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20 juillet 2013 6 20 /07 /juillet /2013 07:31

Des violences viennent d’avoir lieu suite à un contrôle d’identité d’une « femme » entièrement voilée. Cela est la démonstration qu’en France les citoyens ont l’obligation de se plier aux exigences d’une religion qui met sous son joug les femmes.

Mais le mal est plus profond. En effet, laissons la religion de côté ainsi que les croyances quelles qu’elles soient, car ce ne sont que des croyances. En revanche portons une attention à l’évènement : ce débordement de violence, cette occupation de l’espace terrestre public par des personnes qui agissent contre les lois de la République, à cette démonstration d’une territorialisation par la violence.

En 2009 a été publié un articule de Yannick Brun-Picard : La violence source de territoires, il y démontrait comment les violences sous toutes leurs formes étaient employées, instrumentalisées et déployées pour que des territoires soient affirmés, institutionnalisés et surtout conquis par une présence, une doctrine ou un groupe de pression. Les tenants d’une sociologie à courte vue, les géographes doctrinaires de la compilation, de la gnose et de la discussion au même titre que les sociologues ont tancé, raillé et ostracisé cet auteur, vous me direz : il n’appartient pas aux cercles, aux réseaux et aux clientèles d’un bord ou de l’autre.

Ainsi, un donneur d’alerte sur les techniques de territorialisation par la violence sous toutes ses formes a été mis à l’index simplement parce que les institutionnels dans les universités, dans les administrations et dans les ministères ne peuvent pas concevoir qu’ils se sont fourvoyés et qu’ils ne sont pas en mesure, en capacité de lire autrement le monde qu’en fonction de ce qu’ils veulent qu’ils soient et non en fonction de ce que le monde est au regard des réalités.

Aujourd’hui, un ouvrage : Géographie d’interface, démontre à nouveau ces démarches, ces méthodes et ces mécanismes qui conduisent à l’appropriation de l’espace terrestre public par des croyances, des dogmes et des errances qui bafouent la République. Il apparait que l’Etat, l’Intérieur et pire encore les universités ne prêtent pas attention aux développements au sujet des violences et des territoires qu’elles engendrent sous peine d’admettre que Yannick Brun-Picard avait et a raison.

Où sont les médias ? Que font les institutionnels ? Où est la volonté d’endiguer la désagrégation sociétale que nous vivons, dissimulée sous la propagande de dogmes qui font la négation de notre humanité afin de servir des croyances quelles qu’elles soient ?

Nulle part. Alors les médias il est temps de mettre sur le devant de la scène les travaux de ce donneur d’alerte, ça ne va pas plaire aux institutionnels, mais quelle importance ? Il est temps d’avoir le courage de regarder ce qui se déroule en quittant les dogmes et en pratiquant une praxéologie dynamique, il est vrai que cela n’est pas enseigné dans les universités, pour cela il faudrait admettre, à nouveau que Yannick Brun-Picard avait, a raison et que nos sociétés se sont fourvoyées sur l’autel du culte des bien-pensants.

Il est temps d’agir et d’avancer pour que nos territoires sociétaux deviennent plus vivables, que les citoyens soient respectés et que la loi de la France soit le ciment sociétal trop souvent foulée aux pieds parce que des institutionnels préfèrent leur confort intellectualiste plutôt qu’œuvrer pour le devenir de la nation…

Les médias vous avez le devoir d’informer la nation, notre humanité et de porter au plus haut l’équité, l’impartialité et la conscientisation… hélas, il semble que cela n’est qu’un vœu pieu… encore une croyance !

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30 mars 2013 6 30 /03 /mars /2013 10:15

pour critiquer et construire...

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10 décembre 2012 1 10 /12 /décembre /2012 07:33

Dans le département du Var, à proximité de Fréjus, St Tropez, St Maxime, en direction de Toulon, il apparait que la prostitution semble être endiguée. Il en est de même aux abords du lac qui a défrayé la chronique au cours de l’été.

Les prostituées se font de plus en plus raressur le bas-côté des routes. Quelques tenaces demeurent à leur emplacement et poursuivre leur pratique, leur activité sexuelle tarifée à proximité des flux de voitures. Il faut dire que les travaux en direction de St Maxime et les aménagements en cours limitent drastiquement les possibilités d’implantations.

Les institutionnels auraient-il lules travaux de Yannick Brun-Picard sur le thème de la prostitution, de ses dynamiques de conquête territoriales dans les interfaces ruralité/urbanité, ainsi que sur les dynamiques d’implantations des activités sexuelles aux marges des centres urbains ? Pour ma part j’en doute, mais les faits sont là : une forme d’endiguement se dessine.

Les prostituées ne peuvent plus s’exposerdans de nombreux points le long des routes principales car des aménagements ont été entrepris. L’entretien de la forêt, l’amélioration des accès aux pistes et autres chemin, le dégagement des aires de stationnement, l’augmentation de la visibilité des accotements, pour le moins, font que les prostituées sont extrêmement visibles, qu’elles n’ont plus de coins discrets pour la pratique des gâteries tarifées. Ainsi leur présence est endiguée, expulsée vers un ailleurs moins visible, moins accessible et beaucoup plus contraignant pour les consommateurs.

Les prostituées dans ces conditionsdéjà proche de l’esclavagisme sexuel pour certaines vont être encore plus dissimulées et soumises au joug des proxénètes et autres réseaux qui exploitent leur potentiel commercial sans vergogne. Elles sont dans une situation de précarité et d’insécurité qui a considérablement augmentée du seul fait de l’impossibilité de pratiquer leur offre aux yeux de tous.

La prostitution est un fléau. Les sociétés contemporaines ont l’obligation d’agir pour gérer cette réalité. La seule option viable est de légaliser la proposition de services sexuels au même titre que ce que la pornographie est sur les étals des libraires et peut être largement diffusée en film. Pornographie qui n’est que de la prostitution dissimulée, puisque ce sont des pratiques sexuelles tarifées qui sont filmées comme des prostituées.

L’endiguement vécu par les prostituéesdans le Var qu’il soit une démarche volontaire ou simplement un concours de circonstances est une orientation louable puisqu’elle éjecte la prostitution hors de la zone proximale de vie des citoyens pour enfermer les prostituées dans des zones discrètes, éloignées et dans une grande insécurité que l’on peut regretter pour les filles.

Maintenant il est temps d’agir que le pouvoir prenne en compte les réalités de la prostitution et qu’il cesse, par son absence de décision, de préserver les réseaux de proxénétisme et autres esclavagistes sexuels à l’image des pornographes. Qu’un statut de travailleur du sexe soit créé et que les prostituées et autres acteurs porno soient titulaires d’une carte professionnelle du sexe pour que l’Etat contrôle les flux financiers et surtout qu’il se donne les moyens de lutter contre les réseaux de trafics sexuels.

L’endiguement ne peut pas suffireà répondre à la prostitution, à ses réalités ainsi qu’à ses maux. Les institutionnels ont le devoir de concevoir la société de demain pour laquelle les prostituées qui vendent leur corps pour des services sexuels auront les mêmes droits que les prostituées, non définies comme telles, qui elles vendent leur âmes pour un avancement, un marché ou un salaire plus important, ou pire qui sont soumises à la tyrannie d’un patron ou d’un petit chef harceleur qui exerce un droit de cuissage des plus pervers.

Le changement c’est maintenant. Un projet de société responsable qui ne sort pas des boites pavloviennes et qui réclame du courage de regarder la réalité en face et non par le prisme des intérêts dogmatiques et des idéologies portées par les réseaux, les cercles et les clientèles. Nous en sommes très loin !...

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17 novembre 2012 6 17 /11 /novembre /2012 09:09

Des professeurs sont agressés, des élèves tabassés, des jeunes filles violentées, des vieilles dames martyrisées, des familles terrorisées, des territoires terrorisés et soumis au joug de voyous, des citoyens écrasés et méprisés par la normalité pavlovienne de l’administration.

La violence est une normalité normaliséed’une norme pour laquelle ceux qui n’appartiennent pas doivent se soumettre à ceux qui exercent en toute impunité l’exercice d’une coercition silencieuse ou éclatante qui jette en esclavage les citoyens qui pour leur part s’efforcent de vivre dans le respect des règles et des obligations sociétales.

La toute première violence exercée par les politiques est ce mépris, le dédain, la suffisance exprimée contre toute personne qui n’appartient pas aux réseaux, aux cercles, aux cursus et aux clientèles institutionnalisées et légitimées par une reproduction sociétale dont la finalité est de faire en sorte que la multitude demeure dans le caniveau alors que les spoliateurs légitimes, eux, gravissent les échelons et sont honorés pour ce qu’ils font croire avoir fait.

Cette violence ostentatoire si discrète a été théorisée par Yannick Brun-Picard. Il a démontré, lors d’un colloque à Montréal en mai dernier, les mécanismes, les orientations et les finalités de ces formes de violences si discrètes et pourtant si présentes et néfastes à toute émergence de la diversité hors des clientèles et de l’illusion de la différence.

Des structures d’impostures au plus haut niveau de mépris pour les citoyens sont instaurées, institutionnalisée et imposées en grande pompe pour affirmer une volonté de lutte contre la violence. Mais, aucune des personnes intégrées dans ces bouillons de cultures sectaires, n’est étrangère aux réseaux, aux cercles et aux clientèles.

La pire des violences exercées, qui gravite au même niveau, pour ce qui est de la violence physique, que celle produite par les élèves dans les établissements scolaires, par les mafieux en Corse par exemple, par les voyous à Marseille, est celle produite par les structures administratives qui par pavlonisme se dissimulent derrière les textes en s’attachant médiocratiquement à la lettre et en étant incapable d’agir dans l’esprit.

La violence qui s’instaure en France est de ce type : l’esprit dans lequel les textes, les règlements et les obligations légales doivent être interprétés au servir de la multitude et non pour la seule gloriole des réseaux, des cercles et des clientèles. Cette violence viole journellement l’intégrité des citoyens pour qu’en toute légalité, clarté et réalisation des règlements et textes à la lettre, seuls ceux qui se trouvent dans la mouvance puissent être servis grassement, même s’ils ne font que braser de l’air.

Cette violence ostentatoire, sociétale, souterraine, est si présente qu’elle est l’alimentation, la suralimentation du moteur à la production de la violence physique que nous vivons chaque jour de plus en plus intensément. En effet, les citoyens méprisés par les structures administratives qui ne font que servir leurs idéaux au détriment de ceux qu’elles ont l’obligation et le devoir de servir ne sont pas capables d’admettre qu’en étant hors de la normalité la France progresse.

La violence de la norme normalisantede la normalisation fait que seules les clientèles, quelques soient leurs formes, leurs allégeances, leurs destinations et leurs obédiences sont tolérées, reconnues et soutenues par une société qui ne peut pas concevoir la réelle diversité et différence en dehors de ce qui peut rapporter pour celui qui va valoriser l’émergence.

La violence ostentatoire largement diffuséepar tous les rouages de la société française au détriment de la multitude est devenue normale. Vous appartenez, de près ou de loin, aux cercles des institutionnels, vous serez soutenus, portés et légitimés, tout particulièrement si vous apportez de quoi servir l’illusion d’ouverture et d’implication. En revanche, si vous êtes en position de démontrer que les institutionnels par leur infaillibilité et leur suffisance desservent la France, là vous serez enterré vivant et aucune valorisation de vos propositions ne sera faite, car pour cela il faudrait que les décideurs fassent œuvre d’humilité : impensable !

La violence, qu’elle soit scolaire par des actes de violence physique ou sexuelle, qu’elle soit institutionnelle par l’incapacité de s’extraire de la normalité, qu’elle soit sociétale par le pavlonisme qui impose que l’on serve ses clientèles au détriment de la France, ou qu’elle soit ostentatoire par le mépris exposé par les institutionnels contre tous ceux qui n’appartiennent pas, est la source à l’intensification des violences que nous vivons tous les jours.

Les sociologues spécialisés en violence, les psychologues des violences scolaires, les prétendus spécialistes des sciences de l’éducation, les politiques et autres illusionnistes ont tous la prétention de vouloir restreindre la violence. Pour cela il faudrait qu’ils soient capables de déceler la violence qu’ils diffusent contre tous ceux qui n’appartiennent pas à leurs réseaux, leurs cercles et leurs clientèles.

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12 novembre 2012 1 12 /11 /novembre /2012 17:45

Le ministre vient de mettre en place une nouvelle commission d’étude des violences scolaires : c’est une très bonne chose.

Mais et le Mais est de taille !

Est-ce que le seul conférencier qui depuis une décennie démontre, expose et théorise sur le thème des violences scolaires non signalées, c’est-à-dire sur la réalité de ce qui se passe dans les cours de récréation et que les experts prétendent connaître, sera recruté pour y participer et mettre en lumière ce que les illusionnistes ne veulent pas que l’on rendre explicite ?

Pour ma part je doute fermement que Peillon possède suffisamment de courage pour qu’un hors des cursus, hors des réseaux, hors des normes, hors du léchage de bottes, hors des clientèles, puisse être recruté décemment dans ce club de prétendus spécialistes.

Je doute fermement que Yannick Brun-Picard qui depuis une décennie démontre les dynamiques des violences scolaires non signalées intègre un tel organisme où il serait enfin rémunéré à son niveau de qualification. Ce n’est pas politiquement correct de reconnaitre une personne qui jette au visage des spécialistes leurs errances.

Bien-sûr, si Peillon veut réellement agir, s’il veut répondre à ce fléau que les spécialistes ne font qu’effleurer, s’il veut rentrer dans la réalité de l’enfer que vivent nombre d’élèves, il lui faudra le courage d’aller chercher un électron libre pour œuvrer à la recherche de solutions.

Nous verrons si le changement c’est maintenant, ou, si comme d’habitude les spécialistes vont prendre leurs copains, leurs réseaux et leurs cercles pour servir leurs clientèles au détriment de l’avenir de l’éducation dite nationale, de l’Etat et de la France … !

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4 novembre 2012 7 04 /11 /novembre /2012 10:38

Dans le département du Var des illusionnistes sont entrain de faire toucher le fond de la cuvette aux citoyens. En effet, des infaillibles de qualité plus que douteuse, mais légitimés par l’élection, ce qui pour les médiocrates justifie toutes les perversités, veulent à tous prix mettre un LGV dans le Var.

Nous y sommes, sous le couvert de leur infaillibilité et de leur suffisance ils prônent l’implantation d’une ligne à grande vitesse en se réfugiant par lâcheté derrière les erreurs faites il y a plus de trente ans pour la gestion des autoroutes, où déjà des incompétences notoires étaient éclatantes mais là aussi légitimées par le statut d’élu.

La LGV dans le Var est une imposture. Il n’y a pas la place de le faire. En revanche, les illusionnistes devraient concevoir un réseau qui sert le département et non les intérêts financiers que quelques cupides et autres narcissiques qui ne voient pas plus loin que la gloriole immédiate. La LGV dans le Var n’est pas viable.

Les infaillibles n’ont même pas la dignité intellectuelle de concevoir des trajets entre Aix-en-Provence, Brignoles, les Arcs-sur-Argens et Fréjus par l’intérieur des terres, sans passer par Toulon. Tu m’étonnes Charles, l’incohérence toulonnaise devrait être reconnue et la gestion destructrice de ce département conscientisée. Ce n’est pas admissible, mieux vaut poursuivre la négation, la dégénérescence et la destruction guidée par la seule cupidité d’une suffisance ignorante.

La LGV dans le Var, son seul projet est la démonstration physique des impostures des intellectualistes et autres planificateurs qui ne peuvent pas lire des cartes et moins encore les réalités du terrain, normal, ils ignorent ce qu’est une interface humanité/espaces terrestres puisqu’ils ne lisent pas les travaux de Yannick Brun-Picard et méprisent la géographie car elle met les illusionnistes devant la réalité du terrain.

La LGV n’est viable que jusqu’à Aix-en-Provence. Ensuite la notion de capillarité, de desserte fonctionnelle, et de réseau hiérarchisé doit prendre le relais. Cela n’est pas concevable car les infaillibles devraient coopérer avec des acteurs sociétaux et ils ne seraient plus les seigneurs des territoires provençaux et devraient partager le rayonnement avec des non-élus, impensable !

Dans le Var et pour les Alpes Maritimes, les infaillibles ont l’obligation de penser, de faire penser, d’exiger de la SNCF qu’elle conçoive un réseau pour lequel une partie va vers Toulon et une autre passe par Brignoles et plonge vers Les Arcs. Cela n’est pas pensable pour les médiocrates car il faudrait que la gare des Arcs-Draguignan devienne une plateforme multimodale. Une telle option est intolérable pour le narcissisme niçois et toulonnais.

Tant que dans le Var et pour les projets d’aménagements l’intérêt des populations, le devenir des territoires et la gestion projective de l’interface humanité/espaces terrestres de cette partie de la Provence, seront écrasés par l’individualisme, la cupidité et le mépris du devenir collectif, les propositions ne seront que des impostures idéologiques et dogmatiques, dont les tenants sont prêts à toutes les justifications pour les imposer.

Dans le Var, comme dans de trop nombreux territoires, les médias ignorent leurs devoirs et préfèrent servir les barons locaux au détriment du territoire, de l’interface victime des errances et de l’infaillibilité. Pour éviter ce développement médiocratique la SNCF doit penser à l’organisation du territoire et l’ETAT à l’obligation de penser  l’aménagement du territoire.

Hélas, dans le Var, les politiques préfèrent des gandins qui brillent à la quiétude et à l’avenir de la Provence. L’ignorance de la démagogie électoraliste est là, dans toute sa splendeur, devant nous et les médias soutiennent de telles dégénérescences car cela sert leur gamelle. La France est malade des prétendus médias intègres vecteur d’éthique. Pour l’heure nous en sommes très loin !

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31 août 2012 5 31 /08 /août /2012 07:59

MARSEILLE baigne à nouveau dans le sang. Les règlements de comptes deviennent une normalité d’une société normale pour laquelle les territorialisations par la violence, les sanctuarisations par des formes de violences que ce soit la drogue, les trafics ou la prostitution n’existent pas selon les croyances et les conceptions idéologiques des spécialistes en sociologie et en géographie.

Des solutions sont formalisées pour répondre aux meurtres ainsi qu’à une forme superficielle de conscientisation des réalités des sanctuarisations par violence si présentes à Marseille. Ces solutions ne font qu’effleurer les réalités. Elles ne rentrent pas dans le réel. Elles demeurent superficielles car pour répondre il est impératif de percevoir, d’admettre et de prendre en compte les faits.

Le gargarisme intellectualisteau sujet des violences empêche toute émergence divergente à la doctrine dominante du tout sociologique. L’ignorance et l’absence de travail en profondeur sur les mécanismes de la production de territoire par l’affirmation de territorialités identitaires nous mettent là où nous sommes devant le triste constat de la victoire des dogmes et des clientèles.

Tant que les prétendus spécialistes, les fameux intellectualistes universitaires, seront les conseillers de politiques et d’institutionnels qui boivent leurs paroles et leurs errances car celles-ci servent leurs intérêts, aucune solution viable ne sera mise en place. Tant que François et se potes n’auront pas le courage d’aller chercher ceux qui décortiquent la réalité aucune réponse pertinente ne sera donnée.

J’en reviens, avec acharnement, aux travaux de Yannick Brun-Picard sur les thèmes des dynamiques des territorialités des violences identitaires, les territorialisations, la production de territoires par la violence, ou encore les dynamiques territoriales de sanctuarisation par la violence. L’ignorance, la suffisance et l’infaillibilité des pavloviens qui préfèrent servir leurs cercles d’influence, leur réseaux et leurs dépendances, font que ses travaux sont encore rejetés.

Tant que les institutionnelsn’agiront pas sur les mécanismes de la production de sanctuaires par la violence, c’est-à-dire sur les éléments qui contribuent à la construction d’un territoire, toutes les solutions proposées interviendront sur du superficiel puisque elles sont orientées vers l’objet déjà élaboré, alors que pour endiguer la violence il faut agir sur ce qui va structurer l’objet.

Les médias dans tous ces miasmesdemeurent au rang de mouche du coche. Ils font en sorte de médiatiser sous les aspects de focalisation de l’attention sans pour cela se donner la peine de prendre en considération l’agrégation des dynamiques identitaires des territorialisations par la violence. Ils alimentent la violence des diffuseurs de violence en les élevant au rang de menace.

Aujourd’hui nous avons Ayrault qui avec ses copains, à grands renforts médiatico-communicationnels, prétend mettre en place des solutions pour résorber la violence en cours. Le problème c’est qu’il considère l’éradication sanglante entre voyous comme de la violence, et qu’il ignore ce qu’est la violence vécue, subie et si oppressive qui écrase les citoyens du fait de l’ignorance volontaire des politiques et institutionnels qui préfèrent lustrer les blablateurs universitaires que valoriser ceux qui leur mettent le nez dans la réalité.

François, son pote Ayrault et le camarade Valls, n’iront jamais chercher les travaux de Yannick Brun-Picard et moins encore l’intéressé pour concevoir des actions dans la profondeur. D’une part ces actions ne seraient pas médiatiques. En second lieu il faudrait prendre une personne qui n’appartient pas aux normes, aux cursus et autres clientèles. Enfin, et c’est le pire pour ses personnes ils devraient admettre qu’ils y a des brasseurs d’air en poste et que la validation de spécialiste est viciée.

Ils n’auront jamais le courage de se tourner en direction d’un ostracisé pour s’approprier les phénomènes de violence source de dynamiques de territorialités identitaires, vectrices de territorialisations pour la production de territoires sanctuarisés par la violence.

Qui sait, ils auront peut-être un sursaut de conscience et inviteront cet anachronisme aux réunions prévues pour répondre aux violences si présentes à Marseille et dans de nombreux lieux qui constituent une mosaïque de territoires de violences qui gangrènent le territoire national.

Ce serait une révolution que de voir un chercheur décrié, raillé et ostracisé, être au minimum écouté, employé et valorisé par des structures qui ne tolèrent pas que l’on démontre qu’elles se sont fourvoyées par ignorance, suffisance et clientélisme. Le changement est-il maintenant ? Tu rêves Charles ! Ils vont continuer à alimenter leurs réseaux et les illusionnistes sans faire de vagues. Hélas.

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30 août 2012 4 30 /08 /août /2012 14:59

MARSEILLE à nouveau se trouve sur le devant de la scène médiatique suite aux derniers évènements violents. Ayrault organise une réunion interministérielle pour tenter de répondre à ce fléau tout en refusant arcbouté sur ses croyances, ses idéaux et ses clientèles que le blablatage suffira.

La suffisance et l’infaillibilité instaurées et institutionnalisées par la pavlonisme propre à l’émergence d’une prétendue élite est la cause principale à l’inefficacité des orientations prises jusqu’à maintenant. Tous réfugiés par dogmatismes derrières les universitaires, qu’ils soient sociologues ou géographes, les institutionnels n’ont fait que voir ce que leurs idéaux toléraient.

Les médias dans leurs démarches de politisationet d’idéalisation de la société par les prismes idéologiques sont tout aussi responsables que les politiques fourvoyés dans les théories fumeuses des universitaires illusionnistes qui refusent les réalités des violences urbaines et de leur mode d’implantation, de territorialisation ainsi que les identités territorialisées.

Les travaux de Yannick Brun-Picard sont vérifiés. Ses théories sont validées par les faits qui se déroulent en ce moment et depuis au minimum une décennie dans les périphéries des grandes villes, dans certaines cités et autres quartiers où les institutionnels par confort doctrinaire ont engagé une démission du rôle et des obligations des représentants de la nation.

Il est atterrant de voir qu’un chercheur en géographie et en sciences humaines a été étrillé, détruit, enterré vivant, moqué, raillé et tenu sous silence par le rejet complet, sauf un texte au Canada, de ses recherches, alors que ce qu’il décrit, les mécanismes qu’il met en évidence sont ce qui se déroule dans tous les lieux sanctuarisés par la violence sous toutes ses formes.

Je doute qu’Ayrault possède suffisamment de courage, ainsi que Valls, Peillon ou Taubira, sachant qu’il a démontré lors d’un colloque à l’école nationale de l’administration pénitentiaire des dynamiques de territorialisations par des phénomènes de dangerosité dans les établissements pénitentiaires, pour faire en sorte que les travaux sur les dynamiques des violences urbaines de Yannick Brun-Picard soient employés.

Nous sommes dans le déni le plus absolu. Les institutionnels dissimulés sous les incantations des universitaires, qui ne font que servir leur carrière, leur dogme, leur école doctorale et leur prestige individuel, au détriment de l’évolution des savoirs et des réponses données pour construire une société plus vivable, font tout leur possible pour ne pas fixer la réalité.

Une société qui refuse de chasser les imposteurs, qui ne tolère que ce qui sert les idéaux et les dogmes des puissances en place, qui n’accepte pas de corriger les dysfonctionnements et les points négatifs, qui ne fait que se gargariser sur ce qui fonctionne, qui n’a aucune considération pour ce qui ne provient pas des cursus honorum, qui méprise les citoyens, et qui accepte que les élus de la nation ne répondent pas aux questions des citoyens, est bien mal en point et plonge vers les abysses.

Soi-disant : le changement c’est maintenant ! Pour l’instant rien ne change. François fait du Sarko dans les actes. Les ministres brassent de l’air et n’entrent pas avec toute la détermination souhaitée, attendue et impérative dans les problèmes pour répondre à ces derniers et éradiquer les errances accumulées depuis des décennies par lâcheté électoraliste.

Que les prétendus spécialistes lisent les travaux sur les dynamiques territoriales des sanctuarisations par la violence de Yannick Brun-Picard et qu’ils cessent de se palucher sur l’autel de leurs croyances. Bientôt il sera trop tard. A force de ne pas vouloir voir les réalités de la société, à force de ne prêter attention qu’aux bulletins de vote, à force de mépriser les citoyens, la société se désagrège.

Halte aux impostures. Que François impose à Ayrault, Valls et Peillon pour le moins qu’ils s’instruisent et sorte de l’ignorance dans laquelle les universitaires à la botte de l’idéologie d’un intellectualisme à courte vue les enterrent afin de satisfaire leur ego et leur suffisance.

Pour toutes ses personnes accepterqu’une personne hors des cercles, des réseaux et des clientèles puisse avoir raison, puisse être la source aux réponses à articuler pour répondre au fléau de la violence et de ses territorialisations, n’est pas envisageable.

Reste que le courage de François pour secouer la suffisance, l’infaillibilité, le pavlonisme, le dogmatisme et l’intellectualisme. Tu peux rêver Charles : le changement ce n’est pas pour maintenant !

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26 août 2012 7 26 /08 /août /2012 17:10

La sanctuarisation par la violence est si évidenteaujourd’hui que les institutionnels crient haut et fort que l’on ne peut pas lutter contre les fléaux de ce genre qui agrègent toutes sortes de trafics, de contrôles territoriaux et d’emprise psychologique, de coercition, sur les habitants des zones gangrénées.

A Marseille le fléau est si présent que la norme de la normalité fait dire aux médias que cette situation est normale, traditionnelle voire même qu’elle fait partie du folklore. Pourtant, il y a une dizaine d’années Yannick Brun-Picard a démontré les mécanismes des territorialisations par la violence, les trafics et les réseaux dans les cités et dans de nombreuses zones urbaines.

Les sociologues, toujours en poste, les géographes, toujours en place, les urbanistes de même, les institutionnels et autres politiques et administratifs n’ont pas daigné lire ses travaux. Il faut dire qu’il était mis à l’index par le monde universitaire. En effet comment tolérer qu’un électron libre démontre que des prétendus spécialistes se sont fourvoyés par dogmatisme et idéologie ? Impossible !

Aujourd’hui, à Marseille, les théories, la théorisation de la sanctuarisation par la violence de Yannick Brun-Picard est démontrée par l’exemple. Pour des prétendus scientifiques ça n’a que peu d’importance que de théoriser les sciences humaines. Il vaut mieux théoriser l’expansion de l’univers alors que nous ne sommes pas capables de comprendre les perversions de notre humanité.

A Marseille la sanctuarisation par la violence est une normalité. Les réseaux, les trafics, les contrôles territoriaux, les marquages, les spécificités, les emprises territoriales physiques, cognitives et virtuelles sont toutes là. Tous les acteurs de la lutte contre les trafics à Marseille font les constats de territoires de violences qui sont de véritables sanctuaires.

Marseille : vérification éclatante de la pertinence des analyses, des théorisations et des méthodologies de perceptions, analyses, compréhension et explication, développées par Yannick Brun-Picard, devrait alerter les personnes aux responsabilités, ou tout au moins faire en sorte que ces travaux ne soient plus frappés par l’index et sa personne d’ostracisme.

Avoir raison seul contre la multitude n’est pas socialement admissible. De plus, cet anachronisme qui n’appartient pas aux réseaux, cercles et clientèles universitaire à cause de son cursus, ou de son absence de cursus, n’a pas pour coutume de mâcher ses mots. Que va faire Peillon ? Va-t-il le laisse au fond de son trou, où les médiocrates l’on enterré vivant ? A mon avis OUI !

Que vont faire François et son copain Ayrault ? Vont-ils ignorer qu’un chercheur, brûlé sur le bûcher des clientèles, à produit des travaux qui démontrent que des sanctuaires de violences existent en France et que les sociologues et autres géographes en font la négation car cela va contre leurs idéologies et les dogmes d’un méthodologisme à courte vue.

Les lignes produites par ce blog n’apporteront certainement pas grand-chose à ce chercheur qui a démontrer il y a une dizaine d’année les mécanismes de la sanctuarisation par la violence, l’existence de territoires de violences, de dynamiques de territorialisations et des territorialités identitaires vectrice de conquêtes territoriales par la violence.

Néanmoins, elles existent. La colère exprimée à la hache et l’amertume de voir que nos prétendues élites préfèrent se fourvoyer plutôt que de recruter une personne qui avait déjà raison il y a dix ans et qui aujourd’hui devrait être une référence, peuvent donner une image altérée de la pertinence de ces travaux sur les dynamiques de territorialisations par la violence en zone urbaine.

Il est plus que probable que François fasse comme son pote Sarko : qu’il ignore l’existence de ces travaux qui mettent à mal les universitaires qui ont l’outrecuidance de se présenter comme des spécialistes des violences, des dynamiques des violences urbaines, ou des territorialisations. Il est probable que Peillon ne parvienne pas à la décence cognitive d’une conscientisation praxéologique et demeure dans la ligne de l’ostracisme et du rejet car n’appartenant pas aux cercles.

Que dire de Valls dans tout ça ? Pas grand-chose ! Il fera comme ses copains et comme Najat : il blablatera et n’aura pas le courage de poser la question aux universitaires : Comment ce fait-il que des travaux qui démontrent ces sanctuarisations ont-ils été ignorés ? Nous sommes en France pour briller, même faiblement, il faut appartenir, ou au minimum entrer dans un cercle d’influence, une sorte de clientèle distante et agrégée. Ailleurs, ceux qui ont le courage de conscientiser prennent la diversité et la différence pour construire un monde meilleur et non le meilleur des mondes…

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19 août 2012 7 19 /08 /août /2012 11:29

Des violences urbaines à Amiens et à Neuilly-sur-Marne donnent une image lamentable de la France. A force de ne pas avoir le courage de regarder les réalités en face, à force de ne vouloir voir la France que comme l’idéologie la normalise, les réalités viennent nous rappeler à l’ordre.

Les violences urbaines, les dynamiques des violences urbaines, les violences identitaires, les dynamiques territoriales des violences identitaires, les territorialisations par la violence, la violence pour vecteur identitaire, la sanctuarisation par la violence, la violence pour vecteur de territorialisations ou encore les territorialités de la violence, pour le moins ont été démontrées, exposées et trop rarement publiées, plus fréquemment exposées lors de congrès, par Yannick Brun-Picard.

Les dynamiques des violences sont donc accessibles. Malgré les textes existants rien n’est entrepris pour mettre en œuvre des actions sur les articulations des mécanismes des territorialisations par la violence. Les institutionnels demeurent sourds, aveugles et inertes aux alertes de Yannick Brun-Picard sur les thèmes des violences qu’elles soient urbaines ou scolaires.

Les violences, si présentes dans les zones urbaines, trop présentes dans les grandes villes et qui rongent les petites villes voire même les villages, à cause de la démission et de l’inertie dogmatiques des idéaux politiciens, deviennent un fléau sociétal. Yannick Brun-Picard l’a mis en exergue et les sociologues ont tout fait pour que ses textes soient mis à l’index et ne puissent pas être diffusés.

Aujourd’hui, malheureusement, les violences urbaines, les dynamiques de territorialisations des violences urbaines, les violences identitaires, les territorialisations des violences identitaires, la violence pour identité et les sanctuarisations par la violence, sont si éclatantes, si évidentes, si envahissantes, si prégnantes, que même les médias ne peuvent plus nier la réalité des mécanismes de production et de construction des violences urbaines.

Agir contre les violences urbaines, sociétales, scolaires, réclame, exige, impose, de regarder la société, l’univers sociétal, et les réalités de la France, sans employer les filtres d’une université, d’une administration et des institutions gangrénées par les réseaux, les appartenances, les clientèles et les idéaux.

Agir contre les violences urbaines, sociétales, scolaires, exige, impose, réclame que les acteurs sociétaux prennent leur courage, non pas les paroles, le blablatage et les effets médiatico-communicationnels, à pleine main pour s’approprier les travaux de Yannick Brun-Picard sur les violences et parvenir à la construction d’une Paix sociétale.

Agir contre les violences et construire la Paix, exige, réclame et impose que les intellectuels, les institutionnels et les politiques, conscientisent leurs errances et parviennent à admettre que l’obscur Yannick Brun-Picard les avait alertés quand à la nature territoriale de la production de dynamiques de violences identitaires.

Pour parvenir à cette conscientisation, phase indissociable d’une démarche praxéologique, qui n’est pas enseignée dans les universités et autres formations d’enseignements, les décideurs en poste doivent faire preuve d’humilité, bannir l’infaillibilité et la suffisance exprimées contre ceux qui n’appartiennent pas aux cercles, aux réseaux des cursus et aux clientèles.

J’ai fait un rêve : François, Peillon et Valls sans oublier Ayrault, sont allés chercher les travaux sur les violences, les dynamiques territoriales des violences de Yannick Brun-Picard. Hélas ce n’est qu’un rêve. Cet anachronisme n’appartient pas aux cercles et moins encore à la normalité, à laquelle il ne peut pas s’intégrer.

Qui sait ! A force de tancer l’inertie dogmatique, il est envisageable qu’une porte s’ouvre, à l’image de la conscience et que l’attention nécessaire à la prise en considération de la réalité se fasse. Maintenant, les actes des différents politiques en poste attestent de leur incapacité à sortir de la normalité de norme normalisante.

Les travaux de Yannick Brun-Picard si bien enterrés, dénigrés et mis à l’index par les sociologues, les géographes et autres affirmés spécialistes des violences, demeureront ignorés, alors qu’ils décrivent et démontrent les dynamiques des territorialisations des violences urbaines.

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