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13 avril 2011 3 13 /04 /avril /2011 12:43

De nouvelles violences scolaires viennent abreuver les médias et ces derniers nous inondent de ces faits intolérables. C’est une très bonne chose que les citoyens sachent que des faits inadmissibles de violences se déroulent dans les établissements. Hélas ! Ce ne sont que des parcelles de la réalité.

Des chercheurs… ou tout au moins un chercheur : Brun-Picard Yannick, œuvre dans ce domaine depuis des années. Il a mis en évidence des mécanismes, des dysfonctionnements et des causes à ces violences que personnes ne veut voir. Il a même proposé une théorie sur les violences scolaires et leur diffusion… tout ceci est resté lettre morte.

Tu m’étonnes Charles ! Il ne faut pas toucher au système, aux médiocrates et moins encore aux errances des prétendus responsables.

Alors, qui va faire en sorte que ces travaux puissent enfin être reconnus, voir le jour et être utilisés pour prévenir, gérer et annihiler les violences scolaires ? Les médias : trop peur de déplaire. Les politiques : trop peur de perdre des voix. Le reste du monde : trop peur de voir la réalité en face.

Ce n’est pas parce que l’on ne sait pas que des faits ont lieu qu’ils n’existent pas. Ayez le courage de mettre les travaux sur ce thème. Cessez l’intellectualisme de fond de cuvette. Virez les brasseurs d’air et autres illusionnistes qui errent dans les universités. Là, seulement là, les réalités seront accessibles sans fard, sans illusion et sans faux-semblants.

Qui va aller le chercher ? Personne ! Trop dangereux que d’admettre qu’un système est fourvoyé dans la satisfaction médiocratique de l’absence de responsabilité.

Lorsque la société se réveillera : il sera trop tard. Les prétendus intellectuels retrouveront les textes et diront : « ha, il y a quelques années un pas normal avait alerté… ».

Les maux sont là à portée de main. Ayez le courage d’agir. L’étique réside en cela.

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20 février 2011 7 20 /02 /février /2011 13:49

Des journalistes parlent de privilèges au sujet du 1/4 de place des militaires. C'est vrai ça coûte cher à l'Etat. Avec des salaires de misères pour les subordonnés, non pour les officiers, et les contraintes de déplacements, un avantage de ce type peu se comprendre. En revanche, le statut des généraux, des 1/4 de place, les privilèges réels qui plombent les comptes de la nation: eux ne sont pas exposés. Alors, messieurs les journalistes: faite votre job: fouiller et mettez en évidence les privilèges identiques à ceux du XVIIIème siècle.

Allez faire le tri dans la fonction publique hospitalière pour laquelle le moindre directeur, qui ne comprend même pas comment fonctionne sont établissement, tu m'étonnes, le seul but est d'être le vizir..., ne paye pas le téléphone, ne paye pas l'eau, ne paye pas l'électricité, ne paye pas son loyer, ne paye pas son chauffage et ne paye même pas l'enlèvement des ordures.

Alors les journaleux! Là n'y a-t-il pas de réel privilège qui vident les caisses de la nation, car ces privilégiés ne déclarent pas les avantages en nature. Alors les illusionnistes! Quand allez vous faire votre travail et mettre à plat ses abus intolérables qui font que les sans grades payent pour les prétendus responsables qui jamais ne sont vraiment sanctionnés? Jamais! Tu m'étonnes! Vous êtes au service des clientèles, à la botte des financiers et surtout à la suite des médiocrates.

Voilà une mission, que dis-je un devoir, vous savez le devoir: le sens du devoir! exposer en toute impartialité les abus scandaleux, inadmissibles et spoliateurs dont bénéficient les prétendus hauts fonctionnaires.

Là je doute que vous ayez suffisamment de courage pour agir, pour mettre à plat et pour dénoncer cette dilapidation des deniers de l'Etat.

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19 février 2011 6 19 /02 /février /2011 17:43

Je m’approprie à nouveau les travaux de Yannick Brun-Picard sur la prostitution, sur les dynamiques des territorialités, les territorialités de la violence et sur l’interface humanité/espaces terrestre. C’est vrai je reviens très fréquemment sur ses travaux, sur ses propositions et ses développements. Ceci est normal puisque je le soutiens et que, à ma connaissance, nul ne lui a proposé de travail jusqu’à l’heure actuelle. Pas de misérabilisme ! Restons dans l’aspect de la prostitution et des prostituées dans le département du Var. Là aussi il ne dissèque pas seulement le Var, mais pour ma part, je m’attache uniquement à cet aspect.

Pour Yannick Brun-Picard les lieux de prostitutions sont des interfaces de consommation. En effet, l’interface en tant qu’objet de la géographie humaniste, qu’il s’efforce de défendre, est le support dans lequel sont mis en relation des spatialités, des comportements, des phénomènes, des dynamiques accessibles à tout observateur. Ces parcelles de l’espace terrestres sont appropriées pour l’exercice d’un commerce : le corps d’une femme, d’un homme, dans une finalité d’emploi sexuel. Le terme interface est employé car les territoires ne sont pas délimités. Ils sont que des espaces constitués de lieux modifiables, malléables et modelables en fonction des potentialités, des disponibilités et des capacités des actrices.

Dans le cas du département du Var ces lieux de consommation sont essentiellement concentrés aux abords des principaux axes routiers. Il se crée ainsi une interface d’exercice entre des zones rurales, urbaines et périurbaines en relation par la seule activité, dans le cas présent, de la prostitution. Ces interfaces de consommation : une zone de captage de l’attention, une zone d’accessibilité, une zone de contact, une zone de pratique et une zone de libération du client et de la vendeuse ; s’égrènent le long de la nationale 7. Elles s’articulent en fonction des potentialités des lieux de pratiques. Elles sont plus ou moins étendues, profondes et fréquentables.

L’interface est bien présente : un support adaptatif, une activité anthropique fixée sur une parcelle territorialisée, un échange commercial, des flux de clients, des plages d’activités, des dynamiques territoriales liées à l’activité de prostitution (surveillance, déplacement, implantation) et enfin diversité des activités qui structurent temporairement une parcelle de l’espace terrestre en lieu donné d’une activité de prostitution.

Que ce soit en direction de Sainte Maxime, entre Aix-en-Provence et Nice, voire plus rarement en prenant les transversales pour se rendre dans l’arrière pays nous trouvons ces interfaces ponctuelles qui agrémentent les déplacements de quelques consommateurs.

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19 février 2011 6 19 /02 /février /2011 15:02

La religion a fait des millions de morts. Aujourd'hui les médiocrates se réfugient lâchement derrière des religions pour leur fond de commerce. Les intellectuels sont tellement incompétents bouffis d'orgueil et de suffisance qu'ils sont incapables de montrer que nos civilisations sont dans l'obligation de dépasser les religions, que celles-ci véhiculent des idéaux de croyances en un dieu ou de justification par la puissance attribuée à l'argent et à la cupidité. Les religions ont contribué à poser, à orienter ainsi qu'à structurer nos civilisations. Ayons le courage de concevoir le monde de demain dans lequel l'humanité est "la religion". Ayons le courage de dire assez avec vos croyances qui justifient les pires horreurs, les pires violences et les pires abus sous le couvert de servir une divinité. Ayons le courage d'accepter que nous ne sommes que de passage et que notre conscience, pour ceux qui en ont une, à le devoir de nous mener à construire un monde plus vivable pour ceux que nous avons mis au monde. En aucune manière nous devons tolérer l'envahissement sous quelque forme que ce soit d'une religion sur notre liberté laïque. Les croyances sont du domaine du privé. Nous payons le manteau blanc des cathédrales du onzième siècle... C'est fait! Aujourd'hui nous avons le devoir de nous extraire de toute mouvance religieuse. C'est-à-dire, que chacun vive sa religion sans nuire à autrui sans vouloir imposer quelques institutions, règles, obligations ou monuments. C'est-à-dire, que l'Etat se détache totalement de toutes dynamiques de religion et tienne sa place hors de ces influences. La religion est quelque part la négation de notre individualité, de notre humanité, de l'humanité et de l'Humanité. La seule religion aujourd'hui acceptable est celle qui met la vie, la qualité de vie, la considération pour toute forme d'humanité, ainsi que l'harmonie des sociétés au coeur de ses préoccupations. Alors les médias vous avez du travail! Au lieu de lustrer les pompes aux mouvances religieuses tenez votre place. Faites preuve d'éthique et œuvrez pour l'Humanité en défendant l'humanité de votre humanité. Mais ça c'est difficile. Ce n'est pas politiquement correct! Et pourtant vous, les médias, vous êtes responsables de ces errances simplement pour votre fond de commerce, votre gloriole et votre allégeance à la servitude: ceci est votre religion!

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23 janvier 2011 7 23 /01 /janvier /2011 09:19

Voilà de la polémique pur jus ! Oui j’en ai par-dessus la tête de lire des textes vides de perspectives, vides de projections, vides de réel, vides de sens. J’en ai plein le dos de voir publier des textes, qui deviennent des références dites scientifiques, qui ne sont que gargarismes, intellectualismes pavloviens, d’une appartenance à une clientèle de médiocrates.

Le pire : les prétendus évaluateurs s’érigent en porteurs d’une éthique supérieure d’une compétence inaccessible de qualité universelle. En réalité que font-ils ?

Ils font des appels à communication, à contribution ou à participation. Ils ouvrent les pages de leurs productions pour signifier qu’ils vont chercher toutes sources du savoir ailleurs que dans leur soupe. Par la suite, ils évaluent. 50% pour nos gens, 45% pour les affiliés, et si nous avons les 5% restant nous les attribuerons aux extérieurs. C’est de bonne guerre, on va dire comme cela.

Ainsi si vous n’appartenez pas aux clientèles, aux réseaux et autres appartenances vous avez à peine 1 chance sur 100 de parvenir à publier un texte. Là, le savoir évolue. Là nous sommes dans une société dite scientifique qui avance. Là, nous sommes dans la diversité source de différence et de richesse. Là, nous sommes dans un système qui rappelle à peine l’inquisition ! Le pire c’est que tous les institutionnels qui se gavent dans ces structures affirment qu’ils sont intègres, que seul l’intérêt supérieur du savoir guide leurs choix et que l’éthique est leur référence.

Lorsque l’on propose justement de poser les bases de l’éthique du domaine : plus personne. Il ne faut pas de règle trop directive. Il ne faut pas trop ouvrir nos portes. Il ne faut pas aller trop loin. Il ne faut pas bousculer ceux qui sont en place et qui font que plagier les textes d’auteurs de références, que la multitude qui se croie érudite n’a pas lu.

Voilà ! Tous ces biens pensants me révoltent. Les systèmes médiocratiques, médiatiques et politiques qui soutiennent de telles démarches me révulsent. Le silence bienfaisant des médiocrates pavloviens m’irrite au plus haut point.

Le plus inquiétant est que nos politiques cautionnent ces errances. Tu m’étonnes Charles : elles sont source de pouvoir, de rayonnement et de clientèle ! Alors, conservons une telle négation de la diversité, de la différence et de l’esprit pour préserver des cercles de médiocrates. Eux servent le système, eux sont à la botte en faisant croire qu’ils luttent ou qu’ils sont une conscience de la société en désagrégation.

Les médias vont de ce sens. Les politiques s’y engouffrent. Les entités dites intellectuelles les préservent. Tout va bien. Nous sommes aux temps bénis de l’obscurantisme. Tient : et la Tunisie ne subissait-elle pas une telle perversion sous le couvert d’une efficacité ? Allez les consciences : debout ! N’oubliez pas : « Et pourtant elle tourne ».

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5 janvier 2011 3 05 /01 /janvier /2011 10:23

Les perpendiculaires aux axes majeurs des villes de Cannes ou de Nice sont des lieux d'activité à tout type de prostitution. Ceci n'est pas une nouveauté. Yannick Brun Picard avait montré il y a plusieurs années les mécanismes d'implantation des prostituées dans ces petites ruelles. Il est vrai que cette prostituée sont nombreuses. À Toulon le nombre a diminué toujours sur ces axes perpendiculaires n'est toutefois l'activité demeure. C'est prostitués sont accessibles immédiatement à toute pulsion de consommation. Leurs offres étaient illicites. Les emplacements sont fonctionnels à proximité de cage d'escalier de chambres d'hôtel ou de studio d'activité. Les lieux d'exercice sont protégés à la fois par les filles et par leur souteneur. Chaque actrice territorialise de son lieu d'exposition. Son morceau de trottoir air ont connu comme territoire par les autres prostituées. Elle s'expose du virage à la porte et ne va pas plus loin. La discrétion n'est pas la norme. Elles ont l'obligation d'être visibles. À fin de consommer le maximum de clients. L'information réside simplement dans l'exposition de l'offre. Il est à noter que cette prostituée se répande dans les rues secondaires pour pouvoir pratiquer en toute quiétude.

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5 janvier 2011 3 05 /01 /janvier /2011 10:22

Toujours fondée sur les travaux de Yannick Brun Picard la prostitution dans de discrètes caravanes à proximité des principales agglomérations varoises l'objet de ces quelques lignes. Ces caravanes se sont implantées de manière à être visibles de l'axe routier. Le plus souvent une piste permet leur accès. Il est vrai qu'il faut savoir que la danse cette caravane on peut consommer du sexe. Toutefois, pour les habitués de ces axes le doute n'est plus permis après avoir constaté l'activité et le passage de quelques véhicules. C'est caravanes sont donc accessibles et leur exposition se veut à la fois explicite et fonctionnelle. La protection du territoire réside dans ce petit cocon de tôle. Les limites sont celles de l'implantation. Il est vrai que cela n'est pas pratique pour déplacer régulièrement le milieu des ébats sexuels. Il est à noter la nature adaptative du lieu ainsi que la relative discrétion. Lorsque la prostituée est soumise au joug d'un macro celui-ci peut contrôler le nombre ne pas s'effectuer en étant relativement éloigné du lieu d'exercice. La territorialité de l'activité s'exprime par la présence peu conventionnelle d'une caravane, les stationnements de véhicules occasionnels dans un lieu normalement d'activité, l'exposition de tenues affriolantes ou des messages dissimulés pour de potentiel consommateur ainsi que la diffusion de l'information. Le choix des emplacements résulte très certainement d'arrangement avec les propriétaires des parcelles d'implantation.

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5 janvier 2011 3 05 /01 /janvier /2011 10:22

Pour ces quelques lignes la route nationale sept est l'objet principal. Yannick Brun Picard a montré il y a déjà cinq ans comment les prostituées s'exposaient sur la route nationale sept entre Aix-en-Provence et Fréjus. Il a mis en évidence que les prostituées s'exposaient à proximité des zones d'activité, des villages, ainsi que des airs accessibles et des axes secondaires fortement fréquentés. La clientèle cible de ces prostitués est tous les conducteurs hommes ou femmes. Les travailleuses et travailleurs se sont visibles sur le bord de la route. La lisibilité de leur activité ne fait aucun doute. L'accessibilité à la pratique sexuelle et parfois compliquée. Il est nécessaire de dissimuler son véhicule dans la forêt, on peut charger la prostituée dans sa voiture et d'effectuer quelques centaines de mètres à l’abri des regards ou encore de quitter la route nationale et effectuer des manœuvres à fin d'avoir un lieu propice à la pratique sexuelle. Les implantations sont fonctionnelles. Les lieux de pratique sont protégés et les limites de chaque acteur sont bien visibles. Le choix du territoire d'exercice est fonction de sa nature adaptative, de sa discrétion, et il est impératif lorsqu'il n'y a un protecteur que ce territoire soit contrôlable. La territorialité du de prostitution résulte de la présence de la prostituée, de son exposition, de la nature de la proposition faite, ainsi que du contrôle de la parcelle effectuée par l'activité de prostitution. L'information d'une possible consommation sexuelle en ce lieu se fait par l'exposition le plus souvent. Ainsi, la route devient une gigantesque vitrine d'exposition sexuelle. Lorsque la présence policière se fait trop envahissante les prostituées se déplacent sur les axes secondaires en utilisant les mêmes techniques d'exposition.

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5 janvier 2011 3 05 /01 /janvier /2011 10:21

A nouveau je me réfère aux travaux de Yannick Brun Picard pour aborder les thèmes de la prostitution occasionnelle des vendeurs ou des vendeuses. Et oui des vendeurs et des vendeuses se prostituent de manière occasionnelle ou dans leur échoppe. Ce thème est encore plus délicat que ceux abordés précédemment. En effet, percevoir l'action de prostitution d'une vendeuse dans une baraque à frites, un étalage de marché, ou pour toute activité commerciale n'est pas accessible immédiatement. Cependant, l'objectif reste restreint. En partant de l'hypothèse que des personnes se prostituent pendant leur travail, c'est-à-dire, qu'elle propose des services sexuels dans le cadre de leur emploi principal il fallait se positionner de manière à vérifier cette existence.

Là, je ne fus pas déçu. Bien que difficile d'accès ces prostituées occasionnelles sont visibles et lisibles dans leur activité tout particulièrement dans de rares baraques à frites tenues par deux ou trois jeunes filles. Ces constatations ont été faites dans des villages du bord de mer varois. L'accessibilité et était donc des plus simple. Le comportement explicite des propositions était incontournable. La nature fonctionnelle l'exercice : la proximité de la baraque savoir frites facilitait la lecture de l'activité. Les jeunes femmes se protégeaient mutuellement par leur présence et par le milieu d'exercice de la seconde activité. Ainsi les limites de la proposition de service étaient bien fixées. Le lieu en lui-même est adaptatif et la discrétion est de mise. En effet, ces jeunes dames dans la proche banlieue toulonnaise ont la possibilité de contrôler les forces de police dans leurs déplacements les consommateurs de pizzas et de sexe tout en préservant la nature de leur territorialité d’exercice. La diffusion d'informations prostitution s'effectue par le bouche-à-bouche. Elle s'avère relativement efficace puisque pour les lieux d’exercice observés les travailleuses effectuées trois à quatre places journalières. La clientèle cible est essentiellement constituée d'habitués. Les pouvoirs publics semblent ne pas vouloir agir contre cette activité secondaire. Toutefois, ces jeunes filles prostituées occasionnelles semblent trouver leur compte dans cette pratique. Elles sont la faculté de choisir leurs clients et leurs fréquences d'exposition.

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11 novembre 2010 4 11 /11 /novembre /2010 15:27

Les violences qui viennent d'inonder les médias sont intolérables. Nul ne peut admettre de tels débordements.

Cette évidence posée, il nous faut aller un peu plus loin. Les biens pensants de la techno-médiocratie sont vent debout contre toutes les études, les démarches et les propositions qui ne sortent pas de leurs clientèles, de leurs boites à pavloviens ou de leurs obédiences. Ainsi, les violences sont là. Elles pourrissent la vie des établissements, des élèves et de la société, simplement parce que les médiocrates n'agissent pas sur les mécanismes de cette violence scolaire.

Je connais au moins un "chercheur" qui assure grave sur ce thème et qui a démontré comment s'agrègent les mécanismes des dynamiques des violences scolaires. Mais les mandarins et autres cooptés refusent qu'il puisse publier, qu'il puisse diffuser et qu'il puisse conseiller. Tu m'étonnes Charles, pour parvenir à une telle ouverture d'esprit, il faudrait que les médiocrates admettent qu'ils se sont fourvoyés dans une sociologie de polissage, dans une psychologie d'arrangements et dans une déresponsabilisation culturelle.

Ceci est impossible! Les politiques ne veulent pas entendre parler de responsabilités réelles, ils sont trop lâches pour agir réellement. Ils sont incapables d'aller chercher des empêcheurs de tourner en rond sur la médiocratie intellectualiste des prétendues élites.

Alors quelques instants de sérieux. Allez chercher ceux qui mettent les mains dedans qui disent ce qui ne fonctionne pas, qui montrent les errances et démontrent les incompétences. Allez chercher ces anachronismes qui ne seront jamais qualifiés car il faudrait une révolution cognitive et l'émergence de paradigme qui effrayent les médiocrates.

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