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13 janvier 2012 5 13 /01 /janvier /2012 16:04

Est une dégénérescence du système éducatif, des structures d’enseignement, de la finalité de l’éducation et surtout des tares principales de l’individualisme forcené, de l’infaillibilité, de la suffisance et de l’appartenance aux cursus normalisants.

Ceux qui souffrent de ce syndrome sont dans l’incapacité de reconnaitre, de percevoir, de valider, de cautionner et de soutenir tout ce qui ne provient pas des réseaux, des appartenances et des clientèles. Ces personnes sont prêtes à restreindre des potentialités et des perspectives, voire à les détruire, spécialement lorsqu’elles font émerger un individu hors de leur emprise, afin de préserver leur rang, leur revenu et leur hégémonie sur un système frappé d’obsolescence.

Ces personnes ont satisfait à une norme et ne peuvent pas concevoir, n’ont pas l’intelligence d’admettre que l’on peut être performant sans pour cela sortir d’une boite pavlovienne. Elles sont si imbues de leur réussite, de leur faculté au mérycisme, ainsi qu’à une forme d’intelligence prédigérée, qu’elles ne peuvent pas concevoir l’inné.

Ce syndrome dans l’enseignement, est alors porteur de cupidité, de lâcheté, d’absence d’intégrité et d’étique. Sous le couvert d’une méthodologie de filiation, d’appartenance et de clientèle, la suffisance et l’infaillibilité deviennent éclatantes. Ces sommités font tout leur possible pour que rien ne provienne hors de leurs réseaux. Elles verrouillent tout. Seuls ceux qui passent dans les réseaux, dans les clientèles peuvent alors être validés et publiés.

L’enseignement et l’éducation souffre du syndrome Velpeau, du nom de ce prestigieux chirurgien qui fut ouvrier ferronnier avant qu’un médecin, un vrai médecin intellectuel, pris en considération les capacités visibles de ce paysan pour lui mettre le pied à l’étrier et le soutenir dans son travail acharné vers l’excellence. Aujourd’hui cela n’existe pas.

Les prétendues élites, ces intellectuels et autres universitaires font tout pour que ceux qui ne pensent pas dans les rails de la pensée unique soient ostracisés. Preuve en est : qui a pu lire les travaux de Brun-Picard Yannick sur les violences scolaires ? Sur la violence ostentatoire ? Sur le syndrome Velpeau ? Sur la pédagogie différenciée ? Sur les dynamiques de la prostitution dans l’interface ruralité/urbanité ?

Personne ! Tu m’étonnes Charles ! Les prétendus intellectuels craignent que la multitude puisse prendre conscience de leur incompétence. Il ne faut pas pour les personnes souffrant du syndrome Velpeau que ceux qui n’ont pas suivi le cursus de la normalité, des appartenances et des clientèles puissent publier. Regardez autour de vous, vous allez voir que nombre de docteurs en sciences humaines ne peuvent pas publier car les systèmes ne veulent pas voir la réalité. Ils ne s’attachent qu’à la vérité en exigeant des méthodes qui ne satisfont que leur nombril. Il est vrai que très souvent, trop souvent il y a beaucoup de vent et que de docteurs sont de beaux parleurs.

En revanche il existe des empêcheurs de tourner en rond qui nous rendent la réalité accessible. Mais, la réalité est dérangeante surtout en sciences de l’éducation où seuls les institutionnels ont raison même si l’état dans lequel se trouve l’éducation nationale est déplorable, ce qui est dû à leur incompétence à lire le monde tel qu’il est.

Le syndrome Velpeau dans sa mise en œuvre fait que ceux qui sont en place chasse toute émergence de peur que les nouveaux esprits qui ne sortent pas des boites à pavlonisme le bottent le cul. Il va bien falloir que ça arrive car les sociétés se désagrègent à cause de tous ceux qui sont attient du syndrome Velpeau.

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11 janvier 2012 3 11 /01 /janvier /2012 15:35

A nouveau je me penche sur les violences ostentatoires. J’ai déjà envoyé des assauts plein de fiel sur ce thème et malgré cela je prête encore une attention soutenue à ce concept de violence ostentatoire. Il faut dire que la situation politique du moment avec la scorpionite donne à ce concept toute sa dimension.

Brun-Picard Yannick a exposé, démontré et théorisé ce qu’est la violence ostentatoire. Ce n’est pas dans ces quelques lignes que je vais vous « macéscaroné » ces travaux qui ne parviennent pas à être publiés car trop dérangeants pour tous ceux qui refusent de voir le monde tel qu’il est, et non tel qu’ils veulent le voir.

La violence, la démocratie, la religion, la politique, la société et les territoires, les mosaïques de territoires identitaires fondés sur des dynamiques de territorialités identitaires vectrices de sanctuaires de violences sont autant de faits indubitables devant lesquels nous ne pouvons, aujourd’hui, plus fuir par lâcheté idéologique et technocratique.

Notre humanité à le devoir de regarder ce que nous faisons de l’humanité pour satisfaire quelques travers d’une humanité manipulatrice. L’humanité à le devoir d’agir, de lutter et d’éradiquer les violences ostentatoires. Il est vrai qu’à partir de l’instant ou l’autorité d’un enseignant est considérée par des bouffons de prétendus intellectuels comme une violence il est impensable d’endiguer les dynamiques territoriales des violences.

Les violences ostentatoires sont ces formes de violences qui nous semblent normales au chapitre desquelles : la condescendance politicienne, les marquages territoriaux des établissements de luxe, les prières de rue, les obligations impératives d’interdictions pour qu’une minorité de nantis puisse s’approprier l’espace public au détriment de la multitude comme dans certains lieux sur la Côte d’Azur, le sectarisme de castes mis en place par l’appartenance à des cursus de reproduction sociétale. Il y en a encore nombre de formes.

La violence ostentatoire, chère à Brun-Picard Yannick, dégouline dans les rues françaises, s’immisce dans les failles sociétales au détriment des citoyens, capte les territoires publics au profit de quelques escrocs profiteurs, expose des richesses acquises sur le dos des travailleurs, légitiment toutes les formes de violences silencieuses auxquelles sont soumises les populations qui n’appartiennent pas aux classes dites supérieures. La violence ostentatoire est l’étalage du luxe, de la surenchère de protection, de cercles de clientèles autour du prince qui se déplace avec sa meute de soiffards et spoliateurs.

La violence ostentatoire, dans ses expressions territoriales, dans les sanctuarisations qu’elle engendre, dans les dynamiques de territorialités identitaires, objet des travaux de Brun-Picard Yannick sur les violences urbaines et sociétales, révèle une multitude de visages. Tous produisent les mêmes effets : expulsion, rejet et ignorance de ceux qui n’appartiennent pas aux clientèles au pouvoir.

La violence ostentatoire aura d’énormes difficultés à obtenir une écoute, une reconnaissance et une large diffusion, car les prétendus universitaires porteurs et diffuseurs de formes de violences ostentatoires, ne peuvent pas admettre qu’un empêcheur de tourner en rond leur mettent le nez dedans. En percevant la réalité de l’existence de cette forme de violence, la violence ostentatoire devient un outil de perception, d’analyse, de compréhension et d’explication des structures géosociétologiques de nos sociétés.

A nouveau une pierre d’achoppement il faut parvenir à faire admettre aux prétendus universitaires, que la géosociétologie est un domaine scientifique appartenant à la géographie, que la géographie est une science qui nous informe des réalités des dynamiques territoriales et surtout que son objet est l’interface humanité/espaces terrestres. Pourtant la violence ostentatoire est visible à chaque coin de rue, elle tend à se densifier, elle est soutenue par ceux qui n’ont que ce vecteur pour préserver leurs privilèges. Preuve en est de leur tour d’ivoire le dédain au sujet de la violence ostentatoire tout en faisant œuvre de violence ostentatoire ! Trop facile !

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8 janvier 2012 7 08 /01 /janvier /2012 09:13

Nous touchons les tréfonds de la démagogie la plus perverse, la plus manipulatrice, la plus dégradante de l’ère du Sarkhollandisme. Nous sommes en pleine phase de surenchère d’annonces totalement irréalistes. Nous avons des imposteurs qui haranguent les foules en affirmant que lorsqu’ils seront président ils feront en sorte de rendre du pouvoir d’achat et de faire baisser la dette du pays.

Nous atteignons des sommets de fumisteries et d’impostures intellectuelles. Ils ont bien été formés dans les universités pavloviennes où l’on prétend qu’il faut partir du document pour faire son cours. L’incompétence et l’ignorance du monde des adolescents et du monde réel sont si éclatantes que nous sommes aveuglés par des paroles de tribuns de maternelle.

La France a les caisses vides. C’est vrai Sarko n’a rien entrepris pendant quatre ans pour réagir. Il est vrai aussi que les potes à François sont tellement lâches qu’ils se sont dressés contre toute tentative de résorption de cette dette car il ne fallait, il ne faut pas toucher au confort et aux acquis. Maintenant la France en a jusqu’au cou.

La démagogie politicienne est une insulte aux citoyens. En effet, comment peut-on prêter caution à un démagogue qui affirme qu’il va faire ceci ou cela alors que les 35 h ont coûté à la France plus de 450 milliards d’euros depuis bientôt dix ans ? Impensable ! Comment donner quelque crédit à Sarko qui ne fait rien pour préserver les travailleurs précaires mais soutient les chômeurs qui travaillent au noir ? Tout aussi impensable !

Nous avons deux esbroufeurs de classe intersidérale qui nous roulent dans la farine soutenus en cela par des états-majors de pavloviens brillantissimes mais médiocratiques car incapables de regarder la réalité. Ils sont tellement imbus de leur culture pavlovienne qui leur a inculqué la philosophie de la vérité qu’ils ignorent ce qu’est la réalité.

Aujourd’hui nous avons des prétendus intellectuels qui ont l’outrecuidance d’avoir la prétention de décrire la vérité alors que leur aveuglement idéologique ne leur permet pas de voir la réalité. La formation dans les universités n’est-elle pas fabuleuse ? Nous avons des pavloviens gavés de vérité qui arrangent la réalité pour en faire une vérité. Ensuite nous nous étonnons de voir des tracés de TGV totalement débiles dans la Var et la région PACA.

Tout est lié. Des démagogues, de imposteurs, des menteurs, des escrocs et surtout des personnes qui ne possède pas suffisamment d’humilité et de dignité pour avoir la décence de répondre aux citoyens qui posent des questions et mettent en évidence l’intolérable mainmise des réseaux, des appartenances et des clientèles sur tout ce que les institutionnels devraient faire avec équité.

Chaque jour nous avons une nouvelle démonstration par l’absurde de la perversité, de l’absence de considération et du mépris qu’ont les politiques pour les citoyens. Nous avons la démonstration que les clientèles préfèrent servir leurs idéaux même si cela nous met dans une situation catastrophique à courte échéance. Nous avons des institutionnels qui lèchent des culs et avalent toutes sortes de fluides simplement pour briller dans une société pavlovienne.

Il ne faut pas être hors de la normalité. Il faut appartenir : sinon la machine vous broie. Ou alors si vous êtes hors de cette normalité il faut que votre cas serve un démagogue ou un illusionniste qui fera en sorte de vous propulser pour se faire valoir. Voilà où nous en sommes. La démagogie politicienne dans toute sa splendeur de la négation des citoyens, de la négation de la différence et de la négation de la diversité.

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7 janvier 2012 6 07 /01 /janvier /2012 10:41

Les politiques insultent le peuple, les citoyens, à grand renfort de soutiens médiatico-communicationnels. En effet, que ce soient des prétendues menaces de mort, des parachutages dans un coin où l’on peut accepter un candidat de plus de soixante-dix ans, ou encore l’esbroufe en tout genre déployée par les candidats ou les pas encore candidats à la présidentielle nous sommes devant de flots d’insultes à nôtre intelligence, à nôtre dignité, à nôtre humanité.

Quel triste spectacle de voir ces Sarko et autres François ou je ne sais plus trop qui, se vendre pour des bulletins de vote et être incapables de concevoir l’intérêt de la nation. Ha, si, l’intérêt passe par le leur tout va bien. Autrement rien à faire. Preuve en est : Sarko n’a toujours pas la décence, la dignité et le sens du devoir de répondre aux citoyens. Il en est de même pour François qui lui fait la sourde d’oreille et ignore ce qui est proposé par les citoyens en n’ayant même pas le savoir vivre d’un accusé de réception.

Tout ceci est lamentable. Tout ceci n’est qu’insultes à la démocratie. Tout ceci n’est que démagogie.

La France est malade de cette démagogie, des menteries, de la lâcheté et de l’infaillibilité des politiques qui prêtent plus attention à leur gamelle qu’au devenir du peuple qu’ils ont le devoir de servir. Toute la violence de leur cupidité est là. Ils nous insultent par le refus d’admettre la diversité et la différence. Ils ne sont capables de cautionner que ceux qui sortent des même réseaux pavloviens et médiocratiques. Ce n’est pas parce que l’on est énarque, ou normale sup, que l’on est brillantissime que l’on sert la France avec pertinence. En revanche, là on sert la personne au pouvoir, non le pouvoir surtout si l’on oublie de servir le peuple.

L’insulte est permanente. Ils sont incapables d’admettre qu’ils se sont fourvoyés. Qu’ils n’ont pas tenus leurs engagements. Ils sont si lâches qu’ils préfèrent faire preuve de largesse avec des lécheurs de culs que d’ouvrir les yeux et aller vers la différence. L’infaillibilité est déjà une insulte en elle-même puisqu’elle fait la négation de l’autre et de son intelligence.

Tous nous insultent. Ils ont la prétention de pratiquer une réflexivité. Elle n’est que superficielle et élastique. Ils nous font penser aux prostituées qui s’exposent : elles ne peuvent offrir que ce qu’elles sont. Nous avons un triste spectacle d’une politique qui se prostitue afin que ses fesses restent sur le trône. Quelle insulte pour le peuple, quelle ignorance, quelle cupidité, quelle violence engendrée contre les citoyens qui vivent cette course effrénée au pouvoir et à ses privilèges.

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7 janvier 2012 6 07 /01 /janvier /2012 09:28

Que ce soit Sarko ou François tous deux pratiquent l’invitation à la haine. A croire qu’à force de courir derrière Marine la haine sous toutes ses formes devient un fond de commerce au même titre que la dignité, le respect, le courage et l’intégrité. La société, les dynamiques sociétales que ces acteurs politiques sont entrain de nous construire sont des moteurs, des accélérateurs à une haine sociétale souterraine des plus destructrice.

Sarko et François font leurs effets de scène. Ils blablatent. Ils nous roulent dans les illusions. Ils font en sorte que les médias les mettent en gros titre afin d’occuper les esprits et que nous ne pensions pas aux réalités auxquelles nous devons répondre. Je n’attends pas que l’Etat me tienne par la main pour avancer dans l’existence. J’attends que les institutionnels fassent leurs devoirs au service de la diversité et de la différence.

Cela est impossible en France. Il faut appartenir. Il faut être dans la norme. Il faut être intégré dans un réseau discret ou dissimulé. Il faut lécher des culs. Il faut faire allégeance. Il faut provenir d’un cursus. Il faut être pavlovien. Il faut encenser le système. Il faut servir les personnes, les individus et les baronnets. Il faut faire toucher sa bosse.

Nombre de personnes diront que ce n’est pas vrai et que je suis qu’un reflet de la jalousie et de la haine ambiante. Pourtant nous avons tous les ingrédients à ces vecteurs de haines, à cette négation de la différence, de la diversité et surtout d’individus hors de la norme.

Que ce soit Sarko ou François il ne tolère que des personnes propres sur elles, qui sont dans les cases d’une normalité de nivellement par le fond de la cuvette qui appartiennent à une clientèle et permettent aux institutionnels de briller. Dans ce contexte il est impensable que des personnes qui ont des cursus anachroniques, qui sont en dehors de l’univers pavlovien et qui ne plient pas devant l’intolérance de la normalisation, puissent parvenir à être reconnues.

Une telle lâcheté, puisque ces personnes sont incontrôlables, est une incitation à la haine. Sarko et François alimentent à chaque discours cette haine en donnant une légitimité qu’à ceux qui appartiennent, qu’à ceux qui sont dans les réseaux, qu’à ceux qui sont dans des clientèles. Tous deux préfèrent servir leurs cercles d’exercice qu’avoir le courage de dire : ailleurs il y a des choses valables et je vais les reconnaitre. Pour cela il faudrait faire preuve d’humilité, d’équité, d’étique et d’intégrité.

Tous deux nous abreuvent de ces valeurs mais ne sont capables de la mettre en œuvre qu’au service de leurs clientèles. Ils sont tellement craintifs devant la différence, tellement suffisant devant ce qui est hors des normes, et surtout tellement infaillibles devant les lectures orientées, qu’ils sont impuissants à faire émerger autre chose que du pavlonisme.

Cette impuissance est une incitation à la haine sociétale des plus sournoise et des plus violente car les citoyens qui subissent le mépris, la négation et l’ignorance des institutionnels à la botte de la normalisation, tendent vers la révolte. En alimentant la haine, le ressentiment à l’encontre de la normalisation et du pavlonisme, Sarko et François, érigent le Sarkhollandisme au rang du mitterando-gaullisme, avec tous ses excès, ses corruptions et ses trahisons.

A force de vouloir préserver, alimenter et faire briller leurs cercles, leurs réseaux et leurs clientèles, ils vont finir par faire exploser les référents sociétaux. Tous deux n’ont pas le courage de reconnaitre ce qui est hors de l’hypocrisie, ce qui hors de la satisfaction à la normalité, ce qui dérange. Tous deux sont effrayés devant la différence et l’émergence de ce qu’ils ne peuvent pas contrôler. La haine s’alimente à la source de l’ignorance, grossit à la rivière de la suffisance et gonfle au fleuve de l’infaillibilité. Tous les ingrédients sont là…

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6 janvier 2012 5 06 /01 /janvier /2012 16:49

Les politiques Sarko et François démontrent une capacité à différencier. Ils différencient les acteurs, les publics, les thèmes, leurs responsabilités et leurs absences de responsabilités, leurs fuites et leurs esquives sans omettre leurs promesses qui sont autant de menteries qu’ils sont dans l’incapacité de tenir ou ne serait-ce que de mettre en œuvre.

Nos esbroufeurs si médiatisés au détriment de toute proposition contraignante mais efficace pratiquent sans le savoir la pédagogie différenciée. Ils modifient, orientent et structurent leurs discours en réponses aux attentes de l’auditoire tout en continuant à faire du vent. Une spécialité élevée au rang d’art suprême de la suffisance et de l’infaillibilité des politiques.

N’est-ce pas fabuleux ! Ils déversent des flots de paroles, qui à la critique se révèlent vides d’engagements réels, et ils posent en serviteurs de la France à l’agonie, occultant qu’ils sont responsables de l’état dans lequel se trouve la nation France. Il est probable que tous deux ou du moins leurs conseillers aient lu les travaux de Brun-Picard Yannick sur le thème de la pédagogie différenciée et qu’ils aient adapté ses articulations et théorisations afin de servir au mieux les illusionnistes.

J’en doute quand même beaucoup. Car la finalité de la pédagogie différenciée est de faire en sorte que les personnes auxquelles s’adresse l’éduquant progresse, qu’elles puissent acquérir, reproduire et restituer des savoirs de toute sorte. Là nous sommes assez loin de ces objectifs. Vous me direz lorsque l’on voit que les directives des inspecteurs de l’éducation nationale veulent que les élèves pratiquent l’abstraction sur un document alors qu’ils n’ont pas encore acquis un fond de culture suffisant on comprend mieux pourquoi tout va si mal : nous restons dans l’illusion.

Cette fameuse illusion que nous fait toucher du doigt Sarko qui n’a toujours pas la dignité de répondre au citoyen qui lui a posé des questions. Pour ce qui est de François, même combat, dans toute sa suffisance il ignore ce qui ne sort pas des boites pavloviennes.

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5 janvier 2012 4 05 /01 /janvier /2012 14:20

La perversité de la pratique idéologique, dogmatique et médiocratique, exposée à grand renfort d’actions démagogiques, d’errances médiatico-communicationnelles, dont nous abreuvent les politiques par l’intermédiaire des médias phagocytés par une déontologie malléable, donne à voir un exercice de la pédagogie différenciée dans la politique atterrante.

En effet, nous avons Sarko et son pote François qui exposent, qui blablatent et qui s’acharnent sur l’adversaire dans un seul but d’être calife et en tentant de nous démontrer cela. Pour y parvenir ils se livrent à toutes les bassesses, à toutes les menteries et à toutes les impostures. Sarko fait comme si rien ne se passait, en ne répondant pas aux citoyens qui lui écrivent, et François avec sa mémoire sélective insulte, critique, méprise les français et fait la négation de la France.

Tous deux se livrent à un exercice bien connu et pratiqué par nombre d’enseignants et autres acteurs des sciences de l’éducation : une démarche pédagogique totalement vide d’articulations, seul le sfumato importe. Ils font un sorte d’orienter leurs propos en fonction des publics. Ce qui fait qu’ils ne font que du vent, qu’ils ne proposent rien de concret et donnent l’illusion de construire des solutions optimales pour le devenir de la France.

Il en est rien ! Aucun des deux entre dans le vif du sujet. Aucun des deux démontre ce qu’il avance. Aucun des deux considère le citoyen. Il est vrai que les médias pratiquent aussi cette pédagogie différenciée en exposent, présentent et orientent en fonction de leur clientèle, de leurs idéaux et de leur absence d’éthique, leurs propos.

Cela démontre que les conseillers de Sarko et de François n’ont pas lu les papiers de Brun-Picard Yannick au sujet de la pédagogie différenciée. Il est vrai qu’il met les utilisateurs devant leurs responsabilités et n’a aucune pitié pour les illusionnistes, si fréquents dans les établissements. Il serait de bon ton que nous sortions du Sarkhollandisme au plus vite afin que les politiques nous donnent des propositions réalistes.

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5 janvier 2012 4 05 /01 /janvier /2012 12:43

Quand la racaille fait du Sarkhollandisme. Oui j’emploie à nouveau ce terme cher à Sarko pour qualifier des personnes qui ne font que l’illusion de faire la tâche qui leur incombe. Oui c’est une invitation à faire brûler les pôles emploi où les « conseillers » ne font pas leurs obligations de service aux chômeurs et aux demandeurs d’emploi.

Il y en a ras-le-bol de voir tant d’incompétences, de suffisance et d’ignorance, sans oublier la bêtise, la lâcheté et l’imposture, mises en œuvre dans l’action que devraient faire les conseillers. Il y en a marre de voir des personnes qui placent leurs connaissances, qui font en sorte que seules certaines catégories de personnes puissent accéder aux emplois et surtout qui radient à tour de bras alors que les chômeurs se sont présentés pour éviter tout risque de radiation.

Il y en a marre de voir des escrocs, des imposteurs et des bouffons à leur poste d’intouchable nous raconter des inepties et voir ainsi les chercheurs d’emploi dans la misère la plus noire. Il y en a marre de voir Sarko jouer au gandin et cautionner l’incompétence et l’ignorance de ces fameux conseillers. Il y en a marre que des illusionnistes se réfugient derrière la poignée qui fait son travail pour légitimer leur incapacité à faire leur travail. Il y en a marre de voir le pote François jouer au tribun de pacotille sans avoir le courage de mettre les mains dedans.

Voilà ! Il y a des prétendus conseillers qui ne font pas leur travail. Qui sont des lécheurs de fesses. Qui ne font que des tours de prestidigitation afin de ne pas être éradiqués. Qui ne font pas leur travail. Et surtout qui ignore totalement ce que sont leurs devoirs. Vous me direz que n’étant pas capable de faire leur travail comment peuvent-ils faire leurs devoirs ?

Sarko : il y en a plein les couilles ! Il est impératif que ces personnes fassent leur travail. Que ceux qui ne font que branler la colonne soient virés. Que ceux qui pratiquent la ségrégation et la discrimination soient immédiatement virés. Que ceux qui font que de l’illusion soient mis devant le fait accompli et que l’Etat tienne son rôle. C’est-à-dire que la racaille soit dans l’obligation de satisfaire les demandes des citoyens en faisant au minimum ce qui est leur travail.

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2 janvier 2012 1 02 /01 /janvier /2012 14:18

Cette année 2012 débute avec le triomphe de l’imposture en tous genres. Que ce soit Sarko, Valls ou Hamon nous touchons de fond de la cuvette. C’est à celui qui fera la plus grosse annonce. C’est à celui qui proposera la promesse irréalisable qui fera le plus rêver les français afin qu’en mai quelques uns vote pour son parti. C’est à celui qui se fera le plus mielleux pour manipuler les citoyens.

L’imposture dans toutes ses dimensions de perversité, d’esclavagisme, de tromperie, d’exploitation, d’escroquerie et même de menterie est là devant nous. Les médias, dans leur soif médiatico-communicationnelle nous abreuvent des niaiseries et de la surenchère permanente sans aucune limite, même pas celle de la décence et moins encore de la considération.

L’imposture est éclatante. Nous avons Sarko qui se joue des médias mais qui est incapable de tenir ses obligations et moins encore ses devoirs envers les citoyens. Nous avons abrutitamon qui lui pour sa part fait preuve de ténacité et demeure dans son sillon d’inepties et d’utopies dopées à la fumette d’une hypocrisie renforcée d’une dose de mépris pour le peuple. Vous me direz que de l’autre côté ce n’est pas mieux. Ils transpirent la suffisance. Ils en sont visqueux.

L’imposture est là. Ils ne font que promettre. Ils sont dans l’incapacité technique, pratique et idéologique de nous démontrer par l’exemple la pertinence de leurs propos. J’ai l’impression de voir des sociologues gargarisés à l’infaillibilité, responsables de l’état de la société qui par leur enfermement idéologique nous a mené là où nous sommes, se palucher sur le dos du peuple et de exposant à grand renfort de citation leur intellectualisme.

L’imposture est si envahissante que tout à l’heure elle deviendra la norme normalisante de la pensée de nivellement et d’abrutissement que nombre d’acteurs institutionnels semblent vouloir pour la France. Ces derniers préfèrent servir leurs clientèles et ceux qui les font briller immédiatement plutôt que de prendre en considération les œuvres discrètes et invisibles mais qui font avancer la société et prendre conscience doucement des réalités de notre monde.

L’imposture est si naturelle que nous avons des politiques qui parlent en mettant les mains en opposition au public qui les écoute. Nous avons des personnes qui ne croient pas en ce qu’elles disent. Tu m’étonnes Charles : c’est comme si l’on disait qu’après s’être coupé une main celle-ci repoussera ! Voilà ce qu’ils nous proposent. Tout l’art de la fumisterie et de l’imposture médiatico-communicationnelle sont là, exposé devant nous, et les médias diffusent sans aucune critique…

L’imposture est si normale que l’on cautionne le comportement d’un président de la république qui ne répond pas au courrier des citoyens. L’imposture est si proche de la déchéance que de l’autre côté nous avons des personnes qui n’ont même pas la politesse, je ne parle pas de dignité, de répondre elles aussi aux questions et aux demande d’éclaircissements. Vous me direz que pour elles rien ne les obligent à répondre, ce qui n’est pas le cas de Sarko qui lui a l’obligation et le devoir de le faire.

L’imposture est celle qui foule aux pieds les devoirs que doivent porter les institutionnels et qu’ils ignorent pour préserver leur confort, leurs réseaux et leurs clientèles.

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2 janvier 2012 1 02 /01 /janvier /2012 08:58

En tout premier lieu que Sarko ait la dignité de répondre aux courriers des citoyens qui attendent depuis des mois que ses services aient la décence de répondre à leurs obligations de servir le peuple. Si seulement Sarko avait, parvenait, à avoir cette humilité, cette considération pour les citoyens, et surtout le sens de ses devoirs envers nous le peuple, un vœu serait exaucé.

Il est plus que probable que cela reste au chapitre des vœux et que tous ceux qui gravitent autour de Sarko ne fassent rien pour que la dignité d’un président soit rehaussée par l’exercice de ses devoirs envers les citoyens. Il est triste, déplorable et lamentable de ne pas pouvoir faire confiance à celui qui a la prétention de servir le peuple, alors qu’il ne fait même pas le minimum syndical, ou pire il n’impose pas à ses services de faire leurs devoirs pour les citoyens.

Je suis presque certains que jamais Sarko n’aura la grandeur de répondre au citoyen que je suis. Il a certainement oublié ces paroles : JE ME COURBE, JE ME PLIE, QUE POUR AIMER… Je doute qu’un jour il les ait lu, il préfère se consoler en se comparant.

Derrière ce vœu il y a celui de voir les politiques faire leur travail au bénéficie des citoyens et non des clientèles. Ce qui fait que toute la clique des politicards est mise dans le même sac. Là aussi ça ne restera qu’un vœu parmi tant d’autres. Pourtant ce n’est pas difficile que de faire ceux pourquoi on a la prétention de postuler. Ainsi François est au même niveau que Sarko.

Pas besoin d’aller plus loin pour ces aspects, peut-être que d’ici peu une couche viendra insister sur la lâcheté, l’aveuglement et la suffisance de cette incapacité à prendre en considération l’individu pour le seul profit de ses clientèles.

Néanmoins, je vous souhaite à tous, tous mes meilleurs vœux pour cette  nouvelle année 2012 !

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