Nous avons l’obligation de penser, d’agir et d’être pavlovien comme l’a décidé la prétendue élite, ceux qui font de la politique un métier et non un service à la nation et aux citoyens. Cette pensée unique ce nivellement par le bas de l’analyse sociétale, de la lecture des réalités de la France, ainsi que de ce que vivent les français, n’est pas la tasse de thé des médiocrates et autres universitaires pavloviens.
Que ce soit Sarko ou François aucun des deux ne mettra un terme à l’imposture du CNU, aux modes de recrutements dans les universités, à l’obligation d’appartenance et bien-sur à celle de clientèle. La pensée unique l’obligation de s’exprimer dans les traces imposées de pavloviens qui sont trop bouffis de suffisance et d’infaillibilité pour se tourner vers le monde réel, celui auquel ils et elles ne peuvent pas avoir accès dissimuler sous leurs brillantissimes niveaux et autres gargarismes.
Dans la France d’aujourd’hui et cela c’est intensifié sous le mitterando-gaullisme, il est impossible d’exprimer une pensée décrivant la réalité, ce que vivent les citoyens, autre que les impostures intellectuelles de quelques gandins sortant des boites à prétendues élites qui verrouillent la France pour le pire à venir. Sarko ou François proviennent de ces réseaux, de ces appartenances et de ces clientèles. Ils ne peuvent pas les éradiquer.
Sarko a la prétention de servir le peuple de France : imposture ! Il n’a pas la dignité de répondre aux questions que des citoyens lui posent de manière redondante depuis plus de quatre années. Il a la prétention d’agir avec équité, mais ces cercles d’influences servent servilement les clientèles et les réseaux afin de préparer leur avenir à courte échéance, au détriment de tous ceux qui n’appartiennent pas à ces cercles vérolés.
Quand est-il de François ? Pour l’heure en se faufilant entre les pics, en se dissimulant, en s’enduisant pour devenir visqueux rien ne transpire. Mais les travers identiques à Sarko commencent à émerger. Il met en place ses réseaux, ses clientèles et ses lécheurs afin que le coussin soit confortable. Il méprise les citoyens autant que Sarko, puisqu’il ne parle pas d’eux, il n’a d’intérêt que pour les électeurs. Cette position démontre sa considération pour les citoyens.
Tout ça pour la pensée unique : les médias modèlent nos réflexions et nos références afin que nous pensions comme la prétendue élite l’a décrété au détriment de la nation, de la France ! La pensée unique, normalisée, nivelée, aseptisée ne peut produire que des miasmes et de la médiocratie. Cela semble satisfaire Sarko et François. Les abysses sont là !