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13 février 2012 1 13 /02 /février /2012 20:01

Un maire dans un village du Var vient de prendre un arrêté contre les prostituées qui exercent sur le territoire de sa commune le long de la nationale à proximité du lac si cher aux vacanciers. Ce maire veut interdire tout stationnement des prostituées sur le bord des routes et sur les aires de repos de sa commune. Ça peut se comprendre. Les dames ont effectué une migration vers l’arrière pays, Montauroux, pas très loin de Fréjus et des Adrets afin de s’adapter aux flux des potentiels clients.

Nous avons enfin un maire qui comprend que les prostituées avaient territorialisé des parcelles de l’espace public afin de se livrer en toute impunité et en augmentant la dangerosité des routes concernées à la pratique de la prostitution. Il est vrai que cette action n’éradiquera pas la prostitution. Le fléau migrera à nouveau un peu plus loin tout en demeurant accessible pour les consommateurs.

Mais ces filles qui sont déposées par de puissantes voitures, qui tapinent avec des caisses à près de cinquante milles euros, arrivent des villes proches où elles ne trouvent plus suffisamment de pigeons à vider. Quoi que nous fassions la prostitution existera et rien ne la fera disparaitre. Il suffit pour s’en convaincre de regarder avec attention l’avancement de certaines dames dans la territoriales aux capacités buccales de gourmandises des plus performantes pour se demander s’il n’est pas temps de sanctionner les consommateurs. En effet dans ce cas les proxénètes, les acteurs du droit de cuissage pour obtenir un poste dans la fonction publique territoriale seraient chassés. Le voulons-nous ? J’en doute fermement.

Toutefois il est à noter que ce maire semble avoir pris en considération les développements de Brun-Picard Yannick sur les territorialisation des prostitutions dans l’interface ruralité/urbanité. Au moins là il y a quelque chose d’entrepris sur la dynamique de territorialisation. Pour ce qui est de Sarko ! Là nous sommes dans le flou le plus complet : toujours silence sur les ondes.

Il est à noter aussi, que dans d’autres lieux du département du Var des filles poursuivent leurs pratiques du tapin sans trop de contraintes, elles laissent même les chaises en place pour le lendemain afin que les clients se souviennent que c’est là où l’on se vide. Tant que les acteurs politiques demeureront aussi frileux dans leurs actions de lutte contre l’envahissement des filles de l’est et de l’Asie sur les routes de Provence nous devront faire avec et voir des filles se vendre à l’étalage sur le bord des route du Var.

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25 janvier 2012 3 25 /01 /janvier /2012 13:50

Les prostituées dans le département du Var deviennent, sont, plus discrètes depuis quelques semaines. Il apparait que la baisse des températures avec l’hiver engendre des mouvements de délocalisation des prostituées dans ce département.

Les zones boisées des routes départementales sont délaissées pour des lieux ensoleillés à proximité du bord de mer et du cœur des villes principales où sont localisés pour quelques semaines encore les clients potentiels.

Dernièrement des reportages ont montré les problèmes de la multiplication de l’envahissement des prostituées de l’est et des asiatiques que ce soit à Cannes, Nice en ne disant un mot sur ce qu’il se passe à Toulon.

Les prostituées, par l’esclavagisme des réseaux de contrôle et d’exploitation, tendent à s’implanter là où elles peuvent sans se faire verbaliser par la police qui ne fait que donner l’illusion d’une lutte organisée. Tout ceci pour en revenir à la réalité que les prostituées, dans le Var, s’adaptent aux dynamiques des contrôles territoriaux.

Elles modifient leurs territorialisations affirmant de nouvelles territorialités afin de préserver leurs revenus et alimenter les réseaux d’exploitation de l’esclavagisme sexuel. Cette triste réalité de la soumission au commerce du sexe pour les réseaux de trafics du banditisme et éclatant dans le Var.

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25 janvier 2012 3 25 /01 /janvier /2012 13:42

Les territoires de la région PACA sont bradés aux spoliateurs. Nous avons des aménageurs qui flattent l’ego et le narcissisme des politiques mais sont dans l’incapacité de concevoir des réseaux de desserte de la région avec la plus grande efficacité et surtout pour une projection sur le long terme.

Les investissements sont faits pour consommer, on ne voit pas plus loin que la rentabilité immédiate au détriment des populations locales et des petites gens. Cette ignorance, cette bêtise et cette cupidité sont des révélateurs d’une société gangrénée par l’illusion, les idéaux et les clientèles.

Nous en avons la preuve avec l’insoutenable loi qui porte sur les campings et les campeurs à l’année, qui n’ont que cette solution pour se loger. Là nous avons la démonstration de la rapacité, de la cupidité et la négation des citoyens portées par une classe politique plus intéressée par servir ses clientèles, ses cumuls de mandats et ses privilèges.

Les territoires de la région PACA par le prisme de la ligne LGV renforce cette réalité et la perversité de l’incapacité à servir les citoyens avec altruisme. Valeur qui semble ne pas exister chez nombre de politiques…

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11 janvier 2012 3 11 /01 /janvier /2012 15:35

A nouveau je me penche sur les violences ostentatoires. J’ai déjà envoyé des assauts plein de fiel sur ce thème et malgré cela je prête encore une attention soutenue à ce concept de violence ostentatoire. Il faut dire que la situation politique du moment avec la scorpionite donne à ce concept toute sa dimension.

Brun-Picard Yannick a exposé, démontré et théorisé ce qu’est la violence ostentatoire. Ce n’est pas dans ces quelques lignes que je vais vous « macéscaroné » ces travaux qui ne parviennent pas à être publiés car trop dérangeants pour tous ceux qui refusent de voir le monde tel qu’il est, et non tel qu’ils veulent le voir.

La violence, la démocratie, la religion, la politique, la société et les territoires, les mosaïques de territoires identitaires fondés sur des dynamiques de territorialités identitaires vectrices de sanctuaires de violences sont autant de faits indubitables devant lesquels nous ne pouvons, aujourd’hui, plus fuir par lâcheté idéologique et technocratique.

Notre humanité à le devoir de regarder ce que nous faisons de l’humanité pour satisfaire quelques travers d’une humanité manipulatrice. L’humanité à le devoir d’agir, de lutter et d’éradiquer les violences ostentatoires. Il est vrai qu’à partir de l’instant ou l’autorité d’un enseignant est considérée par des bouffons de prétendus intellectuels comme une violence il est impensable d’endiguer les dynamiques territoriales des violences.

Les violences ostentatoires sont ces formes de violences qui nous semblent normales au chapitre desquelles : la condescendance politicienne, les marquages territoriaux des établissements de luxe, les prières de rue, les obligations impératives d’interdictions pour qu’une minorité de nantis puisse s’approprier l’espace public au détriment de la multitude comme dans certains lieux sur la Côte d’Azur, le sectarisme de castes mis en place par l’appartenance à des cursus de reproduction sociétale. Il y en a encore nombre de formes.

La violence ostentatoire, chère à Brun-Picard Yannick, dégouline dans les rues françaises, s’immisce dans les failles sociétales au détriment des citoyens, capte les territoires publics au profit de quelques escrocs profiteurs, expose des richesses acquises sur le dos des travailleurs, légitiment toutes les formes de violences silencieuses auxquelles sont soumises les populations qui n’appartiennent pas aux classes dites supérieures. La violence ostentatoire est l’étalage du luxe, de la surenchère de protection, de cercles de clientèles autour du prince qui se déplace avec sa meute de soiffards et spoliateurs.

La violence ostentatoire, dans ses expressions territoriales, dans les sanctuarisations qu’elle engendre, dans les dynamiques de territorialités identitaires, objet des travaux de Brun-Picard Yannick sur les violences urbaines et sociétales, révèle une multitude de visages. Tous produisent les mêmes effets : expulsion, rejet et ignorance de ceux qui n’appartiennent pas aux clientèles au pouvoir.

La violence ostentatoire aura d’énormes difficultés à obtenir une écoute, une reconnaissance et une large diffusion, car les prétendus universitaires porteurs et diffuseurs de formes de violences ostentatoires, ne peuvent pas admettre qu’un empêcheur de tourner en rond leur mettent le nez dedans. En percevant la réalité de l’existence de cette forme de violence, la violence ostentatoire devient un outil de perception, d’analyse, de compréhension et d’explication des structures géosociétologiques de nos sociétés.

A nouveau une pierre d’achoppement il faut parvenir à faire admettre aux prétendus universitaires, que la géosociétologie est un domaine scientifique appartenant à la géographie, que la géographie est une science qui nous informe des réalités des dynamiques territoriales et surtout que son objet est l’interface humanité/espaces terrestres. Pourtant la violence ostentatoire est visible à chaque coin de rue, elle tend à se densifier, elle est soutenue par ceux qui n’ont que ce vecteur pour préserver leurs privilèges. Preuve en est de leur tour d’ivoire le dédain au sujet de la violence ostentatoire tout en faisant œuvre de violence ostentatoire ! Trop facile !

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30 décembre 2011 5 30 /12 /décembre /2011 15:52

Cela fait quelques temps que je ne me suis pas penché sur les papiers non publiés et non publiables de Brun-Picard Yannick. J’ai mis à profit ces superbes journées dans le département du Var pour vérifier si ses derniers propos sur la prostitution, les prostituées dans le Var étaient véridiques. Je me suis rendu sur la RD 25, là où un gandin s’est fait flasher à 158 km/h et j’ai cherché des territorialisations de prostituées ainsi que des territorialités de ces travailleuses du sexe.

En tout premier lieu, ma surprise fut grande lorsque je vis sur les abords de cette route qui nous mène du Muy à St Maxime trois prostituées en phase de tapinage, ou de racolage. La première avec son véhicule utilitaire se trouve a à peine quelques kilomètres du Muy à un carrefour qui permet de rejoindre ce village par deux itinéraires en toute discrétion. Celle-ci est visible. Ses lieux d’exercice varient de quelques centaines de mètres guère plus. Sa territorialité réside dans son exposition et les rideaux ouverts ou fermés ainsi qu’aux espaces disponibles à proximité de son véhicule.

Pour les deux autres dames du sexe en exercice, que ma surprise fut grande quand j’ai vu qu’elles exerçaient leur œuvre avec un 4*4. L’une en a un blanc et l’autre un bleu nuit. Elles se situent sur les accès aux pistes en terre qui partent dans les collines et qui permettent de parvenir à des clairières des plus discrètes pour les pratiques proposées.

J’ai vérifié par la présence de ces prostituées que Brun-Picard Yannick, dit bien la vérité quand à la présence de travailleuses du sexe sur cette route. J’ai vérifié qu’elles exposaient leur corps, leur pratique et leur offre sans ambigüité. J’ai vérifié qu’elles s’appropriaient de manière temporaire une parcelle de l’espace terrestre pour en faire une interface de consommation de pratiques sexuelles. J’ai vérifié, sans aller dans le détail, qu’elles affirmaient leur domination, leur captation de la parcelle vis-à-vis de potentielles concurrentes, ne serait-ce que par les heures de mise en place.

Ces seuls aspects permettent d’affirmer que la théorie de la territorialisation par la prostitution, par la violence, est vérifiée. Toutes les caractéristiques de territorialités, de dynamiques territoriales, de territorialisations et de structuration d’une interface humanité/espaces terrestres sont présentent dans mes constations. Il est effarant de voir que personne ne semble vouloir agir contre ce fléau dans les conditions où la théorie se vérifie sans détours.

Alors Sarko ! Il faut sortir de l’ENS, de l’ENA ou de je ne sais qu’elle boite à pavloviens pour être entendu dans les sciences humaines ? Il faut croire que oui. Seuls ceux qui font ces fameux cursus parviennent à quelques reconnaissances. Les autres sont étrillés. Seule la normalité doit prévaloir dans une France qui refuse, par la lâcheté de ses politiques, de prendre les décisions vitales pour son devenir.

Lorsque l’on est incapable de différencier des brillantissimes et des personnes qui mettent en exergue les faces cachées de notre humanité nous allons droit vers les abysses. C’est sûr ils parlent et écrivent à la perfection. Leurs propos flattent l’ego des lecteurs qui lisent ce qu’ils souhaitent. Ils servent de légitimité aux imposteurs démagogues qui les survalorisent afin de briller un peu plus.

Sarko, et ton pote François, il est temps d’aller chercher des personnes qui ont des textes qui mettent les incompétences en perspectives. Il est impératif de faire en sorte que ceux qui posent la réalité devant les illusionnistes soient employés et servent le devenir de la nation. Il est temps que les escrocs de prétendus spécialistes qui sont responsables des inondations dans le Var par leur ignorance et leur incompétence soient remplacés par des personnes qui disent ce qu’il se passe et non qui ne font que lécher des culs pour préserver leur carrière.

Je suis passé par les papiers non publiés de Brun-Picard Yannick pour arriver à mettre en évidence la perversité du système des élites françaises qui refusent tout ce qui ne sort pas de leur cursus. En France il faut appartenir. Il faut avoir fait allégeance. Sinon : rien, le silence, le mépris. Ce fameux mépris si cher à Sarko qui n’a pas la dignité, lui qui est président de la République de répondre aux citoyens.

Lorsque je retourne à Marseille je vérifierai si les constations des territorialisations par la violence sont toujours aussi éclatantes et si les acteurs de Sarko ont agit pour enrayer ces phénomènes. Là j’en doute, trop de contraintes, trop d’obligations et surtout trop de bouffons à virer… La France ne peut être redressée qu’à ce prix, je doute fermement que nombre de français acceptent de s’orienter dans cette direction si astreignante.

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23 décembre 2011 5 23 /12 /décembre /2011 08:15

Le préfet de Région vient d’annoncer qu’il faillait revoir la copie du tracé de la ligne LGV en PACA. Vous me direz qu’au regard des propositions de tracés un enfant de six ans avec tout son bon sens dirait que ceux qui ont fait ce tracé sont à la masse, que les projets de clientèles retenus sont totalement débiles et surtout que ça ne sert pas les habitants bien au contraire.

Le bon sens n’est pas en dotation chez les escrocs, les imposteurs et les spoliateurs plus attachés à leurs clientèles, à leurs intérêts financiers ainsi qu’à leur gloriole. La seule chose qui compte pour ses prétendus efficace : c’est s’en mettre plein les poches et de continuer à faire croire qu’ils sont l’élite, tu m’étonnes ils sortent des boites pavloviennes, alors le peuple : couchez !

Est-il possible que ces imposteurs du tracé de la LGV aient pris connaissance de la théorie de la négation du territoire, ainsi que de celle de l’interface ruralité/urbanité de Brun-Picard Yannick ? Ce serait trop beau ! Il est probable que des infos soient remontées jusqu’à la conscience des institutionnels et que discrètement ils agissent afin de ne pas faire trop de conneries. Pourtant ce serait si simple ils prennent les théories de Brun-Picard Yannick et ils les mettent en application et le tour est joué. Mais là se pose un énorme problème c’est que tous les imposteurs et autres manipulateurs ne pourront plus s’en mettre autant dans les poches. Les barons locaux devront partager leur pouvoir !

En ce moment il est aisé de constater l’incapacité des institutionnels à concevoir le territoire, l’incompétence à se projeter par l’intermédiaire de structures nodales, l’absence d’intégration des différentes zones territoriales et surtout le vide intellectuel pour parvenir à concevoir des tracés qui mettent le centre Var dans le réseau, car c’est là que vont s’implanter les populations à venir.

Il est vrai que NKM et Mariani brassent de l’air, ils prétendent prendre en main le projet ainsi que sa finalisation. Ceci n’est qu’une fumisterie, un écran de sfumato, supplémentaire. Ils emploient se vecteur communicationnel afin de demeurer sur la scène médiatique et montrer à Sarko qu’ils sont en mesure d’agir avec discernement sur un projet à long terme. Dans l’absolu ils courent après les médias et les premières pages. Ils tentent de montrer quelque intérêt mais tout ceci n’est qu’illusion puisqu’ils ne se mouillent pas, ils demeurent à distance et ne vont pas chercher ceux qui seraient en mesure d’éradiquer la racaille pavlovienne qui ne fait que servir les clientèles.

Cette situation démontre l’inertie énarquienne de la France. L’incapacité à sortir des conceptions centralisatrices et de la concentration des pouvoir des baronnets locaux pour leur donner l’illusion d’être de ducs. Cela atteste que la conception du territoire, en dehors du blablatage habituel, n’existe pas. Ces acteurs institutionnels ne s’attachent qu’à leur parcelle. Quand il faut renier sur les territoires connexes à leur profit exclusif là ils regard ce qu’il y a à coté. En revanche quand il s’agit d’aménager la France et de servir avec efficience le territoire français la seule chose qui prime c’est que les infrastructures se trouvent chez les baronnets même si cela est complètement débile.

Il y a des tracés partiellement très pertinents pour le TGV, comme vers l’est, où il a été implanté une gare centrale qui permet de rayonner, en concevant une plateforme multimodale. Pour la Région PACA et pour le Var les prétendues sommités devraient concevoir le tracé de la LGV comme un aménagement de Région et non comme une desserte de quelques villes. Mais pour cela il faut sortir de la normalité énarquienne et des boites à pavlonismes. Cela est impensable tout particulièrement en France avec Sarko qui ne fait que servir ses petits copains et ses clientèles en méprisant tout ce qui n’appartient pas à ses cercles d’influences.

Pour ce qui des autres options politiciennes : un vide de matière noire. Avec tout cela que dire de plus ? Que des géographes qui ont l’outrecuidance de prétendre d’être des experts du territoire en réalité ne sont que dans l’illusion d’une approche limitée et idéologique. Que des politiques et autres institutionnels ne peuvent pas concevoir des aménagements qui servent toute une région et laisse les centres urbains à leur place d’entité congestionnée. Que ceux qui ont le devoir de concevoir le territoire de la France d’après demain sont formés par des imposteurs qui se gargarisent de concepts grandiloquents qui n’ont jamais été efficaces et qui aujourd’hui démontrent leur obsolescence.

Qu’en réalité tous ces tracés n’ont qu’un but, qu’une seule finalité : faire en sorte que les centres urbains demeurent des pôles d’attractions de clientèles au détriment de la conception et de la gestion durable du territoire de la France.

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21 décembre 2011 3 21 /12 /décembre /2011 08:21

Ce jeudi en PACA des décisions seront prises au sujet de la LGV. Le plus important problème à ce sujet c’est que les orientations seront faites pour des tracés qui font la négation des territoires traversés. Sous le couvert de ne pas toucher aux paysages des imposteurs ont mené les décisions vers des options de tracés insoutenables pour les populations locales.

Ces orientations démontrent avec l’éclat de la suffisance que les décideurs, les démagogues politiques et les institutionnels n’ont aucune connaissance de ce qu’est l’interface ruralité/urbanité. Ils sont tous fixés sur leur périurbain et ses couronnes restreintes qui justifient toutes les errances et les absences de gestions des territoires connexes aux projets entrepris.

L’ignorance de la théorisation de Brun-Picard Yannick sur le thème de l’interface ruralité/urbanité est déplorable pour le développement à venir des départements concernés. Il est vrai que les villes concernées par le tracé de la LGV doivent être intégrées dans les réseaux et que leurs pulsations de transformation méritent une attention particulière. La ville ne peut pas écraser les territoires qui l’entourent. Ils sont son avenir afin de répondre à la congestion, à la surpopulation ainsi qu’à l’absence d’espace disponible.

Cela soulève le problème qu’en France il est impossible de critiquer de manière constructive ce qu’il se fait. Seule la dialectique est tolérée sur l’autel de la suffisance et de l’infaillibilité des institutionnels. La doctrine guide les orientations. La cupidité la soutient. L’ignorance la dissimule. Nous avons toutes les tares d’un aménagement du territoire erratique réunies, associées et mise en synergie pour produire une exposition d’egos rien de plus.

La région PACA avec des esbroufeurs qui la gèrent, qui ne prennent pas en considération les citoyens, qui servent les clientèles, fait du Sarko dans le texte et du François dans les actes. N’est-ce pas fabuleux de voir une région qui présente, qui démontre, physiquement par l’ineptie de ses décisions au sujet de la ligne LGV tous les caractères de Sarko et François qui mènent la France un peu plus au fond du gouffre ?

Les infaillibles ne feront rien pour proposer un tracé qui projette la région PACA dans 50 ans avec l’augmentation de la population les obligations de desserte de ce qui médiocratiquement nommé l’arrière pays qui chaque jour voit un peu plus de pendulaire s’effectuer en direction des villes principales puisque ici, dans ces départements, il faut que tout se fasse à Toulon, Marseille, Aix ou Nice. Voilà où nous en sommes. La cupidité, l’ignorance et la bêtise font leur œuvre de destruction.

Dans tout ça l’avenir des territoires qui ne sont pas sur le trait de côte : les élus en ont rien à faire, ça ne sert pas leurs clientèles. Pour l’heure nous avons des prestidigitateurs qui satisfont à leur ego et nuisent à l’avenir de la région simplement pour que dans leur ville le TGV vienne lécher leurs fesses. Ils n’ont des orgasmes qu’à ce prix, que les citoyens payent.

Que font les instances nationales ? Rien du tout. Elles satisfont aux attentent puisqu’elles aussi font bénéficier leurs clientèles de ces scandaleuses, inadmissibles et intolérables prétendues gestion du territoire. Le fait du Prince est là devant nous. Les médias aveuglés par leur cupidité et leur volonté de briller ne font pas un mouvement, leur incompétence devient flagrante et personne ne bronche. Toute la violence de l’ignorance transpire dans les décisions et les orientations prises au détriment des citoyens et surtout d’une gestion durable des territoires qui seront broyés afin que des médiocrates puissent se gargariser de voir le TGV sur leur pas-de-porte : lamentable !

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17 décembre 2011 6 17 /12 /décembre /2011 08:46

La prostitution dans le Var n’est pas pire qu’ailleurs. Tout au moins en apparence. Sans relever les localisations urbaines à Toulon, Fréjus voire même Brignoles, la nationale 7 mérite une attention particulière. Il est vrai que la partie de la nationale 7 de Fréjus à Aix-en-Provence est densément peuplée de prostituées mais le tronçon de Fayence au Lac de Saint Cassien mérite lui aussi quelques lignes du seul fait que de nombreuses travailleuses du sexe se vendent dans cette zone.

Ces constations sont profondément liées aux travaux de Brun-Picard Yannick sur les violences, la violence de la prostitution, les territorialisations par la violence et les dynamiques territoriales induites par toute activité de prostitution. Il est vrai que les travaux dans ces domaines sombres et visqueux ne sont pas publiés et seules de rares personnes peuvent y accéder. Toutefois, il apparait important, dans une démarche de conscientisation, de mettre en exergue, ou tout au moins au jour, des aspects de localisation de la prostitution dans le département du Var.

Cette partie du département mérite une attention soutenue. Elle offre un territoire de détente avec le Lac de Saint Cassien. Elle permet de belles balades en pleine nature sur les mouvements de terrain entre Fréjus et Fayence avec en fond de décors le Lachens. Et, elle est une interface ruralité/urbanité en phase de densification en relation avec les villages de l’arrière pays alimentés par l’autoroute qui simplifie son accessibilité.

Nous avons un axe routier à proximité de l’autoroute, facilement desservit et bucolique. Nous avons des potentialités de pratiques et d’expositions ouvertes du seul fait de la faible emprise urbaine dans cette interface communicationnelle qui nous mène de Fayence à l’autoroute et qui nous permet de prendre la nationale pour nous rendre à Grasse. Les multiples aires de repos et autres chemins de terre dans les forêts sont autant de lieux d’implantations pour toute prostituée.

Ces espaces libres de la pratique de la prostitution deviennent des territoires de luttes des proxénètes et autres prostituées soi-disant libres de leur pratique. Dans cette interface d’exercice de la prostitution des tensions apparaissent entre les travailleuses. Les nationalités changent. Les africaines ont été remplacées par les filles de l’est qui elles commencent à être évincées pour laisser les emplacements aux asiatiques qui tendent à s’imposer en cassant les prix.

Nous trouvons le même phénomène de conquête territoriale pratiquée dans les grandes villes où des filles en provenance d’Asie prennent les emplacements et leurs souteneurs font tout pour que la concurrence disparaisse des zones proximales d’exercice. Les dynamiques de la prostitution urbaine se transfèrent au cœur de l’interface ruralité/urbanité avec des modalités d’implantation similaires bien que les contraintes de la pratique soient des plus différentes.

Les prostituées en place sur l’aire de Fayence au Lac de Saint Cassien sont déposées par leurs souteneurs. En effet, rare, pour ne pas dire exceptionnel, sont les filles qui ont un véhicule pour leur pratique, ou à proximité de leur lieu d’exposition. Cela signifie que ces prostituées sont dépendantes d’un réseau suffisamment solide et coercitif pour tenir les filles et les mettre à l’exploitation. Il est à noter que la zone semble rentable puisque, malgré des tentatives d’endiguement du fléau, les filles sont encore sur cet axe.

Se pose alors la question de la lutte contre les réseaux de proxénètes qui déposent les filles entre Fayence et Saint Cassien. Si se sont les filles qui sont arrêtées les macros n’ont qu’à en implanter d’autres. Si ce sont les clients qui sont taxés ils deviendront plus discrets au détriment de la sécurité des filles. En revanche, si l’Etat et son bras armé lutte contre les macros et autres proxénètes là il est plus que probable que le fléau soit endigué. Mais pour cela les illusionnistes de l’assemblée nationale doivent définir clairement le délit et faire en sorte que les exploiteurs esclavagistes soient durement sanctionnés. Mais là je rêve car les réseaux de prostitution alimentent des caisses noires, des financements occultes et autres petits avantages entre amis et parties fines. Et oui…

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11 décembre 2011 7 11 /12 /décembre /2011 10:13

La place tenue par l’ignorance du territoire est devenue si gigantesque qu’aujourd’hui les pavloviens régurgitent lamentablement des localisations mais sont dans l’incapacité de concevoir le territoire entant qu’entité. Seuls les bénéfices à court terme, la satisfaction de l’ego surdimensionné de quelques escrocs et imposteurs démagogues, ainsi que l’illusion politicienne et technocratique ont leurs places dans la France que Sarko et HollanVente veulent nous faire.

Ce qui se déroule en ce moment au sujet du tracé de la LGV en PACA est une démonstration par l’absurde de la bêtise, de la cupidité et de l’infaillibilité élevée au rang de tare congénitale des politiques si imbus de leur suffisance pour concevoir un territoire nationale au service des citoyens et non au service de la gloriole de quelques élus locaux.

Pour implanter une ligne LGV il faut impérativement couper dans la nature, modifier les paysages et aménager les territoires locaux afin que cette structure territorialisante s’avère efficiente. Comme pour les infrastructures qui ont défiguré la Provence il est nécessaire de faire une cicatrice dans les paysages provençaux afin d’irriguer dans les meilleures conditions le sud-est. Hélas des idéologues, des extrémistes et des politiques ne voient pas plus loin que l’intérêt immédiat. Il faut dire que les aménageurs n’ont pas proposé de tracé pertinent. Seules des options de clientélisme ont été retenues.

Cela met en évidence que le concept d’interface ruralité/urbanité de Brun-Picard Yannick souffre d’une totale ignorance des politiques, des institutionnels et pire des universitaires. Cela atteste que ces acteurs sociétaux préfèrent se gargariser d’illusions communicationnelles plutôt que de proposer des orientations à même de servir les populations locales. Pour parvenir à un tel objectif il faudrait admettre que les aménagements effectués jusqu’à ce jour ont été entrepris dans le seul but de satisfaire les appétits cupides de quelques institutionnels au détriment des populations qu’ils avaient le devoir de servir dans les meilleures conditions. Ça c’est impossible. Ils ne sont qu’infaillibles.

Dans ce contexte le tracé de la ligne LGV en PACA ne peut être qu’une gigantesque fumisterie. L’incompétence criante des prétendus spécialistes nous aveugle. L’ignorance et l’arrogance des acteurs locaux s’agrègent à la cupidité et la rapacité des représentants institutionnels pour donner des tracés qui font la négation du territoire. Cette fameuse négation du territoire explicitée par Brun-Picard Yannick où il démontre que les institutionnels servent les cercles d’influences en ignorant les territoires proximaux afin de concentrer ne un lieu toutes les infrastructures ce qui mène à la congestion et aux profonds dysfonctionnements que nous subissons aujourd’hui.

Aucun acteur n’est en mesure de prendre des décisions en mesure de projeter les projets plus loin que demain matin. Aucun politique, aucun institutionnels et aucun agissant ne veut concevoir le sud-est comme un territoire à aménager dans sa globalité en employant une dorsale que serait la nouvelle ligne LGV, mais pour cela il faut qu’elle passe ailleurs qu’à Toulon et Marseille.

La lâcheté face au devenir des territoires locaux. La lâcheté face aux décisions à prendre. La lâcheté face à l’impérieuse nécessité de gérer les espaces terrestres des hommes en Provence. La lâcheté devant les responsabilités et l’obligation de servir les populations, sont autant de craquements et de gouffres devant lesquels les démagogues se pâment.

Nous avons des beaux parleurs qui ne font que servir des clientèles à courte vue. Les réseaux et les arrangements sont les priorités devant lesquels ils mettent genoux en terre et bradent les citoyens sur l’autel de la cupidité et de l’ignorance malgré leur brillantissime légitimité. La France souffre d’une gangrène insidieuse dont l’objectif principal est de faire croire que seules des personnes hyper-compétentes sont à la tête des organismes décisionnels. Ce sont des brillantissimes qui ne font que satisfaire à un système. A satisfaire nous finissons par ne plus être en mesure de répondre aux exigences d’un monde en mouvement avec des dynamiques exigeantes qui réclament des hors de la normalité pour concevoir les territoires d’après demain. Là nous touchons du doigt la perversité du système universitaire français qui lui aussi refuse de prendre conscience des réalités.

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8 décembre 2011 4 08 /12 /décembre /2011 12:54

Les lignes LGV posent de plus en plus de problèmes de gestion, de destinations et de conception de ce que doivent être des territoires, de ce que nos sociétés ont le devoir de faire pour après demain et plus particulièrement de ce que les institutionnels ont l’obligation de mettre en œuvre afin que le territoire existe et que nos structures sociétales sortent d’une agglomération de territoires aux intérêts opposés.

Cela mène aux théories de Brun-Picard Yannick au sujet de l’interface ruralité/urbanité. Il évacue le périurbain. Il chasse les clientèles des écoles et des laboratoires, pour agir, concevoir et se projeter exclusivement sur les entités qui constituent le territoire, avec un positionnement pragmatique que fait que James est sur le devant de la scène, pour parvenir à facilité la lecture des dynamiques locales, des articulations régionales et des méta-structures nationales.

L’acceptation et la mise en œuvre de ces orientations et surtout la validation par les prétendus universitaires, je dis prétendus car ils ignorent dans leur brillantissime intellectualisme qu’ils ont le devoir de servir le devenir l’humanité et non exclusivement leur gamelle, leur égo et leur clientèle ; mettrait à mal les institutionnels qui se gargarisent d’efficacité, de compétences et autres perspectives qui ne vont pas plus loin que demain matin.

Sarko et son pote HollanVente sont tellement imbus de leur suffisance de leur infaillibilité et de leur dépendance à leurs clientèles qu’ils sont incapables de voir plus loin que l’heure qui arrive. L’ignorance construite par l’éducation nationale avec le triomphe du document, par lâcheté pour servir des didacticiens de fond de cuvette devient si éclatante qu’il est impératif d’agir tout de suite.

En effet, comment concevoir la gestion des territoires alors que l’éducation nationale avec ses programmes ne fait pratiquer que le bachotage et le bidouillage le tout recouvert d’illusionnisme ? Ces errances sont aujourd’hui criantes. Sarko et HollanVente ignorent comme leurs serviteurs cupides que la démagogie est une arme destruction massive des peuples et des sociétés. Ils ignorent que le bachotage didacticien dès la maternelle mène à l’impossibilité de percevoir le territoire autrement que par la satisfaction immédiate et pulsionnelle au détriment d’après-demain.

La suffisance, la dépendance et l’infaillibilité sans omettre la cupidité nous jettent là où nous sommes au bord du gouffre où déjà un pied est engagé dans le vide. Cette incompétence criante n’a qu’un objectif faire en sorte de préserver les intérêts des cercles de pouvoir au détriment de la multitude. Allez donc voir si dans les établissements où les prétendues futures élites sont formatées si l’on pratique le blablatage. Bien sûr que non ! Les documents viennent étayer les cours, ils agrémentent. Ils ne pratiquent pas la médiocratie du document pour faire le cours et du délayage d’heures…

Tout est lié et interdépendant. Sarko et HollanVente en font que brasser de l’air. Le second surf sur une vague médiatique fabriquée par quelques fortunés. Le premier n’a pas la décence, le sens du devoir et l’humilité de répondre aux courriers des citoyens. Avec cela nous sommes servis. Le pire c’est que tous les fonctionnaires qui devraient être au service du peuple n’agissent en réalité qu’au service de leur potentielle carrière.

Voilà pourquoi la ligne LGV ne peut pas être correctement tracée. Voilà pourquoi nous avons que des réformes pour gérer l’heure qui arrive. Voilà pourquoi nous avons des élus qui n’ont qu’un objectif faire en sorte de s’en mettre encore plus dans les poches. Voilà pourquoi la France va de plus en plus mal, inversement proportionnel aux classes dites supérieures. Tout va bien !

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