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28 avril 2012 6 28 /04 /avril /2012 16:21

Nous avons l’obligation de penser, d’agir et d’être pavlovien comme l’a décidé la prétendue élite, ceux qui font de la politique un métier et non un service à la nation et aux citoyens. Cette pensée unique ce nivellement par le bas de l’analyse sociétale, de la lecture des réalités de la France, ainsi que de ce que vivent les français, n’est pas la tasse de thé des médiocrates et autres universitaires pavloviens.

Que ce soit Sarko ou François aucun des deux ne mettra un terme à l’imposture du CNU, aux modes de recrutements dans les universités, à l’obligation d’appartenance et bien-sur à celle de clientèle. La pensée unique l’obligation de s’exprimer dans les traces imposées de pavloviens qui sont trop bouffis de suffisance et d’infaillibilité pour se tourner vers le monde réel, celui auquel ils et elles ne peuvent pas avoir accès dissimuler sous leurs brillantissimes niveaux et autres gargarismes.

Dans la France d’aujourd’hui et cela c’est intensifié sous le mitterando-gaullisme, il est impossible d’exprimer une pensée décrivant la réalité, ce que vivent les citoyens, autre que les impostures intellectuelles de quelques gandins sortant des boites à prétendues élites qui verrouillent la France pour le pire à venir. Sarko ou François proviennent de ces réseaux, de ces appartenances et de ces clientèles. Ils ne peuvent pas les éradiquer.

Sarko a la prétention de servir le peuple de France : imposture ! Il n’a pas la dignité de répondre aux questions que des citoyens lui posent de manière redondante depuis plus de quatre années. Il a la prétention d’agir avec équité, mais ces cercles d’influences servent servilement les clientèles et les réseaux afin de préparer leur avenir à courte échéance, au détriment de tous ceux qui n’appartiennent pas à ces cercles vérolés.

Quand est-il de François ? Pour l’heure en se faufilant entre les pics, en se dissimulant, en s’enduisant pour devenir visqueux rien ne transpire. Mais les travers identiques à Sarko commencent à émerger. Il met en place ses réseaux, ses clientèles et ses lécheurs afin que le coussin soit confortable. Il méprise les citoyens autant que Sarko, puisqu’il ne parle pas d’eux, il n’a d’intérêt que pour les électeurs. Cette position démontre sa considération pour les citoyens.

Tout ça pour la pensée unique : les médias modèlent nos réflexions et nos références afin que nous pensions comme la prétendue élite l’a décrété au détriment de la nation, de la France ! La pensée unique, normalisée, nivelée, aseptisée ne peut produire que des miasmes et de la médiocratie. Cela semble satisfaire Sarko et François. Les abysses sont là !

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25 avril 2012 3 25 /04 /avril /2012 13:22

Les errances sarkozyennes dues au clientélisme, au réseau, à l’inertie médiocratique sont éclatantes dans le Var. Un dernier épisode où les incompétences les plus criantes nous sont jetées au visage vient de se dérouler. L’armée, il est vrai que Sarko n’est pas responsable du recrutement, mais il nomme les hauts responsables ceux qui ne conçoivent que le service de leur carrière, vient de montrer sa platitude et son incapacité à voir plus loin que ses galons : http://www.varmatin.com/article/home-page/eoliennes-des-pallieres-les-elus-declarent-la-guerre-a-larmee.844498.html, que vouloir dire de plus ? Rien de rien.

Ce n’est pas pour cela que le pote François fera quelque chose puisqu’ils sont tous en provenance du même moule. On ne voit pas plus loin que les galons que le règlement, quand celui-ci va dans le sens des intérêts des galons, et il est bafoué lorsqu’il vient à servir ceux des sans grade. Voilà, l’armée que Sarko cautionne et qu’il n’a pas fait changer. Vous me direz que François lui veut poursuivre l’œuvre destructrice du mitterrandisme, ce n’est pas mieux.

Nous y sommes la France craque de toute part. A force de faire en sorte que seuls ceux qui sortent des cursus des réseaux et des cercles d’influences accèdent aux responsabilités nous avons le principe de Peters qui se vérifie à chaque décision. L’incompétence fait craquer les administrations. Ici on vire un directeur en douceur en faisant penser qu’il obtient une mutation dans un autre hôpital. Là les galonnés ne font que deux ans car au-delà leurs manquements deviendraient trop visibles.

Que ce soit Sarko ou François, ils en ont rien à faire d’avoir les meilleurs, seuls ceux qui satisfont sont pris. De cette manière ils sont redevables et ferment leur bouche pendant leur carrière et l’attribution de décorations et autres honneurs. Comme dans l’enseignement, l’éducation, nous devrions dire l’instruction… En effet là l’art de l’illusion est à son comble. Les enseignants produisent des pavloviens qui ne font que satisfaire à la norme et ne sont plus capables d’aller plus loin. S’entend pour la multitude.

Cet exemple pour les éoliennes dans le Var démontre la médiocratie ambiante. L’ignorance est élevée au rang de référence ultime. De toute façon comment pouvons-nous faire confiance à un président qui n’a pas la dignité de répondre aux questions des citoyens ? Plus gros problème comment pouvons-nous donner notre confiance à un candidat qui a désagrégé son parti et à qui personne n’a voulu le nommé ministre ?

La France, ce qui fait la France est vérolé par la cupidité, la suffisance et l’infaillibilité.

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24 avril 2012 2 24 /04 /avril /2012 14:09

Un président en exercice qui n’a pas eu la décence, la dignité et le sens du devoir de répondre aux citoyens qui lui posent des questions ne peut pas recevoir la confiance des citoyens. Un candidat à l’élection présidentielle qui agit comme son adversaire, c’est-à-dire que le pote François fait du Sarko, en nous considérant seulement comme des électeurs et en ne préparant son action qu’à servir ses cercles d’influences, ses réseaux et ses clientèles, ne peut pas, lui aussi, recevoir la confiance du peuple en souffrance.

Là nous avons les deux pieds dedans et nous y sommes jusqu’au cou. Il faut dire que nous en sommes les responsables. Sarko arrose ses petits copains, les cercles de lécheurs et les clientèles à grands renforts de décorations. Il oublie ceux qui dans l’ombre serve. C’est vrai que ce soit Sarko ou François ils ne prononcent pas le mot de servir.

Hélas nous allons devoir nous exprimer par notre vote pour l’un ou l’autre. Le premier, Sarko, nous savons qu’il méprise les citoyens et que seule la normalité de l’appartenance lui convient, aveuglé par les médiocrates qui veulent faire une carrière et avoir le plus d’honneurs possibles sous son action. Le second, François, lui, pour l’heure ne fait que promettre. Grand bien lui fasse. Il n’aura jamais le courage d’aller chercher des cerveaux qui n’appartiennent pas aux cercles des lécheurs et aux clientèles universitaires, ne serait-ce que pour cet aspect.

Nous ne devons pas sombrer dans les abysses des extrêmes. Mais gardons à l’esprit que Sarko méprise les citoyens et ne s’adresse qu’aux électeurs ou alors à ceux qui le font briller et bien-sur à ses clientèles qu’il a superbement alimentées pendant sa mandature. Ne quittons pas des yeux que François a fermé les yeux sur les malversations des membres de son parti, qu’il a laissé ce dernier dans un état lamentable et que ses talents pour l’heure en sont qu’au chapitre de possibles potentialités.

La confiance est un terme qui n’a jamais été prononcé par Sarko et François. Il n’est pas possible de faire confiance à des personnes qui nous laissent que pour des électeurs. Il n’est pas possible de faire confiance à des personnes qui ne s’adressent pas à des citoyens. Il n’est pas possible de faire confiance à des personnes qui servent leurs cercles, leurs réseaux et leurs clientèles, en refusant tout ce qui ne provient pas de la normalité médiocratique institutionnalisée.

Comme à l’école, dans les collèges et les lycées, où des personnes ont l’outrecuidance de prétendre instruire les élèves mais elles sont incapables de montrer un exemple, de démontrer leur nécessité, d’attester de la pertinence de ce qu’elles entreprennent. Toute la violence ostentatoire de l’absence de confiance en des politiques qui ne font que de la politique pour faire de la politique est là devant nous et nous y allons comme si l’abattoir était notre avenir.

Au final nous allons voter pour une personne en laquelle nous n’avons pas confiance et pour laquelle nous ne pourrons pas lui faire confiance. La France est en mauvaise posture et nous en sommes responsables presque autant que ces illusionnistes qui ne font que servir leurs clientèles.

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18 avril 2012 3 18 /04 /avril /2012 13:07

Sarko et son pote François font comme les tenants de la didactique sans pratique de la pédagogie : la fuite en avant perpétuelle et exponentielle. Cette lâcheté intellectualiste de la suffisance et de l’infaillibilité des prétendus intellectuels trop ignorants des réalités du monde éducatif conduit la France vers les abysses.

Que des politiques pratiquent lamentablement le mérycisme et la didactique sous des doctrines démagogiques : c’est leur fond de commerce. Les sciences dites de l’éducation se fourvoient dans la didactique et des pratiques similaires aux politiques en faisant des enseignants inaptes aux pratiques de pédagogie différenciée, participative ou coopérative.

Enfermés dans leurs croyances en leur toute puissance de la didactique sans pédagogie ils détruisent, depuis plus de trente années la multitude, aux seuls bénéfices de la reproduction sociale, qui pour se légitimer laisse quelques représentants de la France-d’en-bas émerger pour démontrer à grand renfort d’imposture médiatique que c’est possible.

Le taux de reproduction sociale est de près de quatre-vingt pourcent pour les classes dites supérieures. Et le taux de l’émergence pour la France-d’en-bas de l’ordre de un pour mille. Il est temps que Sarko et son pote François regarde la réalité en face et qu’ils démontrent leurs aptitudes à prendre en considération la France et les citoyens et pas seulement les bulletins de vote.

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16 avril 2012 1 16 /04 /avril /2012 17:52

Le niveau réel de la multitude, vous savez ceux qui pour Sarko et François ne sont que des électeurs et pour lesquels ils n’ont même pas la dignité de répondre aux courriers et aux questions, inquiète soit disant les politiques. Tu m’étonnes Charles ! Il suffit d’observer, de poser ses fesses et de regarder, de s’approprier un phénomène qui se déroule devant soi pour aller pleurer.

Les imposteurs d’intellectualistes des universités ne sont pas capables d’aller mettre leur nez là où ça sent très mauvais, là où toute la misère de l’intellectualisme de fond de cuvette gavé à la didactique et ignorant de la pédagogie fait son œuvre. En un mot l’école telle que les illusionnistes la font avec leurs fiches qui sont que de la fumisterie en toute ignorance de ce que font les élèves.

Médiocratie quand tu nous tient tu ne nous lâche plus. Cela rejoint la méprisance lancée par Sarko pour son Pote François qui fait encore pire que lui car lui hors de l’appareil gouvernemental, n’ayant jamais eu ce type de responsabilité, devrait mettre en avant. Hélas s’il fait cela c’est cautionner la situation actuelle de la France où il faut intégrer des réseaux, des appareils et des clientèles pour parvenir à être légitimé.

Voilà l’éducation de l’ignorance. N’est-ce pas lamentable de voir que l’enseignement ne devient qu’enseignement dans le dit supérieur ? Alors qu’il devrait être enseignement dès la maternelle. Bien-sur se garder de tyrannie et autres travers pervers qui ne feraient qu’envenimer la situation. Mais ne serait-ce que cela : nommer enseignement ce qui est la tâche d’enseigner.

Cela impose que l’ignorance de la didactique vaste fumisterie qui dissimule les abysses pédagogiques, car il faut avoir pratiqué pour en parler, alors que la didactique les sciences de l’éducation peuvent gloser, pratiquer la gnose et le gargarisme, sans être inquiétées puisque c’est elles qui font les programmes et les impostures de l’ignorance subit par la multitude.

Que ce soit Sarko ou François ils n’ont pas le courage de mettre des coups de hache dans les universités pour mettre un terme à toutes ces impostures qui ont mené le niveau scolaire réel là où il se trouve : au fond du gouffre pour la multitude. Sarko et son pote François préfèrent dans leur démagogie triomphante cultiver l’éducation à l’ignorance que mettre en place les réformes impératives pour l’enseignement en France.

Il en est de même pour la réforme du monde politique. Tous les deux sont trop lâches pour mettre un terme immédiat au cumul des mandats, mettre des limites d’âges, et un nombre maximum de mandats nationaux, sans omettre la démission des fonctionnaires en cas d’élection à un mandat national. Ce sont des actes, des propositions concrètes.

Il est plus que probable que des rêveurs et des illusionnistes, comme de trop nombreux manipulateurs des médias, s’acharnent sur ces mots. Leur ignorance leur fait oublier qu’il est « sociétalement » interdit d’avoir raison avant les autres. Et que la lecture d’un texte de Brun-Picard Yannick sur la praxéologie devrait ouvrir les consciences afin que la pédagogie soit présente dans les écoles et non le blablatage didacticien.

Et pourtant l’ignorance est bien inculquée dans le système éducatif français. Où sont Sarko et son pote François ?

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6 avril 2012 5 06 /04 /avril /2012 17:55

Le président-candidat vient de faire une lettre aux Français. Grand bien lui fasse. Hélas il a oublié dans toutes les valeurs, les engagements et ses orientations qu’il n’avait pas eu la décence et moins encore la dignité d’imposer à ses fonctionnaires de répondre à tous les courriers des citoyens. Ainsi il a occulté un devoir, une obligation : de répondre au citoyen qui pose des questions.

Ha, si, des illusionnistes avec des paroles énarquiennes ont la prétention de prendre en considération la situation. Et quatre années plus tard, Sarko est au même point : aucune réponse, aucune dignité, aucun sens du devoir. Vous me direz que son pote François ne fait pas mieux. Lui, il jette les Français dans l’illusion, la rêverie et les espoirs surdimensionnés d’un socialisme utopique et démagogique.

Sarko a fait faire une bafouille de 36 pages… ça le fait ! Et François pendant ce temps continu une prestation dans laquelle chaque Français peut, doit, aspire à être reconnu, valorisé et soutenu. Il est vrai, là aussi, qu’il ne s’adresse qu’à des électeurs. Car comme pour Sarko, au lendemain de l’élection nous, les citoyens nous n’existerons plus.

La lettre aux Français se lit, c’est vrai, mais alors pourquoi n’a-t-il pas mise en œuvre tout cela avant ? Pourquoi l’école n’a-t-elle pas été réellement réformée en mettant un terme immédiat à toutes les impostures de déresponsabilisation qui la gangrènent de l’intérieur ? Pourquoi faut-il appartenir à des réseaux, des clientèles, pour parvenir à accéder dans les postes attrayants ? Pourquoi n’a-t-il rien fait pour mettre un terme au recrutement par cursus ?

Vous me direz que là aussi son pote François n’a pas bronché puisque tous ces passe-droits servent ses propres clientèles qui les ont instaurés et renforcés depuis plus de trente ans et cela dès les soixante-huitards qui ont pris d’assaut la fonction publique pour en faire ce qu’elle est avec trop de chefs de rien du tout et pas assez de petites mains pour faire le travail.

Sa lettre aux Français ne gomme pas le mépris qu’il affiche pour les citoyens qui n’appartiennent pas à des cercles d’influences. Sa lettre démontre par le texte, comme il le dit : « les écrits restent », qu’il n’a pas eu la dignité de faire bouger les clientèles inertielles qui verrouillent la nation et toute émergence qui ferait de l’ombre à ceux qui sont en place.

La France est pillée par des illusionnistes. Ce pillage cognitif, des forces vives, des espoirs, ce matérialise par des candidats qui ne font que des promesses sans poser la réalité devant les Français. Que ce soit Sarko ou son pote François nous sommes dans le même mépris des citoyens. Tous deux font des promesses. Pour Sarko le principal problème c’est que lui a démontré qu’il ne tenait pas ses promesses et qu’il ne tenait même pas ses devoirs de Président en exercice. Pour François s’est plus pernicieux : lui n’a démontré que des aptitudes à ne rien faire changer et à faire en sorte que son parti souffre d’inertie rétrograde sous sa responsabilité, bien qu’avec la primaire, ce dernier à fait un coup fabuleux.

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1 avril 2012 7 01 /04 /avril /2012 07:18

Une époque formidable. Nous vivons une époque formidable. Les médias nous donnent la possibilité de créer des blogs mais nous devons dire ce qui va dans leur sens. En un mot nous ne devons rien dire sur François et sur les digressions qui minent la France. Nous devons admettre qu’après le mitterando-gaullisme nous continuons à nous enfoncer vers les abysses simplement pour satisfaire à la rapacité des médias.

L’éthique est bafouée. La diversité prétendument soutenue n’est en réalité que de la servitude à des idéaux hollandiens afin que ce dernier soit élu et que Sarko se fasse botter les fesses. Depuis maintenant plus d’une année les médias nous inondent de François et de ses petits copains en occultant tout ce qui peut nuire à  l’image des personnes qui ont mis la France à genoux.

Les Français sont devenus tellement pavloviens qu’ils ne sont pas capables de comprendre que la dette s’accumule et que chaque année ce qui a été dilapidé sur l’autel de la bêtise et de la rêverie devient de plus en plus lourd à digérer. Ainsi nous avons des imposteurs gavés de didactique qui soutiennent à grand renfort médiatique que les dettes faites il y a quelques décennies ne pèsent rien dans l’état actuel de la France. L’imposture est éclatante, et personne ne fait un mouvement.

Sarko est aussi responsable que les médias dans cette dégénérescence de la pensée française. A force de nous faire rêver nous allons devenir incapables de sortir du rêve et le pote François sera élu dans un fauteuil. A quel prix ? Celui du rêve et de l’illusion ! L’intégrité, l’équité le devoir d’information sont ainsi foulés aux pieds par des médias qui prétendent demeurer hors du terrain de jeu, mais qui construisent ce terrain de manipulations politiciennes.

Le plus alarmant c’est que nous ne devons rien dire sur François, sur ses absences, sur ses incompétences éclatantes et sur les vides qui constituent les bribes qu’il a l’outrecuidance de nommer programme. Vous me direz que Sarko ne fait pas mieux.

Pour l’heure nous n’avons pas un seul programme qui tienne la route. Nous avons que du vide des promesses de maquignon et de l’illusionnisme avec un paquet cadeaux des médias qui font tout pour vendre leur produit. Le pavlonisme de la réflexivité à courte vue est démontré à chaque journée qui s’écoule. L’éducation nationale a fait son œuvre : impossibilité d’une pratique praxéologique car il faudrait être responsable et agir contre tous ceux qui ne font que brasser de l’air. Cela est impossible le système est trop confortable la seule responsabilité est de dire que l’on est responsable.

Surtout il ne faut rien dire sur François car cela n’est pas tolérable. Les pires heures de la dictature d’une démagogie et d’une propagande rampante sont là devant nos yeux renforcées par des médias qui ne voient pas plus loin que leur fond de commerce. La France dans tout ça ? Que peu d’importance. A partir du moment où les classes dites supérieures poursuivent leurs accumulations sur le dos des citoyens tout va bien. Alors, pourquoi mettre en évidence cette forme d’esclavagisme des cerveaux ? Rien ne justifie aux yeux des médias un éveil ou ne serait-ce qu’une prise de conscience des citoyens pour qu’ils puissent percevoir le vide des semblants de propositions dont ont nous abreuvent depuis plus d’une année.

Il ne faut rien dire sur François. Sinon les médias dans leur toute puissance mettent un terme à la prétendue liberté d’expression. Leur infaillibilité leur fait oublier ce qu’est s’exprimer. La pensée unique fait son chemin. Les dégâts de telles errances sont visibles depuis plus de trente ans dans l’enseignement, ce qui devrait être l’enseignement, pour ces personnes la France doit poursuivre vers le gouffre. Et Sarko dans tout ça : il poursuit son show et tend vers, lui aussi, la rêverie et l’illusion.

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31 mars 2012 6 31 /03 /mars /2012 19:25

Sarko refuse l’assistanat des jeunes et son pote François lui leur donne du rêve et l’illusion de l’imposture d’un monde lisse. Sarko avec ses pavloviens n’a rien fait pour que les jeunes puissent émerger. Trop lâche pour mettre des mesures contraignantes pour les patrons qui abusent d’un apprentissage de fond de cuvette. Et de l’autre côté nous avons des gandins, des bouffons, qui prônent la discontinuité. Cela me fait penser aux médiocrates géographes qui se gargarisent de discontinuités soutenant ainsi que le monde est une boule lisse.

Si Sarko a le courage de mettre en place quelque chose qui n’est pas de l’assistanat c’est premier temps de baisser l’âge de l’apprentissage et augmenter sa durée pour les plus jeunes. Ensuite imposer que tout apprentis titulaire de son CAP soit repris immédiatement sans rupture de contrat au sein de l’entreprise qui l’a formé et cela pendant six mois. Ainsi la racaille qui ne forme pas correctement les jeunes en apprentissages car se sont les esclaves modernes se trouverait dans la nécessité absolue de faire en sorte que ces jeunes soient très bien formés.

Je doute que Sarko et son pote François les aient suffisamment accrochées pour mettre en place un tel bouleversement en France. Imposer aux spoliateurs de former correctement les jeunes et faire en sorte de revaloriser tous les métiers dits manuels. Mais là aussi il faut impérativement que l’éducation nationale fasse son travail, c’est-à-dire : que les élèves apprennent avant de vouloir qu’ils pratiquent l’abstraction et le bidouillage qui n’ancre aucune connaissance.

Tout cela pour revenir à l’assistanat dont parle Sarko http://www.leparisien.fr/election-presidentielle-2012/en-direct-mitterrand-attaque-les-bobos-la-gauche-caviar-31-03-2012-1933219.php. Il oublie par facilité que tous ceux qui appartiennent à ses réseaux et à ses clientèles eux sont portés par le système. Mais pour eux ce n’est pas de l’assistanat, c’est une normalité. Ils ont tous les passe-droits, nous le peuple devons nous extasier devant ces réussites sociétales.

Que ce soit Sarko ou son pote François aucun des deux n’a conscience de ce qui se passe. Les bouffons qui les conseillent ne sont pas en mesure de leur dépeindre la réalité. Ils sont trop lâches pour mettre à plat le fait que les employeurs prennent des apprentis pour ne pas payer de charges. Ils sont trop ignorants, ces pavloviens, pour voir que les apprentis sont très mal formés puisque les patrons potentiels en sortie d’apprentissage n’en veulent pas. Ils sont trop infaillibles pour admettre leur incompétences car il faudrait qu’ils aillent mettre les mains dedans et ça chez eux : ça ne se fait pas.

Dans l’éducation nationale des imposteurs se réfugient derrière la didactique et la réflexivité. Mais ils ignorent ce qu’est la pédagogie, l’art du pédagogue et ignorent ce qu’est la praxéologie. Vous me direz que Brun-Picard Yannick a tenté de publier un texte sur la praxéologie : ça a été enterré. Il faudrait pour que la praxéologie puisse être pratiquée que les enseignants soient responsables de ce qu’ils font et de ce qu’ils enseignent. Faut pas rêver ! Et pourtant le pote François lui veut nous faire rêver.

C’est-à-dire que le pote François veut que la France reste dans l’état et que ceux qui sont responsables des errances, des dysfonctionnements et des spoliations de la France demeurent en place et continuent à la reproduction sociétale.

De toute façon Sarko, pour l’heure, n’a fait que démontrer qu’il n’avait pas la densité pour affronter ceux qui n’appartiennent pas à ses réseaux et à ses clientèles. Il en est de même pour François qui lui dans son hypocrisie grand teint ignore le peuple et s’adresse qu’à ceux qui veulent rêver et soutenir l’assistanat, preuve en est ce qu’il dit et fait en ce moment à Mayotte. En un mot : ça va mal !

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31 mars 2012 6 31 /03 /mars /2012 13:03

La Provence est sous la coupe réglée de la gauche depuis déjà de nombreuses années. Aujourd’hui les constations des opposants à la ligne LGV mettent au jour des aberrations dignes des insultes courantes de la surenchère médiatico-communicationnelle chère aux médiocrates. Ainsi, http://www.varmatin.com/article/les-dessous-de-la-lgv-reveles-par-les-opposants.822312.html, dans cet article nous avons suffisamment d’informations pour nous rendre compte sans avoir fait les écoles pavloviennes du genre des boites à illusionnistes, que le projet de la ligne LGV en PACA est une imposture, voire une simple escroquerie à la dignité de l’esprit humain.

Les copains à François si imbus de leur infaillibilité teintée d’une suffisance à toute épreuve veulent tout faire avec n’importe quelles justifications pour que la LGV voit le jour de manière à alimenter les caisses abyssales d’on ne sait quelle obédience. Comment peut-on donner notre confiance à un candidat qui ne dit mot de ces projets de spoliations, de destructions et de disparition de fonds publics, juste pour satisfaire l’égo de quelques médiocrates.

Il est vrai qu’ils sont élus, et de ce fait légitimes pour gérer les affaires de la cité. Toutefois, au regard des errances, des dettes et de tout ce qui ne peut pas être dit, il est temps de nettoyer au karcher ces spoliateurs et ces « dilapideurs » de fonds publics. Sarko parlait de karcher il serait temps que cela se fasse dans les régions comme en PACA où l’obscurantisme et les clientèles font la pluie et le beau temps.

Pour ce qui est de la gestion des territoires nous en arrivons à la négation de l’interface humanité/espaces terrestres, les gandins d’universitaires préfèrent se gargariser d’espace mais occultent par ignorance et surtout par lâcheté tout ce qui va avec car dans ce cas l’obsolescence de la ligne LGV en PACA serait si évidente sur la tracé proposé qu’il n’y aurait même pas besoin de débat.

Cela signifie que Sarko est mal conseillé, qu’il y a trop d’imposteurs et d’illusionnistes dans les rangs des organismes publics. On se demande pourquoi ? Qu’en réalité ils n’en ont rien à faire de la saine gestion des territoires : ils veulent faire du fric et briller. Et le pote François dans toute l’incompétence affichée cautionne les positions suicidaires d’un président de région de son parti qui a laissé des malversations se dérouler en toute liberté.

La ligne LGV en PACA est une synthèse des maux de la France contemporaine. Trop de hauts fonctionnaires pavloviens qui ne font que servir leur carrière. Trop de politiques qui ne font que préserver leurs privilèges. Trop de structures de gestion territoriale qui ne font qu’augmenter l’absence de lisibilité des orientations à prendre. Trop d’imposteurs qui surfent sur la vague de l’ignorance inculquée à l’école par un enseignement où la médiocratie enseigne l’abstraction, du moins tente de le faire, avant d’enseigner l’acquisition.

Sarko reste silencieux. Son pote François demeure si distant que l’on se demande s’il sait où se trouve la Provence. La classe politique dans son silence démagogique démontre qu’elle n’a aucune envie d’œuvrer réellement pour les citoyens et que seule compte la gloriole.

Tant que le territoire national ne sera pas conçu, géré et orienté comme une interface humanité/espaces terrestres d’optimisation, nous n’aurons que des projets ponctuels aux intérêts, aux destinations et aux potentialités en oppositions. Ce concept d’interface humanité/espaces terrestres est accessible dans : http://tel.archives-ouvertes.fr/docs/00/50/16/53/PDF/TheseCana2.pdf. Cette lecture devrait ouvrir les yeux des politiques inertielles qui ne voient pas plus loin que l’intérêt immédiat.

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31 mars 2012 6 31 /03 /mars /2012 10:43

La surenchère est exponentielle que ce soit de droite ou de gauche. Nous avons les frontistes qui hurlent haut et fort que seule Marine peut sauver la France. Nous avons les rêveurs qui croient que le pote François est un sauveur puisqu’il les fait rêver sans pour cela expliquer comment il va faire pour sauver la France étant donné qu’il n’est que dans le : y-a-qu’à-faut-qu’on.

Le pote François poursuit, soutenu par les médias, ses impostures médiatiques qui ne font que faire rêver les français d’une France en meilleur état alors que nous sommes au bord du gouffre du fait au minimum des 35 heures. Le pire c’est qu’il ne démontre aucune alternative. Il fait de la démagogie pur sucre : du total illusionnisme.

Pour ce qui est de Sarko, ce n’est pas mieux. Il n’a toujours pas eu la décence, la dignité et le sens du devoir d’imposer à ses « conseillers » de répondre aux questions des citoyens. Il ne nous considère que comme des électeurs, tout comme son pote François. Sarko nous roule dans la farine. Il préfère servir les clientèles qui lui lèchent les balloches plutôt que de reconnaître ceux que le système écrases, broient avec le plus grand discernement car hors des normes pavloviennes.

La surenchère permanente du vide médiatique, de l’incapacité à nous faire entrer dans le concret de la réalité de l’état de la France est des plus affligeantes. Sarko et François agissent de la même manière : ils prennent les français pour des jambons. Ils nous méprisent et ne font que la chasse aux bulletins de vote. Voir une surenchère de démagogie élevée à ce niveau est atterrant.

Ce qui me révolte le plus c’est de faire, de devoir faire un choix entre une personne totalement déconnecté de la réalité et qui a laissé son parti dans un état lamentable car elle était, et est toujours, incapables d’affirmer des positions d’autorité. Et, une personne qui ment au citoyen que je suis en ne respectant pas ses obligations. Une personne qui ne répond pas à ses devoirs et prétend le faire. Une personne qui est si aveuglée par ses clientèles et les réseaux qu’elle est incapable d’ouvrir les yeux et de constater par elle-même la perversion des systèmes français, pour lesquels il faut appartenir à une clientèle ou un réseau pour parvenir à émerger.

Nous avons une démonstration affligeante et grandiloquente de la mise en œuvre d’une violence ostentatoire dissimulée dans le silence de l’ignorance, dans le silence de la fuite médiatique, dans le silence des flots de paroles de propagande. Cette violence ostentatoire si silencieuse est projetée aux yeux des citoyens par le vecteur bruyant des discours qui sont tellement vides que le son ne peut s’en extraire. Drôle d’ambivalence que d’avoir une violence ostentatoire silencieuse avec des discours qui la rendent visible, non ?

Cette lecture de la violence ostentatoire est prise sur les travaux de Brun-Picard Yannick qui va exposer cette théorie à Montréal au mois de mai lors du congrès de l’ACFAS, là c’est accessible. Ainsi toute la violence d’un François qui ne daigne pas parler de ce qui se passe de réel et nous mène vers le rêve pour lequel le réveil sera aussi douloureux que celui des Espagnols ou des Grecs, est identique à celle d’un Sarko qui ignore les citoyens les méprise, dès lors qu’ils ne sont pas dans les petits papiers des réseaux.

Le silence du dédain de Sarko est une démonstration éblouissante de la violence ostentatoire dont sont capables et coupables les politiques simplement pour n’avoir à servir que leurs cercles de serviteurs. La surenchère est bien là. Elle ronge la France de l’intérieur. Elle mine les institutions. Elle est portée par un François qui a annoncé qu’il allait épurer la fonction publique. La violence, la surenchère de la violence est là, éclatante et aveuglante, puisque personne ne la perçoit ou ne veut la percevoir.

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Présentation

  • : Le blog de geosociologie.over-blog.com
  • : Mettre en relation différents regards en fuyant la critique positive, le politiquement correct, la médiocratie, l'infaillibilité ou toute autre forme de légitimité fondée sur une normalité et/ou une normalisation restrictive. Les propos tenus et présentés ont pour objectifs d'ouvrir des débats, de montrer qu'il existe autre chose que l'intellectualisme à courte vue, le gargarisme d'une élite auto-proclamée comme référence.
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