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22 août 2012 3 22 /08 /août /2012 14:47

Le blablatage est une des techniques du médothologisme de la médiocratie. Le blablatage est l’action qui a pour finalité de submerger tout adversaire par des flots ininterrompus de paroles et autres assauts médiatico-communicationnels afin de demeurer sur le devant de la scène médiatique.

Le blablatage devient la norme normalisante de la normalité instaurée, prônée et soutenue depuis plusieurs mois en France. Le blablatage permet à ses diffuseurs d’agresser tous ceux qui n’appartiennent pas aux cercles, aux réseaux et aux clientèles en faisant en sorte de museler toute émergence afin de préserver leurs privilèges.

Le blablatage dans son méthodologisme ignore ce qu’est la praxéologie. Ses défenseurs, diffuseurs et étendards, ne possèdent pas la capacité de pratiquer la praxéologie. Leur brillantissime cursus au contact des sciences dites de l’éducation et autres dégénérescences intellectuelles ne fait que valider, soutenir et tolérer la réflexivité.

Le blablatage dissimule habilement les vides, les inaptitudes et les absences de cohérence. Le blablatage fait que les décideurs n’ont pas le courage de faire en sorte qu’un contrat d’apprentissage soit de trois ans. C’est-à-dire, que les deux de formation sont suivis d’une année chez le même employeur. De cette manière l’imposture des formations, soutenue par le pôle emploi, serait mise à mal.

Le blablatage est de faire en sorte de parler de tout sur tout avec tout. Ainsi, l’absence de réponse aux courriers des citoyens est enterré sous la présence médiatico-communicationnelle qui légitime le fait de ne pas exercer ses devoirs et ses obligations pour les citoyens. Le blablatage donne à voir des icônes médiatiques produites par les médias pour les médias.

Le blablatage est une action superficielle dans un domaine, sans se salir les mains, en demeurant intouchable, sans aucune responsabilité mais en affirmant être responsable aux yeux de tous. Le blablatage n’a aucune considération pour les citoyens, ses diffuseurs vident leurs sacs sans se soucier des conséquences pour les citoyens.

Le blablatage est la négation de la diversité et de la différence. Le blablatage ne tolère la différence et la diversité que de façade. C’est-à-dire celle qui provient de ses dynamiques, de ses cercles, de ses réseaux et bien-sur de ses clientèles. De cette manière le blablateur donne l’illusion de s’ouvrir et de prendre en considération l’humanité souffrante ainsi que les citoyens qui s’enfoncent.

Le blablatage est une démarche du méthodologisme technocratique validé par les formations énarquiennes pour lesquelles les acteurs demeurent superficiels sans jamais entrer dans le concret où ils pourraient prendre des coups, ne serait-ce que ceux de la réalité de la vie. Le blablatage est une négation des réalités sociétales afin de préserver ses sphères d’influences.

Le blablatage mis en place sous l’ère mitterando-gaullienne n’a cessé d’être renforcé, développé et agrémenté de toute forme de légitimité afin d’acquérir une pérennité indéboulonnable. Le blablatage est ce qu’il se passe en ce moment en France où seuls des effets d’annonce sont jetés aux citoyens avec des décisions qui ne sont que du bidouillage à défaut d’être du démontage du sarkozysme.

Le blablatage est devenu, par le méthodologisme instauré comme référence d’un élitisme intellectualiste, une référence de la médiocratie dans laquelle nous nous enfonçons un peu plus chaque jour. Le blablatage s’offusque de l’absence de liberté de parole au Maghreb mais muselle toute parole divergente à la normalité médiatico-communicationnelle.

Au regard, à l’écoute et à la lecture des évènements de ces derniers mois, le blablatage s’est affirmé comme étant la doctrine hégémonique d’un méthodologisme inertiel incapable de dynamique en direction de la praxéologie pour répondre aux maux auxquels la France doit faire face.

Le méthodologisme est une tare des universités françaises enfermées dans leurs dogmes, leurs idéaux, leurs obligations et leurs clientèles. Aujourd’hui, ce méthodologisme, qui dévoile à chaque instant les incompétences et l’absence de considération pour les citoyens, gangrène la société française en faisant du blablatage une norme de la normalité normalisante.

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19 août 2012 7 19 /08 /août /2012 11:29

Des violences urbaines à Amiens et à Neuilly-sur-Marne donnent une image lamentable de la France. A force de ne pas avoir le courage de regarder les réalités en face, à force de ne vouloir voir la France que comme l’idéologie la normalise, les réalités viennent nous rappeler à l’ordre.

Les violences urbaines, les dynamiques des violences urbaines, les violences identitaires, les dynamiques territoriales des violences identitaires, les territorialisations par la violence, la violence pour vecteur identitaire, la sanctuarisation par la violence, la violence pour vecteur de territorialisations ou encore les territorialités de la violence, pour le moins ont été démontrées, exposées et trop rarement publiées, plus fréquemment exposées lors de congrès, par Yannick Brun-Picard.

Les dynamiques des violences sont donc accessibles. Malgré les textes existants rien n’est entrepris pour mettre en œuvre des actions sur les articulations des mécanismes des territorialisations par la violence. Les institutionnels demeurent sourds, aveugles et inertes aux alertes de Yannick Brun-Picard sur les thèmes des violences qu’elles soient urbaines ou scolaires.

Les violences, si présentes dans les zones urbaines, trop présentes dans les grandes villes et qui rongent les petites villes voire même les villages, à cause de la démission et de l’inertie dogmatiques des idéaux politiciens, deviennent un fléau sociétal. Yannick Brun-Picard l’a mis en exergue et les sociologues ont tout fait pour que ses textes soient mis à l’index et ne puissent pas être diffusés.

Aujourd’hui, malheureusement, les violences urbaines, les dynamiques de territorialisations des violences urbaines, les violences identitaires, les territorialisations des violences identitaires, la violence pour identité et les sanctuarisations par la violence, sont si éclatantes, si évidentes, si envahissantes, si prégnantes, que même les médias ne peuvent plus nier la réalité des mécanismes de production et de construction des violences urbaines.

Agir contre les violences urbaines, sociétales, scolaires, réclame, exige, impose, de regarder la société, l’univers sociétal, et les réalités de la France, sans employer les filtres d’une université, d’une administration et des institutions gangrénées par les réseaux, les appartenances, les clientèles et les idéaux.

Agir contre les violences urbaines, sociétales, scolaires, exige, impose, réclame que les acteurs sociétaux prennent leur courage, non pas les paroles, le blablatage et les effets médiatico-communicationnels, à pleine main pour s’approprier les travaux de Yannick Brun-Picard sur les violences et parvenir à la construction d’une Paix sociétale.

Agir contre les violences et construire la Paix, exige, réclame et impose que les intellectuels, les institutionnels et les politiques, conscientisent leurs errances et parviennent à admettre que l’obscur Yannick Brun-Picard les avait alertés quand à la nature territoriale de la production de dynamiques de violences identitaires.

Pour parvenir à cette conscientisation, phase indissociable d’une démarche praxéologique, qui n’est pas enseignée dans les universités et autres formations d’enseignements, les décideurs en poste doivent faire preuve d’humilité, bannir l’infaillibilité et la suffisance exprimées contre ceux qui n’appartiennent pas aux cercles, aux réseaux des cursus et aux clientèles.

J’ai fait un rêve : François, Peillon et Valls sans oublier Ayrault, sont allés chercher les travaux sur les violences, les dynamiques territoriales des violences de Yannick Brun-Picard. Hélas ce n’est qu’un rêve. Cet anachronisme n’appartient pas aux cercles et moins encore à la normalité, à laquelle il ne peut pas s’intégrer.

Qui sait ! A force de tancer l’inertie dogmatique, il est envisageable qu’une porte s’ouvre, à l’image de la conscience et que l’attention nécessaire à la prise en considération de la réalité se fasse. Maintenant, les actes des différents politiques en poste attestent de leur incapacité à sortir de la normalité de norme normalisante.

Les travaux de Yannick Brun-Picard si bien enterrés, dénigrés et mis à l’index par les sociologues, les géographes et autres affirmés spécialistes des violences, demeureront ignorés, alors qu’ils décrivent et démontrent les dynamiques des territorialisations des violences urbaines.

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19 août 2012 7 19 /08 /août /2012 09:04

La refondation implique que la fondation évolutive, à un moment donné, fut entreprise. Hélas, seul du colmatage et du blablatage furent mis en œuvre jusqu’à présent pour donner l’illusion de prendre en considération la réalité des dysfonctionnements du système éducatif, de l’éducation dite nationale.

Oui, il est impératif de soigner l’enseignement national. Oui, il est impératif de chasser les imposteurs de toute sorte qui gravitent dans ce système où l’on exige des petits ce que les hauts grades sont incapables de pratiquer autrement que par la parole et jamais dans les actes. Oui, il est impératif que les programmes soient refondés, que les modes d’évaluation soient modifiés, que les modes de recrutement profondément restructurés.

Là, se pose d’énormes problèmes. Jamais, les institutionnels n’auront le courage de faire se bouger toutes les marges qui chaque jour démontre l’imposture dans laquelle se meut le système éducatif. Jamais ceux qui sont en place n’auront le courage d’être réellement responsabilisés. Jamais les personnes en place n’auront le courage d’agir avec fermeté, elles ne le font que lorsqu’elles se valorisent par le mépris exprimé, mais, jamais contre ceux qui détruisent le système.

Peillon n’aura jamais le couraged’entreprendre une démarche praxéologique sur les réalités de l’enseignement national, car il devrait, dans cette posture méthodologique totalement ignorée par les tenants de l’illusionnisme des sciences dites de l’éducation, s’approprier les errances, les miasmes et autres dysfonctionnements aveuglant de l’éducation.

Peillon n’aura jamais le couragede prendre des personnes qui n’appartiennent pas aux réseaux, aux cercles et aux clientèles pour commencer à réfléchir sur ce qui se passe et que les illusionnistes refusent de regarder. Il se contentera, de faire comme son copain François  et l’autre Lionel, d’aller chercher ceux qui servent leur carrière en donnant l’illusion d’être à disposition de la nation.

Peillon fera comme ses prédécesseurs : de l’esbroufe médiatico-communicationnelle afin de produire un tour de prestidigitation et de faire croire, dans le dogme idéologique de la manipulation doctrinaire, que ce qu’il entreprend est la meilleure option sans se soucier de percevoir la nocivité des positionnements pris et du choix restrictif des prétendus spécialistes qui ignorent les violences scolaires non signalées.

Peillon va reproduire en toute médiocratiece que ses prédécesseurs ont fait en faisant en sorte de ne surtout pas toucher aux privilèges et aux aberrations du système d’enseignement si néfaste à son efficience simplement parce que l’on préfère reproduire que construire. Pour cela il faut du courage. Jamais il n’aura l’étincelle pour plonger ses mains au fond des miasmes éducatifs pour en extraire ceux qui sont en mesure de lui jeter à la face, de son ignorance, les réalités qu’il refuse, comme tous ses cercles d’influences et de clientèles, de percevoir et de voir.

Le changement est là : ce n’est plus du sarkozysme c’est du hollandisme. Et dans tout ça se sont encore, comme toujours, les citoyens qui vont payer, résorber et subir l’absence de courage, l’ignorance et la dissimulation des réalités afin de faire croire à la multitude que l’on est des bons comparativement à rien du tout ou à du vent.

Une vraie refondationexige, implique, réclame, un courage, non pas celui du blablatage et de l’illusionnisme politicien, mais celui d’un combattant qui éradique les dysfonctionnements et accepte de regarder ce qui ne va pas en évitant de se gargariser sur ce qui fonctionne. En effet, c’est en corrigeant ce qui ne va pas que l’on progresse et non en se paluchant sur des prétendues réussites.

La refondation de Peillon sera, à coup sûr, du même genre de celles de ses prédécesseurs : un tour de prestidigitation pour placer ses copains et autres soutiens intéressés. Les jours à venir témoigneront de cet état d’esprit, de ses positionnements pervertis qui annoncent déjà l’échec, et de l’inefficacité des orientations prises. Jamais Peillon ne sortira des normes normalisantes de la normalisation. Jamais Peillon n’aura le courage d’aller chercher, même dans les contractuels de l’enseignement, faut-il qu’il en prenne conscience et qu’il fasse le pas, des hors de la norme. Jamais Peillon œuvrera dans le concret pour faire faire le bond en avant pour le devenir de la France car trop de cercles, de réseaux et de clientèles, souffriraient de la chasse aux impostures.

La réalité est toute nue ! Maintenant observons ! Demain, je pleurerai d’avoir encore eu raison au sujet de l’absence du courage nécessaire pour entrer dans le concret avec autre chose que de la normalité !

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15 août 2012 3 15 /08 /août /2012 09:04

Au mois de septembre à Victoriaville au Canada va se dérouler un Festival de la Paix. Organisé par des volontaires, des engagés contre la bêtise et l’ignorance, sans omettre des porteurs d’une volonté affirmée de réduire toutes les sortes d’affrontements.

Anne, la grande prêtresse, même si le terme n’est pas très heureux voire à connotation péjorative, est la cheville ouvrière de cette organisation qui déploie des trésors d’inventivité, de générosité et d’abnégation pour proposer des pistes, des orientations et des solutions afin de parvenir à une Paix dans le Monde.

Lors de ce Festival pour la Paix des personnes de tout horizon proche et lointain vont partager, suggérer et certainement produire des options, des conscientisations à même de nous faire progresser dans la construction de la Paix internationale, nationale, sociétale et sociale. Ils vont avoir du travail pour faire émerger ce que les politiques, les institutionnels et nombre d’acteurs refusent de voir.

Il est plus que probable que lors de ce Festival pour la Paix, loin de miasmes et des bruits assourdissants des grandes villes, les thématiques pour la construction de la Paix et les théorisations méthodologiques développées par Yannick Brun-Picard lors du Congrès de l’ACFAS au mois de mai 2012 trouvent une nouvelle résonnance.

En effet, les matrices d’études, de projections et de solutions exposées sont en mesure d’ouvrir des axes de réponses et de constructions de la Paix que ce soit pour les domaines internationaux, nationaux, sociétaux et sociaux. Ce chercheur spécialisé dans les dynamiques territoriales des violences proposent des trames pertinentes pour tendre vers toutes formes de Paix.

Les quelques lignes de ce texte n’ont pas pour finalité de reproduire ce qu’il a exposé. Elles ont pour finalité de mettre en exergue qu’une personne en l’occurrence Yannick Brun-Picard a démontré que ses théories étaient employables pour répondre aux phénomènes d’affrontements sociétaux et sociaux. Il serait donc judicieux pour les politiques en place que ce soit François ou son copain Valls d’imposer à leurs conseillers si chèrement rémunérés sur le dos du peuple de leur imposer de lire ces textes.

Par ailleurs lutter contre la violence avec pour seule finalité de l’endiguer ne peut pas donner de résultats valables. Il est impératif de se pencher sur l’interface humanité/espaces terrestres d’émergence de la forme de violence avec les constituants à sa maturation, sans angélisme, dogmes, idéologies et moins encore infaillibilité.

Il faut pour parvenir à s’extraire des écueils où le pavlonisme a entrainé la France accepter que trop de prétendus intellectuels ne font que blablater sur le thème des violences. Il est nécessaire dans le même temps concevoir l’action contre la violence et pour la Paix, ce qui n’est pas la même chose, mais utilise les mêmes références et les mêmes outils dans des perspectives dissociées.

Ce ne sont pas les universitaires, les spécialistes et moins encore les institutionnels ou politiques qui vont produire des matrices de théorisation de réponses et de constructions d’options de lutte contre la violence et d’instauration de la Paix internationale ou sociétale. Ils sont trop occupés, préoccupés, à préserver leurs postes, leurs statuts et leurs privilèges pour laisser émerger des facettes de la réalité qu’ils n’ont pas pu concevoir car aveuglés par leurs idéologies.

Aujourd’hui la France ne peut plus se dissimuler derrière l’intellectualisme et les errances universitaires pour dire que c’est la faute de la société, de l’histoire ou de quelques oublis d’une médiatisation exacerbée. A partir de l’instant où une personne a mis en évidence, démontré, qu’il est possible de produire des solutions viables pour répondre aux violences sociétales et sociales, tout en œuvrant pour la Paix à quelque niveau que ce soit, les institutionnels ont le devoir de prendre les théories proposées pour s’engager dans la lutte contre la violence et pour la Paix.

Cela réclame que les médias sortent de l’inertie dogmatique, que les intellectuels et autres universitaires commencent à accepter que la réflexion, la pensée et la production, peuvent provenir d’ailleurs que d’un univers pavlovien.

Je doute que les médias possèdent la volonté réelle de vouloir contribuer à la lutte contre les violences et ainsi œuvrer à la construction de la Paix sociétale. Je doute que les institutionnels, les politiques et les dits intellectuels possèdent suffisamment d’humilité pour sortir de leur inertie rétrograde et prendre ce qui ne provient pas des réseaux, des cercles et des clientèles.

Le Festival pour la Paix de Victoriaville au Canadadevra alors faire encore énormément d’efforts pour parvenir à toucher profondément les consciences de ceux qui ont le devoir d’agir contre les violences, d’œuvrer pour la Paix et surtout d’ouvrir leur conscience à la diversité et à la différence.

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14 août 2012 2 14 /08 /août /2012 09:39

Installé depuis 100 jours… et pas grand-chose ! Si énormément de médiatisation, un envahissement médiatico-communicationnel très journalistique et un art de la présence sans dire qu’il est là savamment hégémonique. Du grand ART.

Et dans tout ça où sont les citoyens ? Nulle part Charles ! Ils ne sont que des détails, des bulletins de vote, des paillassons sur lesquels s’essuient le dénigrement et l’absence de considération pour ceux qui font la France.

Nous avons la démonstration de la puissance du clientélisme, des réseaux et des cercles qui sont servis, pour ne pas dire surchargés de tout ce qu’ils n’ont pas obtenu sous le règne précédent. Des décorations, des postes et des affectations pour alimenter tous ceux qui ont lustrés les pompes et en pensent qu’à leur ego.

Toujours pas de réponse aux questions posées sur « écrire au président », sauf peut-être ceux qui caressent le polar qui fume. Des effets d’annonce mais pas de concret qui démontrerait que la volonté de mettre un terme aux errances est bien présent. Pas de prise en compte des réalités des dynamiques sociétales pour poursuivre dans des directions où tout le monde va à l’université alors que ces dernières ne forment pas aux réalités des marchés.

Du grand ART car tout est mis en œuvre pour faire en sorte de demeurer sur le devant de la scène médiatique tout en donnant l’impression de répondre aux inquiétudes des français, sans pour cela prendre en compte le devenir des citoyens. Ce terme est absent du blablatage délayé à longueur de journée soutenu en cela par des médias liés à leur chemin de liberté.

La normalité est là, présente, pressante et oppressante. Cette normalité est celle de satisfaire à un système dans lequel il ne faut surtout pas regarder ce qui ne fonctionne pas, pour focaliser l’attention de la multitude sur ce qui donne l’impression d’être valable. Dans l’absolu rien n’est entrepris pour que les citoyens vivent mieux, seuls quelques cercles restreints vont se gaver.

En 100 jours nous avons la démonstration de l’ART de la glissade, du surf médiatique, de l’esquive politicienne et d’une maitrise non dissimulée de la propagande médiatico-communicationnelle. Ainsi, la performance communicationnelle donne l’impression que la France est gérée de toute la hauteur d’un système qui a été si décrié par les maîtres d’œuvre actuels.

Où est la réforme efficace de la fiscalité ? Où est la disparition des niches fiscales ? Où est la fin des privilèges des hauts fonctionnaires et la fin des avantages en nature ? Où est la gestion des effectifs des hôpitaux et la mise au pas des médecins ? Où est l’instauration impérative d’une pyramide réelle des grades dans les armées et la fonction publique ? Où est la légalisation de la prostitution en créant un métier avec des lois encadrant drastiquement les prostituées ? Où est l’augmentation des frais de scolarité dans les universités avec l’attribution de bourses exclusivement au mérite ? Où est la modification immédiate des contrats d’apprentissage qui imposent aux employeurs de prendre pour trois ans l’apprenti ?

Il y en a encore des pages ! Tous ces actes réclament du courage, de l’engagement et de la détermination à servir le devenir de la France en servant les citoyens. Cela impose que les cercles, les réseaux et les clientèles soient évincés pour que ceux qui sont en place exécutent leurs devoirs : servir la France et les citoyens.

Peut-être fallait-il 100 jours pour mettre la machine en marche. Peut-être que maintenant après cette phase d’observation des décisions concrètes vont-elles être instaurées et mises en œuvre pour répondre aux attentes des citoyens qui sont largement différentes de celles des clientèles. Peut-être qu’enfin les réponses auront-été produites et que les citoyens en attente vont recevoir le courrier. Peut-être que le courage de mettre un terme immédiat à l’existence de sanctuaires de violence sera affirmé. Peut-être que les personnes en poste ont ouvert les yeux et vont se tourner en direction de personnes hors des normes, de la normalité, pour répondre aux miasmes auxquels la France doit faire face.

Tu peux rêver Charles ! Rien ne changera. La praxéologie n’est pas employée dans les universités françaises car elle impose la pratique de la critique sur la pratique et la conscientisation des errances. Comment veux-tu que des politiques, qui cautionnent les errances des sciences de l’éducation depuis trente ans avec une réflexivité à courte vue, parviennent à une analyse cohérente des réalités ? Ils devraient prendre exemple sur les sportifs : pour progresser il faut déterminer ce qui ne va pas et corriger les erreurs. Ceux qui se focalisent, médiocratiquement, sur leurs points positifs ne peuvent pas vaincre.

100 jours d’observation et de distanciationsont largement suffisants. Maintenant l’heure est venue d’entrer dans le concret et d’engager âprement une lutte pour le devenir de la France et de ses citoyens. Là se trouve le devoir des représentants des Français.

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13 août 2012 1 13 /08 /août /2012 09:25

Où débute la tyrannie ? Pour certains dans l’hégémonie d’un régime militaire, pour d’autres dans une dictature aveugle alimentée par des idéaux et des dogmes qui font la négation de la partie de l’humanité qui n’est pas à leurs bottes, ou encore pour quelque uns dans l’obligation de normalité.

La discrète tyrannie dans laquelle nous vivons, que nous cautionnons, et pire encore que nous validons, regroupe ces différents aspects sous des formes plus ou moins diluées. En effet, nous sommes écrasés en France sous la chape de plomb de la normalité de l’appartenance pour parvenir à émerger.

La discrète tyrannie en France fait que l’on a l’obligation de s’exprimer comme le pouvoir l’attend, l’exige, pour avoir une potentielle tribune. Elle est, cette tyrannie visible dans les actes des médias qui se réfugient dans les errances et les miasmes médiatico-communicationnels pour que rien ne vienne déranger un système qui fait la négation de la citoyenneté.

La discrète tyrannie de la pensée se fixe, par des effets d’annonce, sur la prostitution, mais ignore les réseaux souterrains de la prostitution organisée dans les structures de pornographie et l’esclavagisme sexuel, car pour les tyrans de la pensée unique la pornographie n’est pas de la prostitution.

La discrète tyrannie en France exprime son hégémonie dans la normalité normalisante de la norme. Et oui, il faut appartenir, il faut avoir suivi un cursus honorum pour parvenir à s’extraire de la multitude. Tous ceux qui ne se soumettent pas à la tyrannie de l’appartenance, des cercles et des réseaux, sans omettre les clientèles : sont éradiqués.

La discrète tyrannie idéologiqueet prétendument méthodologique met en place des commissions pour corseter la pensée hors de la normalité. Elle fait en sorte que rien ne vienne déranger l’instauration d’un système inertiel au détriment des citoyens. Elle organise les forces vives de la France au service d’une prétendue élite.

La discrète tyrannie est cette attitude médiocratique qui accepte que ce que l’on veut entendre et lire, en mettant à l’index tout se qui met à mal les dysfonctionnements des organisations qui spolient les citoyens et propagent la propagande et l’illusionnisme.

La discrète tyrannie est une technique dont l’objectif est de faire croire, et non de convaincre, que tout va pour le mieux, que le rêve de la normalité est la meilleure des choses sans omettre que les règles des institutions qui sont faites pour préserver les privilèges et les augmenter sont justifiées.

La discrète tyrannie est la démarche, l’intellectualisme, pour laquelle tout ce qui ne provient pas des rangs n’a pas de possibilité d’existence. Elle fait en sorte qu’un sur un million puisse émerger afin que la multitude garde quelques espoirs de conquête, sachant que tout est verrouillé par les appartenances, les cursus et les clientèles.

La discrète tyrannie est de donner sans compter à des groupes, des obédiences ainsi qu’à des dogmes, tout en ignorant les citoyens qui eux voient leurs droits disparaitre. Elle met face à face ceux qui servent les idéaux du pouvoir bienpensant contre les citoyens en affirmant haut et fort qu’il n’en est rien puisque l’égalité est en apparence préservée.

La discrète tyrannie est l’intellectualisme et le pavlonisme agrémenté de l’infaillibilité, pour lesquels il est impensable de tolérer que l’on puisse mettre en exergue la réalité. En effet, elle ne supporte que la vérité. La vérité n’est que parole et non réalité.

La discrète tyrannie déjà présente sous les ères du mitterando-gaullisme, s’est renforcée sous le sarkozysme et prend une ascendance sous l’hollandisme. Il y a trois mois il fallait se situer dans une zone proximale de contact pour avoir quelque considération.

Après cent jours, la discrète tyrannie, impose l’appartenance aux cercles, aux réseaux et aux clientèles pour que chacun puisse parvenir à être reconnu. La discrète tyrannie devient la norme de la normalité sociétale à la française, intensifiée par les structures communicationnelles qui densifient leur hégémonie médiatique sur les citoyens.

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12 août 2012 7 12 /08 /août /2012 08:28

La normalité de la violence ostentatoire développée, renforcée et institutionnalisée installe des zones d’insécurité prioritaire. Attristant de voir que la France se trouve dans l’obligation de gérer des parcelles territoriales où les forces de l’ordre ne peuvent aller.

La mise en place de zone de sécurité, d’insécurité, prioritaire démontre par le fait la démission des acteurs sociétaux. Elle démontre une forme d’ignorance, d’inquisition et de déni de travaux qui depuis dix années exposent les mécanismes des territorialisations par la violence. Et elle insiste sur l’infaillibilité des décideurs qui ne peuvent pas prêter attention à ce qui ne provient pas de leurs cercles de leurs réseaux et de leurs clientèles.

Moins percutant, agressif et acide, qu’à l’habitude, sous peine de voir ce texte mis à l’index par le modérateur, je persiste dans l’analyse de la fuite intellectualiste des politiques et autres acteurs des hiérarchies administratives pour éviter d’ouvrir les yeux et de constater qu’il  n’est publié que ce qui satisfait le système et flatte l’ego du lecteur.

Oui, des sociologues se sont fourvoyés en rejetant la réalité de la construction de territoires construits par des territorialités identitaires de violences. Oui, des géographes se sont dissimulés sous l’absence d’un objet de la géographie pour faire la négation de l’interface humanité/espaces terrestres. Oui, des institutionnels se sont réfugiés dans leur infaillibilité pour s’appuyer sur les universitaires pour ne pas prendre en considération les faits.

N’oublions pas que la médiocratie est une société gérée par des élites, ou prétendue telles, constituées de brillantissimes ayant répondus aux normes normalisantes de la normalité d’une appartenance et d’une intégration idéologique et doctrinale. Le rejet, la mise à l’index, l’ostracisme des travaux qui ont alerté le système universitaire ainsi que ceux du pouvoir politique, attestent de cette médiocratie.

Les travaux de Yannick Brun-Picard sur les violences urbaines, les territorialisations des violences identitaires, les dynamiques territoriales des violences, les sanctuarisation par la violence, les interfaces de violences ou encore les territoires des violences ostentatoires, sont totalement rejetés car ils mettent en évidence que les institutionnels n’ont pas le courage de changer de paradigme pour agir concrètement sur les réalités des violences.

Il est tellement plus facile de dire que c’est la faute de la société, de ses disparités et de ses inégalités pour justifier des sanctuarisations dans des cités, des quartiers et des villages, où la violence de voyous de toutes sortes terrorise les habitants sans que la force publique daigne intervenir pour servir le citoyen.

Nous avons tous des pulsions de violence. Nous sommes tous potentiellement des violents qui vont s’efforcer de préserver un sanctuaire dans lequel la quiétude de l’individualisme sera préservée. Nous sommes tous des vecteurs de violence dans nos attitudes, nos réactions et nos ignorances. Nous sommes ainsi, par notre volonté médiatico-communicationnelle de ne rien voir, entendre et conscientiser, presque autant responsables que les institutionnels qui se dissimulent derrière les errances des universitaires et leurs expositions idéologiques au mépris des réalités.

Les zones d’insécurité prioritaire démontrent par le fait que la fuite devant les faits est des plus réelles. Démontrent que les institutionnels ne possèdent pas le courage de conscientiser les errances aveuglantes des systèmes qui n’ont qu’une finalité préserver leurs privilèges. Démontrent qu’à force de préserver les cercles, les réseaux et les clientèles, la société est gangrénée par les violences.

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11 août 2012 6 11 /08 /août /2012 10:33

Une émission sur une chaine publique a récemment traitée des zones de sécurité prioritaire. Les intervenants ont ouvertement démontré que des territoires de violences s’étaient constitués et que des zones dites publiques étaient sanctuarisées par des formes de violences.

Un vent de colère, de révolte, un ras-le-bol devant la suffisance et l’infaillibilité des prétendus universitaires et autres sociologues et prétendument spécialistes des violences, se lève. En effet, il y a dix ans Yannick Brun-Picard lorsqu’il a démontré ces territorialisations, ces dynamiques territoriales de violences sociétales et les territorialités de la violence : il a été étrillé.

Tous les universitaires, les sociologues, les géographes et autres urbanistes se sont foutus de lui. Il a été ridiculisé et enterré vivant, mis à l’index pour ne pas dire ostracisé. Tout ça parce qu’il démontrait ce qu’aucun prétendu universitaire n’était capable de rendre accessible et surtout que ce qu’il mettait en exergue, qu’il rendait accessible, était la réalité, l’aveuglante réalité.

Aujourd’hui les médias parlent de sanctuarisation, de dynamiques territoriales de la violence, de territorialités de la violence, d’interface humanité/espaces terrestres structurée à partir de situation de violence, sans omettre les territorialisations par la violence. Pourquoi, ces médias qui vampirisent les travaux de Yannick Brun-Picard ne mettent-ils pas en évidence qu’un obscur chercheur avait alerté les lustreurs de bancs universitaires ?

Simplement, médiocratiquement : il faut appartenir. Il faut être dans la mouvance, dans les cercles d’influence, dans les réseaux et dans les clientèles. Sous l’ère Sarko aucun brillantissime pavlovien n’a eu le courage d’aller chercher ces travaux. Sous l’ère de la normalité Hollandienne il en sera certainement de même, car il faudrait pour se tourner vers Yannick Brun-Picard admettre que des imposteurs tiennent des postes et que les clientèles sont vérolées.

François et ses copains ont les outils pour agir sur les articulations de la constitution d’un sanctuaire par la violence territorialisée. Je doute fermement qu’il possède suffisamment de courage pour mettre en avant ce paradigme qui emploi le concept d’interface humanité/espaces terrestres afin de saisir l’empreinte d’un groupe sur une parcelle et d’en lire les dynamiques.

En ce moment ils sont en vacances, il est nécessaire d’en prendre, pour s’armer de courage et s’engager dans des directions où les clientèles sont ignorées. Bien qu’en observant ce qu’il se passe dans les nominations et les intégrations ont se rend compte que François et ses copains font comme Sarko voire, pire en ignorant toute provenance autre que l’appartenance et la normalité.

Je ne comprends pas qu’aujourd’hui tout le monde parle de territoires de violences, de sanctuarisations par la violence, de dynamiques territoriales de violences, et que, personne ne cite les travaux de Yannick Brun-Picard sur les violences urbaines, les territorialisations par la violence, les violences identitaires.

Trop de clientèles se servent sur la bête, la nation, pour qu’un anachronisme puisse émerger. Jamais, ceux qui prétendent vouloir la diversité et la différence, que lorsqu’elle provient de leurs propres rangs, n’auront le courage de conscientiser leur égarement et se prendront en main pour entrer dans le concret en allant chercher ce pas normal aux marges des systèmes.

Il est des plus inquiétant, dans une France où des élus ont le devoir de faire en sorte de faire avancer la société, de constater que ces prétendus responsables, sans aucune responsabilisation réelle, ne possèdent une once de courage pour ouvrir à la hache les univers médiocratiques d’un intellectualisme universitaire, qui par son autisme à l’encontre des théories de Yannick Brun-Picard, démontre par le fait, la falsification, que leur ignorance sur les réalités a contribué à la situation actuelle.

François et tes conseillers, recrutés dans les cercles d’influence et dans les clientèles, vous n’aurez jamais suffisamment de pratique praxéologique pour mettre au service de la nation ce pas normal qui a lu la société dans ses miasmes avant que la réalité ne soit plus dissimulable. De toute manière la praxéologie n’est pas enseignée dans les sciences dites de l’éducation. Les médiocrates préfèrent la réflexivité. Laquelle ignore la conscientisation.

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5 août 2012 7 05 /08 /août /2012 08:47

L’ère du normal, de la normalisation normalisante est bien là. Des ordres nationaux sont décernés par clientélismes d’où des inquiétudes au sujet de l’impartialité des commissions et de la réalité des faits dans les cercles du pouvoir où les brillantissimes ont l’outrecuidance d’avoir la prétention d’être au service de la Nation…

La normalisation est la reprise dans les actes du sarkozysme. C’est-à-dire : clientélisme, préservation des cercles de pouvoir et d’influence et surtout mépris pour tous ceux qui n’appartiennent pas à ces zones sombres que l’on nomme les citoyens.

La normalisation est entrée dans les mœurs les plus perverses et dégradantes car elle met sous le sceau de la normalité les privilèges pour ceux qui se trouvent dans le bon filon. Les autres les escrocs de la politique pensent même leurs enlever les yeux pour qu’ils ne puissent plus pleurer.

Les principaux auteurs avaient fait en sorte d’alerter nos consciences en nous présentant des personnes visqueuses prêtent à toutes les bassesses, les manipulations et les fourvoiements pour affirmer leur position, leur puissance et démontrer ainsi leur capacité à nuire. Malgré toutes les pièces de théâtre existantes nous mettons en place des personnes qui répondent à ces normes.

La normalisation est l’ignorance de la diversité et de la différence. Vous allez me dire que sous l’ère hollandienne la diversité est là avec quelques figures et que la différence aussi est démontrée. Ce ne sont que des expositions de façade. Aller chercher la diversité et la différence ne s’effectue pas dans ses rangs, ses cercles et ses clientèles.

La normalisation dans toute sa lâcheté ne peut pas, comme sous l’ère du mépris sarkozyen, concevoir que l’on puisse penser, réfléchir et produire ailleurs que dans les réseaux du pouvoir en place. La suffisance et l’infaillibilité doublées d’une partialité à toute épreuve donne une image des plus déplorables des réalités de la France.

La normalisation d’une ère qui à l’outrecuidance de se prétendre normale est que les services de la présidence n’ont même pas la dignité, et moins encore la décence de répondre aux questions des citoyens. Pour cela il faudrait qu’ils considèrent les citoyens autrement que comme des vaches à lait et des bulletins de vote.

La normalisation fait que comme sous l’ère sarkozyenne on ne sert, on ne rend service, qu’à ceux qui peuvent faire briller. Tout ce qui peut poser problème, tout ce qui met en évidence les errances, les incompétences, les dysfonctionnements, les manques de courages et pire encore les lâchetés, est totalement ignoré.

La normalisation est la perfection médiatico-communicationnelle par laquelle une organisation politique fabrique ses références sociétales sur l’illusion. En ce moment la normalité fait que les errances du sarkozysme sont reproduites au service des clientèles de François.

La normalisation de la présidence normale fait que les médias poursuivent leur œuvre d’allégeance à une structure de pouvoir qui ignore les citoyens et ne se fixe que sur les votants. La normalité prônée par les acteurs de la politique actuelle expose en creux les inégalités et les abus d’un système politique pour lequel la notion de servir s’adresse avant tout aux clientèles et non aux citoyens.

La normalisation est la démonstration éclatante par les faits de l’ignorance de la réalité, de l’hégémonie, de la toute puissance des croyances, des doctrines et des idéaux, au détriment de la prise en compte des réalités. La normalisation est la méthode par laquelle les acteurs politiques nous font croire que les pires des décisions sont prises pour notre bien.

Aujourd’hui la normalisation de la normalité normalisante conduit la France dans un gouffre. Les réseaux, les cercles et les clientèles tels la mousse se positionnent au-dessus du peuple afin d’éviter d’être entrainés vers les abîmes.

Je doute que François possède suffisamment de courage politique, je ne parle même-pas de ses illusionnistes, pour aller chercher ceux qui exposent la réalité telle que les médiocrates ne veulent pas la voir car ils sont responsables de ses méfaits.

Il existe des travaux sur les dynamiques des violences urbaines et les territorialisations par la violence, sous Sarko ils ont été enterrés car ils démontraient l’incompétence des acteurs décisionnels. Maintenant le blablatage normalisant affirme qu’il veut agir, mais n’a pas le courage de mettre en œuvre des actions sur les articulations à même de limiter les violences.

Ça c’est la normalité normalisante, sous quelques aspects… nous devons nous en inquiéter !

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31 juillet 2012 2 31 /07 /juillet /2012 08:11

Doctrine d’un idéalisme de la perfection d’une démarche monolithique à la réflexivité restreinte, porteuse d’un mouvement inertiel rétrograde, agrège les réseaux, les cercles de pouvoirs et les clientèles dans une légitimité idéologique.

Le méthodologisme est un mot très présent un peu partout. Chez les politiques, les enseignants et les universitaires cela devient une justification à toutes les démarches, à tous les choix, à toutes les mises à l’index, dont ces systèmes sont capables de produire pour demeurer sur leur piédestal.

Le méthodologisme ne s’explique pas. Il se prône. Il se décrète. Il est donné comme la ligne à suivre. Il est la doctrine face à laquelle il n’y a aucune prise. Il est de la violence ostentatoire, voir pour plus d’infos à ce sujet les travaux de Brun-Picard Yannick. Il n’est que parole sur la méthode employée sans pour exposer ce qui la constitue.

Le méthodologisme donne des objectifs sans ancrage contrôlable. Il fait rêver. Il met à portée de main les rêves les plus confortables sans démontrer comment y parvenir. Il ne montre pas le chemin à suivre. Il pose une direction à 180° sans autre orientation si ce n’est avec justice.

Le méthodologisme refuse, rejette, éradique tout ce qui ne provient pas de ses rangs. Seuls ses producteurs détiennent le savoir. Seuls ses metteurs en œuvre sont capables d’en démontrer sa scientificité, laquelle est indémontrable puisque non exposée.

Le méthodologisme ne peut pas être reproduit, ni évaluable et moins encore comparable à quelque réalité que ce soit, car pour ses producteurs il est la vérité. Il s’impose car les institutionnels attestent de sa véracité sans autre justifications que ce qu’ils disent.

Le méthodologisme justifie tout et n’importe quoi. Il s’approprie les travaux de ceux qu’ils éradiquent, tancent et enterrent en toute impunité protégé par des institutions malléables aux décisions clientélistes. Il ne cautionne que ce qui provient de ses appartenances et ses dépendances.

Le méthodologisme dans ses aspects succincts exposés ci-dessus fait souffrir la politique. Le mot méthode prend la place de toute démonstration ou exposition du cheminement qui va être entrepris pour répondre aux maux auxquels il faut répondre.

Le méthodologisme fait souffrir les institutions car il est un refuge aux médiocrates pavloviens qui sont si brillantissimes qu’ils ne peuvent pas sortir des textes en ignorant l’esprit de ceux-ci, sauf lorsqu’il faut servir leurs intérêts, comme cela se produit en ce moment.

Le méthodologisme fait souffrirles orientations décisionnelles car il enferme les acteurs dans des structures non évolutives dont les protecteurs ont l’outrecuidance d’affirmer que celles-ci sont adaptatives tout en ne faisant absolument rien pour répondre aux réalités de nos sociétés.

Le méthodologisme fait souffrir la France car il fait croire à la multitude, qu’en répétant de manière incantatoire que la méthode fera tout, que la France sortira du gouffre dans lequel elle sombre simplement par une méthode qui n’a aucune structure de sa démarche exposée.

Le méthodologisme est une mémoire sélective. Il permet de faire émerger des faits orientés, en mesure de justifier tout et n’importe quoi en fixant par exemple l’histoire aux cinquante dernières années mais surtout pas aux cinquante-cinq car sa doctrine et ses chois ne seraient plus valides car en contradiction avec les faits et la réalité.

Le méthodologisme est la tare principaledont souffrent l’éducation nationale et l’université. Cette tare est le refuge aux imposteurs cooptés qui ne font que de la méthode alors que leurs travaux ne font pas avancer notre maitrise du monde des faits. Le méthodologisme ne tolère pas que l’on puisse démontrer par les faits qu’il est obsolète, qu’il se fourvoie et qu’il est restreint.

Le méthodologisme n’a aucune considération pour les citoyens. Preuve en est le service du courrier de la présidence qui n’a toujours pas eu la décence, la dignité et le sens du devoir de répondre aux questions de citoyens. Car le méthodologisme ne tolère pas la différence, la diversité et l’ouverture.

Le méthodologisme cautionne exclusivement ses appartenances. Pour le méthodologisme ce qui ne lui lustre pas les pompes n’a pas la possibilité de s’exprimer, sans même parler de droit, car le méthodologisme ignore la légalité dont il s’arrange soutenu en cela par la méthode.

Le méthodologisme est la doctrine proposée en ce moment par ceux qui se trouvent aux responsabilités en France. Ils n’exposent pas le déroulé fonctionnel et pragmatique de leur action. Ils affirment à grands renforts de médiatisations qu’ils vont parvenir à tels objectifs sans pouvoir expliquer comme faire. Au même titre que les universitaires qui se gargarisent de la méthodologie pour justifier leurs travaux : si l’on enlève le vernis on se rend compte que c’est du vent, et pourtant eux publient et sont palmés.

Le méthodologisme est le triomphe de l’autojustification médiatico-communicationnelle !

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