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25 janvier 2012 3 25 /01 /janvier /2012 13:50

Les prostituées dans le département du Var deviennent, sont, plus discrètes depuis quelques semaines. Il apparait que la baisse des températures avec l’hiver engendre des mouvements de délocalisation des prostituées dans ce département.

Les zones boisées des routes départementales sont délaissées pour des lieux ensoleillés à proximité du bord de mer et du cœur des villes principales où sont localisés pour quelques semaines encore les clients potentiels.

Dernièrement des reportages ont montré les problèmes de la multiplication de l’envahissement des prostituées de l’est et des asiatiques que ce soit à Cannes, Nice en ne disant un mot sur ce qu’il se passe à Toulon.

Les prostituées, par l’esclavagisme des réseaux de contrôle et d’exploitation, tendent à s’implanter là où elles peuvent sans se faire verbaliser par la police qui ne fait que donner l’illusion d’une lutte organisée. Tout ceci pour en revenir à la réalité que les prostituées, dans le Var, s’adaptent aux dynamiques des contrôles territoriaux.

Elles modifient leurs territorialisations affirmant de nouvelles territorialités afin de préserver leurs revenus et alimenter les réseaux d’exploitation de l’esclavagisme sexuel. Cette triste réalité de la soumission au commerce du sexe pour les réseaux de trafics du banditisme et éclatant dans le Var.

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25 janvier 2012 3 25 /01 /janvier /2012 13:42

Les territoires de la région PACA sont bradés aux spoliateurs. Nous avons des aménageurs qui flattent l’ego et le narcissisme des politiques mais sont dans l’incapacité de concevoir des réseaux de desserte de la région avec la plus grande efficacité et surtout pour une projection sur le long terme.

Les investissements sont faits pour consommer, on ne voit pas plus loin que la rentabilité immédiate au détriment des populations locales et des petites gens. Cette ignorance, cette bêtise et cette cupidité sont des révélateurs d’une société gangrénée par l’illusion, les idéaux et les clientèles.

Nous en avons la preuve avec l’insoutenable loi qui porte sur les campings et les campeurs à l’année, qui n’ont que cette solution pour se loger. Là nous avons la démonstration de la rapacité, de la cupidité et la négation des citoyens portées par une classe politique plus intéressée par servir ses clientèles, ses cumuls de mandats et ses privilèges.

Les territoires de la région PACA par le prisme de la ligne LGV renforce cette réalité et la perversité de l’incapacité à servir les citoyens avec altruisme. Valeur qui semble ne pas exister chez nombre de politiques…

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25 janvier 2012 3 25 /01 /janvier /2012 13:25

Les médias nous ont inondés de constatations sur les violences scolaires et plus particulièrement sur le harcèlement. Ce fléau n’est qu’un constituant des formes de violences diffusées et territorialisées dans les cours de récréation.

Il apparait que les papiers de Brun-Picard Yannick ne sont pas encore assimilés. Il a démontré, à Sherbrooke en 2011 et bien avant depuis 2003, comment la violence scolaire se répand en nappe, par zones proximales de mise en œuvre et de validation.

Il a mis en exergue les mécanismes de reproduction, de conquête et d’exposition des diffuseurs de violences.

Il a prouvé que la violence n’était pas perçue dans ses réalités et que les adultes sont tout aussi responsables de son existence au cœur des établissements que les diffuseurs de violence.

Il a mis en évidence que nombre d’acteur ne tiennent pas leur rôle et diluent leur responsabilité dans des discours d’illusionnistes.

Tout ceci devrait peut-être être bientôt publié car il a proposé à nouveau un manuscrit… qui sait nous allons, enfin, sortir du sociologisme à courte vue et entrer dans le réel. J’attends avec impatience que cet ouvrage sorte. Il est probable que l’éditeur parvienne à un sursaut de conscience… Espoir !

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25 janvier 2012 3 25 /01 /janvier /2012 13:17

La violence ostentatoire devient une normalité dans les communications politiques. Les vecteurs de qualité douteuse, après de longues répétitions, s’exposent, étalent et répandent, à grand renforts de médiatisation toute la violence de leur démagogie aux oreilles des citoyens.

Là nous nous trouvons dans une opposition assourdissante. En effet, nous avons des propos et des développements liquoreux qui ne sont violents qu’à destination du parti opposé. C’est une violence verbale contre l’adversaire, l’ennemi. Nous avons une violence silencieuse qui s’exerce dans la forme des normes, des modes de communication qui sont là, dans toute leur grandiloquence,  parce que le citoyen, l’électeur, voit la force de conviction, d’opposition et de coercition dont est capable le dévidoir à idéaux.

L’image est là : un nouvelle facette de la violence ostentatoire. Et, nous demeurons pantois devant le triste spectacle de la déchéance de notre humanité.

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24 janvier 2012 2 24 /01 /janvier /2012 12:38

Nous avons assisté il y a quelques jours à une superbe manipulation pédagogique ou une démonstration de l’art politique dans toute sa perversité. A croire qu’il s’est inspiré des heures les plus sombres de l’histoire de l’humanité pour nous donner un spectacle à la limite de la propagande. Il fait, il agit, il emploie les mêmes outils de la communication, de la manipulation et du phagocytage que les derniers dictateurs.

Il déploie des trésors d’illusionnisme pour faire rêver le peuple. Il lui fait écouter ce qu’il veut entendre. Il dissimule derrière son incompétence, sa cupidité et son absence de considération pour les citoyens, sa soif incommensurable de pouvoir, de vengeance et un ego sarkozyen. Ça a fonctionné. Tout le monde lui lèche les fesses. Il est presque fait empereur à la place du précédent.

Cette situation lamentable pour la démocratie démontre l’ignorance et la bêtise de Sarko qui a tellement écrasé le peuple qu’aujourd’hui il ne lui reste que cette triste option, même si chacun de nous à conscience que ce sera encore pire.

Il a parfaitement compris la démarche médiatique d’une prétendue pédagogie différenciée. Il reformule, adapte et réoriente mais sans pour cela entrer dans le concret. C’est ce qui est pratiqué dans les écoles : on se contente de blablatage : ça donne l’illusion d’avoir acquis mais les réalités on s’en tamponne !

Le tour médiatique d’une démagogie dictatoriale d’illusionnisme est en place. Nos attentions sont focalisées sur un flot de paroles totalement vide de perspectives, d’avenirs et de constructions ancrées. L’art politique est porté à son paroxysme soutenu en cela par les médias qui encense l’exercice. Sans avoir la dignité de montrer que tout n’est qu’illusion et qu’il y a loin des propos à la tâche à accomplir.

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21 janvier 2012 6 21 /01 /janvier /2012 09:03

Dans le monde de l’enseignement la réflexivité tient une place non négligeable et tend à justifier voire à légitimer les comportements, les orientations et les profonds dysfonctionnements du système éducatif français. Il en est de même en politique. Toutefois, la réflexivité en politique tend vers une simple démonstration de réflexes devant des évènements et des réponses à donner sans montrer que l’on ne fait que du vent.

Au risque de déplaire à un lecteur, qui me demande si je ne suis pas cette personne, je reprends les développements de Brun-Picard Yannick dans le domaine de la pédagogie, de l’andragogie et de l’enseignement pour faire un crochet en direction de la réflexivité. Pour Brun-Picard Yannick la réflexivité n’est qu’un constituant de la praxéologie.

Cela implique que si ce constituant, quelque soit son importance dans la réalisation d’une démarche praxéologique, est employé seul, de manière monolithique, nous obtenons une démarche biaisée, orientée et doctrinaire. En effet, le pratiquant ne peut parvenir à voir que ce qu’il souhaite voir et ne peut répondre qu’à ce qu’il souhaite répondre. Les politiques en sont la démonstration vivante et accablante d’une perversion dialectique. Cela est dû à l’impossibilité de pratiquer une dialogique réelle.

La pratique de la réflexivité chez des enseignants, dans les sciences de l’éducation qui mettent Schön sur un piédestal, en oubliant tout ce qui accompagne et précède cet exercice, atteste d’une volonté de manipulation, consciente et inconsciente par ignorance, des esprits à l’écoute des propos diffusés. Nous avons ainsi des utilisateurs qui s’approprient une démarche sans prendre les éléments qui lui donnent corps et seraient à même de les mener à la production de résultats efficients.

Que ce soit Sarko ses potes François, ou Marine et même leurs illustres prédécesseurs tous ont pratiqué la réflexivité sans savoir qu’ils l’employaient. Cette technique de communication qui donne aux publics l’impression d’être entendu, d’être pris en considération et aux systèmes de se voir considérés est aussi vieille que la démagogie chère aux Athéniens.

La réflexivité est vitale en éducation, en enseignement, en science de l’éducation et en politique. C’est une évidence. Il est tout aussi évident, incontournable et vital que la réflexivité soit à sa place : un constituant de la démarche praxéologique. Mais là je me paluche grave ! Il faudrait pour y parvenir que les sciences de l’éducation pratiquent sur elles la praxéologie, ça j’en doute ! Pour parvenir à une telle révolution cognitive, à un basculement de paradigme, il faudrait que les tenants de méthodologies à courte vue conçoivent que la réalité ne peut pas être mise en équation et que la dissimulation derrière des chiffres n’est qu’une illusion qui ne fait que démontrer l’intellectualisme et la suffisance de démarches sectaires et idéologiques.

Que la réflexivité tienne une place conséquente dans les sciences de l’éducation, dans la politique ainsi que dans nombre de doctrines de gestion des conflits sociaux, me satisfait sans me mener à la plénitude. Pour y parvenir il suffirait que ces praticiens si bercés d’idéaux, de doctrines sociétales qui font que l’autorité n’est tolérée que lorsque c’est eux qui la pratiquent, ou encore qui ne peuvent pas admettre qu’il existe des personnes qui pensent en dehors des cursus et de la normalité institutionnelle, exercent la praxéologie.

Hélas ! La praxéologie impose : l’humilité, l’empathie, l’abnégation, le décentrement, autocritique, la considération, la projection et surtout, le plus important à mes yeux et aux analyses de Brun-Picard Yannick, la capacité à lire la réalité, non pas avec une grille normalisante formatée aux idéaux mais, avec des grilles, des approches et des démarches qui permettent de s’approprier les facettes de la réalité que l’on est capable de déceler afin, par similitudes, d’extraire des vecteurs à même de structurer une théorisation.

Pour certains je vis dans une autre galaxie. C’est probable. Cependant, en mettant en œuvre la praxéologie au cœur des démarches éducatives, des méthodes d’enseignement, ainsi, et surtout comme colonne vertébrale d’une pédagogie évolutive pour laquelle la pédagogie différenciée tient une place majeure, chaque pratiquant devrait être en mesure d’aller plus loin que ses croyances et que la satisfaction de son ego afin de servir les personnes, les citoyens, auxquels il s’adresse.

En outre, la praxéologie, à mon sens domaine des théories des sciences de l’éducation encore vierge, permettrait, dans le cas où les tenants contemporains des sciences de l’éducation feraient l’effort, pour certains insurmontable d’admettre leur fourvoiement, de mettre en synergie la didactique et la réflexivité, intégrées dans une pratique pédagogie pour laquelle l’individu auquel s’adresse le discours proposé est au centre des préoccupations. Des leçons sont à retenir pour les enseignants, les acteurs des sciences de l’éducation, ceux de la communication et bien sur les politiques.

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20 janvier 2012 5 20 /01 /janvier /2012 16:53

La souffrance scolaire vécue à l’école par les élèves au potentiel écrasé, dénigré, ignoré et surtout incompris par la quasi-totalité des enseignants est indépassable. Des centaines d’enfants s’ennuient dans les classes du primaires, sont écœurés au secondaire et disparaissent par la suite car aucun enseignant ne s’est donné la peine d’observer ce qu’il a devant lui.

En effet combien d’enseignants en primaire et en secondaire font leur travail en se posant la première question que tout enseignant à l’obligation et le devoir de se poser : « à qui ai-je à faire ? Et juste après que peuvent-ils savoir ? En près de trente années j’en ai rencontré peut-être même pas une poignée et ce n’étaient que des vieux qui avaient suivi l’école normale ou ils y rentraient avec un niveau largement inférieur à ceux qui exercent de nos jours… Là la racaille devrait être sur le bûcher !

La pédagogie, c’est-à-dire l’art pédagogique, n’est pas admis dans les établissements. Aujourd’hui les médiocrates si brillants agrégés et autres certifiés se gargarisent de didactique pour laquelle les inspections ne voient pas plus loin que le vent que cela brasse. La pédagogie n’est plus présente dans les écoles. La didactique transférer le savoir savant en savoir courant est la norme.

Les enseignants ne sont plus capables de pratiquer une pédagogie différenciée dans la classe. Ils ne sont pas capables de lire les élèves. Ça les sciences de l’éducation doivent être chargées de haine envers ces propos car ce sont les sciences de l’éducation est autres sociologues de l’éducation qui sont responsables de cette déchéance et de cette incompétence, cette inaptitude pédagogique.

Les enseignants font de la reformulation. Ils prennent le document et construisent leur cours : fumisterie ! Sur quels fondements les élèves peuvent-ils avancer si les bases ne sont pas inculquées avec rigueur et fermeté ? Sur des marais et voilà le système éducatif dans toute sa splendeur.

L’absence de pédagogie, l’absence de formation à la pédagogie, l’incompétence criante des doctrinaires idéologues des sciences de l’éducation soutenus par les inspections qui font la négation de l’importance de la pédagogie sont autant de vecteurs à la situation dans laquelle des élèves au fort potentiel décrochent. L’incompétence, l’ignorance, la bêtise, la suffisance et l’infaillibilité font leur œuvre elles contribuent à broyer les élèves qui ne rentrent pas dans le moule.

Il n’est pas demandé aux élèves d’être brillants mais seulement de satisfaire. Pour faire émerger ces élèves, qui souffrent, qui sont détruit par de la racaille qui justifie et légitime toutes ses perversités et ses errances éducatives, il faudrait une révolution. Hélas personne ne touchera à ces gandins qui brasse de l’air et enterrent vivants des élèves car l’école ne fait pas son travail.

Mais pour faire de la pédagogie, pour parvenir à une démarche praxéologique telle qu’elle est définie par Brun-Picard Yannick, il faut acquérir de l’expérience, il faut s’arracher, il faut vouloir lire les élèves, il ne faut pas lécher les culs, faire des courbettes et plier devant des parents déresponsabilisés qui ne peuvent que mépriser les enseignants qui ne font que donner l’illusion.

Le mérycisme est une tare de l’éducation nationale depuis plus de trente ans. Les prétendues sommités, à  l’image des Bourdieu et autres imposteurs, qui ont détruit le tissu éducatif français simplement pour que leurs idéaux soient valorisés soutenus en cela par un mitterandisme, pour lequel le droit d’inventaire devrait être fait et des sanctions devraient être prises, doivent être chassés des écoles et que les enseignants qui font leur boulot puissent avancer. Non ceux qui ne font que produire du vent comme on le voit tous les jours avec pour résultats la désagrégation du système éducatif.

L’enseignement n’est que ce que les enseignants en font. L’égocentrisme est si démesuré actuellement qu’ils sont aveugles aux réalités et se vautrent dans la lâcheté d’une fuite en avant vers la didactique et ses errances pavloviennes. Sarko en est aussi responsable puisqu’il n’a rien fait pour mettre un terme à ces impostures, à ces fumisteries et à ces escroqueries.

Pendant ce temps des élèves au potentiel élevé s’autodétruisent car ils ne rencontrent que des indignent à la fonction de pédagogue.

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16 janvier 2012 1 16 /01 /janvier /2012 20:03

La manipulation médiatico-communicationnelle est un art que des démagogues peu scrupuleux, pour ne pas dire des plus dangereux pour le devenir de la France emploient à toute occasion afin d’exister sur la scène médiatique et faire croire aux français qu’ils ont un projet, qu’ils maitrisent la situation et qu’ils sont les sauveurs.

Tout ceci n’est qu’illusion. Nous avons le Sarkholland qui est entrain de détruire le peu de crédibilité qu’il reste à la France. Nous avons une agence qui a enlever le triple A, mais deux autres l’on laissé. Il est vrai plus pour très longtemps car il faut payer le coût exorbitant des 35 heures de la CMU et des aides sociales accordées avec largesses aux étrangers sans que les français qui sont au smic puissent obtenir quelque aide que ce soit, car ils travaillent.

L’imposture devient si flagrante, l’inertie médiocratique des français si atterrante, et la soumission des médias si éclatante, que je me demande comment vont faire les citoyens pour voter en mai et choisir celui qui fait le moins d’impostures, celui qui propose les actes les plus cohérents, celui qui est dans la réalité et non dans le mensonge, l’incompétence et la surenchère médiatique au soleil de Martinique.

Les manipulations sont là. Elles nous mangent chaque jour un peu plus mais pendant ce temps les hauts salaires, les nantis et les clientèles poursuivent le gavage. Il est intolérable de voir les médias agir de la sorte. Il est intolérable d’admettre que des politiques ne fassent qu’œuvre de menteries pour se faire élire et fassent la négation totale des méfaits dont ils sont responsables.

Nous touchons le fond. Nous avons trop de personnes qui n’ont qu’une seule finalité : se gaver au détriment de la multitude. Et dans tout ça l’humanité, vous savez l’animal qui possède la faculté de conscientiser ses actions et doit, devrait, être en mesure de ne pas reproduire des erreurs. Hélas nous avons de la racaille qui se réfugie derrière des méthodes, des théories et des appartenances pour légitimer leur spoliation de la nation.

Il est temps que Sarko fasse son boulot. Qu’il réponde aux citoyens qui lui posent des questions. Qu’il expose ce qu’il veut entreprendre et qu’il démontre la pertinence. Pour ce qui est des autres c’est de la grande rigolade. Quand on voit un brasseur d’air qui n’a pas le courage ou la dimension présidentielle pour dire qu’il va se mettre au service total de la nation et de tous les citoyens. Cela signifie qu’il n’est là que pour sa gloriole : lamentable !

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14 janvier 2012 6 14 /01 /janvier /2012 17:37

Viols aggravés et violences scolaires de nature physique, voilà ce qui vient de se produire dans un établissement scolaire du nord de la France. Quatre adolescents ont abusé d’une gamine de quinze ans dans tous les sens du terme. Voir que de tels actes de violences sexuelles peuvent être perpétrés dans un lycée ou un collège me révolte.

Ce qui me révolte tout autant c’est qu’il y a guère plus de trois mois j’ai mis en évidence des formes de violences sexuelles dans des établissements en exposant que des adolescents hurlaient dans les toilettes : « pompe moi, pompe moi ». Aujourd’hui, dans à l’autre bout de la France des faits similaires éclatent au grand jour.

Cela me ramène aux violences scolaires non signalées dans les établissements qui ont été étudiées par Brun-Picard Yannick. Il a mis en évidence que des zones noires existent dans nombres d’établissement et qu’il s’y déroule des actes d’une rare violence. Les maisons de publications n’ont pas donné suite à ses projets de publication d’un ouvrage où il démontre cette triste réalité.

Que faut-il pour qu’il puisse enfin parvenir à publier ses recherches ? Qu’un réseau de prostitution d’adolescentes soit découvert dans un lycée ?

C’est écœurant nous avons un chercheur indépendant qui expose, démontre et théorise sur un thème réel, et il ne peut pas publier, ses manuscrits partent aux oubliettes, et pendant ce temps des viols aggravés sont perpétrés sur des filles de quinze ans, alors qu’il à démontré que cela existait et moi, j’en ai donné l’exemple.

Il est vrai que si les travaux de Brun-Picard Yannick venaient à être publiés il est probable qu’il se fasse nombre d’ennemis pour ne pas dire que l’éducation nationale le taillerait en pièce ainsi que toutes les personnes qui ne tiennent pas leur rôle d’adulte dans un établissement. Mais, apparemment la société, les maisons d’éditions, les médias, préfèrent voir des gamines de quinze ans violées dans les collèges et les lycées plutôt que de soutenir les publications d’une personne qui met la réalité face à notre aveuglement.

Les violences scolaires non signalées sont un fléau dans les établissements scolaires. Les violences sexuelles sous toutes leurs formes sont des plaies béantes dans nos sociétés. Ces négations de notre humanité sont renforcées par le silence des maisons d’édition qui ne veulent pas publier des travaux de recherche sur les violences scolaires comme ceux de Brun-Picard Yannick, qui sans détour dit : « voilà la réalité, voilà ce que personne n’accepte de voir, voilà ce que l’on peut entreprendre pour y répondre ». C’est trop !

Brun-Picard Yannick n’appartient pas aux réseaux, aux appartenances, aux laboratoires et moins encore aux clientèles. Il est donc impossible qu’il parvienne à publier au moins cet ouvrage. En effet, pour que ses travaux sur les violences scolaires non signalées dans lesquelles les violences sexuelles sont avérées, il faudrait que les systèmes acceptent qu’une personne hors des normes puisse botter le cul aux illusionnistes. En France : impossible ! Nous avons une élite sociologique…

C’est vrai aussi que quelque part la politique éducative de Sarko peut être mise en cause ainsi que la démission de ses adversaires qui sont trop bouffis d’idéologie pour regarder ce dont ils sont responsables. Toutefois, ça ne coûterait rien, si ce n’est quelques milliers d’exemplaires publiés et la violence scolaire, celle que personne n’accepte de voir serait sur le devant de la réalité. Il est probable que des viols ne soient plus aussi facilement perpétrés si cet ouvrage, que les maisons d’éditions ne veulent pas publier, parvient à sortir.

Nous sommes à nouveau devant un phénomène qu’a décrit Brun-Picard Yannick, qu’il a théorisé, et nous avons encore des viols dans les lycées. Cette triste réalité est intolérable. Tout autant qu’une gamine de quinze ans subisse des viols.

Il est vrai qu’avoir raison avant les autres est sociétalement inadmissible. C’est à pleurer !

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14 janvier 2012 6 14 /01 /janvier /2012 17:08

La surenchère permanente que se livrent les politiques mettent la France, vous savez, la nation française au bord du gouffre. La seule chose qui compte c’est leur gamelle et le service de cercles de clientèles, le reste ils s’en foutent eux ont des retraites phénoménales alors que les citoyens ont que du vent et des promesses.

Ainsi, nous avons une personne qui a l’outrecuidance d’affirmer à grand renforts médiatiques qu’elle a œuvré pour que la France ne perde par son triple A. Et à côté nous avons un brasseur d’air qui affirme que le précédent n’a rien fait. C’est-à-dire que nous avons une personne qui s’est battue, tout est relatif, pour que la France préserve son triple A, sans avoir les couilles de faire ce qu’il fallait. Et de l’autre côté chez les pavloviens nous avons une personne qui ne fait qu’aboyer sans avoir proposé une seule option viable, possible et réaliste. Nous avons une personne qui arcboutée sur ses idéaux de libéralisme et de clientélisme nous fait croire que tout a été fait pour préserver la France. Et, nous avons une personne qui en réalité ne fait que des promesses, des tours de prestidigitateurs et de l’illusionnisme.

L’un à fait quelque chose et a échoué, mais il a entrepris, même si ses orientations étaient et sont des démonstrations de bêtise, de suffisance et d’infaillibilité. L’autre en grand inquisiteur et dans toute la splendeur du médiocrate fait preuve, démontre à chaque instant : son incompétence à lire la réalité, sa suffisance et son infaillibilité.

Nous avons les deux mêmes. L’un est un trop actif, et l’autre un trop brasseur d’air plein de vent. Avec tout ça où va aller la France ? Un peu plus profondément qu’elle ne l’est à l’heure actuelle. Comme je l’ai mis en évidence ils pratiquent tous deux une pédagogie différenciée pour nous faire avaler des couleuvres monstrueuses. Tous deux étant aux opposés ne font que développer des stratégies afin de préserver leurs réseaux, leurs appartenances et leurs clientèles.

Tous deux sont aussi indignent l’un que l’autre puisque qu’aucun d’eux n’a la décence de répondre au citoyen qui pose des questions. Tous deux ne font que parler. Tous deux nous roulent dans la farine pour leur gamelle au détriment de la notre.

La violence ostentatoire, chère à Brun-Picard Yannick, est si écrasante qu’elle nous aveugle. Il apparait que nous sommes tellement formatés par les errances du système éducatif que nous devenons incapables de toute réaction devant ces spoliations des biens publics et de l’intégrité de la nation. L’un fait, l’autre critique. L’un tente, l’autre brasse. L’un mouille la chemise, l’autre donne l’illusion. L’un sert ses clientèles, l’autres met dans le rouge son département. L’un tape là où il ne faut pas et préserve les pavloviens, l’autre œuvre pour que les gouffres sociétaux continus à s’élargir.

Tout va bien nous sommes devant une imposture médiatique et politique de premier ordre. Nos politiques sont devenus aussi cupides et dénués de valeurs effectives que les démagogues qui ont mené Athènes à sa ruine en son temps. Le plus inquiétant dans tout ça, ce sont les médias et autres imposteurs en tout genre qui s’efforcent de nous convaincre de la pertinence des actions si nuisibles.

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