis en scène dans les films pornographiques jettent les femmes au rang d’objet soumis disponibles pour toutes les pulsions des hommes en donnant l’illusion que les femmes décident de leurs relations et des calibres qui les déforment. Des gamines, des collégiennes prennent pour références sexuelles ce qui est diffusé par la pornographie. Pour elles il est presque normal de pratiquer des fellations à la chaîne, il est admissible qu’à à peine 15 ans la sodomie soit acquise et que passer d’un garçon à l’autre est tout à fait normal.

Bien entendu ce ne sont que quelques pourcents des collégiennes et des lycéennes qui ont des comportements aussi débridés, volontaires ou pire imposés. Nous ne sommes pas un moralisateur, loin de là. Mais, donner pour référence à des jeunes la pornographie, l’illusion de la vie facile, l’argent tout aussi facile simplement à acceptant toutes les pratiques sexuelles, engendrent de nombreuses questions au sujet de la sexualisation par la violence.

Il est évident que les hommes sont friands de partenaires avec lesquels ils peuvent laisser libre cours à leurs pulsions. Il est évident que les consommateurs et consommatrices de pornographie ne peuvent pas tolérer que l’on mette en exergue les déviances, les travers et les conséquences pour la jeunesse, car eux veulent faire ce qu’ils veulent de leurs fesses et de leurs orifices en faisant croire que cela est bon pour la santé mentale que d’être un objet de sexualisation.

C’est alors que les médias dissolvent leurs responsabilités. En effet, ils soutiennent la pornographie, exposent toujours plus de formes et abusent de références sexuées afin de capter l’attention, sans jamais admettre que ce sont des formes de prostitutions pour ceux et celles qui vendent leur corps et leurs capacités à des pratiques de ce genre. Et pire encore, ils refusent de percevoir, de voir les conséquences sur les comportements, les références et les actes de la jeunesse qui vit à l’aire de la télépoubelle…

La sexualisation pour violence sociétale, institutionnelle et silencieuse est bien une réalité avec laquelle nos sociétés doivent vivre. La sexualisation pour violence exige des réponses.

Non pas le voile et le hijab ou encore toute interdiction. Simplement, une prise de distance pour que dans les collèges et les lycées les jeunes filles ne soient plus aussi dénudées, que les garçons n’aient plus pour références sexuelles des pratiques pour lesquelles les filles doivent se soumettre et surtout que les femmes puissent exposer leur féminité sans qu’elles soient considérées comme des objets sexuels.

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23 mars 2014 7 23 /03 /mars /2014 10:05

La pornographie sous toutes ses formes éclatantes, perceptibles ou invisibles, s’est immiscée dans nos prétendues références sociétales, dans les normes de la normalité médiatique pour lesquelles il est indispensable de montrer un bout de sein pour attirer l’œil.

La sexualisation à outrance que nous voyons tous les jours gangréner nos sociétés devient si prégnante que mettre en évidence cette violence sexuelle est compris comme étant une attitude rétrograde pour ne pas dire inquisitrice quant au regard porté sur la liberté des femmes et des hommes à disposer de leur corps comme bon leur semble.

Ce n’est pas un procès du libertinage ou des nus ou encore des calendriers de sportifs et autres artisans dénudés pour tenter de récolter un peu de fonds qui est entrepris. Bien loin de là se trouve notre regard, qui trouve ses références dans les travaux sur les violences scolaires effectués par Yannick Brun-Picard. C’est une conscientisation de la sexualisation de nos projections sociétales qui donnent des repères de consommation immédiate et débridée de toute pratique sexuelle pour les jeunes.

La sexualisation des publicités pour lesquelles les acteurs sont toujours plus dénudés et provocateurs avec des scènes à la limite de la pornographie, la sexualisation de ce qui est défini comme étant de la mode où les jeunes femmes ne sont considérées que comme des projections sexuées rachitiques afin d’assouvir des conceptions d’esclavagisme soumises à un dogme, la sexualisation des émissions de téléréalité ou de télépoubelle où les maillots de bain ne sont là que pour ne pas faire de la pornographie, où le voyeurisme est élevé au rang de normalité où les acteurs ne sont que de la viande à l’illusion médiocratique, sont autant de forme de violences produite par la sexualisation.

Que dire de la pornographie qui est une forme de prostitution ? Que c’est une sexualisation pour violence ? C’est une évidence. Les comportements sexuels mis en scène dans les films pornographiques jettent les femmes au rang d’objet soumis disponibles pour toutes les pulsions des hommes en donnant l’illusion que les femmes décident de leurs relations et des calibres qui les déforment. Des gamines, des collégiennes prennent pour références sexuelles ce qui est diffusé par la pornographie. Pour elles il est presque normal de pratiquer des fellations à la chaîne, il est admissible qu’à à peine 15 ans la sodomie soit acquise et que passer d’un garçon à l’autre est tout à fait normal.

Bien entendu ce ne sont que quelques pourcents des collégiennes et des lycéennes qui ont des comportements aussi débridés, volontaires ou pire imposés. Nous ne sommes pas un moralisateur, loin de là. Mais, donner pour référence à des jeunes la pornographie, l’illusion de la vie facile, l’argent tout aussi facile simplement à acceptant toutes les pratiques sexuelles, engendrent de nombreuses questions au sujet de la sexualisation par la violence.

Il est évident que les hommes sont friands de partenaires avec lesquels ils peuvent laisser libre cours à leurs pulsions. Il est évident que les consommateurs et consommatrices de pornographie ne peuvent pas tolérer que l’on mette en exergue les déviances, les travers et les conséquences pour la jeunesse, car eux veulent faire ce qu’ils veulent de leurs fesses et de leurs orifices en faisant croire que cela est bon pour la santé mentale que d’être un objet de sexualisation.

C’est alors que les médias dissolvent leurs responsabilités. En effet, ils soutiennent la pornographie, exposent toujours plus de formes et abusent de références sexuées afin de capter l’attention, sans jamais admettre que ce sont des formes de prostitutions pour ceux et celles qui vendent leur corps et leurs capacités à des pratiques de ce genre. Et pire encore, ils refusent de percevoir, de voir les conséquences sur les comportements, les références et les actes de la jeunesse qui vit à l’aire de la télépoubelle…

La sexualisation pour violence sociétale, institutionnelle et silencieuse est bien une réalité avec laquelle nos sociétés doivent vivre. La sexualisation pour violence exige des réponses.

Non pas le voile et le hijab ou encore toute interdiction. Simplement, une prise de distance pour que dans les collèges et les lycées les jeunes filles ne soient plus aussi dénudées, que les garçons n’aient plus pour références sexuelles des pratiques pour lesquelles les filles doivent se soumettre et surtout que les femmes puissent exposer leur féminité sans qu’elles soient considérées comme des objets sexuels.

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22 mars 2014 6 22 /03 /mars /2014 14:43

Enfin, un auteur a suffisamment de courage pour dépasser le lustrage d’ego et l’allégeance à un système qui tous les jours démontre que ces acteurs ne sont pas à la hauteur des devoirs qui leurs incombent.

Je viens de trouver un livre dont le titre est Décrochages en classe. Il est probable que l’auteur, qui n’est rien d’autre que mon « collègue » Yannick Brun-Picard, secoue largement le système et tous ceux qui donnent l’illusion de gérer la crise et de prendre en considération le devenir de la multitude. Vous me direz qu’il n’est pas encore disponible et que l’édition n’est pas prestigieuse et surtout qu’il n’aura pas le Goncourt, les Arts et les Lettres ou encore les Palmes académiques… ça c’est sûr !!!

Attendons d’avoir lu ce qu’il expose. Cependant, au regard de ce qu’il a déjà développé dans de nombreux colloques, dans ces ouvrages récents Géographie d’interface et L’interface en géographie, nous pouvons dire qu’il met à mal les normalités inaptocratiques institutionnalisées dans l’éducation dite nationale.

Il est probable que si cet ouvrage parvient à Peillon, ce cher monsieur Yannick Brun-Picard se fasse mettre à l’index du système, si ce n’est pas déjà le cas. Car pour ce que j’en ai vu sur la 4ème de couverture il est évident « qu’il rentre dans le lard » de brasseurs d’air qui ne font que donner l’illusion d’être compétents simplement parce qu’ils sont titulaires d’un concours pavlovien qui ne démontre qu’une capacité pavlovienne à un mérycisme normalisé. Dans ce contexte l’évidence ce fait jour : Peillon va éradiquer une telle émergence, encore faut-il que ses conseillers possèdent suffisamment de sens du devoir, de courage au regard de la diversité et de curiosité pour prêter une attention à ce type de travaux.

Attendons la sortie avec impatience afin de voir cela. Qui sait enfin un réel débat sur les réalités. Ou alors le système fera en sorte qu’une chape de silence s’abatte sur lui pour éviter que la réalité ne vienne éveiller les consciences…

Nous verrons si les médias sont à disposition du pouvoir, s’ils ne sont capables que de soutenir ce qui va dans le sens de celui-ci, ou s’ils font leur travail d’empêcher de penser médiocratiquement en rond en mettant en évidence aux yeux de tous des travaux qui démontrent la déchéance sans compromission du système éducatif et de ses acteurs…

Pour ma part j’en doute fermement, car jamais les fruits de la norme ne pourront tolérer que la réalité soit divulguée, mieux vaut l’illusion. Allons monsieur Peillon un peu de courage…

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23 novembre 2013 6 23 /11 /novembre /2013 17:20

Où sont les médias ? Des harcèlements sont pratiqués sur les citoyens qui s’inscrivent sur des listes en vue des élections municipales. Où sont les médias ?

Et oui, pire que dans l’univers d’un parisianisme nivelé par l’illusion médiatique, ici dans le Var dans un village en Provence, les soutiens du maire en place menacent, harcèlent et dissuadent de nombreuses personnes de tout engagement sur des listes concurrentes pour les prochaines municipales. Nous sommes en République ! Alors le modérateur il va falloir accepter de voir la réalité et de prendre conscience que des petites frappes font pression, exerce une coercition, des menaces et des violences psychologiques sur d’éventuels candidats simplement parce que des personnes mettent en évidence au grand jour les incompétences d’un système gangréné par les réseaux, les cercles et les clientèles qui nomment des gens aux postes à pourvoir, voire qui en inventent, qui font et défont des carrières et jettent par ostracismes tous ceux qui ne vont pas dans leur sens.

Les médias où êtes-vous ? Ce n’est pas Marseille ici, c’est juste l’ère Dracénoise, la Dracénie et entre autre Trans-en-Provence sans oublier les autres villages qui subissent les mêmes modes de fonctionnement où des acteurs institutionnels font des menaces, du chantage et des pressions sur toute personne qui a, qui aurait l’outrecuidance de mette en exergue la médiocratie dans laquelle les citoyens se trouvent.

Les médias où êtes-vous ? Le modérateur derrière son écran, n’a pas le courage de venir au contact de ceux qui harcèlent les potentiels futurs conseillers municipaux, car peut être que lui aussi appartient à ces impostures qui par idéologismes dictent les actes de ceux qui n’appartiennent pas aux cercles, aux réseaux et aux clientèles.

Les médias où êtes-vous ? Vous cautionnez de tels comportements, de telles négations de la démocratie, de tels abus de pouvoir simplement pour préserver vos tirages, vos images ou votre prestige de papier. Oui, il y a des actions d’harcèlement sur des personnes qui se présentaient sur les futures listes électorales en Dracénie simplement parce qu’elles démontraient et démontrent l’incurie, la gabegie et les impostures des institutionnels.

Les médias se gargarisent de leurs droits, mais où sont leurs devoirs, celui de mettre en avant les dysfonctionnements du genre de ces harcèlement subis par des personnes qui ont quitté les projets de liste électorale car les institutionnels les ont informé que si elles demeuraient dessus leur enfants seraient virés, que des problèmes au niveau administratif allaient arriver et que le reste était en cours de fabrication.

Voilà la société démocratique dans laquelle le Var avance… Du harcèlement, des menaces et de la coercition, en un mot de la violence institutionnelle, de la violence ordinaire, de la violence sociétale. Les médias sont responsables de la lecture doctrinaire, idéologique et dogmatique des faits au service de manipulateurs experts en victimisation.

Il est temps que les médias, et le modérateur, prennent leur courage à deux mains, ce n’est pas de trop pour lutter contre ces mafias politiciennes qui gangrènent la société française et donnent l’illusion d’un monde parfait. Le meilleur des mondes n’est pas là, et certainement pas à Trans, surtout lorsque l’on peut constater de tels agissements pour lesquelles la racaille en col blanc saigne les citoyens et nuit à toute émergence.

Les médias ne sont pas les seuls responsables de cette dégénérescence démocratique, les politiques qui cautionnent les arrangements, les pressions et les violences sociétales sont tout aussi responsables de ces scandales intolérables. Il est temps que notre société ouvre les yeux et éveille sa conscience.

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