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27 juillet 2012 5 27 /07 /juillet /2012 10:20

La Syrie est un territoire en guerre civile. Depuis des mois ce pays voit ses citoyens être méthodiquement effacés par un pouvoir autiste, aveugle et infaillible. Parvenir à la PAIX n’est pas une action simple. Des géographes se sont penchés sur ce problème.

Un colloque : http://www.acfas.ca/evenements/congres/programme/80/400/439/c , ne fait que soulever de nouvelles questions et met en perspectives des options, parfois novatrices pour répondre à des conflits, des affrontements voire des guerres ouvertes au cœur d’une nation où ses ethnies s’entredéchirent.

Des géographes qui s’efforcent d’œuvrer pour la paix n’est pas une nouveauté. Déjà, il y a plusieurs décennies, ils furent à l’origine de partages territoriaux, pas heureux dans leurs devenirs et qui sont les sources aux affrontements contemporains. Aujourd’hui ils s’efforcent de construire la paix, la recherche de paix par le concept d’interface.

Un ouvrage à paraitre : http://livre.fnac.com/a4246636/Edith-Mukakayumba-La-geographie-en-question met en évidence le devenir des plus obscurs de la géographie si l’intellectualisme à courte vue des politiciens et autres pavloviens s’enferment dans l’espace en faisant la négation de l’interface humanité/espaces terrestres, objet de la géographie, à même d’être un vecteur de réponses efficientes et pertinentes suggérées : http://tel.archives-ouvertes.fr/docs/00/50/16/53/PDF/TheseCana2.pdf .

Œuvrer pour la PAIX impose aux acteurs, aux agissants, aux intervenants et aux belligérants de vouloir agir dans cette direction en s’appuyant sur l’interface d’interrelation. C’est-à-dire le territoire où se déroulent : le conflit, les dynamiques existantes, les entités sociétales présentes et les orientations vers lesquelles les différents acteurs souhaitent tendre.

Cela signifie que dans cette perspective, tous les constituants d’une interface humanité espaces/terrestres sont mis en synergie pour produire une construction viable pour la paix. C’est une mise pratique des travaux de Brun-Picard Yannick sur les violences : http://www.erudit.org/revue/cgq/2009/v53/n150/039185ar.html?vue=biblio, et bien entendu aussi des développements exposés à Montréal sur la construction de la paix.

Nous avons ainsi un « chercheur » qui démontre les mécanismes de production de territoires par la violence en employant le vecteur de l’interface humanité/espaces terrestres, qui aborde sous la même approche la production de la PAIX en mettant en exergue les mécanismes et les articulations pour parvenir à sa production en passant par le concept d’interface humanité/espaces terrestres.

La notion, de guerre et de paix,mise en avant dans ce titre ne signifie pas que cet auteur et que ses approches et autres théorisations détiennent la vérité. Simplement, ce court rappel de l’existence de regards différents du pavlonisme, atteste que des pistes peuvent être développées pour répondre aux fléaux de nos sociétés.

Ce pose alors un problème : accepter qu’une personne qui n’appartient pas aux réseaux, aux cercles et aux clientèles, puisse avoir une tribune et que ces travaux sur les violences, les violences scolaires et la construction de la paix, qui appartient aux réponses aux violences, puissent être valorisés par des institutionnels qui sont sourds à tout ce qui ne provient pas des chapelles normalisées.

François va-t-il avoir le couragede dire aux institutionnels d’avoir le courage de mettre en sommeil leur infaillibilité et d’aller chercher cet anachronisme ? Pour ma part j’en doute ! Pour cela il faudrait que les institutionnels acceptent de s’être fourvoyés en s’enfermant dans des doctrines idéologiques et surtout de ne pas pratiquer la praxéologie. Elle n’est pas enseignée car trop exigeante pour les enseignants ce qui est intolérable dans un système éducatif qui ne fait que donner l’illusion.

La guerre en Syrie réclame pour trouver des solutions de concevoir ce pays comme une interface. Tant que cette notion, ce concept d’une géographie science des espaces terrestres des hommes, ne sera pas ancrée dans les démarches, les solutions proposées demeureront du colmatage aléatoire. Un seul point de vue ne peut pas suffire pour apporter des réponses. En revanche un outil de cohésion et de cohérence porteur de convivance est en mesure de soutenir la volonté de répondre.

Cet outil, cet objet, qu’est l’interface humanité/espaces terrestres, peut être employé pour tous les conflits et les affrontements existants actuellement et pour ceux qui se dessinent sournoisement dans les concentrations urbaines. Ce transfert de paradigme est indispensable à la production d’analyses, de compréhensions et de réponses pertinentes pour les phénomènes observés.

L’intellectualisme pavlovienenterrera-t-il ce pas en avant, ce paradigme des sciences humaines, alors qu’il permet de mettre en corrélation un territoire, ses dynamiques, ses sociétés et ses aspirations dans un cadre théorique ? Pour ma part, je crois, et bientôt je serai convaincu, que ces propositions demeureront dissimulées et ignorées car trop dérangeantes pour tous ceux qui refusent qu’un nouveau paradigme fasse se mouvoir les mouvements inertiels rétrogrades des intellectualistes pavloviens.

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27 juillet 2012 5 27 /07 /juillet /2012 07:52

Le changement c’est maintenant ! Le peuple, vous savez ceux qui n’ont de la considération que lorsqu’ils s’apprêtent à voter, va être encore plus écrasé que sous Sarko.

Les propositions, les orientations et les décisions prises pour gratter des milliards, du fait de l’illusionnisme dans lequel les prestidigitateurs ont plongé la France, sont si néfastes au devenir de tous ceux qui perçoivent moins de 2000 euros mensuels que cela devient des plus inquiétants.

Les illusionnistes, soutenus dans leurs destructions des structures sociétales de la France par les médias et des idéaux qui vendent aux marchands du temple, aux mercantilistes et autres spéculateurs, le peu qui reste de la nation, vont tondre au sang les citoyens qui payent des impôts et pour lesquels  vivre avec 1000 euros mensuels relève de l’exploit.

Ils se prétendent être socialistes mais ne font rien pour tenir leur rang, pour réaliser leurs devoirs et pour préserver les citoyens avant toute chose. Ils servent des idéaux démagogiques et vendent la France sur l’autel du dogmatisme qui chaque jour démontre que l’identité française se désagrège. Ils augmentent la précarité pour les esclaves de l’éducation nationale : les fameux auxiliaire de vie scolaire à 600 euros mensuels !

Ils prétendent servir les intérêts de la France mais en réalité ils dissimulent leurs incompétences, leur absence d’analyses en profondeur, leur lâcheté face aux décisions à prendre, ainsi que leur cupidité de leur ego surdimensionné pour lequel les citoyens ne sont que des bulletins de vote.

La France va très mal. L’incompétence élevée à ce niveau et démoralisante. Tout ce qui a été fait sous Sarko est détruit, il est vrai que nombre d’aspects sont intolérable. Mais, la médiocratie en faisant les choix qu’elle fait : saigne les salaires les plus bas, soutien les escrocs bancaires dans leur absence de soutien à ceux qui veulent construire en privilégiant exclusivement les classes dites supérieures.

En effet, le pote François oriente la France en direction de l’augmentation, dissimulée et légitimée des privilèges pour toutes les classes dites supérieures et tous ceux qui font plus de 2000 euros mensuels. Les petits salaires, ceux qui se vendent pour que la France avance et se détruisent la santé sous les moqueries des imposteurs incapables le cul vissé sur leur fauteuil ne vont plus pouvoir que survivre.

Le pote François avec ses idéaux qui méprisent les citoyens, puisqu’il n’a toujours pas eu la décence de répondre aux courriers et aux questions mène avec ses illusionnistes la France vers les abîmes simplement pour satisfaire les doctrines idéologiques de prétendus intellectuels qui vérolent la mémoire collective de la France en prétendant la servir.

Sous Sarko le peuple n’avait pas grand-chose. Sous François le peuple aura encore moins. Là le changement c’est maintenant. Avant les citoyens avaient encore parfois la possibilité malgré des salaires d’esclaves, COMME CELUI D’UN ASSISTANT D’EDUCATION A 600 EUROS PAR MOIS, de pouvoir envisager un avenir.

Les orientations prises et imposées sont une démonstration par les faits d’une absence de courage pour effectuer les coupes là où les collectivités territoriales ont spolié la nation. L’imposture est tellement éclatante que les médias ne la perçoivent pas, normal la désagrégation de la nation sert leurs fonds de commerces et leurs doctrines.

Alors CITOYENS allez-vous tolérer d’être saignés pour que des personnes puissent vivre en toute quiétude sur votre dos ? Allez-vous admettre que des illusionnistes en touchent pas aux privilèges et s’en accordent d’autres encore plus scandaleux et intolérables ?

Il semble que oui ! Les médias font tout pour éviter que le peuple conscientise les réalités. Les politiques soutenus et orientés par les médias font tout pour que le peuple demeure dans l’ignorance. Le changement c’est maintenant, alors les médias et les politiques vont-ils avoir le courage de servir les citoyens ? J’en doute…

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26 juillet 2012 4 26 /07 /juillet /2012 13:14

Les pornographes inondent les rayons des papeteries. Dans toutes les échoppes nous avons des mètres linéaires de revues pornographiques interdites au moins de 18 ans. Sur le Net se sont des flots permanents de sites qui assaillent de toutes parts.

Je me pose énormément de questions. La prostitution c’est vendre son corps contre rémunérations pour des pratiques sexuelles, pénétrations multiples et diverses, relations buccogénitales, le tout avec ou sans préservatifs, sans omettre toutes les activités de bondages et autres perversités de jeux sexuels.

Un film pornographique, une revue, un site pornographique, ne diffuse-t-il pas des images d’une forme de prostitution légale. Les hommes et les femmes aux performances des plus surprenantes ne sont-ils et elles pas des prostitués/es ? Ils et elles sont rémunérés/es pour des pratiques sexuelles de tous types avec toutes sortes de personnes. Il y a donc prostitution.

En effet, dès lors que des relations sexuelles s’effectuent contre rémunération il y a prostitution. Pourquoi la justice ne fait-elle pas son travail en sanctionnant les proxénètes qui exposent des films, des revues et des sites dans lesquels des hommes et des femmes mettent leurs corps à disposition contre rémunération pour des pratiques sexuelles de tout genre ?

C’est de la prostitution légale ! Les travailleurs du sexe des réseaux pornographiques sont des prostitués/es légales puisque personne n’a le courage de mettre en évidence que ces personnes travaillent ouvertement en vendant leur corps pour des activités sexuelles contre rémunérations.

Alors nos sociétés ont deux poids deux mesures. D’un coté les politiques couvrent les réseaux pornographiques où les filles sont des esclaves sexuelles en toute légalité, puisque se vendre pour faire un film au cours duquel ont se livre à des performances sexuelles est admis. Et de l’autre coté les filles qui font la même chose qui vendent leur corps contre rémunération pour des pratiques sexuelles.

Nous sommes en totale hypocrisie. L’imposture médiatico-communicationnelle fait son œuvre de désagrégation sociétale. Les médias soutiennent les réseaux pornographiques pour lesquels les filles ne sont que des poupées sexuelles, des objets, et s’acharnent contre la prostitution. Pourtant dans les deux cas les filles sont des objets sexuels. Elles se vendent pour de l’argent et expose leur corps au plus offrant. Ça c’est de la prostitution dans les deux cas !

Alors, François ! A quel moment la pornographie et la prostitution seront-elles mises sur le même autel ? A mon sens jamais car les réseaux pornographiques alimentent en filles les salles discrètes. Et tout le monde ignore volontairement, par lâcheté, et par confort que la pratique pornographique est un acte de prostitution. Ces acteurs payent des impôts ? Et oui !

Alors, la copine Najat à besoin de prendre sa verve politicienne et de faire légaliser la prostitution, et non les proxénètes. Le copain Ayrault à besoin d’avoir le courage de reconnaitre que la pornographie est de la prostitution ou qu’un de ses pavlovien démontre que ce n’est pas de la prostitution, mais là, c’est difficile car il y a pratique sexuelle contre rémunération.

Pornographie et prostitution ne servent pas les mêmes intérêts. Aujourd’hui pour limiter les abus de l’esclavagisme sexuel il est impératif que la prostitution soit mise au même rang que la pornographie. Là ce serait du changement !

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26 juillet 2012 4 26 /07 /juillet /2012 08:08

La doctrine dominante d’une idéologie inertielle rétrograde est : le changement c’est maintenant ! Là se pose un énorme problème : l’incapacité au changement.

Le changement c’est pratiquer la praxéologie. C’est-à-dire avoir le courage de percevoir, d’observer, d’analyser et d’exposer les articulations, les mécanismes et les errances qui mènent aux dysfonctionnements auxquels notre société doit faire face à cause de la lâcheté des politiques.

Le changement c’est faire en sorte que dans les commissions si chères à François des personnes qui n’appartiennent pas aux réseaux, aux cercles et aux clientèles soient intégrées pour que des perspectives d’approches autres que celles du pavlonisme médiocratique de l’élite institutionnalisée puissent émerger.

Le changement c’est avoir le courage de mettre un terme immédiat et constitutionnel au cumul des mandats électifs afin qu’un député ne fasse que député, un sénateur que sénateur, un maire que maire. Sans omettre l’éradication immédiate de tous les postes des collectivités territoriales avec des présidents de ceci et de cela qui coûtent des fortunes.

Le changement c’est faire en sorte que Peillon sorte de la médiocratie instaurée dans l’éducation nationale pour que des individus qui n’ont fait que laisser leurs fesses sur les bancs de l’école, des classes prépa et des universités instruisent les élèves. C’est faire en sorte que des profils autres que des lustreurs enseignent aux élèves.

Le changement c’est avoir le courage de concevoir un projet de société dans lequel l’humanité, pour les ignorants pavloviens il y a quatre niveaux de l’humanité, est l’inquiétude principale et pour laquelle l’Etat réoriente les efforts d’investissements afin que les industries trop rares présentent sur le sol national puissent avoir du travail.

Le changement c’est faire en sorte que le pôle emploi exige et impose à ses employés de faire leur travail et de proposer des emplois en corrélation avec les profils. C’est d’imposer que les chercheurs d’emplois puissent avoir des formations qualifiantes. C’est d’imposer que les dossiers soient traités avec équité et non comme ils le sont en ce moment avec sectarisme.

Le changement c’est que le Président de la République réponde, fasse répondre, impose à ses services de répondre aux courriers des citoyens. C’est ne pas faire du Sarko dans les actes puisque sous Sarko les citoyens étaient méprisés. Le changement c’est de considérer les citoyens surtout s’ils n’appartiennent pas aux clientèles.

Le changement c’est d’imposer aux « responsables » en poste d’aller chercher des regards différents de ceux qui ne font que satisfaire au système et à ses errances démagogiques pour lesquelles le carriérisme est la seule finalité. Le changement c’est mettre un terme immédiat au logement gratuit pour les directeurs des hôpitaux trop nombreux pour faire le travail.

Le changement c’est d’avoir le courage de regarder la réalité en face. C’est avoir le courage d’accepter de s’être fourvoyé. C’est avoir le courage de mettre un terme aux recrutements consanguins. C’est avoir le courage de virer sans ménagement tous les politiques qui ont plus de 65 ans et de  légiférer pour que députés et sénateurs ne soient pas élus avant 40 et 45 ans. C’est avoir le courage que constitutionnellement il soit impossible de faire une carrière politique.

Le changement c’est de sortir du gargarisme médiocratique des prétendus intellectuels qui ont menés la France là où elle se trouve avec des universités pour les sciences humaines qui ne font que du blablatage avec l’incapacité à élever le débat, si ce n’est par du pavlonisme. Le changement c’est de supprimer le CNU. Le changement c’est d’évaluer les enseignants par un organisme indépendant. Le changement c’est de modifier les programmes et faire en sorte que la pédagogie soit pratiquée et non l’imposture didacticienne qui n’est qu’un fond de commerce des sciences dites de l’éducation.

Le changement c’est de voir un président faire autre chose que du sarkozysme en ayant la dignité de prendre en considération les citoyens et avoir le courage d’accepter qu’ailleurs, hors des cercles et des clientèles, il y a des personnes qui produisent.

Le changement c’est par exemple que les prétendus spécialistes des violences qui se gargarisent et blablatent dans les ministères lisent et mettent en œuvre les travaux sur les violences de Brun-Picard Yannick.

Le changement c’est concevoir une gestion de la prostitution et les travailleurs du sexe qui met les proxénètes en prison pour des années avec une justice qui sanctionne avec des peines planché dissuasives. C’est faire que tout responsable d’accident de la route avec un taux d’alcool supérieur à la norme soit poursuivi et jugé pour homicide volontaire, idem pour les excès de vitesse.

Tu rêves Charles ! Le changement c’est la continuité ! Comment des intellectualistes qui sont incapables de sortir des discontinuités pour entrer dans le concept de rupture/continuité peuvent-ils s’engager en direction du changement ? Impossible.

Le changement c’est dans ces conditions faire du Sarko par du François. Si c’est la réalité qui nous attend la France se précipite au fond du gouffre…

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21 juillet 2012 6 21 /07 /juillet /2012 08:34

Un petit, tout petit, réseau de prostitution vient d’être démantelé dans l’Essonne. Cela démontre par le fait que l’esclavagisme sexuel en provenance de l’Est existe et qu’il est actif pour alimenter un réseau pendant suffisamment de temps pour que les forces de l’ordre puissent agir.

La prostitution dans ces conditions est un fléau sociétal. Il est inadmissible, intolérable, dégradant, de voir des femmes et parfois des hommes vendre le corps pour des services, des actes sexuels le plus souvent dégradants, pour alimenter des proxénètes, et légitimer la violence sexuelle.

La prostitution est néanmoins une activité « nécessaire » à l’humanité. Faire ce constat est dérangeant car il faut cautionner que des services sexuels soient cédés contre rémunération. Mais lorsque l’on prête attention à ce qu’il se passe dans certains lieux, où des filles et des femmes exposent et vendent leurs charmes pour grimper dans l’échelle hiérarchique, des garçons aussi mais plus rarement, on se dit que la prostitution est partout.

J’ai vu, il y a plus de vingt ans des jeunes filles se vendre pour des notes à l’université. J’ai vu des filles dans la voiture de leur professeur faire des galipettes et retrouver ces demoiselles en maîtrise avec des notes à faire pâlir tout étudiant. J’ai côtoyé des garçons qui acceptaient de passer sous le joug de la vieille dame pour un avancement et un poste, il est vrai éjectable, mais acquis aux dépends de ceux qui ne pratiquaient pas l’avancement horizontal.

Cette prostitution dissimulée que l’on trouve dans nombre de lieux est volontairement tenue sous silence, est invisible à ceux qui ne veulent pas que cette bassesse soit étalée. Elle est une perversion de nos systèmes sociétaux. Les puissants et les puissantes ne veulent pas que l’on puisse dire que cette forme de droit de cuissage, ou ce libertinage entre adultes consentants, est une forme de prostitution.

La prostitution pratiquée en réseaux est une violence sexuelle, une violence physique, une violence psychologique, faite aux prostituées. Elle est intolérable. Les pouvoirs publics ont l’obligation, le devoir de mettre un terme immédiat à cet esclavagisme sexuel.

La prostitution volontaire, en revanche, est il est vrai dérangeante, mais doit exister et être encadrée. Je doute que Najat possède suffisamment de courage politique ou de féminisme pour soutenir un projet de loi qui ferait de la prostitution une activité légale. Comme je l’ai suggéré il y a quelques jours la prostitution doit être encadrée avec des lois et des contrôles draconiens pour éradiquer les réseaux.

La prostitution exige que l’Etat défende ceux et celles qui soulagent l’humanité souffrante en proposant contre rémunérations des activités sexuelles. La prostitution réclame que les citoyens et citoyennes qui se prostituent payent des impôts lourds sur leur pratique, que leur train de vie soit passé au crible et qu’ils puissent accéder à une retraite.

La prostitution ne peut plus être exposée comme elle l’est actuellement où les filles et les rares garçons ne sont que de la viande pour des proxénètes et un déversoir pour des clients qui trop souvent n’ont que peu de considération pour ceux et celles qui soulagent leur misère sociétale, leur misère relationnelle et leur misère sexuelle.

La prostitution exige, pour sa gestion, son encadrement, sa réglementation, que les politiques aient le courage du changement c’est maintenant. Cela signifie que les copains de François prennent conscience que l’on ne peut pas lutter contre toutes les formes de prostitutions. L’Etat à le devoir de faire en sorte de créer un cadre dans lequel les réseaux seraient éradiqués avec des peines planché dissuasives donc très lourdes pour tous proxénètes.

La prostitution ne souffre pas l’imposture médiatique, le pavlonisme médiatico-communicationnel, l’infaillibilité politicienne ou le blablatage d’idéologies intellectualistes vides de projection. Elle exige des politiques courageuses et des capacités, inexistantes chez les brillantissimes sortis des boites à prétendues élites, à la praxéologie.

La prostitution pour être gérée, contrôlée et qu’elle protège les travailleuses du sexe, réclame que les textes de Brun-Picard Yannick soient au moins lus, à défaut d’être publiés pour que les prétendus responsables agissent sur les articulations qui permettent aux réseaux de demeurer tous puissants.

Il est plus qu’évident que jamais les instances du pouvoir s’engageront dans cette direction car se serait admettre qu’elles se sont fourvoyées, que leurs idéaux sont des dynamiques inertielles négatives et surtout qu’un paria avait raison avant qu’eux conscientisent les réalités…

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19 juillet 2012 4 19 /07 /juillet /2012 12:44

Un jugement vient d’être prononcé à l’encontre de cinq jeunes qui exerçaient des formes de violences dans une cité. Ils ont été condamnés à des peines de 3 à 6 mois de prison ferme. Pourquoi, je m’attarde quelques lignes sur ce thème ?

Il y a dix ans Brun-Picard Yannickdémontrait que des cités en France étaient sanctuarisées. Que des zones urbaines, des territoires dans les cités, étaient des points d’ancrage à des formes de violences, à l’oppression, la coercition ainsi qu’à des dynamiques de violences cognitives, sans omettre les violences physiques qui les accompagnaient.

Ce « chercheur » a été étrillé, écrasé, démoli, par des sociologues et autres universitaires qui trop aveuglés par leurs idéaux, leurs appartenances et surtout leurs réseaux, étaient incapables de voir ces phénomènes de violences au cœur de nombreuses cités et prenant une certaine ampleur.

Ce « chercheur » a été ridiculisé, ignoré et tancé par des géographes et autres universitaires, qui trop arcboutés sur leurs doctrines, leurs croyances, l’absence d’objet de la géographie, et leurs méthodologies techniciennes faisant la négation de l’interface humanité/espaces terrestres, ont développé des trésors de mépris pour que ses textes ne puissent pas voir le jour et soient jetés aux oubliettes. Ce que le système fit sans le moindre problème.

Ce « chercheur » a démontré que des groupes de jeunes sanctuarisaient par la violence, par diverses formes de violences, des parcelles d’espaces terrestres, les constituants en territoires desquels étaient exclus tout étranger à l’entité dominante.

Brun-Picard Yannick a démontré à maintes reprises que ce soit à Nantes, Montréal, Ottawa, Québec, Sherbrooke, Bordeaux ou Anger, que des dynamiques de violences engendrent des territorialités qui produisent des territoires de violences, par leurs expression, leurs destinations et par leur nature de support de violence et de besoin de violence.

Ce « chercheur » a publié, aux cahiers de géographie du Québec, un article : http://www.erudit.org/revue/cgq/2009/v53/n150/039185ar.html?vue=biblio, il est vrai que ce texte est paru en 2009. C’est le seul témoignage des travaux qui mettent à mal toutes les croyances, les dogmes des clientèles et les errances des sociologues et autres géographes qui l’ont méprisé.

Aujourd’hui, le jugement rendu démontre par les faits, par la violence subie par les populations terrorisées qui ne sont pas allées au procès, que les théories de la territorialisation par la violence démontrées par Brun-Picard Yannick se vérifient.

Il est vrai que certains diront qu’il faut parvenir à la falsification. Mais leur lecture de Popper est de nature médiocratique et pavlovienne car ils ignorent que la critique doit être constructive pour faire avancer notre connaissance sur le monde des faits. Eux ont critiqué, démonté, détruit et ignoré des travaux qui aujourd’hui attestent de la justesse de l’analyse et des démonstrations.

Probablement que ce « chercheur » devrait courber l’échine et lustrer des pompes pour être cité, et quelque part tant soit peu reconnu. Je doute fermement qu’il cautionne une telle perversion. Les clientèles des cercles de pouvoir par leur ignorance, leur cupidité et leur infaillibilité sont responsables de la situation. Elles ont dissimulé la réalité afin de servir des idéaux, des doctrines et des écoles de pensées qui ne font que se gargariser de blablatages à courte vue d’intellectualisme réducteur.

Il est vrai que dans nos sociétés il est socialement inacceptable d’avoir raison avant tout le monde, simplement parce que les réseaux, les appartenances et les clientèles verrouillent les nominations, les publications et les recrutements. Dans cette situation lamentable Brun-Picard Yannick demeurera au fond de la cuvette de l’ignorance, de la bêtise et de la suffisance simplement parce qu’il a eu raison avant tout le monde et pire encore contre toutes les structures dites de l’élite intellectuelle et universitaire.

Puisque le changement c’est maintenant, les acteurs du système d’enseignement, de recherche, vont-ils avoir le courage d’admettre leurs errances, même superficiellement, et donner à ce chercheur la place que l’on peut attendre ?

Pour ma part j’en doute. Il faudrait pour cela que les pavloviens conscientisent leurs dysfonctionnements et perçoivent les abus de pouvoir. Il faudrait que les institutionnels parviennent à la dignité de servir la nation et non servir les cercles de pouvoir, d’influence et de clientèle.

Si le changement c’est maintenant, demain, ce chercheur aura un poste… Là tu rêves Charles !

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18 juillet 2012 3 18 /07 /juillet /2012 08:28

La France est à l’agonie. Le système dit éducatif est dans un état lamentable sauf pour les structures à prétendues élites. Le blablatage sur les choix du devenir de l’éducation dissimule l’absence de courage pour construire un enseignement national digne de ses missions.

L’enseignement national devra faire disparaitre au maximum les photocopies données dès la maternelle aux élèves. En effet, les élèves sont noyés sous les photocopies. Tous les jours ils reçoivent au minimum quatre feuilles.

L’enseignement national devra imposer que les élèves sachent correctement écrire, compter et lire à la sortie du primaire. Il est intolérable de voir des élèves de 6ème avoir des difficultés à lire des textes simples et ne pas comprendre la peu qu’ils lisent.

L’enseignement national aura l’obligation de faire acquérir les savoirs pendant les heures de cours. Cela signifie que les seuls devoirs qui seront donnés aux élèves seront des révisions de ce qui a été acquis dans la journée, auquel sont greffées des activités de mémoire comme les récitations. Il est intolérable de voir que dans trop de classes de primaire la récitation n’existe pas.

L’enseignement national aura l’obligation de formation des enseignants en mettant un terme immédiat par éradication de toutes les impostures didacticiennes pour que les enseignants pratiquent de la pédagogie, de la pédagogie différenciée et de la pédagogie évolutive. Cela impose de tailler à la hache dans les sciences dites de l’éducation.

L’enseignement nationalrecrutera ses futurs enseignants par académies en gestion des effectifs prévisionnels. Les académies qui seront réorganisées pour produire des entités plus étendues seront responsables de la formation de 5 années des titulaires du Bac-à-sable qui à la sortie de la formation seront titulaires d’un diplôme d’Etat d’enseignant de maternelle, de primaire ou secondaire.

L’enseignement national mettra un terme immédiat à la surenchère des programmes en structurant découpant et articulant les acquis tout au long de la scolarité. Cela signifie qu’il sera mis un terme immédiat aux impostures des programmes d’histoire géographie totalement débiles qui ne produisent que des pavloviens.

L’enseignement national aura l’obligation de s’adapter aux marchés du travail en proposant des formations en phase avec le monde du travail. Cela signifie qu’il aura le devoir d’employer de personnes qui ont une expérience professionnelle autre qu’avoir lustré leurs fesses sur les bancs de l’universités en prétendant avoir travaillé pour leurs études.

L’enseignement nationalimposera la présence des enseignants dans les établissements secondaires 28 heures par semaines avec obligations de service de surveillance de l’établissement. Les cours une fois qu’ils sont faits ne réclame pas grand-chose. Cela signifie que l’imposture des cours à préparer sera éradiquée.

L’enseignement nationalévaluera les enseignants par l’intermédiaire d’un organisme privé qui aura délégation de service public. Chaque enseignant sera évalué annuellement sur ses cours, ses productions, ses actes pédagogiques par deux évaluateurs indépendants et sans contact qui eux évalueront 300 enseignants par an par évaluation croisée.

L’enseignement national recrutera ses enseignants par bassin académique, où un centre académique sera implanté obligatoirement dans une ville de moins de 40 000 habitants. Les nouvelles recrues seront sous contrat pour 8 ans dans l’académie d’origine. Aucun mouvement d’académie ne sera admis la prime au soleil sera éradiquée.

L’enseignement national mettra en place la semaine de 5 jours pendant laquelle 4 heures journalières seront exclusivement réservées aux acquis lire, écrire, compter et deux heures d’activités ludiques en fin de journée. Même chose dans les établissements secondaires avec soutien scolaire intégré à l’établissement pour les devoirs avec les enseignants présents dans l’établissement.

L’enseignement national sera au servir du devenir de l’élève et non du confort de l’enseignant qui pratique la photocopie. Les traces écrites, les leçons seront manuscrites et les évaluations de niveaux seront mises en place.

L’enseignement national mettra en place un examen de connaissances et de niveau pour l’entrée à l’université. Du genre de ce qui se fait outre-Atlantique, en fonction du niveau les aspirants étudiants pourront suivre les formations universitaires pour lesquelles les droits d’inscriptions seront augmentés et les bourses attribuées exclusivement au mérite en fonction des revenus des parents.

L’enseignement national conçu de cette manière mettra un terme immédiat à l’imposture du Bac-à-sable. Gérera les carrières puisque l’agrégation disparaitra pour les enseignants du secondaire et sera le diplôme d’accès à l’enseignement supérieur, ce qui signifie que seuls les candidats ayant été enseignant dans le secondaire pourront être enseignants dans le supérieur, donc le CNU sera dissout.

L’enseignement national conçu comme cela réclame du courage. Je doute que Peillon et ses copains et copines agissent dans cette direction astreignante car les réseaux, les appartenances aux cursus et les clientèles ne pourraient plus être les bénéficiaires d’un système qui se désagrège.

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17 juillet 2012 2 17 /07 /juillet /2012 11:21

En France les seules personnes à pouvoir formuler des critiques sont les institutionnels, ceux qui appartiennent aux réseaux et aux clientèles. Tous les autres doivent faire silence.

L’ignorance quant à la finalité de la critique, surtout négative, est éclatante. Nous avons des définis intellectuels, qui ont l’outrecuidance de prétendre avoir lu dans la totalité Popper mais qui ignore que ce dernier, au-delà de la réfutation, de la falsification, mettait la critique en avant pour améliorer notre connaissance sur le monde des faits.

La critique c’est mettre en perspective de manière abrupte ce que les systèmes refusent de voir en ayant la prétention d’affirmer que tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes. Elle met en évidence les facettes que notre lâcheté face aux réalités refuse de percevoir.

La critique, tout particulièrement d’instauration de machines à vent inutile, tant dans leurs destinations, leurs regroupements et leurs finalités, est indispensable surtout quand elle lève le voile sur des magouilles, des manipulations et de la propagande.

La critique même si elle projette du fiel à tout va contribue à conscientiser les dysfonctionnements de notre société, si nous acceptons d’ouvrir les yeux sur ce qu’il se passe et que nous avons le courage de constater par les faits que nous ne sommes que des pantins dans paroles des politiques et dans celles des médias.

La critique est ce qui peut éveiller les consciences pour s’extraire du culte du fric, du culte de l’image et du culte de l’illusion. Elle dévoile la perversité des mécanismes préservés par les organismes médiatico-communicationnels pour que le peuple n’agisse que sur leurs indications.

La critique est une alerte au sujet de perversions, d’abus de pouvoir et d’intolérance, le tout encadré sous l’égide de l’inquisition des biens pensants qui ne peuvent pas concevoir que l’on puisse réfléchir en dehors de leurs appartenances, de leurs réseaux et de leurs clientèles.

La critique c’est la seule chose qui reste au peuple saigné par la cupidité, la rapacité et l’abus de faiblesse. Elle est un rempart pour les générations futures auxquelles nous laissons un monde dans un état lamentable simplement parce que des écologistes vendent leurs idéaux pour des postes.

La critique est d’avoir le courage sans finesse de reconnaitre que nous sommes manipulés par des organismes pour lesquels le devenir de l’humanité n’est que détail puisque leurs conceptions mercantiles mènent le monde et la pensée du peuple.

La critique est une action citoyenne. En effet, elle est un devoir de ne pas avaler le blablatage de quelques illusionnistes qui ont construit leur ascension sur l’autel de l’illusion, du rêve et du changement pour maintenant alors qu’ils font pire que les prédécesseurs.

La critique est de montrer que les citoyens français ne sont pas que des décérébrés abrutis par les miasmes de la médiatisation. Elle est un héritage pour après demain afin que les jeunes sachent que des personnes avaient alerté les consciences pour mettre un terme aux illusions.

La critique en France est intolérable pour ceux qui sont en place. L’infaillibilité, la suffisance et l’appartenance ne conçoivent pas d’être critiquer, tout particulièrement lorsque les critiques démontrent les perversités, les manipulations et les gaspillages des fonds publics, juste pour servir des idéaux, des copains et des clientèles.

En 1936 la critique n’était pas tolérée… le résultat fut des plus sombres… !

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16 juillet 2012 1 16 /07 /juillet /2012 15:11

Enterrer des problèmes il suffit de créer une commission et le tour est joué. Voilà, par l’exemple ce qu’il se passe en France. Toute la violence de la médiocratie politicienne s’expose par l’installation de cette commission qui ne fera que blablater.

La commission va-t-elle proposer de mettre un terme immédiat à tout cumul de mandat ? NON. Va-t-elle impose une hausse de l’âge minimum pour pouvoir être élu député et sénateur, à 40 ans ? NON. Va-t-elle faire en sorte d’instaurer des vraies commissions de contrôle ? NON.

Cette commission est de la poudre aux yeux. Elle ne fait que donner l’illusion. Elle va permettre pendant quatre mois à des hauts imposteurs en médiatico-communication de percevoir des indemnités pharaoniques pour faire du blablatage.

Cette commission ne proposera pas d’éradiquer le CNU. Elle ne proposera pas de modifier en profondeur les recrutements dans les universités pour mettre un terme immédiat au clientélisme, aux réseaux et autres manipulations qui ont mené la France, le système éducatif français là où il se trouve : en chute libre vers les abîmes.

Cette commission regroupe des animaux de l’appareil technocratique de tout ce qui met la France à genoux par suffisance, infaillibilité et médiocratie. Elle se gargarise de pavloviens qui n’ont pas le courage de regarder ce qui ne va pas en France et préfère se palucher sur des thèmes de pégreleux sans dimension, si ce n’est celle de leur ego et des auto-récompenses.

Cette commission ne touchera pas et ne proposera pas d’éradiquer tous les avantages existants pour les hauts fonctionnaires, pour les élus, de réduire leur nombre et de faire en sorte que la fonction publique soit au service des citoyens.

Cette commission ne fait et ne fera que donner l’illusion de prendre en considération le devenir de la société mais en faisant comme les imposteurs de la sociologie, soutenus par certains partis politiques, que proposer des pistes qui enfonceront un peu plus les citoyens dans les abîmes de la dépendance.

Cette commission n’a pas pour finalité le bien de citoyen. La seule finalité démontrée est faire en sorte de légitimé les nouvelles normes pour que les politiques de carrière, chose inacceptable, puissent s’en mettre encore plus dans les poches en toute impunité.

Cette commission n’a fait que regrouper des lustreurs du système qui n’ont fait que satisfaire à la norme du ce dernier sans faire de vague pour parvenir aux plus hauts distinctions en écrasant tout ce qui fait la différence et la diversité mais en usant et abusant de ces termes au détriment du devenir de la nation.

Cette commission n’est qu’une imposture supplémentaire dans laquelle le mépris pour les citoyens est éclatant. Elle n’a pour objectif que de faire en sorte de préserver les privilèges des politiques. Ils l’ont instauré maintenant car le changement pour la spoliation de la nation doit se faire dans les délais les plus courts.

Cette commission est comme toutes celles qui ont été constituées : qu’un regroupement manipulateur pour donner l’illusion et distribuer quelques honneurs et privilèges et faire des redevables devant les organismes médiatico-communicationnels.

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13 juillet 2012 5 13 /07 /juillet /2012 08:55

La France craque de partout. La prétendue industrie s’effondre, les structures sociétales se désagrègent et nos références institutionnelles sont dissolues dans l’illusionnisme à courte vue qui n’a pour finalité que de préserver les clientèles du pouvoir.

La négation du territoiredevient si aveuglante, prégnante et envahissante qu’aujourd’hui les incapacités, les insuffisances et le pavlonisme des prétendus élites de la France nous mettent dans le mur. Nous avons des énarquiens pavloviens qui sont partout et qui pratiquent la négation du territoire.

La négation du territoire se vérifie par l’implantation, la volonté d’implantation de ligne TGV qui ne sont que des impostures technocratiques et mercantiles qui ont pour objectif de drainer dans des puits sans fond l’argent de la nation au profit de quelques bénéficiaires en toute légalité.

La négation du territoire se vérifie dans les établissements scolaires où l’enseignement de l’histoire et de la géographie quand il est pratiqué de manière acceptable ne ramène pas les élèves à la notion de territoire et moins encore à celle d’interface humanité/espaces terrestres afin de leur permettre de comprendre le monde en construction.

La négation du territoire fut théorisée par Brun-Picard Yannick. Il s’est fait étrillé par les universitaires qui sont parvenus à enterrer ses articles sur ce thème, cela fait déjà 6 ans. Il y démontrait comment les technocrates soutenus par les investisseurs manipulent les conceptions pour faire du fric.

La négation du territoire est éclatante quand on regarde les prostituées s’approprier des parcelles sans que les forces de l’ordre n’agissent ou ne fassent le minimum syndical pour empêcher qu’elles ne tapinent devant les arrêts de car où les écoliers attendent leur moyen de transport.

La négation du territoire se vérifie dans l’incompétence de gestion territoriale mais dans le gargarisme, l’emploi à toutes les sauces du terme territoire sans lui donner une seule fois la teneur, sa définition et ses dimensions, car pour les politiques ce ne sont que des mots qui servent des idéaux.

La négation du territoire est éclatante quand on voit que dans les universités françaises les universitaires, éclats de rires, n’ont même pas la dignité d’aborder la notion dans sa complexité. En effet il faudrait faire autre chose que des idéaux et des croyances dans des développements médiocratiques de méthodologies dogmatiques.

La négation du territoire est démontrée quand les imposteurs politiciens agrègent des territoires locaux sans affirmer et concevoir le territoire national pour aire de développements, de dynamiques et de potentialités interterritoriales d’une mosaïque de territoires locaux.

La négation du territoire est attestée quand Peillon le ministre de l’éducation nationale est incapable de concevoir, ses conseillers pavloviens en sont partiellement responsables, que dans les écoles des territoires de violences existent et que les illusionnistes en poste ne sont pas en mesure de les percevoir aveuglés par leurs croyances et leurs idéologies.

La négation du territoire est physique quand nous constatons que tout est drainé vers un parisianisme à courte vue afin de servir les investisseurs au détriment du peuple. La cupidité, la suffisance et l’ego surdimensionné des élus contribuent largement à la négation du territoire simplement pour faire du fric.

La négation du territoire est devenue une normalité conceptuelle et organisationnelle validée par l’énarquisme à courte vue et par la technocratie rétrograde d’une inertie pavlovienne. Tous parlent de territoire mais n’agissent pas pour le territoire. Ils focalisent sur une parcelle et justifient leurs errances et la perversion de leurs solutions par l’action sur le territoire.

La négation du territoire est là, nous la vivons, puisqu’à l’école la géographie n’a plus de place. La notion n’est qu’un constituant de spécialités qui par imposture universitaire sont élevées au rang de science pour servir les clientèles et les idéaux.

Tant que les prétendus responsables ne seront pas capables de concevoir le territoire la désagrégation se poursuivra. Hélas cela n’est pas enseigner dans les structures pavloviennes des brillantissimes technocrates ou l’ignorance de la diversité et de la différence est devenue la norme.

Nous vivons l’inquisition sous sa forme évoluée puisque les politiques cautionnent de telles errances construites par des universitaires trop lâches pour accepter qu’ils se sont fourvoyés et qu’ils ne font que du vent tout particulièrement dans les sciences humaines.

Là est une autre forme de négation du territoire : celle de la production cognitive et scientifique…

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