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19 octobre 2011 3 19 /10 /octobre /2011 15:39

Quelques lignes sur un aspect de la prostitution aux marges de l’urbain, proche du périurbain pour ne pas dire au contact, au cœur, de l’interface ruralité/urbanité. Il y quelques jours je me trouvais à proximité d’un complexe de grande taille où de nombreuses femmes, des mamans avec leurs enfants, des jeunes femmes sportives, et d’autres un peu moins sportives vêtues de manière à exposer leurs charmes avantageusement, étaient sur les parkings, à proximités des lieux de détente et d’activités sportives ainsi que de voitures à l’abri des regards.

A force d’observations, d’expériences de ces pratiques, de ces modes d’expositions et surtout des dynamiques de territorialisations par l’action de prostitution, j’en suis venu à déceler des prostituées très certainement occasionnelles qui racolaient en toute discrétion aux abords de ces lieux familiaux. Ainsi les mamans attendant leurs progénitures, les sportives sortant de leur séance et les occasionnelles se côtoyaient sans contrainte, comme si tout était normal et que la présence de ces jeunes femmes en situation d’offres de services sexuels soit invisible pour ceux qui ne s’en doute pas et qui ne conçoivent pas que là, dans ce lieu il puisse y avoir une activité de prostitution.

J’avais déjà relevé précédemment des activités de prostitution dans les zones industrielles, aux marges des grandes zones commerciales, en relation avec les travaux de Brun-Picard Yannick, mais là, jamais je me serai douté qu’il puisse y avoir une activité de prostitution aussi près des enfants en activités sportives. Pourtant les rares dames à l’exercice se promènent aux heures d’affluence, où des hommes très discrètement viennent récupérer leur compagne, qu’ils ramènent quelques poignées de minutes plus tard sans que ce soit eux qui viennent les récupérer puisqu’elles partent avec leur véhicule.

Les théories de territorialités de la prostitution de Brun-Picard Yannick se sont vérifiées en constatant ce type d’activité qui n’a lieu que certains jours à des heures d’affluence pour préserver une discrétion suffisamment visible pour pratiquer un racolage rentable. Celles-ci ne vont pas dans les hôtels aux nombreuses étoiles, elles n’appartiennent pas aux réseaux soutenus, elles ne servent pas les intérêts de quelques serviteurs de Sarko. Au regard des premières constations elles sont des occasionnelles, les passes doivent être discrètes, suffisamment rapide : fellation, et les créneaux horaires sont restreint, en plus dès que les températures tomberont, que la pluie fera son apparition il est probable que ces dames, j’en ai décelé trois, se fasse encore plus discrètes et qu’elles s’exposent ailleurs.

Cette prostitution ménagère, occasionnelle voire alimentaire existe. Elle est une réalité contre laquelle il est complexe de lutter. Il est probable que ces dames n’ont que cette option pour répondre à leur train de vie, à leurs exigences ainsi qu’à leurs attentes. Il est envisageable que comme pour d’autres actrices du commerce sexuel elles ne puissent avoir des revenus que par ce biais et pour certaines mieux vaut être rémunérée pour une fellation que la pratiquer gratuitement sans retour.

Les perversions d’un sociologisme à courte vue ne m’intéressent pas. Seuls les aspects de territorialisations, de mise en place de marquages de territorialités pour constituer un territoire semi-permanent de prostitution attirent mon attention afin de vérifier la pertinence, la validité et la scientificité des théories des dynamiques territoriales de la prostitution démontrées par Brun-Picard Yannick. Les constations effectuées sur quatre journées et aux mêmes horaires permettent de vérifier, valider et recouper les thèmes des théories de cet auteur.

Ce type de prostitution pose un problème supplémentaire au fléau de la prostitution : son imbrication plus profonde avec nos structures sociétales au sein desquelles il devient complexe de déceler celles qui se vendent et celles qui ne font que passer. Ceci est un autre thème à aborder une prochaine fois. Pour l’heure, les théories de la territorialité de la prostitution de Brun-Picard Yannick sont en corrélation avec les relevés d’observations et d’analyses des situations découvertes.

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14 octobre 2011 5 14 /10 /octobre /2011 20:12

Encore un scandale de prostitution et de proxénétisme qui vient salir l’image des français. Ça se passe dans la ville de Lille, tient, tient… En ce lieu où la violence ostentatoire, chère à son théoricien Brun-Picard Yannick, trouve un terrain d’expression des plus porteurs. Dissimulées sous la notoriété de quelques établissements les dames vendaient leurs charmes et leurs performances à des messieurs des dites hautes sphères de décisions, ils sont présumés innocents, tant que les preuves ne sont pas données.

Cela nous mène à nouveau sur les observations des territorialisations de la prostitution, cette fois ci urbaine. Ce qui nous lie fermement aux travaux de Brun-Picard Yannick, sur les lieux de prostitution, les mécanismes de marquage de territoires, les réseaux de recrutement pour consommation, les expositions, les modes de prises de contact et enfin la diffusion de l’information avec les ententes de protection et de partage des revenus.

Trop facile ! Je vois encore un sociologue universitaire institutionnel renommé qui a grand renfort de dédain et de suffisance démontait les théories de Brun-Picard Yannick en affirmant qu’une prostituée ne constituait pas de territoire dans l’urbain, qu’elle n’avait pas de réseau de racolage et que les supports de diffusion n’étaient que de la fumisterie. Alors, bouffon, maintenant nous avons un exemple dans la ville de Lille, j’en pleure de rire.

Cela signifie qu’il existe des travaux qui ne peuvent pas être publiés car ils dérangent les imposteurs d’universitaires qui se gargarisent de sociologie de fond de cuvette alors que ces travaux dépeignent, démontrent et expliquent les méthodes employées pour parvenir à s’approprier un territoire de prostitution. Cela signifie que des gandins font les beaux dans les universités alors qu’ils sont dans l’incapacité d’aller mettre les mains dedans les problèmes, bien-sur.

Il suffit de pas grand-chose pour endiguer une dynamique de territorialisation d’un phénomène de prostitution, qu’elle soit urbaine, de banlieue, de zone commerciale, de zone de loisirs, de l’interface ruralité/urbanité. En acceptant de regarder ce qu’il se passe. En acceptant de percevoir les réalités des corps exposés et vendus à quelques clients lubriques.

Pour parvenir à ce que le bon sens arrive aux consciences des gandins il faudrait que les universités, en sciences humaines, mettent un terme immédiat aux clientèles. Impensable c’est leur légitimité. Il serait souhaitable que les auteurs, les chercheurs, qui sont en mesure de proposer des développements de théorisation avec lesquels les forces de l’ordre seraient en mesure d’agir avec efficacité, puissent publier sans que la racaille verrouille toute publication qui met en exergue les incompétences, l’illusionnisme et les impostures.

Hélas, Sarko n’aura jamais le courage d’y aller à la hache et de supprimer tous ces brasseurs d’air, gandins devant l’éternel. Il préfère comme Martine, elle est à Lille… et François, que tout demeure dans l’état de cette manière pas de vague, nous demeurons dans la mollesse, la lâcheté et le pavlonisme médiocratique.

La France ainsi va aller de l’avant. La France sera en mesure de restreindre les fléaux du type de la prostitution. La France dans ces conditions sera en mesure de voir ses universités avancer dans les classements. Pour cela il faut mettre un terme aux options prises et décrites si dessus. Là je suis en totale utopie.

Jamais les gandins d’universitaires n’accepteront que ceux qui ne sont pas du giron rayonnent. Jamais les politiques ne tolèreront que l’on botte le cul aux escrocs imposteurs qui lustrent les bancs des administrations, ce sont leurs clientèles. Jamais les prétendus intellectuels auront l’humilité d’admettre même en silence qu’ils se sont fourvoyés. Nous en resterons là. Tout va bien !

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8 octobre 2011 6 08 /10 /octobre /2011 14:40

Un phénomène particulier de prostitution tend à se rendre plus visible et lisible dans les villes du Var et des Alpes-Maritimes. J’observe assidûment depuis quelques temps dans de nombreuses villes, Toulon, Fréjus, St Raphaël, Draguignan, Cannes, Nice, le comportement de dames qui affichent ouvertement une certaine disponibilité.

Il est vrai que je ne passe pas ma vie à surveiller des femmes dans les rues de ces villes, mais nombreuses occasions me sont données de pouvoir observer, pendant des créneaux horaires propices à cette pratique, des femmes qui pratiquent une forme de racolage passif. Ceci est une sorte d’extension des travaux de Brun-Picard Yannick au sujet de la prostitution occasionnelle.

Pour ma part je vois, en les cherchant selon des critères attestant d’une forme d’exposition d’une possible offre de services sexuels tarifés, des femmes avec des tenues, des attitudes et des reproductions comportementales qui témoignent de la pratique d’un racolage passif. Ces femmes, peu nombreuses guère plus de trois ou quatre par ville citée, se comportent de la même manière. Elles s’exposent, passent et repassent, ciblent les terrasses de consommation, sont présentent après 15H et s’évaporent avant 18H.

J’ignore le prix des passes, leur taux de rentabilité, le nombre de client hebdomadaire, sachant que le hasard ne m’a confirmé que par au moins deux fois dans chaque ville la pratique. Il est vrai que ce sont peut-être des rendez-vous, ces fameux 5 à 7, si prisés de certaines personnes, propres sur elles et qui font des galipettes juste pour se tenir la forme et avoir un peu plus d’argent de poche. Dans ce cas pour les dames qui ont eu leur contact elles sont friandes de viandes fraiches puisque les messieurs n’étaient pas les mêmes en l’espace de deux semaines, maintenant la consommation et la voracité voire la gourmandise peuvent justifiées à elles seules ce changement de partenaire.

Néanmoins, que ce soit à Toulon ou à Draguignan, quelques dames, vêtues d’un jean qui met en valeur le galbe des cuisses et des fesses fermes, avec un bustier qui annonce la couleur, et un regard de tête chercheuse qui ne fouille pas les vitrine mais la gente masculine présente au terrasses des bars, ont l’opportunité d’avoir des clients. La pratique de la gâterie dans le parking de la Jarre à Draguignan, n’est pas simple mais s’y réalise, ça doit mettre du piquant que de risquer de se faire surprendre avant la sortie du collège.

En tentant un comparatif avec ce qui ce voit dans des villes comme Marseille, Angoulême, Bordeaux, Toulouse, Anger, Agen, Strasbourg, Lyon ou encore Grenoble, les petites villes n’ont pas la densité de prostituées de ces dernières et il est plus accessible de déceler des comportements ressemblant à du racolage dans ces gros bourgs que dans les grands centres urbains. En plus il faudrait avoir le temps, les moyens et les opportunités pour déceler des prostituées occasionnelles qui racolent dans des conditions perceptibles pour des petits centres et adapter tout cela pour une dimension trop vaste.

Ces quelques lignes pour dire, que le phénomène de prostitution occasionnelle existe depuis longtemps, que de tout temps des femmes et des hommes ont vendu leurs services sexuels, mais que maintenant ces offres sont accessibles, visibles et décelables dans des villes de taille moyenne à des heures propices, dans des lieux favorables et surtout avec des activités favorisant cette pratique.

Vous allez me dire pas simple de trouver une occasionnelle dans une foule. C’est vrai. Elles ne sont pas dans la foule, elles sont aux marges. Elles s’exposent là où elles peuvent faire consommer, là où l’offre est suffisamment explicite et là où elles se sentent assez en sécurité pour se vendre occasionnellement. Pour ce qui est du profil de ces dames les âges vont de la bonne vingtaine d’années à guère plus de quarante ans, il est pas simple d’estimer l’âge d’une femme qui propose son corps à la consommation.

Une spécificité est à prendre en considération c’est que les deux départements, et même les Bouches-du-Rhône sont des territoires porteurs pour ce type de pratique car le climat est clément et les consommateurs occasionnels trouvent en ville ce qu’ils allaient chercher à la sortie des villes sur la nationale. De nombreuses questions restent en suspend au sujet de ces femmes qui proposent des services sexuels tarifés de manière occasionnelle dans les villes juste avant la sortie des classes et à la sortie du travail.

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8 octobre 2011 6 08 /10 /octobre /2011 09:19

La France au regard de la gestion de son territoire, de ses territoires dans leurs diversités, leurs différences et leurs natures, fait naître des inquiétudes chaque jour plus grandes pour son devenir, sa gestion efficace et équitable et surtout pour la satisfaction des citoyens. En effet, en prêtant une attention soutenue aux modes de gestions, d’élaboration et de constructions de projets nous pouvons affirmer qu’il existe en France une forme de négation du territoire.

La négation du territoire a été théorisée par Brun-Picard Yannick. Il a mis en évidence les mécanismes d’exclusion territoriale, les dynamiques centripètes et les choix de concentrations au détriment d’une intégration des parcelles connexes afin d’être en mesure d’agir sur la totalité territorialisée. Ce géographe, si dérangeant car hors des clientèles, a démontré que les aménageurs, les géographes et autres spéculateurs ont orienté les aménagements, les implantations et les projets à des fins mercantiles, spéculatives voire spoliatrices au détriment des territoires subordonnés car n’étant pas dans les centres décisionnels.

Ainsi la France a-t-elle cautionné des développements territoriaux fortement disparates entre les zones captables et les zones distantes. La négation du territoire national dans sa globalité de gestion et d’appropriation, l’absence de la conceptualisation de l’interface humanité/espaces terrestres sans omettre le poids des idéaux qui refusent la pertinence de l’interface ruralité/urbanité, sont autant de vecteurs à l’oubli d’une partie importante du territoire national pour satisfaire la soif médiatique d’exposition et de conquête de quelques baronnets trop cupides pour être projectifs.

Ça ne fait pas plaisir que la cupidité, l’aveuglement et des formes d’ignorances soient mis en exergue. Le territoire français supporte ses abus des pouvoirs centralisés, qu’ils le soient au niveau national et pire ou du moins plus inquiétant au niveau local. En effet, les acteurs locaux abondent dans le sens des idéaux centralisateurs au service de l’entité dominante sans concevoir les potentialités de l’interface ruralité/urbanité.

Partager les revenus, permettre l’émergence de nouveaux territoires locaux attrayants, favoriser les implantations distantes, concevoir le territoire national comme une entité à même d’être aménagée dans sa globalité n’est pas politiquement correct. Nous avons des prétendus intellectuels, qui se contentent de servir leurs idéaux et leurs gestions à la petite semaine, sans aucune volonté d’irrigation de la totalité du territoire.

Il est vrai qu’une telle démarche impose d’investir sur du long terme, de concevoir le territoire comme une entité vivante qui a besoin d’être dynamisée par ses acteurs afin de lui permettre de se greffer de manière optimale sur les pôles efficients existants. Trop complexe, trop humaniste, trop porteur d’équité, trop au service de tous les citoyens.

La négation du territoire est donc bien un fléau avec lequel nous devons vivre. Le plus inquiétant c’est que les clientèles institutionnelles légitiment chaque jour, à chaque aménagement, à chaque décision cette perversité en nous disant : nous rentabilisons, nous sommes efficaces, nous relions les grands centres ! Et oui, ils ne voient pas plus loin que leurs idéaux, sans avoir l’humilité de se plonger dans l’histoire pour en extraire des leçons et ne plus reproduire les schémas qui mènent au fond de la cuvette, trop difficile de sortir du pavlonisme. L’ère sarkozyenne dans laquelle nous nous trouvons ne fera qu’intensifier ces errances, ces abus et ces illusions.

Il est effarant de savoir que des « chercheurs indépendants », comme Brun-Picard Yannick, alertent les consciences depuis des années et que les politiques, les institutionnels et plus atterrant les universitaires font la sourde d’oreille pour éviter que leurs intérêts, leurs conceptions et leurs idéaux soient bousculés. Nous sommes dans la négation des impératifs, des réalités et du territoire.

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5 octobre 2011 3 05 /10 /octobre /2011 15:34

La reconnaissance d’un Etat palestinien pose un problème initial au-delà toutes les sources de tensions, d’affrontements et d’oppositions qui peuvent exister entre les deux parties, entre les tenants d’idéologies antagonistes et surtout entre des personnes qui par inconscience font œuvre de mémoire sélective pour servir exclusivement des idéaux.

Les théories de la territorialisation par la violence, des territorialités identitaires et des dynamiques territoriales exposées et démontrées par Brun-Picard Yannick, insistent sur la réalité incontournable que pour qu’un Etat dans la conception contemporaine puisse exister il lui faut impérativement des frontières reconnues par ceux qui fondent la légitimé de la construction territoriale.

Inutile de se gargariser de concepts vides, illusoires et inadaptés en provenance de science-po ou toute autre boite à phosphorer pavlovienne. Inutile de se réfugier derrière des phases de l’histoire que l’on choisi en fonction de ses obédiences. Inutile de se fourvoyer avec je ne sais quelle justification de fond de cuvette pour faire en sorte que des parcelles non territorialisées puissent devenir un territoire.

Pour reprendre les théories de Brun-Picard Yannick : il ne peut pas y avoir de territoire sans que les frontières soient définies. Pour s’en convaincre faite un bond en direction des zones de violences dans l’urbain. Là où les frontières de chaque parcelle sont reconnues par les partenaires les luttes existent si des conquêtes sont entreprises. En revanche, dans les zones où les parcelles ne sont pas marquées, délimitées et reconnues, les conflits et les affrontements sont permanents.

Quelque part l’absence de limites tracés et institutionnalisées est une source d’affrontements permanents. A l’opposé des limites reconnues sont des sources à des tensions occasionnelles. Tant que l’œuvre de traçage des territoires palestiniens n’aura pas été faite le territoire du futur Etat palestinien n’existe pas et l’Etat palestinien ne peut pas être reconnu.

Simple et de bon goût : traçage des frontières, reconnaissance par les acteurs de ses frontières, validation internationale de ses frontières, et là, seulement là, viendra la reconnaissance de l’Etat palestinien. Dans le cas où un Etat serait reconnu sans avoir tracé les frontières nous ouvrons une boite à conflits explosifs car la situation sera encore plus inextricable que par le passé.

Je doute que les représentants palestiniens veuillent d’une situation moins claire. Je pense qu’ils souhaitent clarifier dans les meilleures conditions les tracés des frontières. Maintenant la chasse aux idéaux de fond de cuvette, qui ne servent que des idéaux en instaurant un mémoire sélective, restrictive et destructrice, est ouverte. Ceux qui veulent que l’Etat palestinien soit un réel Etat qu’ils fassent en sorte que les frontières soient tracées sans omettre les réalités qu’ils ne veulent pas voir.

Je doute fermement que l’absence d’équité, les idéaux, les croyances et la lâcheté de prétendus intellectuels puissent dépasser leur bêtise, leur ignorance et leur absence de conscientisation du futur à longue échéance, comme la mémoire. Il va falloir faire œuvre géographique et géosociétologique pour parvenir à tracer, à faire reconnaitre le tracé des frontières qui pour l’heure n’existent pas réellement.

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5 octobre 2011 3 05 /10 /octobre /2011 14:46

Un rapport vient de sortir à grand renfort de médiatisation. Au regard des comptes-rendus  il apparait que les auteurs se sont penchés sur des réalités de violences dans les zones urbaines denses. Toutefois, je demeure dubitatif car je n’ai pas vu le nom de Brun-Picard Yannick dans les sources, dans les intervenants et dans les auteurs. Cela signifie que soit ce monsieur est un taré pas équipé pour penser. Soit que le dédain à son encontre est énorme ce qui témoigne que si l’on n’appartient pas aux réseaux il est impossible de percer. Soit l’ignorance, les clientèles et la mise en l’index sont des normes de reconnaissance dans ce type de recherches.

Comment se fait-il qu’un institut qui normalement est au-dessus du lot de la médiocratie des clientèles ne sait-il pas tourné en direction d’un « chercheur indépendant » qui lui a mis les mains dedans ? Tu m’étonnes Charles un pas normal de ce genre ça fait désordre chez la normalité normalisante. Alors ce rapport si médiatisé que va-t-il nous dire ? Rien de plus que ce que Brun-Picard Yannick a démontré, explicité et théorisé il y a déjà quelques temps.

Le plus inquiétant c’est que les constats ne sont, ne seront que des extensions d’un sociologisme à courte vue qui n’a pour finalité que de servir des cercles de pouvoir, de clientèles et de réseaux qui se servent sur la dépouille de l’urbain. Tout aussi alarmant c’est cette incapacité à sortir des miasmes institutionnels, de l’appartenance et des structures pour parvenir à être reconnu.

Ainsi, eux publient et sont médiatisés. L’autre, lui reste dans les oubliettes de la bêtise, de l’ignorance et de la jalousie, car ces prétendues références sont dépendantes à leurs nominations, à leurs réseaux ainsi qu’à leurs liens. Ils peuvent nous donner l’illusion d’être entrés au fond du problème, d’être allés chercher derrière les faits. Ils ne nous donnent pas à voir, à percevoir, les mécanismes, les articulations et les dynamiques qui nous mènent là où nous en sommes : au fond du gouffre.

Pour ma part je m’inquiète sur l’intégrité, la diversité et l’éthique des prétendus chercheurs et universitaires qui ne peuvent pas avoir la dignité, la décence et le courage d’aller chercher autre chose. Je m’inquiète sur les capacités réelles de ces chercheurs qui restent fixés sur leurs idéaux, leur formalisme et leur nombrilisme. Pour eux tout ce qui ne provient pas des cercles n’existe pas !

C’est quand même effarant de constater qu’un chercheur qui œuvre sur les violences, les territorialités des violences, sur la sanctuarisation de l’urbain par la violence, n’a même pas été consulté pour ouvrir des perspectives insoupçonnées à la gestion des violences. Je m’avance certainement mais je doute fermement que Brun-Picard Yannick fut approché par ces structures. A mon sens c’est lamentable.

Cette situation me fait penser à des personnes que j’ai côtoyées pendant plus de deux décennies. Ces dernières préféraient perdre du temps, ne pas être efficace et avancer d’une manière erratique plutôt que de se tourner en direction de ceux, leurs subordonnés, qui savaient faire, qui avaient acquis les capacités et étaient en mesure dans ces domaines de démontrer des compétences.

Là aussi nous avons la démonstration implacable de la bêtise, de l’ignorance et des réseautages, lorsque l’on confond capacité et compétence il est difficile de sortir de se coquille. Il est probable que ce rapport apporte des options acceptables. Il est envisageable que les analyses aillent un peu plus loin que le  sociologisme médiocratique à courte vue vers lequel se sont orientés tous ceux qui refusent de regarder le monde tel qu’il est.

Néanmoins, ne pas voir une personne, qui a théorisé les dynamiques territoriales de la violence dans les Cahiers de Géographie du Québec, ne pas participer à cette étude pose le problème de la réelle volonté de répondre au fléau des violences en allant à leur fondement et non vouloir soigner un mal qui peut être limiter avant qu’il ne se répande…

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2 octobre 2011 7 02 /10 /octobre /2011 12:21

Le territoire entant qu’entité globale de la nation est négligé depuis plusieurs décennies. Les politiques se sont échinés à faire en sorte malgré la décentralisation que l’hypercentralisme parisien ne perde pas d’emprise sur la province. Des actions d’affirmations des territoires provinciaux sont des réalités très présentes, elles démontrent la vitalité des différentes régions qui font la France, le territoire français.

Il existe dans ce contexte une ambivalence extrême entre cette incapacité technocratique à tout centraliser sur l’aire parisienne et celle de faire vivre, de dynamiser et de reconnaitre les régions dans leurs vitalités. Cette ambivalence exacerbée est une conséquence de l’absence d’un concept pertinent pour étudier dans son ensemble le territoire national comme une parcelle. L’interface ruralité/urbanité dans ses diversités, ses densités, ses intensités, ses adaptations et ses destinations, se révèle être un outil de tout premier choix pour que le territoire national soit conçu comme un ensemble et non comme un centre parisien avec des satellites phagocytés à son service.

L’interface ruralité/urbanité, théorisée par Brun-Picard Yannick, propose des cheminements, des options, des mécanismes, des articulations et des approches dont la finalité est de mettre en synergie efficiente les acteurs de l’interface en construction. Son emploi, sa reconnaissance et sa mise en œuvre ne sont pas encore parvenu au cerveau des décideurs, des observateurs, des politiques et moins encore des universitaires arcboutés sur leur périurbain et autres concepts porteurs d’idéaux.

Le rejet, le refus, voire l’ignorance de ce concept d’interface ruralité/urbanité contribue à intensifier la négation du territoire, elle aussi théorisée par Brun-Picard Yannick et pour laquelle il a été étrillé par des géographes dans l’incapacité de lire les territoires autrement que par leurs idéaux, leurs appartenances et surtout leurs obédiences. La négation du territoire est attestée par l’absence de l’emploi de ce concept d’interface ruralité/urbanité qui faciliterait grandement les relations entre les différentes composantes du territoire national pour parvenir à un développement performant au service de tous les citoyens et non au bénéfice d’une région.

A partir de l’instant ou les acteurs décisionnels admettront que l’interface ruralité/urbanité est en mesure de répondre aux exigences de nos sociétés contemporaines, aux dynamiques ainsi qu’aux réalités de notre société, il est évident que le territoire national ne souffrira plus de la négation idéologique dans laquelle il se trouve par trop de technocratie, de politique et d’errances clientélistes.

Ce bond en direction d’un concept dérangeant qui bouscule les formations universitaires, qui met au rencard les géographes, les aménageurs et les planificateurs enfermés dans leurs réseaux, leurs servitudes et leurs appartenances, ouvrent des perspectives de gestions transversales des potentialités des territoires régionaux, facilite les projections et les prospectives en fonction de niveaux d’action tout en préservant les dimensions d’intervention et les spécificités de chaque parcelle en relation.

Un tel bond est trop complexe, trop dangereux et trop irritant pour de nombreuses personnes qui devraient faire preuve d’humilité, de reconnaissance et surtout de mettre en sourdine leur infaillibilité. Il est probable que le concept d’interface ruralité/urbanité, au même titre que l’interface humanité/espaces terrestres, demeure au rang des concepts terrain d’affrontements idéologiques de prétendues démarches dites scientifiques qui ne répondent pas aux critères de scientificité.

Il nous reste énormément à faire pour parvenir à ouvrir nos esprits à la diversité, la différence et à la non appartenance aux écoles, aux réseaux et aux clientèles. La société sarkozyenne dans laquelle nous vivons depuis quelques années ne peut pas concevoir, admettre et valider ce qui ne provient pas de son propre cru, sauf si un éclair de conscientisation éclaire les actions à venir… un peu d’espoir !

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1 octobre 2011 6 01 /10 /octobre /2011 09:14

La prostitution sur la nationale 7 entre Fréjus, Vidauban, Brignoles et Aix-en-Provence devient plus discrète. Ce constat est établi sur des observations régulières effectuées depuis près de deux mois. Il est plus que probable que l’action des forces de l’ordre, des municipalités et les contraintes du moment contribuent à réduire les présences des prostituées sur la nationale 7.

La théorisation des dynamiques territoriales de la prostitution proposée par Brun-Picard Yannick est vérifiée. Nous avons une théorie qui expose les moyens d’actions pour enrayer les dynamiques territoriales de la prostitution. Sans reconnaitre son emploi, sans admettre son influence, sans cautionner les pistes exposées, les acteurs de la lutte contre la prostitution ont mis en œuvre les démarches, les actions et les solutions démontrées par Brun-Picard Yannick.

En ce moment sur cet itinéraire il ne reste guère plus que quatre lieux de prostitution et encore avec des temporalités restreintes. Le vide est créé pour que les prostituées quittent les bords de la nationale 7. Pour l’heure il est difficile de savoir où elles se sont implantées. En effet, les axes routiers possibles sont trop contraignants pour y stationner. Il est envisageable que les prostituées soient retournées en partie vers les pôles urbains et une forme de prostitution aux abords des zones commerciales.

Les observations récentes ne permettent pas de valider cette option. Toutefois, il est à noter que pour certains lieux : entrée de Vidauban, proximité de Roquebrune, ou d’Aix-en-Provence, la présence des prostituées existe encore mais devient beaucoup plus rare. Maintenant il est envisageable que les horaires d’implantation aient été modifiés pour répondre aux nouvelles contraintes avant de reprendre les habitudes une fois que les nouvelles contraintes auront été digérées.

Néanmoins, la prostitution dans le département du Var, dans celui des Bouches du Rhône et des Alpes Maritimes, est toujours présente, même en perte de vitesse, pour ses implantations dans l’interface ruralité/urbanité. Cela signifie que les propositions de services sont en phase de mutation afin de s’adapter dans les meilleures conditions aux potentialités de l’interface ruralité/urbanité. Quelque part c’est une sorte de passage à vide de l’offre de prostitution sur la nationale 7. Il est à noter que sur des axes perpendiculaires nous avons une nouvelle offre, les filles se sont déplacées en direction de St Maxime et de quelques autres villages, sans pour cela conserver leur emprise antérieure.

Tout ça pour dire que l’interface ruralité/urbanité est pertinente pour l’étude des phénomènes de prostitution hors des centres urbains, que la théorie de la territorialisation par la violence de la prostitution est valide et, qu’il serait de bon ton pour nombre d’acteurs sociétaux de soutenir ceux qui vont plus loin que les évidences et exposent la réalité telle que nous ne voulons pas la voir. Cela impose de botter le cul aux illusionnistes d’universitaires qui prétendent rendre notre société accessible par le travers de leurs idéaux.

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28 septembre 2011 3 28 /09 /septembre /2011 13:15

Les sénatoriales mettent en exergue des tensions entre les territoires ruraux et les territoires urbains. La pertinence de l’interface ruralité/urbanité théorisée par Brun-Picard Yannick peut s’avérer un outil d’une grande efficacité pour supprimer ces points de tensions, s’approprier le territoire nationale avec plus d’efficacité et surtout pour mettre en synergie les territoires entre eux et non les opposer.

Parvenir à un tel degré d’efficience pour l’interface ruralité/urbanité, chère à Brun-Picard Yannick, impose déjà qu’elle soit acceptée, que les prétendus chercheurs se penchent sur le devenir des territoires locaux et que l’ensemble des agissants œuvrent dans la même direction : celle de l’intérêt et du devenir des espaces terrestres concernés.

L’emploi de la théorisation de l’interface ruralité/urbanité au sein des projets sénatoriaux, de redécoupages, de rééquilibrages, d’équité sociétale et de représentativité des dynamiques contemporaines et une nécessité car : il dépasse les clivages ruraux/urbains, il offre une perspective et une prospective constructive pour les parcelles en contact qui peuvent servir de support d’expansion, il impose à la totalité des acteurs d’agir dans un cadre de réalisation où les intérêts clientélistes sont éradiqués pour que le territoire soit le objectif.

Ne serait-ce que pour ces atouts indéniables l’interface ruralité/urbanité devrait être employée pour une meilleure représentativité des sénateurs, pour une affirmation des qualités et des potentialités des parcelles mises en relation et pour rendre plus lisible, accessible et claire l’action territoriale des sénateurs. Cela réclame, exige, une révolution de conception de l’approche de l’étude des territoires.

Fini l’illusionnisme et les dissimulations sous le périurbain, pratique, accessible mais trop vide. Fini le gargarisme du grand Paris. Fini les manipulations de quelques édiles pour faire en sorte de drainer toutes les énergies vers le seul urbain en saignant les territoires ruraux sans penser à après-demain. Pour que l’interface ruralité/urbanité tienne la place qui doit être la sienne en tant que concept théorisé et possédant la capacité de nous rendre plus explicite le monde dans lequel nous vivons il est vital que les esprits s’ouvrent et sorte de la torpeur médiocratique dans laquelle les cinq dernières décennies ont entretenues les prétendus intellectuels et autres infaillibles.

Le Sénat à besoin, au-delà de la réforme de son mode d’élection, des limites d’âge, du nombre de mandats, et du cumul des mandats, d’un concept à même de le faire entrer dans une démarche d’association des territoires avec leurs diversités, leurs différences et leurs oppositions afin de concevoir dans les meilleures conditions le monde de demain.

L’interface ruralité/urbanité permet ce tour de force pour lequel les acteurs sont égaux, les actions sont entreprises avec équité et l’humanité n’est pas donnée pour toute puissante. Ainsi, l’interface ruralité/urbanité permet de renouveler le logiciel de lecture, de compréhension et de construction de nos territoires en devenir afin de les rendre plus vivables.

Le Sénat, doit impérativement faire ce bond cognitif. Il est vrai qu’il n’a pas encore mis un terme au cumul des mandats. Avec une majorité de gauche il est envisageable qu’enfin une conscientisation émerge et fasse que des sénateurs aient le courage d’aller chercher des concepts, des chercheurs et des concepteurs hors des structures pavloviennes qui n’ont qu’une finalité : faire briller les infaillibles.

Je doute que le futur président du Sénat les aient suffisamment accrochées pour contractualiser un esprit qui botte le cul aux clientèles. Je doute que les sénateurs soient prêts à remodeler leur support terrestre pour plus de performances, d’efficacité et de réalisme, surtout s’ils doivent lâcher quelque chose de leur pouvoir. Je doute que les universitaires est l’intégrité intellectuelle d’admettre ce concept pour l’employer dans toutes ses dimensions pour tendre vers la performance, ils sont si bouffis d’orgueil, de suffisance et d’infaillibilité qu’ils préfèreront se palucher avec le périurbain et s’engluer un peu plus, au lieu d’avoir l’humilité d’aller chercher ce qui ouvre la conscience au futur évolutif : ce que fait l’interface ruralité/urbanité.

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24 septembre 2011 6 24 /09 /septembre /2011 13:07

Encore des violences, rackets, coups d’armes blanches et autres exactions. Des dynamiques de conquêtes territoriales par la coercition, la violence débridée, pour affirmer, démontrer et exposer une identité en construction sont récurrentes. Il est alarmant que les théories de Brun-Picard Yannick sur les territorialisations par la violence se vérifient par les faits aussi fréquemment.

Les derniers évènements de violence, dans un établissement scolaire à Sassenage en Isère, attestent à nouveau, de la réalité de ces dynamiques de territorialités identitaires vectrices de territoires d’expression, d’affirmation et d’exposition de capacités de nuisance, afin d’asseoir une certaine renommée et préserver des revenus.

Les voyous, les délinquants en herbe, et les petites frappes, trouvent un terreau favorable devant les établissements scolaire. En effet, une partie de bien-pensants refusent que la police, que la loi règne devant les établissements. Dans ce contexte, les diffuseurs de violences n’ont pas de limitation. Ils peuvent se livrer à toute forme d’abus, d’exactions et de perversions sans la moindre conséquence pour leur avenir. La violence qu’ils diffusent, qu’ils répandent et qu’ils normalisent, s’immisce dans tous les pores de la société.

La violence devient dans ces conditions une réalité, un fait, un phénomène, géosociétologique. La violence est portée par une structure sociétale. Elle est l’expression visible d’une entité humaine. Elle affirme une humanité au sein de l’humanité en lutte contre une forme d’humanité. Elle est développée pour agir sur une parcelle. Son emploi à pour finalité de dessiner un territoire. Elle porte des caractères de territorialité source de territorialisation. La violence sert de délimitation du territoire par les marquages qui sont visibles par les actes violents perpétrés contre les cibles.

L’incident d’une rare violence qui s’est déroulé à Toulon, où une douzaine d’agresseurs armés de barres de fer se sont acharnés sur cinq membres du club de pirogue polynésienne (Va’a) atteste encore de l’emploi du vecteur des violences physiques pour affirmer, exposer et diffuser une territorialité portée par la violence déversée sur ceux qui refusent de se soumettre à la racaille de la délinquance.

Nos sociétés sont moins violentes, moins criminalisées, moins dures que ce qu’elles le furent il y a deux cent ans, période à laquelle la vie n’avait que peu de valeur et l’on pouvait égorger presque en tout impunité. La conscientisation, notre humanité, l’humanité, ont fait leur œuvre et nous parvenons à vivre pratiquement en tant qu’être humain. Il reste d’énorme progrès d’enseignement, de références culturelles et d’implications à produire pour parvenir à endiguer les violences.

En outre, tant que l’on refusera de regarder avec toute l’acuité nécessaire la réalité des dynamiques violentes qui sont les mécanismes, les vecteurs et les articulations de la construction des territoires de violences, nous n’avancerons pas. Il est nécessaire de s’approprier les théories de la territorialisation par la violence démontrées par Brun-Picard Yannick pour ouvrir de nouvelles pistes de réponses et tendre vers plus d’efficacité dans la lutte contre toutes les formes de violences.

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