Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
11 juillet 2012 3 11 /07 /juillet /2012 08:19

Que dire de plus que : « Quelle souplesse ! » ? Cela ne fait pas trois mois que les nouveaux locataires du pouvoir de la gamelle sont installés que déjà nous avons la démonstration par la pratique de toute la souplesse de l’illusionnisme.

Cette souplesse est intellectuelle. Sous le principe de ne pas employer certains mots ont fait croire aux français que la rigueur n’est pas là. On fait croire au peuple que les seules options viables sont celles qui vont faire payer les salaires moyens et préserver les autres.

Souplesse de l’illusionnisme car la présidence fait du Sarko dans les actes. Elle ne répond pas aux questions des citoyens. Est-ce admissible de voir des personnes qui prétendent faire leur travail mais choisissent les tâches les moins salissantes pour faire croire qu’elles œuvrent pour la nation ?

Souplesse de l’imposture qui focalise les thèmes de réflexion sur des domaines pour lesquels il n’y a pas de prise et pour lesquels aucune action courageuse ne sera entreprise car il faudrait mettre devant leurs incompétences les pavloviens produits du mérycisme de l’énarquisme rampant.

Souplesse de la dissimulation des réalités sous la manipulation médiatico-communicationnelle si néfaste aux devenir des sociétés, qui inscrit les réactions et les gestions dans l’immédiateté d’une inertie négative pour laquelle seule l’image de l’instant prime sur le devenir.

Souplesse au regard des engagements. Où est la protection des travailleurs pauvres ? Nulle part. Ils vont payer un max. La multitude, phagocytée par l’imposture produite par les syndicats qui n’agissent plus depuis des décennies pour les travailleurs mais pour leur gamelle, va subir de plein fouet cette doctrine où les politiques disent tout et son contraire.

Souplesse quant aux engagements pour l’emploi. Nous voyons que dans l’éducation les auxiliaires de vie scolaire qui ont déjà quatre années de contrat seront peut-être reconduits mais est-ce légal que des employés de l’Etat soient en CDD et en grande précarité à mi-temps simplement du fait de l’incompétence de gestion d’imposteurs ?

Souplesse sur la prostitution, Najat n’a pas lu les travaux de Brun-Picard Yannick sur ce thème, tu m’étonnes il faudrait admettre que ceux qui ne sont pas dans les cercles, les réseaux et les clientèles puissent avoir un cerveau. Ce qui fait que ce n’est que de l’illusion pour focaliser l’attention et dissimuler la misère des incompétences à concevoir le monde d’après demain.

Souplesse sur la lâcheté démontrée pour mettre un terme immédiat au cumul des mandats, à l’intolérable situation qui fait que la politique est un métier. Lâcheté devant l’obligation de mettre l’âge minimum pour être éligible député, sénateur et nommé ministre à 40 ans, et âge maximum d’élection à 65 ans.

Souplesse dans l’illusionnisme des décisions, des projets irréalisables pour l’éducation nationale où personne ne veut, n’a les capacités de regarder en face ce qui ne fonctionne pas et ne fait que faire comme les médiocrates dans les universités se gargariser sur ce qui fonctionne.

Souplesse quant à l’absence de décisions fortes comme sous Sarko où les seules orientations prises avaient pour finalités de servir ses cercles et ses clientèles en toute discrétion. Aujourd’hui nous vivons la même chose, les blablateurs et blablateuses n’ont pas le courage d’aller chercher ailleurs pour répondre aux maux auxquels l’Etat à le devoir de répondre.

Souplesse quant aux responsabilités réelles, aux sanctions pour incompétences dans tous les domaines du recrutement des fonctionnaires qui ne répond plus aux normes d’efficience, mais ne fait que justifier l’existence de boites à pavlonisme médiocratique, qu’il faut éradiquer.

Souplesse quant à la considération pour les citoyens puisque la présidence ne répond pas aux questions posées sur site de la présidence !

Souplesse enfin, de notre part pour la tolérance à ces impostures portées par Peillon, Najat, Marisol et leur copain Ayrault… Le pire est à venir tout en souplesse… !

Partager cet article
Repost0
9 juillet 2012 1 09 /07 /juillet /2012 07:54

Le gouvernement veut sauver le modèle social, à défaut d’avoir le courage de préserver une conception sociétale. Oui, le modèle social français est malade.

Le modèle social est gangréné car les politiques n’ont pas le courage de regarder la réalité en face et d’analyser ce qui plombe les comptes. Il est vérolé car des structures se gavent sur le dos des fonds de financements. Il est déstructuré car des idéologues de fond de cuvette confondent l’humanitaire et la consolidation sociétale.

Le modèle social sursaturé de l’idéologie de tout le monde il est beau tout le monde est gentil est orienté au détriment des citoyens. Les citoyens ne peuvent plus avoir accès aux soins ainsi qu’aux avantages sociaux qui sont phagocytés, pompés, par des démarches qui vident les caisses.

Le modèle social français en a rien à faire des citoyens de base de ceux qui font la France, de ceux qui s’arrachent pour à peine le smic, pour ceux qui voient que de nombreuses personnes abusent, en tout impunité, des perversion du système social, qui n’a plus la finalité d’être un ciment sociétal.

Le modèle social français est devenu un moyen de se faire élire, de préserver les spéculateurs des soins médicaux et autres cliniques privés. En faisant de la médecine un commerce, un outil de spéculation et de mercantilisme de cupidité, les politiques sont les premiers responsables de la dégénérescence que nous vivons depuis trop longtemps.

Le modèle social français n’est qu’un outil électoraliste que l’ignorance des réalités à transformé en une pompe à fric pour des médecins et autres organismes qui alimentent des réseaux qui vident les caisses alors que les agriculteurs à la retraite vivent dans un dénuement proche du tiers monde.

Le modèle social est une illusion qui fait croire aux français que la société française peut, à les moyens, de prendre soin des citoyens et en même temps, trop souvent au détriment des citoyens, toute la misère du monde.

Le modèle social françaispratiqué par des médiocrates pavloviens oublie que ses agissants ont le devoir de servir les citoyens et ensuite accueillir dans la mesure du possible ceux qui en ont besoin. Il ne doit pas devenir l’hôpital de la Méditerranée où la multitude vient accoucher, se faire soigner et avoir des revenus supérieurs à ceux qui travaillent et sont des travailleurs pauvres.

Le modèle social français exige que les illusionnistes en place aient le courage d’analyser les causes de la situation et de mettre en exergue ce qui est nuisible pour répondre à ces aspects négatifs et non, comme ils le font en ce moment se gargariser de ce qui fonctionne de manière acceptable.

Le modèle social français est à bout de souffle car les sources de financement sont calibrées pour les citoyens et non pour la multitude qui abusent des idéaux de la révolution. La France n’a pas, n’a plus les moyens des idéaux humanistes, ou alors il lui faut s’armer pour mettre un terme immédiat aux magouilles qui vident les caisses.

Le modèle social français, sclérosé par les conceptions médiocratiques, électoralistes, mercantiles et clientélistes, est orienté à la seule satisfaction de ceux qui en bénéficient et oublie les citoyens qui n’ont aucune aide car ils travaillent.

Le modèle social français ne peut plus souffrir de voir des illusionnistes du blablatage dilapider les ressources disponibles dans des gouffres qui font que les fonds partent pour d’autres destinations que le territoire national. Il doit se fixer sur les populations qui souffrent et non sur celles qui viennent ici parce qu’elles ont plus de droit que les nationaux.

Le modèle social français, orienté comme il l’est, détruit le ciment sociétal car les politiques, les manipulateurs médiatiques, ont vendu l’humanisme français sur l’autel de la cupidité et de l’électoralisme sans préserver les citoyens dans une grande précarité. Il est vrai que prendre les citoyens pour référence n’est pas vendeur.

Le modèle social français par l’ignorance de ses responsables n’est plus capable de soutenir les citoyens, c’est la première étape de la désagrégation sociétale. L’ignorance médiatico-communicationnelle pratiquée par les manipulateurs, sous l’égide d’idéaux inertiels, mène la France au fond des abîmes.

Jamais les institutionnels n’auront le couragede croiser les fichiers, de vérifier les cartes vital, de contrôler les niveaux de vie, de faire leur boulot : ce n’est pas politiquement correct. Pendant ce temps le modèle social français est vendu aux prédateurs.

Partager cet article
Repost0
6 juillet 2012 5 06 /07 /juillet /2012 08:03

Tout va bien ! Les Français sont dans le rêve, l’illusion et en pleine séance de prestidigitation. Pas de soucis, pas d’inquiétudes, les cercles, les réseaux et les clientèles seront préservés.

L’école devrait être refondée. Grand bien lui fasse. Mais le gargarisme intellectualiste qui se déroule en ce moment ne fait que regrouper des personnes formatées, dépendantes et orientées en direction d’idéologies pour lesquelles ce qui se passe dans l’enseignement est normal. Comme par exemple des enseignants qui chaque jour démontrent leurs incompétences pédagogiques mais étale leur suffisance didacticienne.

Les impôts, avec les nouvelles hausses, vont saigner les ménages aux faibles revenus qui payent des impôts sans égratigner les hauts revenus. Les manipulations comptables vont faire que la multitude va se trouver dans une situation lamentable.

La prostitution, une proposition veut l’abolir mais personne ne prend conscience des réalités. Il est vrai que pour conscientiser il faut parvenir à une pratique de la praxéologie. Elle n’est pas enseignée dans les universités car la médiocratie intellectualiste est incapable de sortir du pavlonisme et de la réflexivité.

L’industrie et les entreprises, devraient être soutenues. Tout ce qui se passe en ce moment atteste que la France se tourne vers des services, des illusions et la perte inexorable des richesses produites par le travail de haute valeur ajoutée.

Les universités, la suffisance est tellement prégnante que la restructuration en profondeur des réseaux de clientélismes, des appartenances et des impostures n’est même pas envisagée. Il pratique l’illusion de la prise en considération des réalités. Les programmes ne sont même pas modifiés pour répondre aux marchés, tu m’étonnes Charles il faudrait que les imposteurs se mettent au travail !

Le cumul des mandats ne sera pas toucher. Les démagogues veulent cumuler et se gaver alors qu’ils doivent être au service de la nation et non de leurs intérêts égocentriques. Jamais les lâches n’auront le courage de mettre une limite d’âge inférieur à 40 ans pour les mandats nationaux et 65 ans pour limite supérieure, avec au maximum 4 mandats.

La France et sa constitution, sont foulées aux pieds comme avec les prédécesseurs qui n’ont fait que servir leurs clientèles. Nous sommes dans un système constitutionnel établi pour servir une forme de pouvoir avec des conjonctures sociétales particulières. Aujourd’hui les politiques ont le devoir de modifier la constitution pour faire avancer la nation.

Le système de santé, vérolé par la cupidité, le scandale du numérus closus qui produit 80% de médecins qui conçoivent leur pratique comme une activité mercantile et la santé des citoyens elle aussi est rangée dans la case mercantiliste. L’hôpital public où nous avons des directeurs à la pelle qui ne payent pas de loyer, d’eau et d’électricité constituent un gouffre économique qu’il faut éradiquer immédiatement.

La fonction publique est gangrénée par les dites grandes écoles qui produisent des blablateurs qui ne connaissent rien au travail de base et se gargarisent de théories et autres réunionites sans gain d’efficacité si ce n’est pour leur carrière et leur confort. Jamais les politiques n’auront le courage de faire en sorte qu’une pyramide réelle soit instaurée dans la fonction publique, que les nominations soient faites que lorsque le poste est libre.

La France est orientée vers le refus de percevoir les réalités. La France est sclérosée par les clientèles et la médiocratie dissimulées sous le brillantissime pavlonisme des dites grandes écoles, qui si elles étaient efficaces devraient produire des solutions pour une existence meilleure pour la multitude. La France est vérolée par la classe politique qui n’a pour objectif que servir ses intérêts dans l’immédiateté politicienne au détriment du devenir de la nation et de l’intérêt des citoyens.

La France produit de l’illusion sans avoir la capacité de s’extraire de l’intellectualisme car il faudrait que les imposteurs daignent considérer les autres et non agir exclusivement pour leur nombril. La France est désagrégée par les actions de Peillon sa copine Najat ou son pote Ayrault sans omettre François qui préfèrent demeurer dans l’illusion que de mettre les mains dedans et d’avoir le courage d’aller chercher des esprits qui mettraient un terme à ces impostures.

La France avance vers l’abîme… tout va bien !

Partager cet article
Repost0
3 juillet 2012 2 03 /07 /juillet /2012 18:55

Du grand art que cette fuite en avant. La situation de la France était connue bien avant les élections. Il est vrai que le désastre n’était pas acté, mais arriver où nous en sommes et atterrant.

Nous venons d’avoir le discours de politique générale qui nous a servi les mêmes illusions que lors de la campagne électorale. Nous n’avançons pas. Nous demeurons dans les miasmes et la préservation d’un système inertiel.

Une preuve : les services de la présidence n’ont toujours pas daignés, à l’image de ce qui firent ceux du prédécesseur, répondre aux questions posées. Est-ce tolérable ? Est-il admissible que les services de la Présidence, qui ont le devoir de répondre aux citoyens ne le fassent pas ? NON, NON et NON.

Il est probable que nombre de croyants ne puissent pas tolérer que des citoyens exigent que les services de la nation fassent leur travail et qu’ils servent les citoyens en prétendant que ces derniers doivent exécuter les directives du président… vive le gargarisme !

Au regard de ce qui se passe nous avons les mêmes genres d’acteurs qui servent leurs clientèles, leurs réseaux et leurs cercles de pouvoir et d’influence. Un tel déni de la Nation, un tel mépris des citoyens, une telle ignorance des devoirs des services, n’est que le reflet de ce qui s’est pratiqué juste avant.

Allons nous devoir vivre à nouveau cinq années de mépris, d’ignorance et d’absence de considération pour les citoyens parce que ces derniers dérangent la normalité normalisante du pavlonisme énarquien ? Il est très probable que oui.

Alors, il est temps que le président vaque à ses obligations de servir les citoyens, ceux qui lui mettent le nez dedans en lui montrant les errances, les scandales et les incohérences de ce qu’il cautionne. Il est temps de ne plus faire du Sarko dans les actes !

Pour ce qui est de Ayrault et de Peillon, même pas la peine d’en parler. Ils ignorent totalement les messages, les questions et les attentes de ceux qui ne sont pas de leurs clientèles, de leurs réseaux de lustreurs ou imposteurs médiatiques.

Ce n’est que de la fuite en avant rien de plus l’arrogance, la suffisance et l’infaillibilité furent les mamelles du sarkozysme, il est probable qu’elles deviennent celles du hollandisme…

Partager cet article
Repost0
30 juin 2012 6 30 /06 /juin /2012 07:57

Lutter contre la prostitution est un effet d’annonce. Car une lutte contre cette perversion de notre humanité implique que des femmes et des hommes qui louent leur corps pour des pratiques sexuelles s’enfoncent un peu plus dans la précarité et la dangerosité.

La prostitution quelque soit sa forme : visible dans les rues, les bois, sur les routes nationales, sur les parkings, devant les ensembles sportifs ou encore dans les lieux de consommation d’alcool, ne peut pas être endiguée, car d’autres formes existent comme les femmes et les hommes qui cèdent aux avancent de leurs supérieurs pour obtenir un poste : cela est de la prostitution.

La prostitution est le nouveau vecteur médiatique employé par Najat pour affirmer son rôle, sa place, sa légitimité et ses potentialités sur la scène politique ou plus justement et réellement sur la scène médiatico-politicienne.

La prostitution peut être encadrée. Toutes les prostituées devant être déclarées. Attribution d’une carte d’exercice de la prostitution avec photos, puce et suivi médical. Avec la localisation du lieu d’exercice l’appartenance à une structure collective ou en individuel.

La prostituée payera un montant minimum d’impôts de 3000 euros annuel, avec l’obligation de cotisation retraite, et autres cotisations sociales. Ainsi elle sera un travailleur comme les autres, seule différence elle vend son sexe et des services sexuels. Comparé à ceux et celles qui se vendent en écrasant les autres pour obtenir un poste, des questions s’élèvent sur l’intégrité.

Toute prostituée sans carte d’exercice sera jugée avec une peine planché trois ans fermes pour pratique illégale de la prostitution. Non règlement des impôts minimums : deux ans fermes. Tout souteneur et autre maquereau non déclaré cinq ans fermes. Ce qui met les peines planché en avant.

Les prostituées seraient surveillées, contrôlées, sur leur niveau de vie, leur lieu de pratique. Cela signifie que le législateur sera dans l’obligation d’armer police, gendarmerie et inspecteurs du travail pour qu’ils fassent respecter la loi.

Les réseaux ne pouvant avoir de filles avec des cartes d’exercices seraient en très mauvaise posture surtout si, enfin, les acteurs sociétaux prennent le courage de lutter contre cette forme de prostitution. Pour ce qui est de la prostitution de luxe même combat sans aucune pitié pour les réseaux, les souteneurs et les politiques qui cautionnent ces perversités.

Alors Najat, il suffit d’avoir le courage de le faire, de cesser de se dissimuler sous la médiocratie des bien-pensants et autres imposteurs politiciens, pour agir et imposer une réforme qui fera rentrer des euros dans les caisses de l’Etat et fera le vide dans les zones où les filles sont en esclavagisme sexuel.

La prostitution, pour son encadrement réclame, exige, impose que ce ne soit pas des imposteurs des écoles pavloviennes qui gèrent les miasmes. La lutte contre des fléaux impose que des personnes qui ne sont pas des animaux d’appareil soient recrutées. Mais, Najat est un animal d’appareil au regard de son parcours… ça ne sera que du vent médiatico-politicien.

Prendre en compte la prostitution ne se fait pas par le prisme de l’imposture intellectuelle pratiqué par de trop nombreux universitaires enfermés dans leurs croyances et leur misérabilisme. La prostitution exige que l’on regarde en face le phénomène et que l’on accepte de la conscientiser dans ses réalités.

Najat, je doute fermement que le courage de lutter de cette manière qui mettrait du contrôle, de la gestion, des lois et affirmerait la place du législateur soit une orientation concevable pour ceux qui prétendent avoir des responsabilités mais ne sont jamais responsables des maux qu’ils ont causés.

L’ébauche d’encadrement de la prostitutionavec des cartes d’exercice de la prostitution est lancée. S’engager dans cette direction réclame du courage, de la pugnacité et de la persévérance, et non de l’illusion politicienne des arrangements et des clientèles politiciennes.

Partager cet article
Repost0
26 juin 2012 2 26 /06 /juin /2012 15:27

Les discontinuités en ceci ou en cela sont à la mode des réseaux dits intellectuels et universitaires. Si nous regardons de plus près la situation du gouvernement actuel, le concept de discontinuité est valide.

En effet, les discontinuités ne sont que la poursuite sous une forme à peine différente de ce qui se faisait précédemment. C’est-à-dire, que l’on fait du Sarko sans Sarko et comme Sarko. N’est-ce pas superbe de parvenir à un tel mouvement inertiel rétrograde ?

Les discontinuités sont simples d’emploi, on peut y mettre tout et n’importe quoi sans la moindre difficulté. Le tout est que ce soit les institutionnels qui remplissent les cases de la vacuité du système au moins pas d’embrouille, on peut continuer à enfumer les citoyens.

Les discontinuités sont proposées par Peillon. Il met sur la table des postes, bonne chose il manque d’enseignants. Faut-il que ce ne soit pas des pavloviens qui soient recrutés ! Hélas lorsque l’on prête une attention soutenue aux réalités on se rend compte qu’il ne faut surtout pas sortir de la normalité de la norme normalisante sous peine de ne pas exister.

Les discontinuités sont des errances intellectuelles, sont une perversion doctrinaire et idéologiques afin de dissimuler les abysses conceptuelles des dernières décennies où des universitaires ont eu et ont toujours l’outrecuidance de prétendre nous éclairer sur les réalités du monde que nous vivons.

Les discontinuités sont les doctrines des clientèles qui font tout pour préserver les réseaux et les cercles d’influences afin que personne ne puissent s’exprimer d’une manière différente de ce qui a été établi par des médiocrates pavloviens sortant d’on ne sait trop où.

Parler de discontinuités dans les sciences humaines c’est faire la démonstration que l’on est incapable de définir un objet dans ses dimensions et ses implications. En d’autres termes que l’on est incapable de chercher au fond des choses et que l’on se contente de ce qui satisfait à la norme normalisante.

Les discontinuités sous-tendent que l’espace d’élaboration est lisse et qu’il ne peut y avoir de rupture. De cette manière pas de risques on se défausse sur les autres qui vivent les ruptures, les cassures et les frontières invisibles.

Les discontinuités sont une tare des sciences humaines qui enferment la cognition, le décorticage des phénomènes et la proposition de réponses pertinentes aux miasmes que nous côtoyons. Les discontinuités ne sont pas en mesure de rendre la réalité du monde. Elles ne font que rendre perceptible ce que ses concepteurs acceptent comme étant la réalité, sans même aller jusqu’à la vérité.

Peillon et son pote François font œuvrer les Français dans des discontinuités. Ce qui signifie que ces décideurs, ces responsables des futures catastrophes à venir dans l’éducation nationale conçoivent la situation actuelle comme normale, puisqu’il n’y a que des discontinuités.

Les discontinuités ne permettent pas de visualiser un territoire, puisque un territoire est un marquage, il crée une rupture dans la continuité de la surface terrestre. En employant la terminologie de discontinuité tous les phénomènes de violences, de délinquance ou de trafic et de territorialisation par la violence sont ainsi minimisés pour ne pas dire occultés des réalités sociétales.

Les discontinuités sont des éléments intellectualistes qui nuisent profondément à la compréhension des réalités de nos sociétés. Elles enferment dans la normalité toutes les actions entreprises et ferment les potentielles solutions pour parvenir à élaborer des dynamiques positives pour les citoyens.

Peillon s’enferme dans les discontinuités d’une réflexivité à courte vue. Normal il ne conçoit pas la praxéologie, tout comme les prétendus universitaires des sciences dites de l’éducation. Tout s’explique maintenant : en refusant de voir les ruptures dans un système sclérosé et rétrograde pour ne valider que des discontinuités, on ne fait que du lustrage et du blablatage, on donne l’illusion à tout un chacun que le problème est partiellement résolu, et pourtant ce n’est que de l’illusion, du rêve.

A force de discontinuités, le rêve va être douloureux !

Partager cet article
Repost0
23 juin 2012 6 23 /06 /juin /2012 16:04

Cet enfant mort au collège est intolérable. Ce malheur servira-t-il de leçon aux infaillibles, aux suffisants et aux médiocrates qui sont responsables de telles errances ? NON !

Se révolter, exprimer sa colère, sa rancœur, son ras-le-bol d’un système lorsqu’une catastrophe de ce genre frappe tous les parents, peut être mal compris. En effet, dire : « vous avez été prévenus ! » est tellement simple, que c’est faire du Sarko dans les actes que prendre ce malheur pour étendard.

Néanmoins, il est impératif, à mon sens de diffuser largement la réalité des faits de violences scolaires. Pour en donner une image, pour faire émerger une conscientisation, j’en reviens encore et toujours aux travaux de Brun-Picard Yannick sur les violences scolaires non signalées.

Dans une multitude d’établissements il n’existe pas de violences scolaires. Les cours de récréation sont paisibles, aucune fille ne subit de mise-à-l’air, aucun garçon ne se fait uriner dessus voir se trouve violenté, aucun garçon ne se trouve écrasé sous les coups de ses prétendus camarades. Ben voyons, Charles, le monde merveilleux des Bisounours…

Pourtant Brun-Picard Yannick a démontré l’existence de ce type de violences scolaires que les adultes ne voient pas, ne veulent pas voir, refusent de voir. Le premier à refuser ces évidences fut bien sur Sarko et ses conseillers soutenus en cela par un aréopage d’infaillibles.

Cette violence scolaire est là devant chaque élève. Même au primaire nous pouvons voir des gamins de 8 ans se ruer à grands coups de pieds sur leur camarade de classe, par jeux, par pulsions ou par vengeance. Tout y est. Ces traits comportementaux non encadrés, laissés pour normaux, deviennent des référents au collège et un mode identitaire au lycée.

Le système éducatif français est gangréné par les appartenances, les listes d’aptitudes, et autres modes de recrutement qui font en sorte que seuls ceux qui satisfont à la normalité parviennent aux postes : ne pas faire de vagues et faire en sorte de valoriser ceux qui prennent les décisions sans pour cela être responsables des conséquences qui arrivent.

La violence scolaire est une vérole apportée par ceux que le système à laisser le virus avancer et devenir la normalité. Une présidence normale ne signifie pas de prendre à nouveau les mêmes infaillibles pour reproduire ce qui démontre chaque jour que ça ne vaut rien.

La violence scolaire pour être éradiquée impose à la présidence normale, aux ministres normaux, de sortir de la normalité en allant chercher ceux qui mettent les mains dedans et sont en mesure de démontrer les mécanismes de la propagation des violences scolaires.

La violence scolaire exige pour être endiguée que la présidence normale ait le courage de ne pas recruter dans les cercles énarquiens, pavloviens et des clientèles des personnes en mesure non seulement d’aboyer mais surtout de mordre et de faire en sorte d’agir.

La violence scolaire, aujourd’hui, met un mort de trop sur le devant de la scène médiatique. Un enfant est mort sous les coups d’un autre élève simplement parce que les coups ont pu être portés. Il est temps d’agir et de cesser de se dissimuler sous les réseaux, les appartenances et les cursus pour légitimité.

La violence scolaire exige que les médiocrates qui n’ont pas alertés, qui n’ont pas informés et qui n’ont pas démontrés les mécanismes des violences scolaires non signalées soient éjectés pour que des réponses et des constructions soient entreprises afin d’agir au mieux sans se gargariser des chiffres.

La violence scolaire n’est plus tolérable que Peillon fasse monter à Paris Brun-Picard Yannick et qu’il lui expose les réalités qui n’apparaissent dans aucune publication des prétendus spécialistes des violences scolaires, lesquels font tout pour que les travaux de l’intéressé ne paraissent pas.

La violence scolaire exige que la présidence normale expose son courage, démontre sa capacité à dépasser la normalité pour aller chercher ce qui dérange, ce qui est dur à digérer, ce qui démontre que le système éducatif et ses prétendus spécialistes qui se gargarisent de concepts et de philo n’ont fait que servir leurs intérêts au détriment des élèves.

Sarko ne l’a pas fait, car il aurait dû toucher à ses copains et à ses cercles de pouvoir et autres clientèles. Son successeur aura-t-il le courage d’imposer à Peillon de le faire ? Pour ma part j’en doute. Ce serait une révolution que de voir un paria contribuer à l’ouverture des yeux d’un système normalisé, contribuer à la conscientisation de la réalité, et surtout contribué à valider la valeur de la différence et de la diversité intellectuelle.

Partager cet article
Repost0
23 juin 2012 6 23 /06 /juin /2012 08:09

Les violences scolaires sont là. Devant nous, chaque jour, des élèves se font agresser. Chaque jour des jeunes filles subissent des violences sexuelles et tout cela n’existe pas chez les fameux chercheurs.

Les violences scolaires ne sont pas simplement, ce qui est déjà très grave, les insultes envers les enseignants, les agressions verbales, ainsi que toutes les formes de violences signalées. C’est bien d’autres choses, ce sont les violences non signalées.

Les violences scolaires, il y a même pas deux ans ont été abordées par Brun-Picard Yannick lors du congrès de l’ACFAS à Sherbrooke, ce qu’il avait fait aussi en 2010 à Montréal. Les prétendues élites et autres institutionnels l’ont fait taire et ont enterré les travaux.

Les violences scolairesdécortiquées, étudiées et analysées par Brun-Picard Yannick, mettent en évidence l’absence des adultes, le fait que les enseignants ne sont pas présents dans les lieux où les violences se déroulent et surtout une volonté de ne pas aller mettre les mains dedans.

Les violences scolaires sont la mort de l’élève survenue à Rennes, et le viol de la jeune élève il y a deux jours. Si les adultes ne regardent pas ce qu’il se déroule dans une cour de récréation les élèves sanctuarisent l’espace et le transforme en territoire de violence.

Les violences scolaires nous les avons tous vécues de quelques manières que ce soit. Les petits loubards, les caïds de la zone, ou encore les protégés se livrent aux violences de tous temps. Dès lors qu’il n’existe pas de frein à leurs pulsions à leur soif de violence celle-ci se répand.

Les violences scolaires sont là. Il est temps après un décès révoltant que François et son ministre Peillon fassent ce que Sarko n’a pas eu le courage de faire : aller chercher ceux qui mettent en évidence ce qui déplait et appuis là où ça fait mal.

Les violences scolairesimposent, exigent, réclament des empêcheurs de tourner en rond, des rigides, des hors cercles de clientèles et des personnes qui ont passées des heures, des années à regarder comment la violence se répand dans une cour de récréation. Cela ne se trouvent pas le cul vissé dans les universités où l’on ne fait que recruter dans les clientèles. Cela se trouvent ailleurs.

Les violences scolaires sont une question à laquelle le ministre va devoir démontrer qu’il n’est pas simplement un ventilateur qui brasse du blablatage. Elles imposent à ce dernier d’avoir le courage de chasser les imposteurs qui se gargarisent de harcèlement et sont trop ignorants, aveugles et infaillibles pour regarder ce qui se déroule juste derrière la porte des toilettes.

Les violences scolairesdoivent être le projet majeur du ministre afin que les élèves vivent leur scolarité dans des conditions vivables. Cela signifie que Peillon à le devoir de sortir des clientèles, des lustreurs d’ego et de l’intellectualisme de fond de cuvette qui ne met pas la réalité en pleine face, pour aller vers ceux qui sans finesse jette au visage des imposteurs ce qui est la vérité des faits.

Les violences scolairesréclament que les prétendus experts en sciences de l’éducation soient capables de faire de la praxéologie, de la pédagogie et qu’ils aient le courage d’admettre qu’ils n’ont fait que rouler dans la farine le système éducatif sans faire avancer le machin.

Les violences scolaires pour être limitées exigent que Peillon ait le courage, la volonté et la détermination de voir le monde éducatif autrement que par le prisme médiocratique de la satisfaction de ce qui fonctionne. Pour ma part je doute qu’il possède ne serait-ce que le début de la volonté d’une action dans cette direction.

Les violences scolairesexigent que des chercheurs qui œuvrent dans le factuels, dans ce qui se passe, dans la réalité sans chiffres mais avec des faits, soient enfin entendus et qu’ils puissent démontrer aux yeux de tous que des imposteurs institutionnels sont responsables de ces errances.

Le ministre de l’éducation n’aura jamais le courage de recruter des personnes qui n’appartiennent pas aux cercles de pouvoir pour répondre et contenir ce fléau, car, comme ses prédécesseurs il préférera servir les clientèles que répondre réellement aux maux auxquels il a le devoir de répondre.

Les violences scolaires ne souffrent pas la mollesse et le rêve. Le changement c’est maintenant !

Partager cet article
Repost0
22 juin 2012 5 22 /06 /juin /2012 16:14

L’Euro bat son plein et depuis plus personne ne parle du fléau de la prostitution dans les pays de l’Est et sur les réalités de l’esclavagisme sexuel et des violences sexuelles dans les pays concernés.

La prostitution semble avoir disparu des écrans. Les médias ne disent plus un mot sur la présence parfois plus que dérangeante de jolies jeunes femmes très découvertes qui se vendent pour quelques poignées d’euros aux abords des stades.

La prostitution sur les parkings des espaces sportifs à déjà été mise en exergue et ses dynamiques ont déjà été démontrées par Brun-Picard Yannick dans une recherche, non publiée car des plus dérangeantes, sur le thème des prostitutions urbaines et celles se déroulant dans l’interface ruralité/urbanité.

La prostitution rendue accessible par la lecture de quelques lignes des différents articles de Brun-Picard Yannick sur ce thème semble au regard des informations disponibles et diffusées par les médias comme une rêverie, voire même comme une illusion. Ainsi il n’y a plus de prostituées près des stades.

La prostitution sur les bords des routes dans le Var semble aussi ne plus exister. Pourtant un article récent, dans les journaux locaux, met en évidence que le nombre de prostituées n’a de cesse d’augmenter aux portes des grandes agglomérations surtout Paris.

La prostitution devient une normalité comportementale. En effet, en observant les jeunes élèves devant les collèges et les lycées il est donné à tout observateur de constater que ces jeunes filles ont des tenues si échancrées qu’elles dévoilent leurs formes naissantes sans que cela gène qui que ce soit.

La prostitution devient une seconde nature sociétale. Nous admettons que les femmes vendent leur image, leurs formes voire, leurs services et leurs disponibilités pour des carrières, des arrangements et autres clientélismes à rendement immédiat.

La prostitution devient si discrète que sa présence est une norme sociétale. La discrétion réside dans sa normalisation d’attitudes, de comportements et de considération des femmes ou du moins de celles qui acceptent de s’exposer, se vendre ou se rendre disponibles pour des activités à obligations sexuelles.

La prostitution demeure pourtant une violence faite aux femmes et aux prostitués en général. En effet, le corps est vendu pour qu’autrui assouvisse une pulsion, un besoin, ou simplement une envie de nature sexuelle. Nombre de prostituées disent qu’elles l’acceptent et que cela n’est pas de la violence.

La prostitution est se soumettre au dictat de l’argent en acceptant de se livrer à des pratiques sexuelles. C’est une violence. Dès que l’on se soumet à une activité que l’on ne ferait pas de sa propre initiative il y a acte de violence. Dans ce cas tout est violence et limitation de liberté. Quelque part OUI. Toutefois ses violences canalisent nos sociétés.

La prostitution pour sa part draine les femmes en direction d’activités de soumission pour que certains se vident au propre et au figuré. Malgré cela les médias dans leurs démarches médiocratiques dépendantes à l’Euro de foot, ce qui démontre l’ampleur de la propagande footballistique, qui fait de tout citoyen un décérébré vissé à cette négation de l’intelligence, est bien réelle.

La prostitution et les maux qu’elle engendre pour les filles qui sont écrasées par des réseaux de proxénètes, de maquereaux, des pays de l’Est, ne pèse pas grand-chose devant la désagrégation footballistique. On s’en fout que des gamines deviennent des terrains de jeux sexuels pour pervers tant que le foot passe à la télé.

La prostitution est devenue si présente que quelque part nous sommes des prostituées puisque nous vendons notre âme au confort illusoire de la démagogie médiatique et que nous subissons la violence de sa médiocratie qui nivelle la pensée et la réflexion sur les réalités…

Partager cet article
Repost0
20 juin 2012 3 20 /06 /juin /2012 12:57

La normalité, la présidence normale, le Président normal, donnent à voir dans les actes du Sarko dans toutes les négations qui ont été faites.

La normalité du mépris des citoyens est bien là. Les services de la Présidence ne répondent pas aux courriers des citoyens, tout comme sous l’ère sarkozyenne. Aucune considération pour ceux qui n’appartiennent pas aux réseaux et autres cercles.

La normalité est cette incompétence criante qui fait qu’ils sont incapables d’aller chercher des personnes non-formatées, non-pavloviennes, hors des clientèles. Comme Sarko ils mettent en place leurs copains et autres lustreurs.

La normalité est l’absence de conscience de la réalité des la vie que tente  de mener les citoyens qui doivent se plier aux règles de la loi, alors que les copains du pouvoir eux peuvent pratiquer l’évasion fiscale et justifier cela en optimisation d’investissements.

La normalité est la lâcheté devant les décisions à prendre, comme sous Sarko, tant que ça ne touche pas les cercles d’influence ça le fait en revanche quand ça arrive à limer quelques privilèges et autres avantages aux castes énarquiennes et pavloviennes, là plus rien.

La normalité est le refus de mettre un terme à toutes les errances du système éducatif français afin que seuls les établissements du cursus continus à produire les pavloviens, qui sont si brillants que la France et surtout les français, doivent payer leurs inaptitude à faire autre chose que du mérycisme.

La normalité est là, la vie privée vient pourrir la vie publique qui n’a pas besoin de cela tellement qu’elle racle le fond de la cuvette. Elle met en évidence les luttes de pouvoirs, les bassesses et l’absence de confiance dans les gens du même bord.

La normalité sera donc dans cette pratique du Sarko dans les actes un retour, une préservation, du mode de fonctionnement de l’administration française, des représentants des citoyens, du même genre que celui qui a fait mettre à la France un second genou en terre.

La normalité prétendument pratiquée par le pouvoir est en réalité du sarkozysme éclatante dans lequel les réseaux, les cercles et les clientèles sont servis, et vont être gavés sur le dos des citoyens. Celle-ci démontrera l’incompétence à regarder ailleurs que dans ses obligés pour faire du vent.

La normalité de la pratique sarkozyenne du l’exercice du pouvoir se met en place car il faut que ces gens préservent leurs rangs, statuts, privilèges et autres clientèles afin de briller au détriment de la France et en écrasant les citoyens.

La normalité est donc là ! Mépris des citoyens en refusant de répondre aux courriers. Mépris de la différence par ignorance des réalités et enfermement dogmatique sur des prétendues élites pavloviennes. Mépris de la France dans sa globalité par préservation des privilèges, suffisance et infaillibilité à l’encontre de tous ceux qui n’appartiennent pas.

Du Sarko dans les actes. La normalité est bien là. Le pire est à venir.

Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : Le blog de geosociologie.over-blog.com
  • : Mettre en relation différents regards en fuyant la critique positive, le politiquement correct, la médiocratie, l'infaillibilité ou toute autre forme de légitimité fondée sur une normalité et/ou une normalisation restrictive. Les propos tenus et présentés ont pour objectifs d'ouvrir des débats, de montrer qu'il existe autre chose que l'intellectualisme à courte vue, le gargarisme d'une élite auto-proclamée comme référence.
  • Contact

Recherche

Archives

Liens