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7 novembre 2013 4 07 /11 /novembre /2013 13:11

Des assassins en puissance roulent en toute impunité sur les routes du Var, à Draguignan, Trans-en-Provence, La Motte et Le Muy, pour le moins. En effet, ce matin j’ai failli me faire renverser par un de ces tueurs qui méprisent ceux qui sont en vélo.

Une DS3 de couleur marron ce matin m’a serré si franchement sur le bas-côté que j’ai été à deux doigts, si je n’avais fait un numéro d’équilibriste, de me retrouver contre un mur après avoir mangé le trottoir et pris au passage un poteau. Le pire, c’est que la petite frappe qui conduisait cette DS3 de couleur marron avec un 60 sur sa plaque d’immatriculation ramenait sa « gueule » lorsque je lui ai hurlé : « connard ». Il s’est arrêté, m’a menacé et a fait le bouffon… la normalité quoi !

Dans le département du Var en moins de trois mois il y a eu 5 cyclistes tués par des assassins en voiture que se croient tout permis, qui ont un profond mépris pour les autres, qui n’ont aucune conscience des maux qu’ils causent, il faut dire qu’il n’y a pas de sanction et que la justice leur trouvera des conditions atténuantes alors qu’ils roulent largement au-delà de la vitesse autorisée, qu’ils franchissent les lignes blanches et ignorent les règles du code de la route.

La racaille qui conduisait la DS3 de couleur marron a continué sa route à fond la caisse, tu m’étonnes, l’incident s’est produit à 800 mètres à vol d’oiseaux de la gendarmerie du Muy dans une zone à 30km/h, où ce tueur roulait largement à plus de 70km/h. Où sont les gendarmes le matin à 7h00 pour faire la chasse à ces assassins qui poussent les cyclistes, qui rendent la route extrêmement dangereuse ? Nulle part ! Où sont les médias pour éveiller les consciences afin que tous ces tueurs soient mis à l’index et que la société cesse de tolérer de tels comportements meurtriers ? Nulle part, ils s’en foutent car ils sont les premiers à abuser.

Il est temps qu’Hollande et Valls fassent le job, il est temps que les gendarmes se mettent au Muy et démontent toutes ces bordilles qui sont prêtent à écraser des cyclistes simplement pour rattraper le temps perdu car ils sont incapables de se lever le matin. Là se trouve de la racaille, celle qui joue au gandin, qui fait le bouffon et se prend pour les maîtres de la route. Il est temps que ces assassins en puissance soient irrémédiablement chassés, sanctionnés et qu’ils ne puissent plus nuire ainsi. Car, demain si ça continue un cycliste va déstocker et un conducteur se prendra une balle…

Au mois d’août une bordille à forcer un passage surélevé et m’a jeté au fossé. J’ai eu de la chance, je n’ai été que faiblement abimé, bien que la tête soit allée heurter violemment le goudron et que des marques soient encore visibles sur la main gauche. Aujourd’hui, à 30km/h, juste à la limite de la vitesse autorisée, imaginez que je sois allé heurter le mur, quels auraient été les dégâts ? Tout ça pour qu’un assassins dans sa DS3 de couleur marron roule en toute impunité au mépris des lois, des personnes et de la société.

Les médias devraient faire leur devoir… je doute qu’ils aillent jusqu’à contribuer à la lutte contre tous ces tueurs potentiels bouffis d’orgueil, d’ego et de mépris pour ceux qui ne sont pas dans une voiture, qui sont tellement ignorants qu’ils frôlent les cyclistes alors qu’ils devraient passer à un mètre.

Les médias ont le devoir d’œuvrer pour que la société mettent à l’index tous ces tueurs. En effet, si demain la racaille qui m’a frôlé recommence et que cette fois-ci je ne peux pas me rattraper, rares seront ceux qui iront sur ma tombe pour dire : « nous n’avons pas eu le courage de lutter contre les tueurs de la route ».

Au moins ce mot d’humeur aura été publié afin que l’alerte soit donnée et que nos sociétés cessent de protéger les assassins de la route qui méprisent les citoyens qui roulent en vélo, par choix et par conception de ce que peut être la vie sans être bouffi d’orgueil et de suffisance dans sa voiture.

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1 novembre 2013 5 01 /11 /novembre /2013 14:27

Se prostituer n’est certainement pas une sinécure. La prostitution entraine des souffrances, un esclavagisme sexuel, et atteste de la misère de notre humanité. Ces réalités reconnues il faut rentrer dans le vif du sujet : la prostitution doit être légalisée et l’inaptocratie éradiquée.

Oui, même si cela secoue la morale des bien-pensants la prostitution doit être légalisée, encadrée et contrôlée drastiquement. Cela signifie que l’Etat deviendrait proxénète, pour les idéologues dogmatiques qui acceptent la pornographie où les femmes ne sont que des jouets sexuels et la réalité des filles qui vendent leurs charmes pour des diplômes plutôt que de gérer la prostitution ce n’est pas admissibles.

Les illusionnistes qui veulent, qui œuvrent pour abolir la prostitution ne font que du vent. Ils montent une esbroufe de première classe pour éviter de regarder la réalité en face. Dans le cas où ces ignorants de la réalité des faits de prostitution dans les interfaces de violence sociétale parviendraient à leurs fins, les prostituées seraient encore plus marginalisées, encore plus soumises à la racaille, encore plus dépendantes d’un système d’exploitation qui pour certaines est de l’esclavagisme sexuel.

Les ventilateurs qui prétendent éradiquer, endiguer et mettre un terme à la prostitution en jettent que des paroles en l’air, ils sont la démonstration de l’imposture médiatique pour laquelle ceux qui ont le meilleur réseau se font entendre même si cela entraîne des drames, comme ce qu’il va advenir pour les filles qui seront rejetées aux marges physiques de la société, dans des interfaces noires où elles seront des jouets sexuels pour les exploiteurs de la misère humaine. Ainsi les réseaux de prostitutions d’Asie, d’Afrique ou des pays de l’Est auront encore plus d’emprise sur leurs victimes.

La prostitution doit être légalisée. Une carte professionnelle de travailleur et de travailleuse du sexe doit être instaurée pour tous ceux et celles qui exposent leur corps et des pratiques de nature sexuelle, c’est-à-dire les photos de charme, la pornographie et la prostitution. Sur cette carte avec toutes les mesures de sécurité indispensables se trouvent, outre l’identité du porteur, sa mise à jour des cotisations, des impôts, des visites médicales, des rattachements, des contrôles toutes les informations impératives à un contrôle approfondi s’y trouve. Toute personne se livrant au racolage, à la pornographie ou à d’autre pratique de vente de service sexuel non titulaire de cette carte payera une amende de 5000 euros et selon la situation la prison pour au minimum une année.

De cette manière les réseaux ne seraient plus en mesure de faire tapiner les filles sur les trottoirs, dans les villes ou les cités. Un organisme spécialisé financé par les impôts et les taxes payées par les travailleurs et travailleuses du sexe contrôlerait régulièrement toutes les prostituées. Et tout proxénète passerait en jugement immédiat pour une peine minimale de 5 années pour proxénétisme sans aucune remise de durée possible.

Pour parvenir à cela il faut avoir du courage. Celui de reconnaître que la prostitution ne peut pas être éradiquée et qu’elle se pratique sous multiple forme. Par exemple, la fonctionnaire qui accepte des relations sexuelles avec son supérieur hiérarchique pour de l’avancement, c’est de la prostitution. Ou encore la politicienne qui passe par le droit de cuissage dans son parti pour parvenir à être en tête de liste éligible : ça aussi c’est de la prostitution, mais quand c’est eux qui pratique, ce n’en est pas…

La prostitution doit être légalisée, encadrée et contrôlée. Afin de mettre un terme aux réseaux, à l’esclavagisme sexuel et surtout pour protéger les travailleurs et les travailleuses du sexe qui, il est vrai devront payer des impôts, des taxes et autres contraintes administratives mais ainsi seront des citoyens à part entière. Pour les médiocrates : il est certainement pire de vendre son âme par complaisance que son corps par nécessité.

N’oublions pas que l’inaptocratie est cette incapacité à voir plus loin que ses croyances, ses dogmes, son idéologie afin de ne satisfaire que son ego en toute ignorance des réalités du monde et sans avoir conscience des conséquences de ses actes sur les territoires et pire sur les populations concernées.

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31 octobre 2013 4 31 /10 /octobre /2013 17:02

J’ai rêvé une société dans laquelle les illusionnistes n’étaient plus médiatisés et ainsi la prostitution est devenue légale. C’est-à-dire que toutes les travailleuses du sexe et les travailleurs du sexe, prostituées, acteurs pornographiques ou toute autre activité liée aux pratiques sexuelles sont des travailleurs normaux.

Cela signifie que les politiques ont cessé de se dissimuler derrière les idéologies vides d’avenir qui veulent gommer un problème pour ne pas avoir à répondre à la déchéance sociétale dont il témoigne et démontre l’incompétence des prétendues élites et autres institutionnels perdus dans leurs croyances, leurs dogmes et leurs impostures.

Cela signifie que tous les travailleurs du sexe ont une carte professionnelle, qu’ils payent des impôts, qu’ils ont droit à une retraite, qu’ils payent leurs charges, qu’ils sont des citoyens à part entière. Cela impose que la police du sexe fasse son travail, que les sanctions prises contre toutes celles et ceux qui n’ont pas leur carte à jour des cotisations, des règlements, des visites médicales et des contrôles fiscaux sont frappés d’une amende extrêmement lourde et d’une peine de prison déterminée.

Cela signifie que les députés et autres illusionnistes de la politique, que les médias et que les brasseurs d’air intellectualistes qui ne voient pas plus loin que la gloriole personnelle de la satisfaction de leur ego, ont été balayé et qu’ainsi un phénomène sociétal est pris en compte, l’Etat devenant le plus grand proxénète. Cela impose aussi que tous les maquereaux, les profiteurs et autres exploiteurs du sexe sous toutes ses formes sont lourdement sanctionnés, que les dits mensuels de charme sont aussi considérés comme de la prostitution et que la moralité sociétale à une place.

Toutes les filles qui se prostituent n’ont pas choisi cette activité. Toutes les filles qui subissent les assauts d’une vingtaine de clients par jour ne le font pas de gaité de cœur. Toutes les filles aspirent certainement à une autre vie. Trop nombreuses sont celles qui se trouvent sous le joug d’un proxénète intouchable, car il n’y a pas de statut et de protection pour les prostituées. Trop de filles dans des cités sont vendues pour quelques poignées d’euros aux copains. Trop de réseaux invisibles alimentent les dites hautes sphères sociétales en viande fraîche afin d’assouvir les pulsions sexuelles et l’expression du pouvoir de possédants pour lesquels les femmes ne sont que meubles.

L’abolition est une imposture médiatique, une illusion politicienne, un phantasme intellectualiste, une lâcheté sociétale. Les manipulateurs de toute obédience qui refusent de voir et d’admettre la réalité de la prostitution sont les fossoyeurs des filles qui vont se retrouver dans des réseaux où elles vont devenir des objets sexuels sans aucune visibilité où elles subiront toutes les violences ne pouvant pas appeler à l’aide puisque des médiocrates auront décidé qu’elles n’existent pas.

Pour répondre à ces démissions, de ce qu’est notre humanité, la prostitution est légalisée, contrôlée et sévèrement encadrée. Je n’ai fait que le rêver. Mais cela donnerai du travail à de nombreuses personnes en charge de la gestion, du contrôle et du suivi des travailleurs du sexe. Des taxes, des impôts et des revenus alimenteraient largement la nation en évitant que cela ne serve aux réseaux mafieux et très certainement, malgré des contraintes très lourdes tout le monde y gagnerait, en premier lieu les filles et les garçons qui se prostituent, car ils seraient enfin protégés par la société…

Surfer médiatiquement sur l’idéologie de l’abolition est une posture qui fait la négation de ce que sont les sociétés et démontre une profonde ignorance des réalités dans lesquelles nous évoluons. Preuve en est : aujourd’hui je viens de trouver un nouveau lieu de tapinage pour une dame, dans les vignes à quelques kilomètres de Draguignan dans le Var, elle s’expose discrètement, tout comme une autre, qui pour sa part œuvre dans une camionnette sur une voie de dégagement, ce qui ramène aux travaux de Yannick Brun-Picard sur les territoires de violences sexuelles.

La prostitution est une réalité, un fait qui demeurera, pour le contraindre il suffit de vouloir agir, car son éradication est irréalisable, seule la légalisation et le statut de travailleur du sexe peuvent répondre à ces maux sociétaux en donnant une dignité aux personnes concernées et en chassant les parasites.

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24 octobre 2013 4 24 /10 /octobre /2013 14:23

La prostitution adolescente aux portes des collèges est une réalité rare, mais elle existe. Ce triste constat factuel devrait faire réagir les institutionnels.

Les travaux sur la prostitution, sur les violences scolaires, et les territorialisations par différentes formes de violences dont la prostitution, proposés par Yannick Brun-Picard dépeignent cette réalité pour laquelle des gamines de moins de 15 ans effectuent des relations buccogénitales et autres pour 10 euros le long des grilles de quelques collèges et aux abords de lycées.

Tous les établissements scolaires ne sont pas touchés par cette triste réalité. Seuls quelques établissements portent un tel fléau où des groupes de trois ou quatre jeunes filles se prostituent à proximité de l’entrée de l’établissement en toute impunité, en toute discrétion et en toute ignorance ou en tout aveuglement des adultes en charge des structures éducatives.

Les faits ont été constatés aux abords de deux établissements. Trois gamines assises sur le muret de l’établissement rejoignent à tour de rôle un garçon dans un bosquet d’arbres et en reviennent quelques minutes plus tard. Les garçons consommateurs jouent au foot pas très loin et semblent avoir pour objectif de se soulager avec l’offre de service exposée et accessible.

C’est tellement gros, tellement incroyable, tellement effarant que personne ne peut concevoir que des gamines pour se payer des ustensiles de modes se livrent à une prostitution de ce genre, et encore on ne sait pas s’il n’y a pas un maquereau qui traîne dans le coin. Il faut dire que des prostituées exercent en toute liberté à moins de deux kilomètres de l’établissement il y a un modèle comportemental à prendre…

C’est un cri d’alarme. Peut-on tolérer que des gamines au collège prodiguent des gâteries contre rémunération ? J’en doute fermement. Ces réalités aussi rares soient-elles devraient être prises en compte par les responsables institutionnels afin d’endiguer cette désagrégation sociétale. Les réalités que l’on ne veut pas voir sont souvent celles qui se trouvent juste devant nos yeux.

La banalisation des relations sexuelles dès l’adolescence, la pornographie qui est une prostitution déguisée présente sous multiple forme dans les références sociétales des élèves et l’absence d’une volonté de lutte réelle contre ces réalités sont autant de murs infranchissables à tous ceux qui ne veulent pas voir la réalité de la prostitution adolescente, même si celle-ci est extrêmement rare : elle existe !

Ne doivent pas être oubliés les nouveaux lieux de prostitution dans le Var à proximité de Draguignan, sur des dégagements de voies rapides, dans des routes secondaires en cul-de-sac où des dames depuis peu viennent s’installer à l’heure de sortie des bureaux et s’expose discrètement, mais très visiblement afin que les clients ne soient pas inquiétés et puissent manœuvrer sans problème. Cela signifie que la prostitution rurale, ou dans l’interface ruralité/urbanité tend à se répandre en fonction des potentialités territoriales spécifiques à la zone d’implantation au sein desquelles mesdames les prostituées trouvent des clients sans aucune contrainte.

Il est temps que la prostitution soit légalisée, que des cartes de travail soient instaurées et qu’une brigade de contrôle soit développée étant financée sur les gains des taxes payées par toutes et tous les prostitués…

Cela signifie qu’il est temps que les infaillibles lisent les travaux sur les formes de territorialisations par la violence de Yannick Brun-Picard pour parvenir à freiner ces faits qui ne peuvent que prendre de l’ampleur. Nous avons des devoirs : l’alerte, l’action et la réponse… pour le moins.

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9 octobre 2013 3 09 /10 /octobre /2013 14:32

Et oui, éducation et pire encore… Car le pire est déjà en marche et ce qui arrive devrait éveiller les consciences et faire réagir les politiques. Hélas, quand on voit le ministre de l’éducation dite nationale qui ne répond pas aux courriers des citoyens, des inquiétudes grandissent.

Avant que les infaillibles ne s’arcboutent sur leur dogme, sur leur idéaux et sur leur statut légitimé par l’obtention d’un concours, à mon sens pavlovien puisqu’il n’atteste que de capacités et non de compétences, il est impératif de reconnaitre que des enseignants font « correctement » leur travail. En effet, il y a environ 15% de tous ceux fréquentés depuis trop longtemps qui font le job. C’est-à-dire qu’ils sont presque capables de pratiquer une pédagogie différenciée de faire progresser les élèves et de faire avancer le machin.

Le pire est à venir, nous avons 50% qui donnent l’illusion d’être des bêtes de l’enseignement, ils se gargarisent des programmes, démontrent à chaque seconde leur pavlonisme et pratiquent l’art de la dissimulation en justifiant tout et son contraire. Ceux-là poursuivent un avancement qui est pour un grand nombre encore au grand choix. Ce sont les pratiquants de l’illusion, ceux que le système conserve sans réellement fouiller ce qu’ils font puisque ça satisfait à la normalité. Mais au même titre que les précédents ils ignorent ce qu’est la praxéologie, se gargarisent quand ils la connaissent de réflexivité et s’instaurent en infaillibles.

Le reste… Là, il ne reste plus qu’à pleurer ! Les 35% des enseignants ceux qui sont présents qui répondent à la normalité de la norme normalisante, qui brassent encore plus d’air que les précédents, qui s’en tamponnent grave, qui font en sorte de ne pas avoir de problème et qui détruisent à la vitesse accélérée les élèves qui leurs sont confiés, car ils sont titulaires du concours de recrutement. Cela signifie que plus d’un tiers des enseignants sont là exclusivement pour la gamelle, et encore je suis gentil, la réalité est bien pire sous le lustrage des egos qu’ils pratiquent sans vergogne.

Au final 60% des enseignants ne font que donner l’illusion, ils sont incapables de faire percevoir l’intérêt du cours qu’ils donnent et de la formation qu’ils vont produire durant l’année. 60% des enseignants brassent plus ou moins de l’air et sont devenus des experts en communication, certainement pas des leçons, mais malgré cela ils sont en poste. 60% des enseignants sont incapables de lire les comportements annonciateurs d’un décrochage en classe et ne sont pas en capacité de l’endiguer. 60% des enseignants ne sont que des fonctionnaires qui satisfont aux règles du système qui par lâcheté, celle acquise par le recrutement légitime de telles errances puisqu’ils sont infaillibles.

Alors, monsieur le ministre, à quel moment allez-vous avoir le courage de regarder ce qu’il se passe, allez-vous accepter que soient publiées des études des plus dérangeantes sur le décrochage en classe, il faut dire que là les inaptocrates en prendraient plein les dents ? A mon avis jamais !

Les acteurs du système préfèrent se déresponsabiliser et justifier leurs incompétences par le manque de moyens, par la légitimité d’un concours totalement inadapté aux réalités de l’enseignement, ainsi qu’à l’appartenance à une caste qui aujourd’hui devient nuisible. C’est la réalité, c’est ce que les élèves vivent dans les établissements.

JAMAIS, l’étude sur le décrochage en classe ne sera publiée, car elle démontre en creux ces dysfonctionnements si destructeurs pour la jeunesse qui subit les choix clientélistes du pouvoir politique.

JAMAIS, le ministre n’aura le courage d’aller chercher ses « conseillers » hors des cercles, des réseaux et des clientèles d’un système gangréné par les arrangements, l’aveuglement et l’infaillibilité.

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30 août 2013 5 30 /08 /août /2013 10:44

Pour ouvrir de nouvelles perspectives de lecture de notre réalité telle qu'elle est et non telle que les infaillibles nous font croire qu'elle est ce texte : http://www.trajethos.ca/files/6313/7697/0484/BRUN-PICARD_TrajEthos21.pdf

apporte un regard à même d'ouvrir le débat sur ce que nous ne voulons pas forcément voir, regarder et concevoir...

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29 août 2013 4 29 /08 /août /2013 11:51

Le recrutement des enseignants doit être réformé dans les plus brefs délais. Pour parvenir à cette révolution cognitive, à ce bond de paradigme il est impératif de proposer une option viable, réaliste et bien entendu douloureuse pour les idéologies, les dogmes et les institutionnels.

En premier lieu instaurer une formation de cinq années finalisée par un Diplôme d’Aptitude à l’Enseignement Secondaire (avec option transdisciplinaire), un Diplôme d’Aptitude à l’Enseignement Primaire, un Diplôme d’Aptitude à l’Enseignement en Maternelle. Les centres universitaires seront responsables de la qualité des formations où seront admis tous ceux qui souhaitent suivre cette formation, sachant qu’à l’issue de la troisième année un écrémage est effectué en ne conservant que le nombre d’impétrants nécessaires pour les postes disponibles dans l’ère de formation avec un surplus de 15% pour les remplacements et les ouvertures de choix.

La contrainte principale est le recrutement par zone d’implantation, c’est-à-dire que les futurs titulaires de ce diplôme national, qui permet d’enseigner, seront recrutés exclusivement dans l’académie où ils ont suivi la formation, les centres académiques seront responsables des formations et de la qualité des productions des enseignants. Aucune mutation ne sera possible hors de l’ère d’obtention du diplôme avant cinq années de présence dans l’ère initiale. Les nouveaux enseignants seront contractuels, premier contrat de 5 années à l’issu duquel au cours de la 6ème année ils seront en mesure de demander leur titularisation.

Autre aspect dérangeant, disparition de l’agrégation et des grilles salariales indécentes. Le nouvel enseignant en poste recevra un salaire de 1800 euros mensuels avec obligation de présence dans l’établissement, obligation de surveillance des communs, obligation de soutien aux élèves. Cela signifie que tous les manuels sont à refondre ainsi que les programmes, les enseignants devenant des pédagogues, une belle utopie non ? Au sujet des salaires une augmentation annuelle est attribuée tant que l’intéressé fait correctement son travail, en cas de manquement son salaire est gelé puis réduit, le salaire maximum d’un enseignant en fin de carrière à l’échelon 40 pour les 40 ans d’enseignement sera de 2800 euros.

Pour l’accès aux postes administratifs et autres inspecteurs, les impétrants ne pourront le faire qu’après 10 ans d’exercice dans leur domaine, l’obtention d’un diplôme d’administration des établissements scolaires obtenu et préparé pendant les vacances scolaires, pour les inspecteurs même chose diplôme d’aptitude aux fonctions d’inspecteur de l’éducation. Comme pour les enseignants les statuts hors classe et toute autre impostures disparaissent pour des évolutions annuelles où l’intéressé terminera à l’échelon 30 pour ses 30 années effectuées dans l’administration ou l’inspection, avec un salaire initial de 2500 et au maximum de 3500 euros en fin de carrière.

L’Etat ferait des non dépenses considérables. Les enseignants seraient des enseignants pédagogues attachés à leur établissement, les réseaux, les cercles et les clientèles n’auraient plus autant la mainmise sur le système éducatif que ce qui existe aujourd’hui. Les imposteurs qui ne font pas des cours corrects seraient virés, les responsables seraient désignés et les personnes feraient leur job sans donner l’illusion.

On se tamponne d’être titulaire d’un master pour enseigner au collège et plus encore au primaire. En revanche il est impératif que les bases pédagogiques de l’enseignement soient maitrisées, que les programmes soient dominés et que les enseignants soient à la disposition des élèves par leur présence dans les collèges de 26 heures…

Alors Peillon un peu de courage, qui sait Hollande fera l’effort de soutenir un engagement courageux pour sortir des violences scolaires et autres errances dogmatiques qui enfoncent chaque jour un peu plus l’éducation nationale et le système éducatif dans les miasmes de l’inaptocratie… COURAGE…

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28 août 2013 3 28 /08 /août /2013 09:33

Qu’est-ce que le Streetstepper ? Un jouet, un nouvel objet témoin de l’immédiateté médiatico-communicationnelle dans laquelle l’illusionnisme capitalistique fait en sorte que nous les consommateurs nous demeurions ? Rien de cela…

Le Streetstepper est un vélo hybride qui est propulsé par des bras de stepper, comme ce que l’on trouve dans des salles, mais là il y a une chaîne de chaque côté qui entraine la roue arrière. Ainsi il devient possible de faire du stepper sur la route en toute sécurité, de se promener en stepper, et de dépenser deux fois plus d’énergie que sur un vélo.

Le Streetstepper réclame un engagement physique plus intense que le vélo. Il est plus ludique et certainement plus technique puisque l’on est debout en permanence et que cela fatigue énormément. Il permet de se déplacer pratiquement aussi rapidement que sur un VTT utilisé sur la route tout en évitant les traumatismes aux genoux, au dos ainsi que les tendinites et autres problèmes liés à la pratique du vélo ou de la course à pied.

Un matériel de sport ludique, physique, original et relativement fonctionnel, le Streetstepper sculpte les cuisses et les mollets, il impose un gainage ferme, il renforce les épaules, il dynamise les lombaires. Que vouloir de plus ? Le voir se démocratiser ? Très certainement. Pour l’heure, à l’image de mon collègue Yannick Brun-Picard, il est encore un produit de niche et peu de personne en ont connaissance.

Le Streetstepper exige de la concentration, de l’attention et une condition physique qui se forge au fil des sorties. Un peu douloureux pour la plante des pieds tant que l’on n’a pas trouvé une position efficiente, il n’en demeure pas moins un outil de sport, de cardio et de renforcement musculaire des plus efficaces. On peut se déplacer en tenue de travail sans contrainte et les trajets urbains s’effectuent très rapidement. Tous ceux qui n’ont pas plus de 10 km à faire pour se rendre sur leur lieu de travail peuvent se convertir au Streetstepper, ça fait faire de sacrées économies… ou du moins de non dépenses…

Qui sait les médias feront-ils leur devoir en diffusant largement cette information d’un vélo stepper, de Streetstepper, qui permet de faire du sport avec une autonomie de déplacement, une fonctionnalité et une certaine rapidité, dans l’univers normalisé de l’immédiateté il doit pouvoir trouver sa place tout particulièrement si l’on aspire à préserver sa condition physique.

Reste à voir si le Streetstepper trouvera la place qu’il peut acquérir aux côtés du vélo et du footing afin de diversifier les activités et améliorer sa forme.

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19 août 2013 1 19 /08 /août /2013 08:00

Hier au soir sur M6 un reportage exposait les réalités de la prostitution dans l’interface ruralité/urbanité. Cela signifie que ce qui a été théorisé par Yannick Brun-Picard dans Géographie d’interfaces est vérifié.

C’est bien beau d’avoir raison, car ce chercheur en sciences humaines a raison et au regard du reportage présenté par cette chaine de télévision la démonstration est éclatante, mais il faut pouvoir être reconnu. A ma connaissance ce n’est toujours pas le cas puisque qu’il est socialement insupportable d’avoir raison tout seul contre la multitude.

Ainsi, cet auteur qui ancre ses lectures de la prostitution dans la contextualisation démontre-t-il depuis des années un phénomène qui gangrène les routes principales et secondaires françaises dès que les flux de véhicules sont suffisants, que les aires de stationnement pour les pratiques sexuelles sont discrètes, que les prostituées sont en relative sécurité et surtout que le marché est rentable. Cela signifie que l’interface d’exposition est matérialisée.

J’ai lu Géographie d’interfaces et je trouve que ce qui est décrit est identique à la prostitution présentée hier sur M6. Cela me révolte, car cet auteur, ce chercheur a alerté, démontré et projeté un phénomène aux yeux et aux consciences de tous les acteurs institutionnels et personne ne l’a pris en considération. J’ignore si monsieur VALLS a lu les travaux de Yannick Brun-Picard, mais il faudrait que ses services prennent quelques minutes pour lire les chapitres abordant le thème de la prostitution rurale et de la prostitution dans l’interface ruralité/urbanité.

Il est effarant et révoltant qu’un auteur qui a mis en exergue les réalités, qui a proposé des solutions pour endigué l’implantation des prostituées sur le bord des routes afin de préserver la sécurité des conducteurs et la quiétude des riverain ne soit pas reconnu par les prétendus spécialistes. Il est vrai qu’une personne de ce genre doit être des plus dérangeantes pour tous ceux qui se sont fourvoyés dans le factuel tels les imposteurs de la sociologie et autres blablateurs qui ont ignoré les travaux, car ils démontraient les vides gigantesques des prétendues études sur la prostitution.

Je doute que monsieur VALLS prête quelque attention aux travaux de Yannick Brun-Picard, vous me direz que maintenant que M6 a effectué un reportage et démontré que ce que ce chercheur démontrait se vérifie il va devenir plus accessible d’admettre que des brasseurs d’air ne font que donner l’illusion de maîtriser les réalités sociétales dans lesquelles la France s’englue.

Pourtant personne ne parle de cet ouvrage, il est vrai qu’il est dense et spécifique, mais pour la prostitution et les réalités décrites et démontrées on ne peut qu’applaudir à toute volée. Que font les services de l’Etat, ils poursuivent la satisfaction des cercles, des réseaux et des clientèles ? Très certainement. Ils n’auront jamais le courage d’aller chercher un analyste qui met les mains là où ça fait mal en démontrant les incompétences de prétendus spécialistes largement rémunérés.

Est-il envisageable que Yannick Brun-Picard obtienne quelque chose ? J’en doute. En dehors de mes quelques lignes qui abondent dans son sens, puisque sa théorie d’implantation de la prostitution dans l’interface ruralité/urbanité se vérifie avec l’éclat d’un reportage journalistique, les institutionnels n’auront jamais le courage d’admettre qu’un obscur qui n’appartient pas aux cercles, aux réseaux et aux clientèles a démontré les mécanismes d’un phénomène sociétal qui se répand sur les axes de circulation.

Cela signifie aussi que des journalistes ont pris en compte avec d’autres localisations les travaux de Yannick Brun-Picard sur le thème de la prostitution dans l’interface ruralité/urbanité. Il est alors probable qu’ils se penchent sur les réalités des violences scolaires qui elles aussi ont été démontrées par cet auteur, mais là il faudrait une sacrée dose de courage pour mettre au jour les impostures intellectualistes qui inondent les publications et les médias depuis des années en dissimulant les réalités des violences scolaires alors que là aussi Yannick Brun-Picard a démontré les réalités, les mécanismes et les a partiellement théorisé.

La prostitution est une violence au même titre que les violences scolaires. Les territorialisations qui s’ancrent sur des parcelles en fonction des potentialités, des attentes et des modes d’implantations constituent des interfaces ruralité/urbanité de prostitution. Il est temps que les prétendues élites aient le courage de sortir de la normalité et de prêter une attention soutenue à ceux qui rendent la réalité accessible…

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20 juillet 2013 6 20 /07 /juillet /2013 07:31

Des violences viennent d’avoir lieu suite à un contrôle d’identité d’une « femme » entièrement voilée. Cela est la démonstration qu’en France les citoyens ont l’obligation de se plier aux exigences d’une religion qui met sous son joug les femmes.

Mais le mal est plus profond. En effet, laissons la religion de côté ainsi que les croyances quelles qu’elles soient, car ce ne sont que des croyances. En revanche portons une attention à l’évènement : ce débordement de violence, cette occupation de l’espace terrestre public par des personnes qui agissent contre les lois de la République, à cette démonstration d’une territorialisation par la violence.

En 2009 a été publié un articule de Yannick Brun-Picard : La violence source de territoires, il y démontrait comment les violences sous toutes leurs formes étaient employées, instrumentalisées et déployées pour que des territoires soient affirmés, institutionnalisés et surtout conquis par une présence, une doctrine ou un groupe de pression. Les tenants d’une sociologie à courte vue, les géographes doctrinaires de la compilation, de la gnose et de la discussion au même titre que les sociologues ont tancé, raillé et ostracisé cet auteur, vous me direz : il n’appartient pas aux cercles, aux réseaux et aux clientèles d’un bord ou de l’autre.

Ainsi, un donneur d’alerte sur les techniques de territorialisation par la violence sous toutes ses formes a été mis à l’index simplement parce que les institutionnels dans les universités, dans les administrations et dans les ministères ne peuvent pas concevoir qu’ils se sont fourvoyés et qu’ils ne sont pas en mesure, en capacité de lire autrement le monde qu’en fonction de ce qu’ils veulent qu’ils soient et non en fonction de ce que le monde est au regard des réalités.

Aujourd’hui, un ouvrage : Géographie d’interface, démontre à nouveau ces démarches, ces méthodes et ces mécanismes qui conduisent à l’appropriation de l’espace terrestre public par des croyances, des dogmes et des errances qui bafouent la République. Il apparait que l’Etat, l’Intérieur et pire encore les universités ne prêtent pas attention aux développements au sujet des violences et des territoires qu’elles engendrent sous peine d’admettre que Yannick Brun-Picard avait et a raison.

Où sont les médias ? Que font les institutionnels ? Où est la volonté d’endiguer la désagrégation sociétale que nous vivons, dissimulée sous la propagande de dogmes qui font la négation de notre humanité afin de servir des croyances quelles qu’elles soient ?

Nulle part. Alors les médias il est temps de mettre sur le devant de la scène les travaux de ce donneur d’alerte, ça ne va pas plaire aux institutionnels, mais quelle importance ? Il est temps d’avoir le courage de regarder ce qui se déroule en quittant les dogmes et en pratiquant une praxéologie dynamique, il est vrai que cela n’est pas enseigné dans les universités, pour cela il faudrait admettre, à nouveau que Yannick Brun-Picard avait, a raison et que nos sociétés se sont fourvoyées sur l’autel du culte des bien-pensants.

Il est temps d’agir et d’avancer pour que nos territoires sociétaux deviennent plus vivables, que les citoyens soient respectés et que la loi de la France soit le ciment sociétal trop souvent foulée aux pieds parce que des institutionnels préfèrent leur confort intellectualiste plutôt qu’œuvrer pour le devenir de la nation…

Les médias vous avez le devoir d’informer la nation, notre humanité et de porter au plus haut l’équité, l’impartialité et la conscientisation… hélas, il semble que cela n’est qu’un vœu pieu… encore une croyance !

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