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16 juin 2012 6 16 /06 /juin /2012 07:50

Après la bravitude si éclatante et démonstrative nous avons la victimitude. Il faut dire que ce néologisme est parfaitement adapté à la situation pour laquelle il a été élaboré à La Rochelle.

La victimitde est de faire en sorte de se poser en victime bien que l’on soit l’intervenant, le responsable, l’ordonnateur, le gestionnaire ou ne serait-ce que l’élu qui a pris la décision si néfaste pour les citoyens et qui en outre préserve les intérêts de la castes le plus souvent politicienne et énarquienne.

La victimitude est se positionnement qui fait que nous avons des citoyens qui obtiennent des aides, des avantages et des privilèges simplement par le soutien des médias sans se soucier de ce qui se passe et d’où vont ces flots financiers qui le plus souvent irriguent des réseaux de délinquances.

La victimitude est cette faculté de faire en sorte que le rôle joué soit minimisé, voire totalement effacé afin que seuls les adversaires deviennent responsables des catastrophes que l’incompétence a engendrées.

La victimitude vertu énarquienne qui maintenant devient l’hyper-normalité dans les appareils de l’Etat français puisqu’ils sont en force et qu’ils verrouillent tout, alors que la situation de la France démontre par les faits, la réalité, leurs incompétences et leurs incapacités à faire autre chose que servir les intérêts de castes, de réseaux et de clientèles, est une gangrène qui ronge la France.

La victimitude est cette image d’une candidate au bord des larmes qui pose devant une affiche de son adversaire de moment, collée sur sa porte, qui fait qu’elle se pose en victime d’un harcèlement intolérable alors que son mépris pour tout ce qui n’est pas à ses escarpins fait qu’aucun subvention parvient aux communes d’une autre obédience politique.

La victimitude est ce qui a fait élire le nouveau président qui nous propose du rêve, de nous faire rêver, mais qui pour l’heure fait du Sarko dans les actes, puisque comme lui, il n’a pas la dignité de faire répondre par ses services aux citoyens qui lui posent des questions.

La victimitude est alors mon positionnement puisque je suis victime du mépris de ceux qui par leur position ont le devoir de servir les citoyens…

La victimitude est cette faculté à déverser les problèmes, les errances, et les inaptitudes sur le dos des autres sans se sentir concerné tout en faisant croire que seul, moi, fait ce qu’il faut pour la France. Ainsi, nous avons des élus victime de la situation qui sont dans l’inertie rétrograde et refusent de prendre en considération les réalités.

La victimitude est ce fléau devant lequel les cercles de pouvoir, les réseaux et les clientèles se couchent afin de servir les intérêts qui sont si nuisibles à la France. Elle est devenue la norme comportementale et justificative de tous les élus afin de transférer sur l’impalpable tous les maux du monde auxquels normalement ils ont l’obligation et le devoir de répondre.

La victimitude est cette lâcheté médiatique si expressive derrière laquelle ses porteurs se dissimulent pour éviter que les citoyens décèlent le fait qu’ils sont vident si ce n’est que manipulateurs d’idéaux comme aux temps si obscurs de la démagogie triomphante, tout comme aujourd’hui.

La victimitude va devenir au même titre que le sarkhollandisme une norme de la manipulation médiatico-communicationnelle dans laquelle nous vivons et contre laquelle aucune mouvance n’agit. Elle est si présente qu’elle est la norme des politiques qui déjà annoncent qu’ils ne sont pas responsables des futures explosions des impôts pour ceux qui sont au bas de l’échelle des rémunérations.

La victimitude tend à devenir la référence du système en place pour lequel le gouvernement se dissimulera afin de se préserver tout en enfonçant un peu plus la France dans les abîmes et en affirmant que ce n’est pas de leurs fautes.

La victimitude est la solution prise par les acteurs du système éducatif pour justifier les errances, les incompétentes et les impostures de la didactique au mépris des compétences pédagogiques. Il est vrai que pour faire de la pédagogie il faut pratiquer ce qui dans l’intellectualisme de fond de cuvette n’existe pas : l’expérience, ceux qui mettent les mains dedans n’existent pas pour l’éducation.

La victimitude est bien là. Nous les citoyens nous allons encore subir les affres de cette perversion.

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14 juin 2012 4 14 /06 /juin /2012 16:11

Le fond des abîmes est là : exister à tout prix. Pour y parvenir, l’imposture, s’appuie, est soutenue par les médias qui déploient un génie inventif innovateur pour que la candidate soit malgré la situation élue aux législatives.

La France est malade de la démagogie. L’ignorance inculquée par l’éducation nationale fait que la démagogie qui mena les Grecs aux tréfonds est devenue si criante que les médias, vecteurs de la médiatico-démagogie s’échinent à faire en sorte que leur copine se fasse élire, là, où elle ne devrait pas être, puisqu’il y a d’autres personnes du cru.

La France est vérolée par les clientèles, le clientélisme, les réseaux et les appartenances. La preuve par les faits est là, devant nos yeux nous avons des appareils politiques qui font la négation des citoyens, qui méprisent tout ce qui ne vient pas de leurs rangs et qui écrasent sans conscience l’émergence et la diversité.

La France est gangrénée par des idéologies pour lesquelles les français, citoyens, doivent laisser leurs places aux autres parce qu’ils sont de l’immigration. Les citoyens français doivent accepter que des personnes qui n’ont pas la nationalité française bénéficient de l’aide médicale alors que le citoyen qui travaille ne parvient pas à ce faire soigner les dents.

La France est syphilisée par des illusionnistes qui donnent tout à leurs clientèles et ne laisse que du vent aux citoyens. Ces porteurs de syphilis virulente sont légion, nous les trouvons dans les partis qui ont pour finalité de donner du rêve et rien d’autre aux français qui espèrent pouvoir travailler.

La France est violée par des prétendus intellectuels, qui par leur infaillibilité et leur suffisance le tout étayé par des méthodes des plus discutables ayant élevé la philosophie au rang de science, ont gommé la simple idée d’être français. Cette violence sexuelle qui bafoue toutes les valeurs de la République devient les normes de quelques appareils politiciens.

La France subie des abus sexuels en tous genres. Déversoir des rancœurs, des animosités et des lâchetés de tant de penseurs qui ne voient pas plus loin que l’intérêt de leur gamelle en ignorant le coût et les coups pour les citoyens, ceux qui font la France.

La France est rongée par l’imposture du rêve. Les illusionnistes donnent à Pierre et à Paul mais ignore que Suzanne et Amélie sont dans une misère noire simplement parce qu’elles n’appartiennent pas au cœur des idéaux électoralistes de l’immédiateté médiocratique.

La France est assaillie par le mérycisme pratiqué dans les prétendues grandes écoles, pour lesquelles le pavlonisme est une norme intellectuelle majeure, où le bachotage est la démonstration d’un élitisme à toute épreuve. La France n’est plus en mesure de supporter les errances des énarques et autres inquisiteurs qui ne servent que leurs carrières.

La France est ébranlée par le cursus honorum impératif pour exister en France. Parfois le système fait émerger un cas ou deux par génération pour légitimer l’action et justifier l’existence des réseaux, des arrangements et des clientèles.

La France n’a plus qu’une main hors des abîmes. Tout le reste s’enfonce parce que des illusionnistes préfèrent construire une imposture médiatique pour soutenir une candidate plutôt qu’avoir le courage de prendre en considération les citoyens.

La France avec son système éducatif où l’on ne se soucie pas de savoir si les élèves sont en mesure de restituer, mais où l’on exige que les élèves apprennent à la maison, de cette manière ses sont les parents qui font la classe, subie des abus sexuels de toutes parts, du fait des lâchetés des décideurs.

La France à un besoin immédiat que les responsables mettent un terme à ces errances, et que par exemple Peillon prenne son courage à deux mains et qu’il aille chercher des empêcheurs d’illusionner en rond… ça j’en doute, il va servir ses clientèles… tout comme son patron qui le pratique dans les actes à l’image des responsables de son parti… Inquiétudes... !

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10 juin 2012 7 10 /06 /juin /2012 09:34

L’idée de l’assistant de prévention et de sécurité mérite une attention particulière. Prendre en considération la violence dans les établissements scolaire est une bonne chose, mais hélas, l’aveuglement et l’infaillibilité demeureront.

Ce projet s’attaque à la violence signalée. La violence non signalée celle que les adultes ne voient pas est à nouveau ignorée par ces propositions. La violence n’est pas simplement l’acte perpétré est ce qui permet qu’il puisse être produit.

La violence à l’école peut émerger en n’importe quel lieu. La place de l’adulte doit être permanente. Il est impératif que les élèves perçoivent que cet assistant n’est pas qu’un pion, un chien de garde qui aboie sur les actes qui peuvent mener à des violences.

La violence s’anticipe en mettant des adultes qui sont en mesure d’aider les élèves, de produire du soutien scolaire, d’être présent sur la journée, d’être des interlocuteurs. Mais, et ça les imposteurs en place ne le feront jamais que l’adulte dans ce rôle soit correctement rémunéré. On ne peut pas mettre un assistant de prévention qui remplit se rôle au smic.

La violence exige que soient recrutés des personnes avec de l’expérience, du vécu, et un fond de culture afin d’instruire et d’éduquer les élèves, de leur montrer que le monde ne tourne pas autour de leur nombril. La violence réclame des intervenants qui ont fait autre chose que lustrer les bancs des universités.

La violence est un fléau qui provient de la facilité de la perpétrer. La violence non signalée a été exposée par Brun-Picard Yannick à Montréal en 2010, les auditeurs ont dit que cela n’existe pas. Pourtant, dans les toilettes de nombreux établissements, des jeunes filles sont forcées de pratiquer des fellations collectives et d’autres subissent des assauts en toute impunité.

La violence n’est pas ce que l’on constate, c’est bien autre chose. Pour répondre à cette violence l’assistant de prévention devra être dans la cour, dans des salles avec de petits groupes pour produire du soutien scolaire orienté et canalisé, et être un interlocuteur, une articulation entre le CPE, les pions, les enseignants et l’administration.

La violence réclame, exige que les institutionnels descendent de leur piédestal et qu’ils acceptent que des adultes viennent mettre leur vécu, leur expérience et leur diversité dans les miasmes de l’éducation nationale. Je doute fermement que le monde éducatif, dit éducatif accepte que des adultes viennent secouer et démontrer leurs incompétences.

La violence réclame que des personnes hors de la normalité avec des biscuits au niveau de la formation viennent secouer le cocotier. La violence ne se gère pas en copain, en appartenance au groupe, ou en statut d’étudiant ou de jeune des minorités. Ce ne sont que des pansements sur une jambe de bois.

La violence scolaire exige que des acteurs soient présents du matin 7h30 à 17h30, qu’ils soient dans les bâtiments qu’ils soient aux côtés des élèves et qu’ils canalisent les centres d’intérêts et surtout qu’ils mettent en perspectives les potentialités offertes par l’acquisition d’une instruction correcte et suffisante pour construire son avenir.

La violence scolaire exige que le ministre ait suffisamment de courage pour recruter des intervenants avec des salaires dignes, des statuts cohérents, des rôles définis, des capacités visibles. Pour l’heure il apparait que les propositions ne seront que du recrutement de jeunes qui en feront que donner l’illusion et n’iront pas au fond du problème, à l’image de tout ce qui a été produit jusqu’à lors.

La violence scolaire exige que les décideurs prennent conscience que la réalité est plus noire que ce que les violences signalées laissent paraitre.

La violence scolaire exige que l’on cesse de se gargariser avec des chercheurs qui ne font que chercher ce qui sert leur fond de commerce. Elle exige que le ministre aille chercher des personnes qui mettent les mains dans la réalité. Ceux-là n’appartiennent pas aux réseaux, aux cursus et aux clientèles.

La violence scolaire n’est que la reproduction de la violence ostentatoire que les prétendues élites, autres institutionnels et décideurs projettent contre tous ceux qui ne sont pas dans la normalité et qui démontrent les profonds dysfonctionnements du système éducatif.

Ça ne sera que du vent !

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9 juin 2012 6 09 /06 /juin /2012 15:30

De la violence s’abat en flots continus sur nos écrans, dans les colonnes ou dans les journaux. Chaque jour de nouvelles violences viennent heurter notre quiétude.

La violence du dépeceur qui veut devenir célèbre en détruisant la vie d’autrui, est une violence gratuite, un paroxysme à la bêtise, à l’ignorance et au culte de l’image que les médias s’évertuent à diffuser sur l’autel de l’information.

La violence sexuelle que subissent les prostituées qui se font chasser alors qu’aucun politique n’a le courage de proposer des lois satisfaisantes pour protéger les travailleuses du sexe tout en faisant en sorte d’éradiquer les maquereaux sans ménagement.

La violence des conflits armés où en Afghanistan la France vient de perdre à nouveau quatre soldat sur l’autel de la cupidité, de l’ignorance des réalités de ce pays, l’ignorance de ce qu’est une interface humanité/espaces terrestres, l’ignorance sur ce que sont des territorialités. Dans les boites pavloviennes on n’étudie pas les théories des territorialités de Brun-Picard Yannick, car c’est trop dangereux pour les prétendues élites.

La violence de l’école, de l’éducation nationale, et de l’ignorance de ce que sont les enfants, des besoins, de leurs phases de développement et de leurs capacités. Ignorance grandissante puisque toute la violence de la didactique et de ses errances médiocratiques mène le système éducatif là où il se trouve : au fond des abymes.

La violence des politiques qui n’ont pas la décence et la dignité de répondre aux courriers et qui ne font que vendre du rêve, c’est ce qu’a dit François : je veux faire rêver. Toute la violence du mépris est là devant nos yeux : on nous donne l’illusion de prendre en considération les citoyens, mais en réalité, comme sous Sarko se sont les clientèles qui sont servies en premier lieu.

La violence que l’on trouve dans l’école où l’on voit des enfants d’à peine dix ans se ruer sur d’autres à grands coups de pieds et de poings simplement pour affirmer sa domination, son statut, et qui démontre l’absence de référence et pire encore l’absence d’adulte pour veiller à ce que ces violences n’existent pas dans l’école.

La violence de l’imposture du Bac-à-sable dans lequel l’Etat engloutit des milliards pour rien du tout que l’illusion d’être au niveau alors que ce n’est qu’un système pavlovien. La violence est si grande qu’elle en devient ostentatoire, voir sur ce thème à nouveau Brun-Picard Yannick et la communication qu’il a produit à Montréal en mai dernier.

La violence de la fonction publique qui ne veut pas se réformer, qui est tellement imbue de son infaillibilité qu’elle préfère avoir des chefs brasseurs d’air plutôt que de payer avec des salaires dignes ceux qui font le travail. Là c’est la violence de l’incompétence et de la négation du service de la nation qui est démontrée.

La violence est là et aucun responsable, ou du moins prétendu responsable, puisqu’il n’y a pas de sanction lorsque leur incompétence devient visible au grand jour, n’est en mesure de la percevoir. Cette violence est normale puisqu’ils apprennent dans les boites à cursus honorum qu’il faut se livrer à cette forme de violence pour être calife à la place du calife.

Cette violence normalisée par l’ignorance, la cupidité et l’infaillibilité des prétendues élites nous mène au fond du gouffre. Que dire de la violence de l’absence de démocratie réelle en France puisque si l’on n’appartient pas aux cercles principaux du pouvoir nous ne pouvons pas nous exprimer et seules les paroles émanant des structures institutionnelles ont tous les droits.

La violence est telle qu’elle oublie ce que Platon nous disait au sujet de la tyrannie…

La première violence est alors l’ignorance …non ?

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9 juin 2012 6 09 /06 /juin /2012 08:32

Des rafles dignes de celle du Vel d’hiv viennent d’alimenter les médias. Des réseaux de prostitution ont été égratignés et des prostituées arrêtées. La communication bat son plein.

Néanmoins, la prostitution est toujours et encore au même point. Nous avons des réseaux qui proviennent de l’est, de l’Asie et du centre de l’Europe qui alimentent les bords des routes et mettent les filles en esclavagisme sexuel.

Les prostituées sont présentes dans les mêmes lieux. Elles se répandent aux portes des écoles, à proximité des centres commerciaux à l’entrée des zones industrielles. Ces faits indubitables ont été démontrés par Brun-Picard Yannick.

Les prostituées, afin de gagner en sérénité, prennent possession de l’interface ruralité/urbanité. Ce n’est pas une nouveauté. Avec leurs camionnettes, et leurs voitures elles tiennent les points névralgiques à la pratique de l’activité tarifée. Il est vrai que dans le Var elles se font plus discrètes.

La prostitution est une violence faite aux filles, au moins au trois quart d’entre elles, qui sont soumisses par la force à des maquereaux dont la seule finalité est de faire du fric. Les filles et les garçons sont écrasés par le joug du client, surtout celles et ceux qui sont sur le bord des routes.

Ces prostituées sont déposées au matin par les souteneurs et surveillées afin d’évaluer le nombre de passes. Le soir venu ils les jettent au centre ville à Canne voir à Nice afin de remplir un peu plus leurs poches. Elles, elles n’ont eu que le temps de se rincer les fesses, et encore !

La prostitution semble être un mal nécessaire. Il faut dire que les médias mettent en avant des comportements féminins pour lesquels donner ses fesses et sa bouche pour avancer socialement est une norme et pour d’autres une obligation de la position horizontale. Cette forme de prostitution sociétale cette violence faite aux femmes voire parfois aux hommes semble ne déranger personne.

La prostitution est un exutoire pour ceux qui ne peuvent avoir de rapports sexuels, ils y trouvent un semblant d’existence. Mais elle donne aux jeunes filles des modèles effrayants car pour elles se promener en tenue incendiaire est normal et lorsqu’il y a des problèmes pas de responsabilités.

L’éducation nationale, l’enseignement, ne tient pas sa place et son rôle. La prostitution devient une normalité des la perversion sociétale dans laquelle la toute puissance de l’argent est la seule légitimité. La prostitution donne l’image de la liberté : je donne mon corps à celui qui paye le plus et je peux faire payer ce que je veux, ensuite je vais me laver les fesses et c’est fini !

Tant que l’administration française refusera de concevoir que la prostitution a des dynamiques de territorialisation, qu’elle s’approprie l’interface ruralité/urbanité et qu’elle constitue des interfaces humanité/espaces terrestres dans lesquelles les clients, les maquereaux, les filles et les supports s’imbriquent, rien ne changera.

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8 juin 2012 5 08 /06 /juin /2012 17:27

La démocratie est malade des démocrates. Si nous sommes en démocratie tout le monde à le droit et le devoir de pouvoir s’exprimer. Le comportement de la dictature politicienne démontre le contraire !

La démocratie, normalement, fait en sorte que même ceux qui ne représentent qu’une infime partie des orientations des pensées et des aspirations d’une nation puissent présenter leurs propositions en toute quiétude sans que des assoiffés de cumuls de mandats et de pavlonismes ne se jettent dessus.

La démocratie, impose, normalement, que chaque citoyen qui a respecte les règles de la République puisse s’exprimer sans être dénigré, insulté et détruit par des bien-pensants sortis des cursus honorum et autres clientèles.

La démocratie, permet, que dans le respect de la loi, de la laïcité et de la République aucune mouvance, aucune obédience, aucune religion, nuise à l’expression de la démocratie. Elle fait en sorte que ceux qui vivent selon les règles de la nation puissent vivre en sérénité.

La démocratie, exige que les politiques œuvrent pour le bien des citoyens, que les efforts des élus aillent vers les citoyens et non en direction du cumul des mandats, des arrangements clientélistes et de la chasse aux sorcières.

La démocratie, exige que le président réponde aux citoyens dans les délais les plus courts. Elle exige de ne pas être bafouée, foulée aux pieds par le mépris dont Sarko l’a inondée. Elle exige que le président ouvre les yeux et ne servent pas ses cercles d’influences.

La démocratie, exige que le pouvoir, les élus, aillent chercher des cerveaux, des penseurs, et des empêcheurs à se palucher en rond, pour faire avance la société. Elle exige que l’on mette un terme immédiat aux potentats, aux clientèles et aux réseaux qui font, notamment sous le sarkozysme ceux qui n’appartenaient pas n’avaient rien. Sous François ça va être la même chose ? Il semble que oui, puisque les réponses ne sont toujours pas là…

La démocratie, réclame : intégrité, équité, altruisme, abnégation, persévérance, détermination, engagement… que des paroles qui n’apparaissent même pas chez les politiques qui préfèrent leur cumul de mandat que servir réellement la nation qui les a élus.

La démocratie, réclame que le président, que les ministres ne fassent pas que brasser de l’air et qu’ils secouent réellement ce qui ne fonctionne pas. Elle réclame que l’on cesse de faire plaisir aux bouffons qui ont les fesses posées sur leur fauteuil universitaire et qui ne font que servir que leur intérêt et non celui de la nation.

La démocratie, réclame que le président ait suffisamment de courage pour reconnaitre les errances des administrations qui se contentent de la normalité et ne peuvent pas supporter que l’on ne provienne pas du même moule. Elle réclame que les élus aient le courage de prendre à leur service et par extension au service de la nation des non formatés, des hors de la normalité.

La démocratie ne peut vivre que par le courage des élus, et du premier des élus : le président de la République. Faut-il qu’il ait le courage de concevoir que le système est perverti et qu’il est impératif de mettre d’autres regards dedans pour mettre un terme aux profonds dysfonctionnements ne serait-ce que dans l’éducation nationale.

La démocratie est-elle présente ? Au regard de ce qu’il se passe : j’en doute fermement !

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28 mai 2012 1 28 /05 /mai /2012 16:45

Les enseignants ne sont que très peu, trop peu remplacer dans l’éducation nationale, c’est une évidence que tous les élèves peuvent relever. Mais, dans les établissements où la prétendue élite est pavolnisée là, il n’y a pas de problème.

Les enseignants arrivent à peine à faire des cours de qualité malgré les moyens de projection existants, les supports pédagogiques accessibles et la masse de ressources. Ils n’ont pas le temps de préparer correctement, d’être à l’écoute des élèves de faire le job et d’être au service des élèves.

Les enseignants pour certains inspecteurs devraient remplacer au pied levé les absents alors qu’ils ne parviennent pas à gérer leur propre programme et qu’ils ne font pas les efforts pour structurer leur cours en 36 séquences puisqu’il n’y a que 36 semaines d’enseignement.

Les enseignants, en revanche, donnent des cours particuliers dans nombres de boites à bac-à-sable et autres officines pour lesquelles la dégénérescence du système éducatif est du pain béni. Ils se dissimulent derrière les errances et les dysfonctionnements afin de ne pas avoir trop à en faire.

Les enseignants devraient, doivent, exiger que des assistants d’éducation soient recrutés avec un niveau scolaire suffisant pour faire des remplacements là où cela est nécessaire. Salaire de base 1300 euros net, et ensuite en fonction des remplacements les heures effectuées sont indexées pour être rémunérées au tarif des enseignants.

Les enseignants devraient exiger que ces contractuels affectés dans un établissement soient reconnus comme des indispensables au bon fonctionnement. Cela imposerait de gérer les absences et de faire en sorte que les services des rectorats fassent le job en se souciant des élèves et non des budgets. Ainsi il y aurait un adulte avec un bagage suffisant pour faire du soutien aux élèves d’un établissement et lors de remplacements pas de soucis il se rend dans un autre établissement.

Les enseignants ont le devoir…valeur qui tend à disparaitre dans les actes, de faire en sorte que des remplaçants soient présents. Ils ont le devoir de forcer les imposteurs à agir. En supprimant les impostures qui coûtent des sommes considérables il y aurait au minimum 1600 assistants d’éducation en mesure d’être employé avec un salaire digne et cela en demeurant contractuel.

Les enseignants ont le devoir d’exiger ces réformes qui ne sont que de la gestion pour le bien des élèves. Mais là il faudrait admettre que des assistants d’éducation titulaires d’un doctorat, ne pouvant entrer dans la normalité, viennent enseigner ponctuellement lors des remplacements. Cela implique qu’ils considèrent le remplaçant. Là je rêve ! Pour l’avoir vécu !

Les enseignants sont responsablesdes mauvaises gestions. Sachant que les inspecteurs ont été des enseignants, nous comprenons pourquoi ce ne sont que des listes de qualifications qui sont retenues et non des recrutements qui permettraient l’émergence de gestions au service des élèves et non des arrangements au service d’une caste.

Peillon et son parton François ont du travail. Le tout est de savoir s’ils veulent vraiment agir. S’ils ont le courage de mettre en place ce système qui ferait travailler les rectorats au service des élèves. S’ils sont capables de faire autre chose que du Sarko. Pour l’heure, ils ne font que du Sarko. Nous sommes encore dans les effets d’annonce et de rêve.

Alors : courage ! Il est temps de secouer le mammouth… C’est une autre histoire, n’est-ce pas ?

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27 mai 2012 7 27 /05 /mai /2012 08:09

Là nous sommes face au système et surtout devant les personnes qui le font. L’infaillibilité, la suffisance et le dédain, des titulaires de normes de nivellement font que tout ce qui ne provient pas du système n’est pas toléré. Tant que des petits chefs imbus de leur statut géreront le devenir de l’enseignement national en fonction de leur idéologie et non en fonction de l’avenir des élèves rien ne changera.

La France souffre de la toute puissance du mode de recrutement des enseignants, du mode de formation et surtout de l’absence de sanction quand ils ne font que brasser de l’air. Hélas, nous avons trop de titulaire des fameux fumeux concours qui sont incapables de faire autre chose que de la didactique et qui sont totalement ignorants de ce qu’est la pédagogie.

En France nous avons des prétendues sciences de l’éducation qui se gargarisent de didactiques et qui sont dans l’incapacité de faire en sorte que les enseignants adaptent en temps réel leur production, car cela est un acte pédagogique.

En France, nous avons des personnes qui sont recrutées par concours nationaux mais qui ne sont là que pour la gamelle. Nous avons des agrégations et autres hors classe, des personnes si brillantes que normalement le niveau de formation et d’acquisition des élèves devrait être l’un des meilleur du monde. Il n’en est rien, bien au contraire.

En France nous avons 80% d’une classe d’âge au bac-à-sable, et après ? Rien du tout. A force de vouloir tout faire, plus rien n’est fait. On donne l’illusion, on colmate, on pratique le misérabilisme, on fait du social de dissimulation, et dans tout ça on oublie que l’enseignement exige de la pugnacité, des références et des règles.

En France nous avons des ministres, et un ministre : Peillon qui est en place, qui se dissimulent derrière ce qui existe pour ne pas mettre des docteurs qui font les auxiliaires de vie scolaire car le système ne veut pas d’eux comme l’un des rapports tenus sous silence le démontre. Ils prétendent que cela va changer, mais rien ne sera modifié.

En France les tenants du système ont inconsciemment conscience de leurs incompétences et font tout pour que rien ne change et que les modes de recrutement restent attachés à un pavlonisme inertiel et rétrograde car il donne l’illusion d’avoir des brillantissimes en place. Ce qui n’est pas le cas au regard des résultats des élèves qui leurs sont confiés.

En France nous voulons obtenir sans avoir à forcer, ou simplement en satisfaisant à des normes de recrutement totalement obsolètes et destructrices car seule l’illusion demeure. Nous voulons des écoles efficaces mais les parents ne veulent pas de la semaine de cinq jours. Alors que les enfants devraient l’avoir pour être plus efficaces.

La France souffre de son système éducatif qui fait la négation du vécu pour sombrer dans la médiocratie philosophique de l’intellectualisme et du gargarisme du bachotage. Aucun politique n’aura le courage d’agir que ce soit Hollande ou Peillon : ils feront du vent !

La France est malade de son système d’enseignement parce que ceux qui sont en place, les institutionnels sont trop lâches pour mettre en place les réformes indispensables au redressement. Il y a loin de la parole aux actes. Il y a encore plus de distance du rêve que l’on donne aux Français aux décisions d’épuration d’un système d’enseignement vérolé.

La France et son école sont en très mauvais état, les politiques et les institutionnels préfèrent demeurer dans l’illusion communicationnelle plutôt que mettre en place les contraintes nécessaires pour tendre vers plus d’efficience.

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25 mai 2012 5 25 /05 /mai /2012 16:05

L’intellectualisme rampant qui vérole les universités et qui a été dépeint sous une forme digérable par Freitag est devenu si présent que l’inquisition est une normalité des universités dites des sciences humaines.

Un système voilà ce qu’est l’inquisition. Depuis des décennies elle se répand, gangrène et ébranle les productions dites universitaires qui devraient avoir pour objectif et finalité de faire avancer notre maîtrise du monde, nous en sommes très loin.

Tout ce qui ne convient pas aux institutionnels est détruit. Tout ce qui n’est pas dans la ligne de la norme de pensée est éradiqué. Tout ce qui met en évidence des problèmes inaccessibles aux institutionnels est occulté. Tout ce qui expose des dysfonctionnements et atteste d’incompétences est enterré. Tout ce qui ne pratique pas la gnose, l’exégèse et la compilation intellectualiste est refusé. Tout ce qui démontre que nous pouvons accéder à la réalité autrement et être plus efficace est décrier et ridiculiser.

L’inquisition ne peut pas tolérerque ceux qui se trouvent hors du système, hors des cercles et hors des appartenances puissent penser. Pour l’inquisition il n’est pas concevable que des mécréants qui ne satisfont pas à la norme puissent être plus efficients. L’inquisition ne peut pas accepter la différence et la diversité sauf si elle sert des idéaux et préserve sa main mise sur les nominations et les publications.

L’inquisition par lâcheté, incompétence et suffisance, j’oublie l’infaillibilité des pairs se dissimule derrière des règlements qui font que ceux qui sont hors du réseau ne peuvent pas publier. L’inquisition fait tout son possible pour que rien hors de sa production ne puisse voir le jour.

Certains diront à grand renfort de témoignages et de prétendues légitimités que les revues à comité de lecture sont intègres. Dernièrement dans une revue, de niveau 1, international, un article des plus dérangeants a disparu du circuit d’évaluation, bien que son auteur ait reçu un récépissé de réception. Il démontrait que des prétendus chercheurs universitaires en poste dans des universités françaises s’étaient fourvoyés et que chaque jour leurs analyses et orientations produisent de la négation du territoire en étant incapables de sortir de leurs dogmes, de leurs croyances et de leurs appartenances.

L’inquisition est là. Elle impose les textes de référence. Elle fait en sorte que tout ce qui n’est pas dans la mouvance ne puisse pas voir le jour par des pressions habiles d’un côté et de l’autre. Elle se légitime par des intellectuels de haut vol qui prétendent servir l’évolution du savoir. Elle est la technique pour se faire connaître en écrasant tout se qui démontre que l’institution est un bouffon.

L’inquisition intellectuelleest celle qu’ont vécu Harrison, Stephenson, ou encore Einstein. Bien que pour ce dernier cas, heureusement que Planck a fait preuve de son génie en soutenant les publications. Vous me direz que c’était un autre monde. La dignité, la décence et l’intégrité étaient des valeurs encore relativement présentes.

Aujourd’hui si un producteur de textes, d’analyses, et de projections, démontre sans détours que ce que l’on fait nous mène droit dans le mur : il est mis au silence. Aujourd’hui, si l’on n’appartient pas à un réseau, à un cercle ou à une clientèle il est impossible de publier. Aujourd’hui, des imposteurs dissimulés sous une méthodologie de fond de cuvette tiennent le devant de la scène prétendument intellectuelle. Seuls ceux qui lèchent le système parviennent à publier sans que l’on se soucie des potentialités détruites par bêtise, jalousie et surtout par ignorance.

Les maux de l’inquisition contemporainesur la production des connaissances et des savoirs en sciences humaines sont les mêmes que ceux qui ont été perpétrés par les inquisiteurs religieux. La religion du profit, de la suffisance et de l’infaillibilité fait que ceux qui ne sont pas dans le moule sont éradiqués. L’inquisition produite par la pairs qui ne peuvent pas voir l’émergence de pensées plus performantes que la leur font tout pour que des blablateurs publient et produisent du mérycisme à courte vue afin que leur prestige demeure. L’inquisition intellectuelle actuelle propagée par les imposteurs intellectuels du monde universitaire mène le savoir vers les abysses.

L’ignorance d’un système médiocratiqueest si éclatante que l’on oubli que le savoir n’est pas figé, qu’il doit évoluer et qu’il doit faire avancer les frontières de la cognition. Les deux jambes de l’université francophone sont pour le moins l’inquisition et la médiocratie, les bras sont l’infaillibilité et la légitimité, et la tête mélange la mémoire sélective, la lâcheté et l’intellectualisme.

L’inquisition récite les textes par cœur. Elle fait appel massivement à la littérature. Elle se réfugie derrière une multitude de références et autres justifications en tout genre. L’inquisition justifie toutes ses errances par le simple fait que ceux qui la pratiquent sont en place. L’inquisition intellectuelle mine la production des savoirs afin de préserver les castes et les clientèles. L’inquisition se développe dans l’ignorance. Dieu sait si nous sommes ignorants !

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20 mai 2012 7 20 /05 /mai /2012 08:20

Cette définition de la violence a été prise à Yannick Brun-Picard. Il l'a proposé lors de différentes communications effectuées lors du congrés de l'ACFAS en mai 2012 à Montréal.

 

 

Violence :

 

La violence est de contraindre, soumettre ou réduire par la force, l'oppression ou la coercition tout être vivant, cible ou objectif, à faire, agir ou se plier, contre sa volonté, sous les coups, les actes ou les paroles d'un individu, d'une équipe ou d'un groupe. La brutalité physique, cognitive ou virtuelle mise en œuvre pour neutraliser, dissuader, conquérir, harceler et détruire peut être invisible pour l'observateur, ou à l'inverse, un mode de communication, d'expression et de publicité pour les diffuseurs de l’acte.

 

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