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12 septembre 2012 3 12 /09 /septembre /2012 15:54

Afin d’éviter que ce texte ne subisse le même sort que de nombreux précédents, je vais m’efforcer de ne pas mettre le doigt dans l’engrenage du pavlonisme. Un ambassadeur vient d’être assassiné pour d’obscures raisons religieuses. Les acteurs de cet acte barbare n’ont pas visionné le filme en cause, et les instigateurs ont déployé des trésors communicationnels pour parvenir à l’embrasement.

L’IGNORANCE dans toute se splendeur nous est projetée au visage. Nous sommes tellement aveuglés par la médiocratie médiatico-communicationnelle que nous en oublions que la finalité des religions est de dominer nos consciences, de soumettre les non croyants à un dogme fondé sur des croyances sans aucune conviction de la possible réalité des propos tenus.

L’IGNORANCE sur les objectifs des religions est si grande à cause des structures éducatives, de la médiocratie développée dans le système éducatif, des errances des pavloviens souffrant d’un mérycisme récurant, ou encore de la lâcheté des politiques dissimulés derrière l’illusionnisme de l’intellectualisme universitaire afin de ne pas être désignés responsables, que nous en sommes là où nous sommes à la verticale du gouffre dans lequel nous allons nous engloutir.

L’IGNORANCE est devenue si valorisante que les médias qui ont l’outrecuidance d’informer les citoyens, le peuple, ne parlent pas que des religions ont pour objectif affirmé, démontré et attendu de dominer le monde et d’imposer même par le sang, des génocides voire des éradications leur religion en interprétant les textes prétendument sacrés comme les seules références.

L’IGNORANCE est si prégnante que les organismes médiatico-communicationnels sont incapables de part leur pratique permanente de la médiocratie de produire des alertes à destinations de nos consciences, ils sont incapables d’œuvrer dans ce qui leur permet d’exister : la laïcité. La médiocratie par bêtise, mérycisme et pavlonisme, apporte le soutien inconditionné à tout ce qui fait que de l’argent rentre dans les caisses. Ainsi la cupidité devient la norme justificative.

L’IGNORANCE devenue la norme même à l’école où l’on de dit pas pourquoi les religions se sont répandues, dans quels buts et par quels moyens, afin d’éveiller les consciences, qu’aujourd’hui des comportements religieux sont idéalisés par les médiatisations de fond de cuvette sans se soucier des conséquences pour les territoires et pire encore en ignorant que les acteurs ne font que donner l’illusion de se soumettre à la loi.

L’IGNORANCE comme référence culturelle, doctrinaire et dogmatique des médias, des politiques et des institutionnels, dans le domaine des religions devient si écœurante que demain matin la révolution viendra réveiller ceux qui ont vendu l’âme de la France sur l’autel de la cupidité, de la suffisance et de l’infaillibilité.

L’IGNORANCE comme seconde nature est ce que Peillon, soumis aux ordres de François est entrain d’instaurer dans l’éducation. Par ce travers qui justifie l’injustifiable il met en place et préserve des programmes des plus débiles en ignorant qu’il n’y a que 36 semaines de présence dans les établissements et 3 heures hebdomadaires de cours et que des gamins de 6ème ont des amplitudes horaires de 32 heures au collège, et après ils doivent fournir au moins 15 heures de devoirs et autres apprentissages que des imposteurs leurs assènent.

L’IGNORANCE défendue, soutenue, prônée par François est celle au-delà des religions des modes de fonctionnement des administrations pour lesquelles si l’on n’appartient pas on n’existe pas. Elle est la fuite en avant, en se dissimulant lâchement derrière des règlements, bafoués journellement par les utilisateurs, pour servir leurs cercles, en exigeant la lune pour les autres.

L’IGNORANCE est celle de l’infaillibilité dont font preuve les acteurs du gouvernement pour lesquels seule la normalité de la norme normalisante est la référence. Elle est la tare, la négation, de l’humanité, de notre humanité. Le pire c’est que les médias soutiennent cette errance si destructrice par lâcheté et cupidité.

L’IGNORANCE devenue normale occulte la lecture de Platon, à lire non pas médiocratiquement à la mode du pavlonisme philosophique, mais pragmatiquement à la mode de la praxéologie. Cela est impossible car la praxéologie n’est pas enseignée trop dangereuse car elle éveille les consciences !

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5 septembre 2012 3 05 /09 /septembre /2012 15:30

Un nouveau néologisme fait son apparition : le médiévalisme. Qu’est-ce que c’est que cette appellation qui laisse entendre que la France prend une orientation qui va en faire une société médiévale avec toutes ses errances, ses abus et son ignorance.

Le médiévalisme repose une des réalités. La première est l’appauvrissement des classes dites moyennes. C’est-à-dire que ceux qui payent des impôts et qui n’ont pas le revenus pharaoniques des très hauts salaires vont voir leurs prélèvements augmenter ce qui fait qu’en réalité, ils vont voir leur pouvoir d’achat s’effondrer alors que celui de ceux qui ne payent pas d’impôts va augmenter il est vrai moins que les classes dites supérieures.

Le médiévalisme met en perspective la suffisance, l’infaillibilité et l’intellectualisme des institutionnels qui se réfugient par cupidité derrière leurs privilèges qui n’ont de cesse de s’accroitre au détriment des citoyens, de la multitude, afin de servir les clientèles, les réseaux et surtout les cursus honorum qui donnent l’illusion d’une brillantissime élite.

Le médiévalisme est la faculté de mettre en permanence la religion, les religions et les croyances comme des références inaltérables et indépassables qui pourtant sont bafouées, foulées aux pieds et totalement ignorées dans leurs portées, leurs dimensions et leurs destinations tant qu’elles ne servent pas les intérêts immédiats des médiocrates cupides et narcissiques.

Le médiévalisme est la négation doctrinaire, idéologique, dogmatique, d’école, d’appartenance, de l’émergence de toute analyse de la société qui ne provient pas des structures reconnues par les institutionnels qui sont en réalité des clientèles qu’ils abreuvent d’honneurs, de postes et de rémunérations si dispendieuses que l’on pourrait avec un seul salaire rémunérer dignement trois chercheurs qui ne sont pas des animaux d’appareils.

Le médiévalisme est un positionnement intellectualisteinertiel rétrograde qui démontre sa pertinence, sa légitimité et sa nécessité dans la philosophie dans avoir le courage de mettre la réalité là, face aux actes à produire pour répondre aux maux. Ce positionnement refuse toute démarche qui viendrait à restreindre les rémunérations, les honneurs et les statuts de tous ceux qui se gavent sur le dos du peuple.

Le médiévalisme est la démarche mise en place physiquement et idéologiquement, par François et ses copains pour lesquels des messages d’alertes au sujet des impostures universitaires, dites intellectuelles et institutionnelles, dont l’objectif final est de préserver à tout prix des castes, des réseaux et des clientèles même si la France doit se désagréger en se vidant pour eux.

Le médiévalisme est l’incapacité à admettre qu’en dehors des réseaux, des cercles et des clientèles il y a des esprits qui analysent la société, qui proposent des options pertinentes et porteuses de perspectives d’avenir des plus attrayantes, mais que celles-ci mettent à mal les imposteurs et autres destructeurs de la nation et de la France.

Le médiévalisme est la faculté de faire croire que tout va arriver et qu’il suffit d’avoir l’espoir dans les paroles données afin que celles-ci se réalisent et que les moins bien nantis puissent vivre ne serait-ce que dignement alors que les privilégiés provenant des réseaux, des cercles et des clientèles s’en mettent plein les poches, développant des trésors d’inventivité pour limiter toute émergence des gueux.

Le médiévalisme est la doctrineidéologique restrictive pour laquelle seuls quelques gueux peuvent monter sur le trottoir voire gravir quelques marches afin de faire croire à la multitude qu’elle aussi va bientôt pouvoir accéder au trottoir et conquérir par la force du poignet un peu de confort.

Le médiévalisme enferme le peuple, les citoyens, dans des croyances dans un avenir meilleur, mais il est incapable d’avoir le courage, la dignité et l’humilité de chercher des agissants qui secouent la réalité et seraient en mesure de servir le devenir de la nation. Il tance le peuple. Il harasse les citoyens. Il vide la nation. Il détruit la multitude.

Tout ça pour que les réseaux, les cercles et les clientèles, de droite et de gauche, qui sont identiques, demeurent dans les sphères inaccessibles en prétendant qu’ils sont responsables sans pour cela sanctionner leur rapacité, leur ignorance et leur infaillibilité.

Le médiévalisme est bien là. Son ombre arrive, si noire, si profonde, que la France et les citoyens vont être englués dans ses miasmes d’où seuls les cercles, les clientèles et les réseaux se sortiront. L’ignorance fait que les pratiquants du médiévalisme reproduisent les errances passées simplement pour pouvoir mieux se servir au détriment de la nation, au détriment de la France.

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2 septembre 2012 7 02 /09 /septembre /2012 11:43

Nos sociétés anthropiques se sont développées en s’appuyant sur des paradigmes fonctionnels. La toute puissance des religions, des croyances et autres impalpables ont fondé les systèmes sociétaux. Puis la cupidité le culte du toujours plus, la satisfaction de l’ego, et le mépris pour la diversité et la différence sont devenus des normes.

Aujourd’hui les politiques ont l’obligation et le devoir de changer de paradigme. Il est vrai que ça ne ce décrète pas que de faire basculer l’humanité dans une autre orientation que celle de l’opium religieux, de la cupidité financière et de la surenchère permanente en faisant de l’accumulation sans nécessité la référence absolue de la réussite sociale.

Nous sommes, l’humanité, si imbus, si suffisant, si infaillibles, que nous sommes incapables d’analyser les erreurs, les dysfonctionnements, les errances et les abus des temps passés, des sociétés, des religions et des références sociétales, pour mettre en œuvre de orientations dans lesquelles l’ensemble de l’humanité puisse vivre décemment.

Pour y parvenir il faudrait que les institutionnels, dissimulés sous une légitimité qui s’attribue des privilèges toujours plus coercitifs et oppressants pour les populations soumises aux tyrannies idéologiques, aient le courage de pratiquer la praxéologie. Cela est impensable. La première raison est que cette posture méthodologique n’est pas enseignée dans  les universités car elle extrairait les étudiants de l’univers pavlovien qui satisfait tant les systèmes. La seconde raison est que les institutionnels devraient faire acte de conscientisation et admettre qu’ils sont les causes des profonds dysfonctionnements sociétaux.

Changer de paradigme est dans un premier temps : tendre vers une conception sociétale dans laquelle les individus sont considérés. C’est-à-dire, qu’ils puissent accéder à la possibilité de mener une existence digne sans que des fonctionnaires perçoivent vingt salaires par mois, sans que seules les clientèles soient bénéficiaires des bienfaits de la société, sans que l’éducation dite nationale soit une machine à détruire l’avenir avec des programmes dignes des plus grandes impostures intellectuelles.

Changer de paradigme impose de concevoir l’humanité, en fonction de norme humanité pour que l’humanité serve le devenir de l’humanité. Un tel positionnement n’est pas concevable car pour cela il faudrait que les quatre niveaux d’humanité soient perçus, sachant que le premier n’est même pas conçu par les religions. Il faudrait que la dignité de l’humanité soit une inquiétude pour les institutionnels.

Changer de paradigme impose aux institutionnelsde vouloir répondre aux causes, aux mécanismes, aux fondements des problèmes auxquels notre humanité doit faire face. Et non, dans une posture d’une médiocratie pavlovienne avoir la prétention de trouver et mettre en œuvre des remèdes aux conséquences. Changer de paradigme est vouloir agir sur les causes.

Changer de paradigme est mettre un terme immédiat à l’intellectualisme clientéliste pratiqué dans les universités françaises pour lesquelles il est préférable de pratiquer le verbe que de démontrer des théories et faire avancer nos connaissances sur le monde des faits. C’est aussi que les institutionnels ne se réfugient plus dans leur brillantissime parcours pavlovien pour lequel il suffit de pratiquer le mérycisme pour devenir un très haut fonctionnaire.

Changer de paradigme c’est œuvrer sans limitepour que les élèves soient meilleurs que les maitres. Hélas cette doctrine n’est pas prête à voir le jour quand on observe comment sont fait les programmes des collèges et des lycées. Les impostures intellectualistes n’ont pas le courage, la dignité et l’humilité de les modifier pour qu’ils soient cohérents progressifs et qu’ils mettent en œuvre la stratification dynamique des savoirs théorisée par Yannick Brun-Picard.

Changer de paradigme est de concevoir la légalisation de la prostitutionavec des cartes magnétiques pour chaque travailleur du sexe où seraient inclus tous ceux qui pratiquent la pornographie. Dans ce cadre les sanctions pour non possession de la carte de pratique de la prostitution ou de la pornographie seraient des peines planché de prison et financières très lourdes pour les travailleurs du sexe et pour les maquereaux et autres souteneurs.

Rien que cette décision serait une reconnaissance de la dignité humaine, d’une facette de notre humanité et une inscription d’une démarche projective d’une société qui aurait conscientisé l’impérieuse nécessité de construire des références sociétales à même de répondre aux évolutions sociétales.

Tu peux rêver Charles ! Jamais les institutionnels n’auront l’humilité d’aller chercher hors de leurs cercles, réseaux et clientèles des options projectives pour servir le devenir de la nation et par extension de notre humanité. Trop idéaliste, on peut s’interroger sur la nécessité de prendre en considération le devenir de l’humanité lorsque l’on observe ses déviances et sa cupidité.

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31 août 2012 5 31 /08 /août /2012 07:59

MARSEILLE baigne à nouveau dans le sang. Les règlements de comptes deviennent une normalité d’une société normale pour laquelle les territorialisations par la violence, les sanctuarisations par des formes de violences que ce soit la drogue, les trafics ou la prostitution n’existent pas selon les croyances et les conceptions idéologiques des spécialistes en sociologie et en géographie.

Des solutions sont formalisées pour répondre aux meurtres ainsi qu’à une forme superficielle de conscientisation des réalités des sanctuarisations par violence si présentes à Marseille. Ces solutions ne font qu’effleurer les réalités. Elles ne rentrent pas dans le réel. Elles demeurent superficielles car pour répondre il est impératif de percevoir, d’admettre et de prendre en compte les faits.

Le gargarisme intellectualisteau sujet des violences empêche toute émergence divergente à la doctrine dominante du tout sociologique. L’ignorance et l’absence de travail en profondeur sur les mécanismes de la production de territoire par l’affirmation de territorialités identitaires nous mettent là où nous sommes devant le triste constat de la victoire des dogmes et des clientèles.

Tant que les prétendus spécialistes, les fameux intellectualistes universitaires, seront les conseillers de politiques et d’institutionnels qui boivent leurs paroles et leurs errances car celles-ci servent leurs intérêts, aucune solution viable ne sera mise en place. Tant que François et se potes n’auront pas le courage d’aller chercher ceux qui décortiquent la réalité aucune réponse pertinente ne sera donnée.

J’en reviens, avec acharnement, aux travaux de Yannick Brun-Picard sur les thèmes des dynamiques des territorialités des violences identitaires, les territorialisations, la production de territoires par la violence, ou encore les dynamiques territoriales de sanctuarisation par la violence. L’ignorance, la suffisance et l’infaillibilité des pavloviens qui préfèrent servir leurs cercles d’influence, leur réseaux et leurs dépendances, font que ses travaux sont encore rejetés.

Tant que les institutionnelsn’agiront pas sur les mécanismes de la production de sanctuaires par la violence, c’est-à-dire sur les éléments qui contribuent à la construction d’un territoire, toutes les solutions proposées interviendront sur du superficiel puisque elles sont orientées vers l’objet déjà élaboré, alors que pour endiguer la violence il faut agir sur ce qui va structurer l’objet.

Les médias dans tous ces miasmesdemeurent au rang de mouche du coche. Ils font en sorte de médiatiser sous les aspects de focalisation de l’attention sans pour cela se donner la peine de prendre en considération l’agrégation des dynamiques identitaires des territorialisations par la violence. Ils alimentent la violence des diffuseurs de violence en les élevant au rang de menace.

Aujourd’hui nous avons Ayrault qui avec ses copains, à grands renforts médiatico-communicationnels, prétend mettre en place des solutions pour résorber la violence en cours. Le problème c’est qu’il considère l’éradication sanglante entre voyous comme de la violence, et qu’il ignore ce qu’est la violence vécue, subie et si oppressive qui écrase les citoyens du fait de l’ignorance volontaire des politiques et institutionnels qui préfèrent lustrer les blablateurs universitaires que valoriser ceux qui leur mettent le nez dans la réalité.

François, son pote Ayrault et le camarade Valls, n’iront jamais chercher les travaux de Yannick Brun-Picard et moins encore l’intéressé pour concevoir des actions dans la profondeur. D’une part ces actions ne seraient pas médiatiques. En second lieu il faudrait prendre une personne qui n’appartient pas aux normes, aux cursus et autres clientèles. Enfin, et c’est le pire pour ses personnes ils devraient admettre qu’ils y a des brasseurs d’air en poste et que la validation de spécialiste est viciée.

Ils n’auront jamais le courage de se tourner en direction d’un ostracisé pour s’approprier les phénomènes de violence source de dynamiques de territorialités identitaires, vectrices de territorialisations pour la production de territoires sanctuarisés par la violence.

Qui sait, ils auront peut-être un sursaut de conscience et inviteront cet anachronisme aux réunions prévues pour répondre aux violences si présentes à Marseille et dans de nombreux lieux qui constituent une mosaïque de territoires de violences qui gangrènent le territoire national.

Ce serait une révolution que de voir un chercheur décrié, raillé et ostracisé, être au minimum écouté, employé et valorisé par des structures qui ne tolèrent pas que l’on démontre qu’elles se sont fourvoyées par ignorance, suffisance et clientélisme. Le changement est-il maintenant ? Tu rêves Charles ! Ils vont continuer à alimenter leurs réseaux et les illusionnistes sans faire de vagues. Hélas.

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30 août 2012 4 30 /08 /août /2012 14:59

MARSEILLE à nouveau se trouve sur le devant de la scène médiatique suite aux derniers évènements violents. Ayrault organise une réunion interministérielle pour tenter de répondre à ce fléau tout en refusant arcbouté sur ses croyances, ses idéaux et ses clientèles que le blablatage suffira.

La suffisance et l’infaillibilité instaurées et institutionnalisées par la pavlonisme propre à l’émergence d’une prétendue élite est la cause principale à l’inefficacité des orientations prises jusqu’à maintenant. Tous réfugiés par dogmatismes derrières les universitaires, qu’ils soient sociologues ou géographes, les institutionnels n’ont fait que voir ce que leurs idéaux toléraient.

Les médias dans leurs démarches de politisationet d’idéalisation de la société par les prismes idéologiques sont tout aussi responsables que les politiques fourvoyés dans les théories fumeuses des universitaires illusionnistes qui refusent les réalités des violences urbaines et de leur mode d’implantation, de territorialisation ainsi que les identités territorialisées.

Les travaux de Yannick Brun-Picard sont vérifiés. Ses théories sont validées par les faits qui se déroulent en ce moment et depuis au minimum une décennie dans les périphéries des grandes villes, dans certaines cités et autres quartiers où les institutionnels par confort doctrinaire ont engagé une démission du rôle et des obligations des représentants de la nation.

Il est atterrant de voir qu’un chercheur en géographie et en sciences humaines a été étrillé, détruit, enterré vivant, moqué, raillé et tenu sous silence par le rejet complet, sauf un texte au Canada, de ses recherches, alors que ce qu’il décrit, les mécanismes qu’il met en évidence sont ce qui se déroule dans tous les lieux sanctuarisés par la violence sous toutes ses formes.

Je doute qu’Ayrault possède suffisamment de courage, ainsi que Valls, Peillon ou Taubira, sachant qu’il a démontré lors d’un colloque à l’école nationale de l’administration pénitentiaire des dynamiques de territorialisations par des phénomènes de dangerosité dans les établissements pénitentiaires, pour faire en sorte que les travaux sur les dynamiques des violences urbaines de Yannick Brun-Picard soient employés.

Nous sommes dans le déni le plus absolu. Les institutionnels dissimulés sous les incantations des universitaires, qui ne font que servir leur carrière, leur dogme, leur école doctorale et leur prestige individuel, au détriment de l’évolution des savoirs et des réponses données pour construire une société plus vivable, font tout leur possible pour ne pas fixer la réalité.

Une société qui refuse de chasser les imposteurs, qui ne tolère que ce qui sert les idéaux et les dogmes des puissances en place, qui n’accepte pas de corriger les dysfonctionnements et les points négatifs, qui ne fait que se gargariser sur ce qui fonctionne, qui n’a aucune considération pour ce qui ne provient pas des cursus honorum, qui méprise les citoyens, et qui accepte que les élus de la nation ne répondent pas aux questions des citoyens, est bien mal en point et plonge vers les abysses.

Soi-disant : le changement c’est maintenant ! Pour l’instant rien ne change. François fait du Sarko dans les actes. Les ministres brassent de l’air et n’entrent pas avec toute la détermination souhaitée, attendue et impérative dans les problèmes pour répondre à ces derniers et éradiquer les errances accumulées depuis des décennies par lâcheté électoraliste.

Que les prétendus spécialistes lisent les travaux sur les dynamiques territoriales des sanctuarisations par la violence de Yannick Brun-Picard et qu’ils cessent de se palucher sur l’autel de leurs croyances. Bientôt il sera trop tard. A force de ne pas vouloir voir les réalités de la société, à force de ne prêter attention qu’aux bulletins de vote, à force de mépriser les citoyens, la société se désagrège.

Halte aux impostures. Que François impose à Ayrault, Valls et Peillon pour le moins qu’ils s’instruisent et sorte de l’ignorance dans laquelle les universitaires à la botte de l’idéologie d’un intellectualisme à courte vue les enterrent afin de satisfaire leur ego et leur suffisance.

Pour toutes ses personnes accepterqu’une personne hors des cercles, des réseaux et des clientèles puisse avoir raison, puisse être la source aux réponses à articuler pour répondre au fléau de la violence et de ses territorialisations, n’est pas envisageable.

Reste que le courage de François pour secouer la suffisance, l’infaillibilité, le pavlonisme, le dogmatisme et l’intellectualisme. Tu peux rêver Charles : le changement ce n’est pas pour maintenant !

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28 août 2012 2 28 /08 /août /2012 15:03

La lutte contre le chômage devrait être la cause nationale pour laquelle le gouvernement devrait agir sans se soucier de ses clientèles et autres privilèges. Ce fixer cet objectif réclamerait que les acteurs en poste accèdent à la décence et à la dignité de considérer les citoyens.

La lutte contre le chômage débute par l’interdiction immédiate de toute forme de cumul de mandats électifs de nature politique de représentation de citoyens. Dans le même temps interdiction aux fonctionnaires d’avoir un second emploi de nature identique à l’emploi tenu dans la fonction publique. Ainsi les enseignants du supérieur n’enseigneront plus dans les facs privées et autres boites ou alors ils le feront sans être fonctionnaires.

Dans la fonction publique éradication immédiate de toutes les hautes rémunérations qui ne se justifient pas. Mise en place d’un âge minimum pour accéder aux plus hauts grades afin que cesse le cursus honorum tel qu’il est pratiqué de nos jours. De cette manière l’Etat embaucherait des petites mains pour faire le travail avec des salaires de bases. Et oui ! En supprimant une haute rémunération l’administration peut embaucher 10 fonctionnaires au bas de l’échelle des rémunérations.

Lutter contre le chômage impose de mettre un terme immédiat aux impostures de l’éducation dite nationale en imposant des contrats d’apprentissage de 3 ans, deux ans pour le CAP et une année pour s’ancrer dans la vie active, ce qui imposerait aux employeurs gourmands en apprentis de les former correctement afin qu’ils soient efficaces pendant l’année où ils seraient rémunérés plein tarif.

Lutter contre le chômage est de réviser les échelles des rémunérations dans la fonction publique afin que les plus bas salaires, ceux qui se salissent les mains pour gommer les incompétences des sortis des écoles à pavloviens, puissent avoir des salaires d’un smic et demi. C’est faire en sorte que la pyramide des grades et des rémunérations soient une pyramide et non une fumisterie comme instaurée depuis plus de trente ans où les politiques font grimper leurs clientèles et cercles.

Lutter conter le chômage c’est imposer, obliger, contraindre les enseignants à adapter en permanence leurs formations pour répondre aux dynamiques des marchés, aux besoins des investisseurs ainsi qu’aux évolutions technologiques, en relation étroite avec les entreprises. Cela impose une révolution cognitive dans l’éducation dite nationale pour laquelle l’entreprise deviendrait un partenaire pour la formation des futurs employés.

Lutter contre le chômage exige que l’Etat fasse le vide, le tri et l’éradication des branches vermoulues dans les administrations et qu’il redéploye ses effectifs, là, où c’est nécessaire. C'est-à-dire que le territoire français soit gérer avec pour finalité la satisfaction des citoyens tout en préservant le confort des fonctionnaires. Ainsi l’administration serait le moteur à l’entrée dans le 21ème siècle.

Lutter contre le chômage c’est faire disparaitre les idéaux, les dogmes, les croyances et autres clientèles afin qu’en toute équité les institutionnels œuvrent pour le devenir de la nation et non pour la préservation de leurs cercles, de leurs réseaux et de leurs clientèles. C’est-à-dire que les institutionnels auraient pour finalité de servir l’évolution de la nation et non les petits copains.

Lutter contre le chômage c’est gérer à la performanceles illusionnistes du pôle emploi qui nuisent par leur mode de fonctionnement à la reprise d’un emploi tout particulièrement pour les jeunes. Cela signifie que les employés de pôle emploi seraient sur un siège éjectable si les chômeurs peuvent démontrer qu’ils ne font pas leur travail : trouver un emploi dans le bassin d’emploi de résidence en corrélation avec les capacités et les compétences de l’individu. Cela impose que les passes droits disparaissent, hélas, Ayrault et ses copains agissent que par clientélisme, comme sous Sarko.

Lutter contre le chômage c’est de faciliter les carrières transversales, faire en sorte que les personnes ne fassent pas toute leur vie au même poste, que les illusionnistes qui sortent des boites pavloviennes de la brillantissime médiocratie connaissent le travail qu’ils encadrent, ce qui n’est pas le cas, tout particulièrement dans la fonction publique.

Lutter contre le chômage c’est imposer au ministre de la santé que les hôpitaux ne payent plus les logements des pseudo-directeurs, et moins encore leur eau, leur électricité et leur chauffage. C’est faire en sorte que la priorité soit donnée à ceux qui ont les mains dedans et non à ceux qui ont le cul posé sur des trônes.

Lutter contre le chômage est un acte de courage. Lutter contre le chômage ce n’est pas du blablatage médiatico-communicationnel. Lutter contre le chômage : le changement c’est maintenant !

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27 août 2012 1 27 /08 /août /2012 13:05

Nous avons un ministre de l’éducation dite nationale qui tente de nous démontrer qu’il a pris conscience des réalités de l’enseignement en France. Tout ceci n’est que du blablatage. Tout ceci n’est qu’une action médiatico-communicationnelle.

Peillon doit avoir une chape de plomb sur la têtequi l’enterre chaque jour un peu plus. Il constate que la masterisation est une fumisterie. Il se rend compte que les universités ne font pas leur travail, leurs obligations et ne tiennent pas leurs fonctions de formations. Il perçoit la profondeur des dysfonctionnements accumulés depuis des décennies par lâcheté et clientélisme.

Peillon a la prétention de vouloir répondre aux situations catastrophique de l’enseignement en France. Les médiocrates vont dire que nous avons des élites et que les 90% qui subissent un enseignement de fond de cuvette on s’en fou tant que ces élites demeurent sur la plus haute marche et que le petit peuple ne peut que rêver d’y parvenir.

Peillon n’aura pas le courage de faire ce qu’il faut pour réformer en profondeur l’enseignement. Recrutement par académie, centre de formation post bac pour 5 années en option littéraire ou dite scientifique pour parvenir à la maitrise parfaite des programmes. Obtention d’un diplôme universitaire d’enseignement option maternelle, primaire, collège ou lycée.

Cela signifie que les programmes doivent être revus en profondeur et que l’on cesse les impostures didacticiennes qui ont menées la France là où elle se trouve. Dans les meilleurs centres de formations les enseignants disent pratiquer la didactique, mais en réalité ils la laisse au fond du trou car ça ne peut pas répondre aux exigences de l’enseignement : la pédagogie oui.

Peillon devra faire entrer dans les esprits que la pédagogie est vitale et que les médiocrates, qui ont instauré des méthodes pour lesquelles seuls les élèves qui ont une culture suffisantes peuvent surnagés dans des programmations débiles, doivent être chassés. Cela impose que l’on donne à savoir et qu’ensuite on fasse réfléchir et non l’inverse comme il se produit depuis trop longtemps.

Je doute que Peillon possède suffisamment de courage pour s’attaquer aux errances de la didactique qui ont fondé des développements sans prendre en compte l’absence de connaissances. Là est l’imposture des sciences dites de l’éducation, puisqu’elles ne prennent pas en considération le devenir des élèves mais juste des techniques qui ne fixent pas les savoirs.

Jamais Peillon ne touchera à ses confrères prestidigitateurs qui claironnent qu’il faut des heures de préparation pour les cours, alors qu’une fois qu’ils sont faits il ne reste qu’à les corriger régulièrement et les améliorer lors des révisions pour leur production. J’ai encore des classeurs complets de cours sur transparents, du temps où nous employons le rétroprojecteur, et oui !

Peillon n’aura jamais le couragede dire aux enseignants de mettre un terme immédiat aux inondations de photocopies et textes à trous qui font que les élèves n’en ont rien à cirer de la leçon. Il n’aura jamais le courage de mettre des évaluations d’entrée en niveau par des grilles de connaissances sous le principe de questionnaires.

Peillon comme ses prédécesseurs n’aura jamais le courage d’exiger des justifications avec des grilles d’évaluation des candidats au RAEP afin que ces derniers sachent là où ils ne satisfont pas à la norme de la normalité normalisante. Car, là, il faudrait lever le voile sur les manipulations des places au soleil et autres préservations de prés carrés.

Peillon n’aura jamais le courage de mandater des chercheurs indépendants pour démontrer l’existence des violences non signalées source de sanctuarisations dans les établissements scolaires. Trop dangereux car il faudrait admettre que des acteurs éducatifs ne font que brasser de l’air et pratiquer l’art de l’illusion.

De la parole aux actes il y un gouffre ! Maintenant, avoir le courage d’éradiquer les sources des dysfonctionnements n’est pas facile. C’est à ce prix que l’enseignement national se redressera et tiendra son rôle au bénéfice de TOUS les élèves, et non que pour un pourcentage infime.

Pour cela Peillon a le devoir et l’obligation d’aller chercher ailleurs que dans ses clientèles des personnes à même de secouer l’inertie rétrograde pour la transformer en énergie positive. Tu rêves Charles !

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26 août 2012 7 26 /08 /août /2012 17:10

La sanctuarisation par la violence est si évidenteaujourd’hui que les institutionnels crient haut et fort que l’on ne peut pas lutter contre les fléaux de ce genre qui agrègent toutes sortes de trafics, de contrôles territoriaux et d’emprise psychologique, de coercition, sur les habitants des zones gangrénées.

A Marseille le fléau est si présent que la norme de la normalité fait dire aux médias que cette situation est normale, traditionnelle voire même qu’elle fait partie du folklore. Pourtant, il y a une dizaine d’années Yannick Brun-Picard a démontré les mécanismes des territorialisations par la violence, les trafics et les réseaux dans les cités et dans de nombreuses zones urbaines.

Les sociologues, toujours en poste, les géographes, toujours en place, les urbanistes de même, les institutionnels et autres politiques et administratifs n’ont pas daigné lire ses travaux. Il faut dire qu’il était mis à l’index par le monde universitaire. En effet comment tolérer qu’un électron libre démontre que des prétendus spécialistes se sont fourvoyés par dogmatisme et idéologie ? Impossible !

Aujourd’hui, à Marseille, les théories, la théorisation de la sanctuarisation par la violence de Yannick Brun-Picard est démontrée par l’exemple. Pour des prétendus scientifiques ça n’a que peu d’importance que de théoriser les sciences humaines. Il vaut mieux théoriser l’expansion de l’univers alors que nous ne sommes pas capables de comprendre les perversions de notre humanité.

A Marseille la sanctuarisation par la violence est une normalité. Les réseaux, les trafics, les contrôles territoriaux, les marquages, les spécificités, les emprises territoriales physiques, cognitives et virtuelles sont toutes là. Tous les acteurs de la lutte contre les trafics à Marseille font les constats de territoires de violences qui sont de véritables sanctuaires.

Marseille : vérification éclatante de la pertinence des analyses, des théorisations et des méthodologies de perceptions, analyses, compréhension et explication, développées par Yannick Brun-Picard, devrait alerter les personnes aux responsabilités, ou tout au moins faire en sorte que ces travaux ne soient plus frappés par l’index et sa personne d’ostracisme.

Avoir raison seul contre la multitude n’est pas socialement admissible. De plus, cet anachronisme qui n’appartient pas aux réseaux, cercles et clientèles universitaire à cause de son cursus, ou de son absence de cursus, n’a pas pour coutume de mâcher ses mots. Que va faire Peillon ? Va-t-il le laisse au fond de son trou, où les médiocrates l’on enterré vivant ? A mon avis OUI !

Que vont faire François et son copain Ayrault ? Vont-ils ignorer qu’un chercheur, brûlé sur le bûcher des clientèles, à produit des travaux qui démontrent que des sanctuaires de violences existent en France et que les sociologues et autres géographes en font la négation car cela va contre leurs idéologies et les dogmes d’un méthodologisme à courte vue.

Les lignes produites par ce blog n’apporteront certainement pas grand-chose à ce chercheur qui a démontrer il y a une dizaine d’année les mécanismes de la sanctuarisation par la violence, l’existence de territoires de violences, de dynamiques de territorialisations et des territorialités identitaires vectrice de conquêtes territoriales par la violence.

Néanmoins, elles existent. La colère exprimée à la hache et l’amertume de voir que nos prétendues élites préfèrent se fourvoyer plutôt que de recruter une personne qui avait déjà raison il y a dix ans et qui aujourd’hui devrait être une référence, peuvent donner une image altérée de la pertinence de ces travaux sur les dynamiques de territorialisations par la violence en zone urbaine.

Il est plus que probable que François fasse comme son pote Sarko : qu’il ignore l’existence de ces travaux qui mettent à mal les universitaires qui ont l’outrecuidance de se présenter comme des spécialistes des violences, des dynamiques des violences urbaines, ou des territorialisations. Il est probable que Peillon ne parvienne pas à la décence cognitive d’une conscientisation praxéologique et demeure dans la ligne de l’ostracisme et du rejet car n’appartenant pas aux cercles.

Que dire de Valls dans tout ça ? Pas grand-chose ! Il fera comme ses copains et comme Najat : il blablatera et n’aura pas le courage de poser la question aux universitaires : Comment ce fait-il que des travaux qui démontrent ces sanctuarisations ont-ils été ignorés ? Nous sommes en France pour briller, même faiblement, il faut appartenir, ou au minimum entrer dans un cercle d’influence, une sorte de clientèle distante et agrégée. Ailleurs, ceux qui ont le courage de conscientiser prennent la diversité et la différence pour construire un monde meilleur et non le meilleur des mondes…

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25 août 2012 6 25 /08 /août /2012 15:37

L’ordre républicain, doit, devrait, être rétabli sous la haute autorité de Valls. Pourquoi pas ? Cela signifierait que le changement est en marche. Cela imposerait que des errances et autres perversions soient mises au rebut. Ce n’est pas gagné !

Pour parvenir à restaurer l’ordre républicain dans les territoires sanctuarisés depuis des décennies par l’ignorance des institutionnels il va falloir des efforts surhumains aux politiques en place. Il va falloir que Valls lise les travaux de Yannick Brun-Picard sur les violences et les dynamiques des violences identitaires vectrices de territorialités.

L’ordre républicain exige pour son instauration, sa reconduite, sa préservation, que Valls ouvre les yeux, les oreilles et sa conscience à autre chose qu’aux gargarismes des universitaires soi-disant spécialistes des violences et des dynamiques territoriales, car, pour l’heure, toutes leurs options se sont avérées totalement inefficaces.

Le retour de l’ordre républicain impose à Valls qu’il prenne le courage d’aller chercher ceux qui depuis une décennie mettent en exergue les dysfonctionnements, les errances et les hérésies des méthodologismes à courte vue prônés, soutenus et entretenus par les clientèles sclérosées par leur soif de préservation de leur privilèges.

L’affirmation de l’ordre républicain impose que Valls, François et ses copains aient suffisamment de courage, de conscience des réalités et de considération pour ceux qui n’appartiennent pas aux réseaux, aux cercles et aux clientèles pour que la France fasse autre chose que du blablatage intellectualiste d’un méthodologisme inertiel et rétrograde.

L’ordre républicain ne peut pas souffrir des tares des systèmes pour lesquels les dogmes, les idéaux et les appartenances sans omettre les cursus sont les normes, les filtres et les obligations pour être validé, écouté et mis en œuvre. Il ne peut pas poursuivre sa déshérence dans les miasmes du clientélisme intellectualiste. Il faut qu’il sorte de la normalité normalisante de la norme.

L’ordre républicain vers lequel Valls veut nous mener apparait viable. Hélas il ne possède pas les outils pour agir contre les fléaux qui vérolent la société française. Les décideurs n’ont pas la volonté de sortir des institutionnels même si ces derniers ne font que brasser de l’air et donner l’illusion qu’ils sont des spécialistes des violences.

L’ordre républicain impose à Valls de s’approprier les travaux de Yannick Brun-Picard sur les dynamiques des territorialisations des violences pour mettre en œuvre les réponses ferment, autoritaires et éclairées afin d’endiguer les vecteurs de violences tout en agissant sur les articulations des mécanismes des territorialités.

L’ordre républicain impose à Valls d’avoir le courage de la diversité et de la différence. Non pas celle de l’idéologie comme il le fait avec ses copains. Mais celle du concret en prenant ce qui n’existe pas chez les responsables de la négation de l’existence des dynamiques des territorialisations des violences.

L’ordre républicain exige que Valls, Ayrault et François, ne cherchent pas dans leurs réseaux, leurs cercles et leurs clientèles les orientations pour la production d’une matrice d’intervention. Si ces derniers avaient proposé de tels outils, ça se saurait. Si ces derniers avaient eu le courage de regarder le monde tel qu’il est et non tel que leurs idéaux imposent qu’il soit à cause d’un intellectualisme et un méthodologisme inertiel, ça se saurait.

L’ordre républicain attend que les institutionnels acceptent leurs errances, fassent les corrections impératives, et surtout qu’ils cherchent ceux qui entrent dans le concret. C’est-à-dire qu’ils mettent en œuvre une démarche praxéologique. Hélas, la praxéologie n’est pas enseignée dans les universités françaises et moins encore dans les sciences dites de l’éducation, seule la réflexivité, qui est une étape de la praxéologie, est érigée en dogme. Cette option est si restrictive que la conscientisation n’existe pas. Alors que si l’œuvre entreprise était praxéologique ces écueils seraient dépassés.

Toutes les violences institutionnelles, sociétales, ostentatoires, intellectualistes et méthodologistes sont présentes dans cette prétention d’action et d’engagement. Le refus, l’ignorance et la suffisance portés par les orientations prises, attestent de l’absence d’une volonté réelle de lutter, car il faudrait pour cela sortir des dogmes, des idéaux et des clientèles.

Le changement attendu ne peut pas, pour ces institutionnels, être aussi radical.

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23 août 2012 4 23 /08 /août /2012 08:52

Un engagement cataclysmiquepour les politiques qui auraient le courage de mettre en œuvre un tel projet de société qui ferait que le changement c’est maintenant. Légaliser la prostitution, faire en sorte que cette pratique au même titre que la pornographie soit encore plus encadrée : voilà l’objectif.

La prostitution ne peut pas être éradiquée. Elle est pratiquée sous multiple forme dans les entreprises, sur des lieux de travail et même dans des espaces où les titulaires sont consommateurs des tolérances des subordonnées pour des pratiques sexuelles. La légalisation est une obligation sociétale.

La légalisation de la prostitutionimposerait à toutes les prostituées et prostitués d’être titulaire d’une carte à puce avec photos et empreintes dans laquelle toutes les informations de localisation, de paiement, de liens, des impôts et autres constations seraient compilées par les forces de l’ordre.

La légalisation de la prostitutionferait que les travailleurs et travailleuses du sexe seraient dans l’obligation de se plier à la réglementation établie. Toute personne sans la fameuse carte de pratique et exerçant l’activité de prostitution ou de racolage serait immédiatement jugée et prendrait au minimum cinq années de prison, peine planché.

La légalisation de la prostitutionimposerait aux prostituées de payer un forfait minimal de 3000 euros d’impôts annuels, de cotisé obligatoirement jusqu’à une hauteur de 500 000 euros sur toutes leurs années de pratiques avec des versements exceptionnels favorisés pour capitaliser leur retraite qui sera d’un montant d’un peu plus de 1000 euros mensuels dès 60 ans si les 500 000 euros de capitalisation sont atteints.

La légalisation de la prostitutionimposerait des contrôles des cartes avec un terminal informatique, des vérifications d’absence de maquereaux, de croisement des fichiers pour vérifier tous les revenus, les réseaux et les dissimulations. Les travailleuses du sexe seraient des travailleurs indépendants reconnus ayant les mêmes droits que tous les autres citoyens.

La légalisation de la prostitutionmettrait à terre les réseaux de prostitution, les trafics de femmes, l’esclavagisme sexuel et intègrerait dans sa législation tous les travailleurs et travailleuses de la pornographie qui n’est que de la prostitution exhibitionniste dissimulée sur laquelle se gave des exploiteurs et autres esclavagistes sexuels.

La légalisation de la prostitutionimposerait au gouvernement de prendre le courage qu’il prétend avoir pour agir et mettre en place ces structures, ces contrôles et ces gestions qui rapporteraient énormément d’argent, épureraient les rues, les quartiers et les zones de non droit, et surtout permettraient de redéployer les forces de police afin d’affirmer la maitrise territoriale.

La légalisation de la prostitutionimposerait aux blablateurs en tout genre de lire les travaux de Yannick Brun-Picard, qui serait enfin diffusé, pour mettre en place les articulations territoriales à même de contraindre et encadrer ce travail reconnu. Elle imposerait aussi que François, Valls et Najat pour le moins entre dans le concret et fondent un projet de société.

La légalisation de la prostitutionrenforcerait les présences policières, la gestion des flux territoriaux, éviterait les sanctuarisation, favoriserait les associations de prostituées et leur répartition territoriale en toute sécurité et limiterait drastiquement toute emprise mafieuse par les contrôles, les paiements et les obligations légales de la pratique.

La légalisation de la prostitutionest un projet avec ces orientations qui peut voir le jour d’ici deux voire trois ans. Mais là il faut avoir le courage d’agir ! Que l’intérieur agisse avec les finances, la condition de la femme, la fonction publique et l’aménagement du territoire. Cela signifie que la guerre-guerre des egos médiocratiques des blablateurs doit être éradiquée. Cela signifie qu’Ayrault doit avoir le courage de fonder un projet sociétal d’intégration d’une pratique nécessaire à notre humanité. Cela signifie que le changement doit-être maintenant !

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