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13 août 2010 5 13 /08 /août /2010 08:25

Les discriminations sont mises à toutes les sauces. Il est intolérable de voir des gens discriminés à cause de leur couleur, de leur appartenance, ou simplement par délit de sale gueule. Toutefois, il est nécessaire de se prémunir contre les discriminations silencieuses. Ces discriminations dont sont victimes les citoyens qui ne sont pas dans la normalité. Et oui, des citoyens lambda subissent les discriminations simplement parce qu'ils ne sont pas dans la norme. Des citoyens sont éjectés des potentialités offertes par la société parce qu'ils ont été militaires par exemple, parce qu'ils ont eu une vie professionnelle avant, parce qu'ils ont voulu tenter quelque chose, ou simplement parce qu'ils n'appartiennent pas au petit monde de ceux qui choisissent. Les institutionnels pratiquent les discriminations en permanence. À force de ne plus vouloir créer de discrimination à l'encontre de personnes de couleur, de religion, de non-appartenance, se créent des discriminations d'une violence inouïe contre les petites gens. Si par malheur ces petites gens sont de couleur, musulmans, avec un handicap quelconque, et qu'en plus ils sont en dehors de la normalité aux yeux des institutionnels ils ne méritent même pas l'air qu'ils respirent. Y a-t-il un seul média, un seul prétendu intellectuel, un seul donné professeur de philosophie, un seul institutionnel qui va reconnaître que le petit peuple français, blanc, laïque, souffre de discriminations silencieuses encore plus violentes que celles subies par ceux défendus par les organismes luttant contre les discriminations ?

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13 août 2010 5 13 /08 /août /2010 08:09

Le classement des universités vient de sortir, à nouveau il fait polémique. Aucune université française dans les 30 premiers. À quoi cela est-il dû ? Très certainement à un manque d'adaptation, de réalisme, et de remise en cause d'un système où les infaillibles sont les maîtres absolus. L'infaillibilité est le mal dont souffrent les universités françaises. Pour parvenir à être qualifié il est impératif d'être adoubé par le CNU. Peut-on tolérer qu'un système où le clientélisme, la cooptation, les arrangements et autres réseaux silencieux verrouillent l'ensemble des structures universitaires ? Si ce système est si performant la France et les universités françaises seraient au même niveau que les universités américaines. Hélas, nous en sommes bien loin. Pour pouvoir publier il faut appartenir au réseau et aux clientèles des revues françaises qui publient. Si vous n'êtes pas dans la manche ou dans la poche d'un des responsables ce n'est même pas la peine vous n'existez pas. En revanche chez les Anglo-Saxons il est possible de publier dès lors que la qualité de l'article des propositions seront connus. Tout n'est pas si simple. Il est vrai que dans le système anglo-saxon les formations sont les plus dispendieuses. Toutefois les réalités sont là. Nous donnons l'illusion, nous prétendons dominer et au final nous courons derrière un système dans lequel personne n’accepte d'aller chercher les cerveaux. Le système français veut la normalité, veut de l'appartenance, veut de la clientèle, veut de la filiation. Le système français ne peut pas tolérer que quelque chose grandisse en dehors de ses structures. Il faut avoir suivi le cursus, avoir participé aux formations dans ce qui est donné comme étant les meilleurs établissements. Tout le reste n'est que du vent, n'est là que pour faire briller quelques lieux où les prétendus grands esprits se rencontrent. Les universitaires si performants soient-ils vont-ils avoir le courage de faire changer ce système ? Pour ma part, j'en doute fortement.

Vous allez me dire qu'il y a des esprits supérieurs chez nous. Il y a des mathématiciens pourront non. Des chercheurs en biologie en médecine ou en psychologie qui arrache la planète. C'est vrai. Nous avons quelques célébrités. Comparé à la multitude qui est éradiquée par un système médiocratique cela représente que peu de chose. N'oublions pas que pour parvenir à aller au-delà du doctorat en France il faut appartenir. Vous ne pouvez pas émerger dans ce système si vous fait de l'ombre aux institutionnels. Vous ne pouvez pas publier si vous dérangez les infaillibles. Vous ne pouvez pas exister si vous mettez en perspective les errances d'un système qui se désagrège. Hélas personne ne voudra admettre voire ne serait-ce que concevoir de telles errances. Comme certains philosophes l'ont déjà mis en évidence cette théorie, cette proposition, va être ralliée, harcelée, et peut-être au final encensée. Avant de parvenir à être encensé ce constat va subir les foudres des infaillibles. J'en ai parfaitement conscience mais si personne ne parle nous cautionnons l'effritement interne du système universitaire et sa permanence dans son fourvoiement d'un intellectualisme à courte vue.

N’oublions pas produire des savoirs et des connaissances ce n'est pas que lamentablement régurgiter ce qui a été produit par nos prédécesseurs. Pour dynamiser les connaissances, pour faire émerger des savoirs, il est impératif d'aller au-delà de la régurgitation du gargarisme de la situation et de l’accumulation de citations limitatives de ce qui semble fonder la légitimité intellectuelle. Reconnaître ce qu'ont fait nos anciens est nécessaire. En revanche, pratiquer la gnose et l'exégèse, et pire encore le commentaire de texte, est une démonstration d'enfermement intellectuel. Il est à regretter que les universités françaises, tout particulièrement dans le domaine des sciences humaines, pratiquent cette technique néfaste au rayonnement international.

 

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4 août 2010 3 04 /08 /août /2010 17:23

Pour aborder la prostitution dans le département du Var et sur la route nationale sept je me réfère à nouveau aux travaux de Brun-Picard Yannick. Ce dernier a mis en évidence des emplacements spécifiques des lieux de prostitution périurbaine dans ce département et sur cet axe principal de ce dernier. La visibilité des prostituées était et est toujours flagrante. Ces dernières stationnées au bord de la route dans des lieux stratégiques, c'est-à-dire avec un petit parking visible de suffisamment loin sont répartis au sortir des différentes agglomérations entre Aix-en-Provence et Fréjus. La lisibilité de l'activité ne fait aucun doute les tenues des dames et des hommes proposant leurs services sont des plus explicites. L'étalon au short extra court ou les jupettes extra courtes, les bustiers, les sacs, les attitudes ou les invitations à la consommation sont permanentes. Parfois ces derniers et ces dernières provoquent le client en dévoilant une partie de leurs charmes que ce soit au-dessus du nombril voire plus rarement en dessous du nombril à fin d’exciter les appétits. L'accessibilité du service sexuel est faite par la possibilité de se garer de manœuvrer de disparaître de se dissimuler des regards justes derrière dans les pinèdes, dans les vignes voire simplement sur un chemin vicinal. Les lieux de ces prostituées dans le département du Var et plus spécialement sur la route nationale sept sont fonctionnels que ce soit pour les prostituées en caravane à proximité de Brignoles ou aux abords d'Aix-en-Provence que ce soit pour celles qui vendent leur corps entre les Arcs et Vidauban ou encore celles qui depuis quelques années exercent entre le Muy et Sainte Maxime. Les emplacements sont protégés puisqu'ils sont visibles mais surtout par ce que ces dernières ne travaillent pas seules en fonction de l'isolement du lieu d'exercice elles se sont deux voire trois filles à proposer leurs services. Souvent, tout particulièrement vers le Muy le souteneur ne se trouve pas très loin. En surplomb ils surveillent ces gagneuses à fin de vérifier ce qu'il se passe. Le marquage des lieux de prostitution sur la route nationale sept se fait par exposition à la fois de la travailleuse du travailleur du sexe et d'un sac d'un parasol voire de la voiture avec la porte ouverte où l'on voit une cuisse dépasser avec les jambes largement ouvertes. Les lieux choisis sont adaptatifs c'est-à-dire que les acteurs ne vont pas rester en permanence là sur un emplacement. Ils vont se déplacer en fonction des flux, en fonction des heures de travail et en fonction des activités qui se déroulent à proximité du lieu d'exercice. Il est vrai que la discrétion de l'activité n'est pas des plus grandes. En effet, les filles ou les garçons se prostituant sur la route nationale sept sont visibles qu'ils soient assis sur un muret à quelques kilomètres d'Aix-en-Provence ou qu'il soient debout à la sortie du Canet des Maures sur un chemin d'accès à un champ de vigne. La territorialité des lieux d'exercice s'exprime par la préservation du terrain approprié pour l'exercice de cette activité. Dans le cas présent de la route nationale sept, rare sont les prostituées à être libre de leur exercice. En effet ces dernières sont déposées par un homme ou deux au petit matin et sont récupérées dans la journée par ces derniers à fin d'être déployées en d'autres lieux. La diffusion de l'information d'un lieu de prostitution sur la route nationale sept se fait sans aucune difficulté les flux pendulaires sont là pour diffuser l'information. La rentabilité est attestée par la permanence de l'activité sur les différents lieux.

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4 août 2010 3 04 /08 /août /2010 17:12

À nouveau je prends pour référence les écrits de Brun-Picard Yannick au sujet de la prostitution de rue. Il avait constaté ce phénomène dans une communication effectuée à Rimouski en 2003 puis à Ottawa en 2009. Les aspects visibles de la prostitution de rue sont des plus factuels. La prostituée en exercice est visible, sur le trottoir, à proximité d'un lampadaire, d'une bouche de d'aération, ou de tout autre point de référence. Son activité est lisible et compréhensible pour tout un chacun. Sa tenue engageante : une jupette à ras des fesses, la poitrine largement mise en évidence, sont autant d'indications de l'activité proposée. Sa présence au bord de la chaussée la rend accessible, n'importe quel conducteur peut baisser sa vitre et demander « s’est combien ». Tout ceci fait que l'offre est explicite. Il n'y a pas de problème il n'y a pas de doute au sujet de l'activité exposée. Les lieux choisis dans la rue sont fonctionnels. Il est nécessaire pour la prostituée de pouvoir avoir accès à la chambre d’hôtel, aux mini appartements qui donnent sur l’emplacement et qu'elle s'est attribuée sans aucune difficulté. Cette fonctionnalité se retrouve aussi pour le souteneur qui a besoin de pouvoir surveiller le nombre de passes effectuées l'attitude des clients ou encore l'attitude de son esclave. C'est-à-dire quelque part que l'espace dans lequel la prostituée exerce doit être protégée. Pour ce faire il est impératif dans la rue que le marquage du territoire arpenté par la prostituée soit visible ou tout au moins reconnu par tout autre prostitué(e) en activité à proximité du lieu d'exercice. Ces limites peuvent être un lampadaire, un hall d'entrée, une porte cochère, une vitrine, une bouche d'égout, un virage, voire simplement une marque sur le sol qui fait que de là sur cette parcelle de trottoir que la prostituée à son territoire, son lieu d'exercice et de revenus. Toutefois, ce territoire est adaptatif, la rue en fonction des heures de pointe des mouvements pendulaires des travailleurs ou des heures d'entretiens de la voirie imposent à la prostituée de se déplacer ou d'être un peu moins visible tout en pouvant proposer une offre de services avec toute la discrétion nécessaire à ce type d'activité afin d'éviter toute rafle. Cela signifie que l'espace d'exercice c'est-à-dire la rue dans son ensemble soit contrôlable à la fois pour la prostituée en situation ainsi que pour les autres acteurs de ce domaine d'activité. La territorialité qui en résulte est fondée sur l'activité est elle-même c'est-à-dire qu'en ce lieu est exposé une offre commerciale de vente d'un corps humain pour une activité sexuelle. Il est vrai que dans la rue nombre de filles prétendent être libre tout comme les garçons qui exercent cette activité. Cependant nombreuses et nombreux sont ceux et celles qui sont contraints de s'exposer sur la voie publique afin de remplir les poches de quelques souteneurs et autres macros. L'information de lieu de substitution la diffusion de celle-ci ce fait sans aucun détour puisqu'elle la prostitué est la au contact de potentiels clients, au contact des familles, au contact de la vie courante, elle est introduites inscrites intégrées à la vie, à la normalité. Tout ceci se fait dans un lieu donné pour rentable les travaux de Brun-Picard Yannick sur la rue Sainte-Catherine à Montréal l'exposaient. L'ensemble des prostituées se regroupaient autour des potentiels lieux d'exercice dans les petits immeubles à quelques mètres de la rue Sainte-Catherine. Ces dernières s'exposaient sur cet axe principal puis menaient leurs clients justes derrière à quelques mètres voir directement dans les immeubles dont les façades plongeaient  sur cette artère. Ainsi la prostitution de rue est présente là ou les potentialités commerciales sont les plus grandes là où les services de police ont quelque part démissionné et laissent agir plus ou moins impunément les prostituées sur leur lieu de travail.

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4 août 2010 3 04 /08 /août /2010 17:08

Les poignées de lignes proposées à la lecture sur le thème de la prostitution sont extraites des analyses, propositions et structures exposées par Yannick Brun-Picard depuis 2003 à Rimouski. Je vais donc fréquemment répéter ces liens avec ce géographe dont l'objet principal de réflexion est la géosociologie. Cette action s'attache à la spécificité des lieux d'exercice de la prostitution. En quelque sorte c'est la grille d'analyse, d'études et de compréhension d'un emplacement de prostitution. L'activité de prostitution sur un espace terrestre ou se côtoient clients et prostituées constituent une interface (Brun-Picard 2003) objet de la géosociologie qui est, je le rappelle, une facette de la géographie au contact de la sociologie, de l'ethnologie et de l'épistémologie.

La spécificité d'un lieu de prostitution implique qu'il soit visible quiconque doit pouvoir le voir. Il doit être lisible et compréhensible pour tous consommateurs. Accessible à la fois pour les prostituées et pour les clients. Explicite ce qui signifie qu'il ne doit pas y avoir d'ambiguïté pour tout client potentiel. Fonctionnel c'est-à-dire que chaque acteur doit pouvoir accéder, doit pouvoir consommer, dans la plus grande facilité. Protégé, ce qui implique que la prostituée doit pouvoir se défendre et que le client ne doit pas être vu ou surveillé. Il doit être marqué par des limites ne serait-ce que par un sac ou une présence. Ce lieu doit être adaptatif doit relever d'une certaine souplesse. Il va de soi que la discrétion est retenue à fin que ce ne soit pas une simple vitrine. Pour le proxénète il doit être contrôlable afin que les caractères de territorialité soient exposés et reconnus par tout autre acteur de la prostitution. Sur ce lieu de prostitution le statut doit être perceptible statut de la prostituée libre contrainte ou obligée. Ce lieu doit permettre la diffusion de l'information que le territoire existe pour la pratique de la prostitution. Cela impose pour tout proxénète ou prostituée travaillant pour elle-même que l'emplacement doit être rentable afin de pérenniser son activité pour la durée souhaitée.

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4 août 2010 3 04 /08 /août /2010 17:05

Vous avez constaté mon attachement aux travaux de Brun-Picard Yannick, pour l'heure, je vais critiquer ses publications et plus particulièrement l'article des Cahiers de Géographie du Québec le volume 53, numéro 150, décembre 2009. Ces propositions sont mécaniques nous avons l'impression qu'il fait une articulation par engrenages, elles sont relativement synthétiques voire hachées pour ne pas dire parfois hermétiques. Il est probable qu'il veuille aller à l'essentiel le plus rapidement possible afin de que la dimension de l'article soit respectée.

Sa position sous tend que ses prédécesseurs ne veulent pas voir des facettes de la réalité. Il se détache des productions antérieures tout en se fixant de manière génétique à une grande diversité d'influence sans appartenir à quelque mouvance que ce soit. Il ne peut que déplaire et s'attirer les foudres de la normalité. Il fissure le tout sociologique pour nous faire entrer dans la transdisciplinarité alors que les traditions, les cerveaux et les volontés ne sont pas prêts à voir et ne veulent pas entendre. Son rejet, fondé et pertinent, de la discontinuité ne peut que lui valoir l'animosité des géographes et des sociologues. Son appropriation sélective de rares piliers et méthodes ainsi que théories chez ses prédécesseurs le classe comme un opportuniste instable à même de mettre en perspective des aspects de la réalité. Le découpage conceptuel met en évidence des responsabilités que personne n'accepte de percevoir et bien sûr de prendre. Il affirme que la prostitution est une violence faite aux prostitué(e)s. Il met en exergue des possibilités d'intervention pour lutter contre sa diffusion mais n'expose pas ses solutions. L'évidence de ces descriptions irrite le sociologue qui ne peut les qualifier que de factuelles alors que c'est la réalité décortiquée. Ils bousculent le gargarisme de certains qui veulent éjecter le territoire alors que tout acte se réalise dans/sur un territoire.

Plus inquiétant il semble qu'il soit seul à aborder ce thème par ces types d'approche. Au final il n'est pas assez souple, trop cassant et mécanique, sa diversité d'influence ne peut lui attirer que les animosités et la mise à l'index, ce qui, il me semble, est la triste réalité.

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29 juillet 2010 4 29 /07 /juillet /2010 08:54

Que font les médias ? Les écoles de la République sont vérolées par une islamisation rampante. Le modèle de référence des médias est le Coran. Les médias soutiennent ouvertement toutes manifestations d’islamistes sous le couvert de la laïcité et de la liberté d’expression sans se poser la question de ce qu’ils font. Les médias défendent ouvertement tout mouvement des islamistes qui vise à affirmer sur le devant de la scène une place, la première, pour l’Islam. Les médias ne se réfèrent pas à l’histoire pour mettre en perspective, en exergue et à disposition la réalité de la politique silencieuse de la tâche d’huile de l’Islam. Les médias ne défendent pas la République qui leur permet d’exister. Les médias ne font pas leur boulot de veille, d’alerte et de mémoire.

Les médias n’ont pas le courage de décrire, la situation réelle de la presse, de l’éducation, des enfants et des femmes dans les pays islamiques. Les médias sont devenus si lâches qu’ils sont dans l’incapacité de lutter pour défendre ce qui a fondé les droits de l’homme et du citoyen. Les médias sont tellement vérolés qu’ils frappent sur les petits, les sans grades, au lieu de chasser les destructeurs de société. Les médias, qui nous donnent une vitrine pour répandre notre fiel ne font en réalité qu’instrumentaliser nos propos.

Les médias prétendent avoir une éthique… Les médias prétendent répondre à une déontologie… Les médias affirment défendre des valeurs de liberté…

Tout cela n’est fumisterie, lâcheté et arnaque de blablatage pour ce faire du fric. Ils font du fric en vendant leur âme, leur support d’expression et ce qui constitue l’information. Les médias sont devenus plus démagogiques que les politiques.

Ceci est un message d’alarme et d’alerte. D’alarme car les idéaux de gauche, le touche pas à mon pote et les clientèles nous ont mené à de nouvelles formes de discriminations pour lesquelles le blanc, français et non musulman n’a plus aucun droit. Dans ce monde fabriqué par les médias et les médiocrates les citoyens sont foulés aux pieds pour satisfaire la gloriole nombriliste d’un petit nombre sans conscience de la portée de leurs actes.

Je souhaite que l’alarme et l’alerte soient entendues et diffusées car dans le cas contraire les médias par leur allégeance à l’Islam vont contribuer aux extrêmes, là il sera trop tard !

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24 juillet 2010 6 24 /07 /juillet /2010 15:36

Infaillibles ! C’est la pire dégénérescence du comportement humain. Les politiques, les médias, les prétendus intellectuels ou les universitaires, surtout français, sont porteurs de ce fléau sociétal. L’exemple de la dame noire qui a été virée pour propos raciste démontre les méfaits de cette doctrine véhiculée, développée et institutionnalisée par ceux qui prétendent détenir la parle divine parce qu’ils sont journalistes, politiques ou auto-définis intellectuels.

L’infaillibilité est un fléau aussi destructeur que la démagogie et appartient à cette dernière. L’infaillible est incapable de ce détacher de son nombril et d’analyser ses actes, leurs conséquences ainsi que les destructions qu’ils engendrent. L’infaillible se réfugie dans sa tour d’ivoire médiatique, politique ou intellectuelle et vomi sur tous ceux qui ne sont pas de son monde, de son rang, de son cursus et de ses clientèle. L’infaillible est un nuisible qui donne l’illusion de faire pour les autres, d’agir pour le collectif et d’être porteur de valeurs supérieures. Tout ça il ne fait que donner l’illusion car quand il faut lui appliquer les règles de la société il en est incapable et se dissimule derrière son statut, sa fonction et son prestige. L’infaillible ne tolère pas, ne conçoit pas, qu’un petit puisse émerger. L’infaillible n’a pour finalité que son être et son cercle d’existence.

Regardez autour de vous, dépassez le stade de l’individualisme qui ce constate à chaque instant, et vous verrez les infaillibles agir et nuire. Il semble que personne ne souhaite mettre un terme à ce culte de l’infaillibilité. Il est tellement ancré dans les esprits que lorsque l’on est issu de grandes écoles, que l’on a été élu ou que l’on appartient à des réseaux, que l’infaillibilité est la nature même de l’individu. L’infaillibilité est le trait de celui qui a réussi. Celui qui fait travailler des esclaves modernes sans se soucier de la juste rémunération. Celui qui s’acharne sur ceux qui s’arrachent la couenne pour vivre. Celui qui répand ostensiblement son mépris et sa condescendance envers les plus petits.

L’immédiateté dans laquelle les médias nous plongent, l’illusion de l’image et du toujours plus d’informations, ainsi que le culte de l’argent soutiennent l’infaillibilité et son culte sans partage. L’infaillible ignore ce qu’est humilité, altruisme, équité et éthique. Mais il emploie ces termes à chaque instant pour justifier ses actions, ses abus et ses errances. L’infaillible prétend œuvrer pour le bien de l’humanité mais en réalité il ne soigne que son humanité, son être superficiel d’illusion.

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19 juillet 2010 1 19 /07 /juillet /2010 14:23

Dépenses publiques : voilà un thème de disputes, de luttes voire d’insultes. Les ministres cherchent, soi-disant, à faire des économies dans les dépenses de l’Etat. C’est un impératif dans une société qui n’a pour objectif que la satisfaction immédiate : cette fameuse soif de l’immédiateté !

Cependant, les politiques ont-ils la volonté d’aller prendre l’argent disponible là où la ressource se trouve ? Pour ma part j’en doute fermement.

Alors, simple et de bon goût : mettre un terme aux logements de fonction des directeurs des hôpitaux, imposer à ces personnes de payer leur eau, leur électricité, leur chauffage et leur téléphone. J’entends déjà les médiocrates hurler !

Ensuite, faire disparaître tous les véhicules de fonction qui vérolent les comptes des administrations. Tout à l’heure pour chaque chefaillon il y a une berline. Où allons-nous ? Ah, oui au fond de la fosse.

Puis, après avoir épuré ces systèmes d’abus de biens sociaux, des fonds de l’Etat, recruter les fonctionnaires, de tous les ministères, au bas de l’échelle. Hé, Charles tu rigoles ! Il faudrait qu’ils travaillent, ceci est impensable. Fini le culte de l’eugénisme. Fini les directeurs et autres bouffons qui font on ne sait pas quoi dans les dites hautes administrations. Après avoir passé 3 ans dans une fonction : concours de recrutement en fonction des postes disponibles pour une qualification qui permet d’accéder au poste à pouvoir… donc fini les magouilles de nominations et de recrutement par clientèles… ha, non ça ne va pas plaire aux syndicats ! Tu m’étonnes Charles !

Par la suite, concevoir des cursus pour lesquels les postes de hautes responsabilités ne peuvent être tenus que par des personnes qui ont de l’expérience réelle. Mais alors à quoi vont servir l’ENA et les autres boites à clientèles ? S’en fou, au travail !

De telles orientations obligeraient l’Etat à gérer, à planifier et à considérer les fonctionnaires au même niveau avec équité. J’ai peut être abusé de substances illicites pour proposer ces orientations ? Non, non, le bon sens, ce que les médiocrates gavés de scientisme ne peuvent pas concevoir sous couvert d’une scientificité de façade.

Là une vraie réforme de l’Etat serait en route. Mais pour cela il faudrait que ces messieurs et dames aient le courage de ne plus servir les clientèles. Il faudrait qu’ils servent l’Etat et non leur carrière. Il faudrait que le centre des inquiétudes soit le devenir de la nation.

Tu parles d’une révolution ! Allez un peu de courage. Faites disparaître les cursus honorum et autres privilèges. Faites avancer pas à pas les fonctionnaires en les formant réellement sur les lieux de travail et non dans de vastes fumisteries à droite et à gauche. Faite naître une saine émulation et non la préservation des privilèges liés à la naissance et à l’appartenance d’une obédience.

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19 juillet 2010 1 19 /07 /juillet /2010 10:57

La violence pour expression identitaire. Tient à nouveau un thème développé par un empêcheur de tourner en rond. En effet, Brun-Picard Yannick a mis en évidence que l’identité portée par certains acteurs sociétaux était la source justificative de violence. Il a démontré comment se construisait le vecteur identitaire violent afin que les décideurs agissent dès ses prémices.

Encore des écrits qui sont dissimulés, oubliés et mis à l’index d’un monde normalisé et bien-pensant pour lequel ceux qui n’appartiennent pas aux clientèles doivent espérer devenir le pourcent d’exceptionnel pour pourvoir être reconnus.

Inutile de pleurnicher ! Nos systèmes sociétaux fonctionnent de la sorte. Le devenir de l’humanité n’a que peu d’importance à partir de l’instant où l’on s’enrichit et que l’on devient le modèle de consommation et de réussite sociale.

Alors, que faire ? Il serait souhaitable que le ministère de l’intérieur avec ses élites se penchent à nouveau sur la production de cet auteur ainsi que sur les mécanismes mis en exergue. Il est impératif de mettre un terme au gargarisme intellectuel de sociologues qui ne présentent que ce qu’ils veulent voir, admettre et comprendre de la société en se réfugiant derrière des méthodologies soi-disant irréprochables. Ensuite il reste encore énormément à entreprendre, mais comme l’on dit : « les conseilleurs ne sont pas les payeurs ».

J’ignore si les médiocrates passent au tamis les différents blogs existants. Si c’est le cas, ou si des observateurs curieux prêtent une attention soutenue à ces propos il est probable qu’enfin les décideurs se bougent les fesses et aillent chercher des anachronismes pour faire avancer le machin. Dans ce cas une révolution serait en phase d’émergence.

Pour ma part je doute fermement que tous ces produits de prétendues grandes écoles pavloviennes tolèrent que des esprits non formatés par les règles du système d’appartenance puissent s’élever et servir de point d’appui pour répondre aux maux des violences qui désagrègent, chaque jour, un peu plus, notre société.

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