Afin d’éviter que ce texte ne subisse le même sort que de nombreux précédents, je vais m’efforcer de ne pas mettre le doigt dans l’engrenage du pavlonisme. Un ambassadeur vient d’être assassiné pour d’obscures raisons religieuses. Les acteurs de cet acte barbare n’ont pas visionné le filme en cause, et les instigateurs ont déployé des trésors communicationnels pour parvenir à l’embrasement.
L’IGNORANCE dans toute se splendeur nous est projetée au visage. Nous sommes tellement aveuglés par la médiocratie médiatico-communicationnelle que nous en oublions que la finalité des religions est de dominer nos consciences, de soumettre les non croyants à un dogme fondé sur des croyances sans aucune conviction de la possible réalité des propos tenus.
L’IGNORANCE sur les objectifs des religions est si grande à cause des structures éducatives, de la médiocratie développée dans le système éducatif, des errances des pavloviens souffrant d’un mérycisme récurant, ou encore de la lâcheté des politiques dissimulés derrière l’illusionnisme de l’intellectualisme universitaire afin de ne pas être désignés responsables, que nous en sommes là où nous sommes à la verticale du gouffre dans lequel nous allons nous engloutir.
L’IGNORANCE est devenue si valorisante que les médias qui ont l’outrecuidance d’informer les citoyens, le peuple, ne parlent pas que des religions ont pour objectif affirmé, démontré et attendu de dominer le monde et d’imposer même par le sang, des génocides voire des éradications leur religion en interprétant les textes prétendument sacrés comme les seules références.
L’IGNORANCE est si prégnante que les organismes médiatico-communicationnels sont incapables de part leur pratique permanente de la médiocratie de produire des alertes à destinations de nos consciences, ils sont incapables d’œuvrer dans ce qui leur permet d’exister : la laïcité. La médiocratie par bêtise, mérycisme et pavlonisme, apporte le soutien inconditionné à tout ce qui fait que de l’argent rentre dans les caisses. Ainsi la cupidité devient la norme justificative.
L’IGNORANCE devenue la norme même à l’école où l’on de dit pas pourquoi les religions se sont répandues, dans quels buts et par quels moyens, afin d’éveiller les consciences, qu’aujourd’hui des comportements religieux sont idéalisés par les médiatisations de fond de cuvette sans se soucier des conséquences pour les territoires et pire encore en ignorant que les acteurs ne font que donner l’illusion de se soumettre à la loi.
L’IGNORANCE comme référence culturelle, doctrinaire et dogmatique des médias, des politiques et des institutionnels, dans le domaine des religions devient si écœurante que demain matin la révolution viendra réveiller ceux qui ont vendu l’âme de la France sur l’autel de la cupidité, de la suffisance et de l’infaillibilité.
L’IGNORANCE comme seconde nature est ce que Peillon, soumis aux ordres de François est entrain d’instaurer dans l’éducation. Par ce travers qui justifie l’injustifiable il met en place et préserve des programmes des plus débiles en ignorant qu’il n’y a que 36 semaines de présence dans les établissements et 3 heures hebdomadaires de cours et que des gamins de 6ème ont des amplitudes horaires de 32 heures au collège, et après ils doivent fournir au moins 15 heures de devoirs et autres apprentissages que des imposteurs leurs assènent.
L’IGNORANCE défendue, soutenue, prônée par François est celle au-delà des religions des modes de fonctionnement des administrations pour lesquelles si l’on n’appartient pas on n’existe pas. Elle est la fuite en avant, en se dissimulant lâchement derrière des règlements, bafoués journellement par les utilisateurs, pour servir leurs cercles, en exigeant la lune pour les autres.
L’IGNORANCE est celle de l’infaillibilité dont font preuve les acteurs du gouvernement pour lesquels seule la normalité de la norme normalisante est la référence. Elle est la tare, la négation, de l’humanité, de notre humanité. Le pire c’est que les médias soutiennent cette errance si destructrice par lâcheté et cupidité.
L’IGNORANCE devenue normale occulte la lecture de Platon, à lire non pas médiocratiquement à la mode du pavlonisme philosophique, mais pragmatiquement à la mode de la praxéologie. Cela est impossible car la praxéologie n’est pas enseignée trop dangereuse car elle éveille les consciences !