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12 août 2012 7 12 /08 /août /2012 08:28

La normalité de la violence ostentatoire développée, renforcée et institutionnalisée installe des zones d’insécurité prioritaire. Attristant de voir que la France se trouve dans l’obligation de gérer des parcelles territoriales où les forces de l’ordre ne peuvent aller.

La mise en place de zone de sécurité, d’insécurité, prioritaire démontre par le fait la démission des acteurs sociétaux. Elle démontre une forme d’ignorance, d’inquisition et de déni de travaux qui depuis dix années exposent les mécanismes des territorialisations par la violence. Et elle insiste sur l’infaillibilité des décideurs qui ne peuvent pas prêter attention à ce qui ne provient pas de leurs cercles de leurs réseaux et de leurs clientèles.

Moins percutant, agressif et acide, qu’à l’habitude, sous peine de voir ce texte mis à l’index par le modérateur, je persiste dans l’analyse de la fuite intellectualiste des politiques et autres acteurs des hiérarchies administratives pour éviter d’ouvrir les yeux et de constater qu’il  n’est publié que ce qui satisfait le système et flatte l’ego du lecteur.

Oui, des sociologues se sont fourvoyés en rejetant la réalité de la construction de territoires construits par des territorialités identitaires de violences. Oui, des géographes se sont dissimulés sous l’absence d’un objet de la géographie pour faire la négation de l’interface humanité/espaces terrestres. Oui, des institutionnels se sont réfugiés dans leur infaillibilité pour s’appuyer sur les universitaires pour ne pas prendre en considération les faits.

N’oublions pas que la médiocratie est une société gérée par des élites, ou prétendue telles, constituées de brillantissimes ayant répondus aux normes normalisantes de la normalité d’une appartenance et d’une intégration idéologique et doctrinale. Le rejet, la mise à l’index, l’ostracisme des travaux qui ont alerté le système universitaire ainsi que ceux du pouvoir politique, attestent de cette médiocratie.

Les travaux de Yannick Brun-Picard sur les violences urbaines, les territorialisations des violences identitaires, les dynamiques territoriales des violences, les sanctuarisation par la violence, les interfaces de violences ou encore les territoires des violences ostentatoires, sont totalement rejetés car ils mettent en évidence que les institutionnels n’ont pas le courage de changer de paradigme pour agir concrètement sur les réalités des violences.

Il est tellement plus facile de dire que c’est la faute de la société, de ses disparités et de ses inégalités pour justifier des sanctuarisations dans des cités, des quartiers et des villages, où la violence de voyous de toutes sortes terrorise les habitants sans que la force publique daigne intervenir pour servir le citoyen.

Nous avons tous des pulsions de violence. Nous sommes tous potentiellement des violents qui vont s’efforcer de préserver un sanctuaire dans lequel la quiétude de l’individualisme sera préservée. Nous sommes tous des vecteurs de violence dans nos attitudes, nos réactions et nos ignorances. Nous sommes ainsi, par notre volonté médiatico-communicationnelle de ne rien voir, entendre et conscientiser, presque autant responsables que les institutionnels qui se dissimulent derrière les errances des universitaires et leurs expositions idéologiques au mépris des réalités.

Les zones d’insécurité prioritaire démontrent par le fait que la fuite devant les faits est des plus réelles. Démontrent que les institutionnels ne possèdent pas le courage de conscientiser les errances aveuglantes des systèmes qui n’ont qu’une finalité préserver leurs privilèges. Démontrent qu’à force de préserver les cercles, les réseaux et les clientèles, la société est gangrénée par les violences.

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11 août 2012 6 11 /08 /août /2012 10:33

Une émission sur une chaine publique a récemment traitée des zones de sécurité prioritaire. Les intervenants ont ouvertement démontré que des territoires de violences s’étaient constitués et que des zones dites publiques étaient sanctuarisées par des formes de violences.

Un vent de colère, de révolte, un ras-le-bol devant la suffisance et l’infaillibilité des prétendus universitaires et autres sociologues et prétendument spécialistes des violences, se lève. En effet, il y a dix ans Yannick Brun-Picard lorsqu’il a démontré ces territorialisations, ces dynamiques territoriales de violences sociétales et les territorialités de la violence : il a été étrillé.

Tous les universitaires, les sociologues, les géographes et autres urbanistes se sont foutus de lui. Il a été ridiculisé et enterré vivant, mis à l’index pour ne pas dire ostracisé. Tout ça parce qu’il démontrait ce qu’aucun prétendu universitaire n’était capable de rendre accessible et surtout que ce qu’il mettait en exergue, qu’il rendait accessible, était la réalité, l’aveuglante réalité.

Aujourd’hui les médias parlent de sanctuarisation, de dynamiques territoriales de la violence, de territorialités de la violence, d’interface humanité/espaces terrestres structurée à partir de situation de violence, sans omettre les territorialisations par la violence. Pourquoi, ces médias qui vampirisent les travaux de Yannick Brun-Picard ne mettent-ils pas en évidence qu’un obscur chercheur avait alerté les lustreurs de bancs universitaires ?

Simplement, médiocratiquement : il faut appartenir. Il faut être dans la mouvance, dans les cercles d’influence, dans les réseaux et dans les clientèles. Sous l’ère Sarko aucun brillantissime pavlovien n’a eu le courage d’aller chercher ces travaux. Sous l’ère de la normalité Hollandienne il en sera certainement de même, car il faudrait pour se tourner vers Yannick Brun-Picard admettre que des imposteurs tiennent des postes et que les clientèles sont vérolées.

François et ses copains ont les outils pour agir sur les articulations de la constitution d’un sanctuaire par la violence territorialisée. Je doute fermement qu’il possède suffisamment de courage pour mettre en avant ce paradigme qui emploi le concept d’interface humanité/espaces terrestres afin de saisir l’empreinte d’un groupe sur une parcelle et d’en lire les dynamiques.

En ce moment ils sont en vacances, il est nécessaire d’en prendre, pour s’armer de courage et s’engager dans des directions où les clientèles sont ignorées. Bien qu’en observant ce qu’il se passe dans les nominations et les intégrations ont se rend compte que François et ses copains font comme Sarko voire, pire en ignorant toute provenance autre que l’appartenance et la normalité.

Je ne comprends pas qu’aujourd’hui tout le monde parle de territoires de violences, de sanctuarisations par la violence, de dynamiques territoriales de violences, et que, personne ne cite les travaux de Yannick Brun-Picard sur les violences urbaines, les territorialisations par la violence, les violences identitaires.

Trop de clientèles se servent sur la bête, la nation, pour qu’un anachronisme puisse émerger. Jamais, ceux qui prétendent vouloir la diversité et la différence, que lorsqu’elle provient de leurs propres rangs, n’auront le courage de conscientiser leur égarement et se prendront en main pour entrer dans le concret en allant chercher ce pas normal aux marges des systèmes.

Il est des plus inquiétant, dans une France où des élus ont le devoir de faire en sorte de faire avancer la société, de constater que ces prétendus responsables, sans aucune responsabilisation réelle, ne possèdent une once de courage pour ouvrir à la hache les univers médiocratiques d’un intellectualisme universitaire, qui par son autisme à l’encontre des théories de Yannick Brun-Picard, démontre par le fait, la falsification, que leur ignorance sur les réalités a contribué à la situation actuelle.

François et tes conseillers, recrutés dans les cercles d’influence et dans les clientèles, vous n’aurez jamais suffisamment de pratique praxéologique pour mettre au service de la nation ce pas normal qui a lu la société dans ses miasmes avant que la réalité ne soit plus dissimulable. De toute manière la praxéologie n’est pas enseignée dans les sciences dites de l’éducation. Les médiocrates préfèrent la réflexivité. Laquelle ignore la conscientisation.

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21 juillet 2012 6 21 /07 /juillet /2012 08:34

Un petit, tout petit, réseau de prostitution vient d’être démantelé dans l’Essonne. Cela démontre par le fait que l’esclavagisme sexuel en provenance de l’Est existe et qu’il est actif pour alimenter un réseau pendant suffisamment de temps pour que les forces de l’ordre puissent agir.

La prostitution dans ces conditions est un fléau sociétal. Il est inadmissible, intolérable, dégradant, de voir des femmes et parfois des hommes vendre le corps pour des services, des actes sexuels le plus souvent dégradants, pour alimenter des proxénètes, et légitimer la violence sexuelle.

La prostitution est néanmoins une activité « nécessaire » à l’humanité. Faire ce constat est dérangeant car il faut cautionner que des services sexuels soient cédés contre rémunération. Mais lorsque l’on prête attention à ce qu’il se passe dans certains lieux, où des filles et des femmes exposent et vendent leurs charmes pour grimper dans l’échelle hiérarchique, des garçons aussi mais plus rarement, on se dit que la prostitution est partout.

J’ai vu, il y a plus de vingt ans des jeunes filles se vendre pour des notes à l’université. J’ai vu des filles dans la voiture de leur professeur faire des galipettes et retrouver ces demoiselles en maîtrise avec des notes à faire pâlir tout étudiant. J’ai côtoyé des garçons qui acceptaient de passer sous le joug de la vieille dame pour un avancement et un poste, il est vrai éjectable, mais acquis aux dépends de ceux qui ne pratiquaient pas l’avancement horizontal.

Cette prostitution dissimulée que l’on trouve dans nombre de lieux est volontairement tenue sous silence, est invisible à ceux qui ne veulent pas que cette bassesse soit étalée. Elle est une perversion de nos systèmes sociétaux. Les puissants et les puissantes ne veulent pas que l’on puisse dire que cette forme de droit de cuissage, ou ce libertinage entre adultes consentants, est une forme de prostitution.

La prostitution pratiquée en réseaux est une violence sexuelle, une violence physique, une violence psychologique, faite aux prostituées. Elle est intolérable. Les pouvoirs publics ont l’obligation, le devoir de mettre un terme immédiat à cet esclavagisme sexuel.

La prostitution volontaire, en revanche, est il est vrai dérangeante, mais doit exister et être encadrée. Je doute que Najat possède suffisamment de courage politique ou de féminisme pour soutenir un projet de loi qui ferait de la prostitution une activité légale. Comme je l’ai suggéré il y a quelques jours la prostitution doit être encadrée avec des lois et des contrôles draconiens pour éradiquer les réseaux.

La prostitution exige que l’Etat défende ceux et celles qui soulagent l’humanité souffrante en proposant contre rémunérations des activités sexuelles. La prostitution réclame que les citoyens et citoyennes qui se prostituent payent des impôts lourds sur leur pratique, que leur train de vie soit passé au crible et qu’ils puissent accéder à une retraite.

La prostitution ne peut plus être exposée comme elle l’est actuellement où les filles et les rares garçons ne sont que de la viande pour des proxénètes et un déversoir pour des clients qui trop souvent n’ont que peu de considération pour ceux et celles qui soulagent leur misère sociétale, leur misère relationnelle et leur misère sexuelle.

La prostitution exige, pour sa gestion, son encadrement, sa réglementation, que les politiques aient le courage du changement c’est maintenant. Cela signifie que les copains de François prennent conscience que l’on ne peut pas lutter contre toutes les formes de prostitutions. L’Etat à le devoir de faire en sorte de créer un cadre dans lequel les réseaux seraient éradiqués avec des peines planché dissuasives donc très lourdes pour tous proxénètes.

La prostitution ne souffre pas l’imposture médiatique, le pavlonisme médiatico-communicationnel, l’infaillibilité politicienne ou le blablatage d’idéologies intellectualistes vides de projection. Elle exige des politiques courageuses et des capacités, inexistantes chez les brillantissimes sortis des boites à prétendues élites, à la praxéologie.

La prostitution pour être gérée, contrôlée et qu’elle protège les travailleuses du sexe, réclame que les textes de Brun-Picard Yannick soient au moins lus, à défaut d’être publiés pour que les prétendus responsables agissent sur les articulations qui permettent aux réseaux de demeurer tous puissants.

Il est plus qu’évident que jamais les instances du pouvoir s’engageront dans cette direction car se serait admettre qu’elles se sont fourvoyées, que leurs idéaux sont des dynamiques inertielles négatives et surtout qu’un paria avait raison avant qu’eux conscientisent les réalités…

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19 juillet 2012 4 19 /07 /juillet /2012 12:44

Un jugement vient d’être prononcé à l’encontre de cinq jeunes qui exerçaient des formes de violences dans une cité. Ils ont été condamnés à des peines de 3 à 6 mois de prison ferme. Pourquoi, je m’attarde quelques lignes sur ce thème ?

Il y a dix ans Brun-Picard Yannickdémontrait que des cités en France étaient sanctuarisées. Que des zones urbaines, des territoires dans les cités, étaient des points d’ancrage à des formes de violences, à l’oppression, la coercition ainsi qu’à des dynamiques de violences cognitives, sans omettre les violences physiques qui les accompagnaient.

Ce « chercheur » a été étrillé, écrasé, démoli, par des sociologues et autres universitaires qui trop aveuglés par leurs idéaux, leurs appartenances et surtout leurs réseaux, étaient incapables de voir ces phénomènes de violences au cœur de nombreuses cités et prenant une certaine ampleur.

Ce « chercheur » a été ridiculisé, ignoré et tancé par des géographes et autres universitaires, qui trop arcboutés sur leurs doctrines, leurs croyances, l’absence d’objet de la géographie, et leurs méthodologies techniciennes faisant la négation de l’interface humanité/espaces terrestres, ont développé des trésors de mépris pour que ses textes ne puissent pas voir le jour et soient jetés aux oubliettes. Ce que le système fit sans le moindre problème.

Ce « chercheur » a démontré que des groupes de jeunes sanctuarisaient par la violence, par diverses formes de violences, des parcelles d’espaces terrestres, les constituants en territoires desquels étaient exclus tout étranger à l’entité dominante.

Brun-Picard Yannick a démontré à maintes reprises que ce soit à Nantes, Montréal, Ottawa, Québec, Sherbrooke, Bordeaux ou Anger, que des dynamiques de violences engendrent des territorialités qui produisent des territoires de violences, par leurs expression, leurs destinations et par leur nature de support de violence et de besoin de violence.

Ce « chercheur » a publié, aux cahiers de géographie du Québec, un article : http://www.erudit.org/revue/cgq/2009/v53/n150/039185ar.html?vue=biblio, il est vrai que ce texte est paru en 2009. C’est le seul témoignage des travaux qui mettent à mal toutes les croyances, les dogmes des clientèles et les errances des sociologues et autres géographes qui l’ont méprisé.

Aujourd’hui, le jugement rendu démontre par les faits, par la violence subie par les populations terrorisées qui ne sont pas allées au procès, que les théories de la territorialisation par la violence démontrées par Brun-Picard Yannick se vérifient.

Il est vrai que certains diront qu’il faut parvenir à la falsification. Mais leur lecture de Popper est de nature médiocratique et pavlovienne car ils ignorent que la critique doit être constructive pour faire avancer notre connaissance sur le monde des faits. Eux ont critiqué, démonté, détruit et ignoré des travaux qui aujourd’hui attestent de la justesse de l’analyse et des démonstrations.

Probablement que ce « chercheur » devrait courber l’échine et lustrer des pompes pour être cité, et quelque part tant soit peu reconnu. Je doute fermement qu’il cautionne une telle perversion. Les clientèles des cercles de pouvoir par leur ignorance, leur cupidité et leur infaillibilité sont responsables de la situation. Elles ont dissimulé la réalité afin de servir des idéaux, des doctrines et des écoles de pensées qui ne font que se gargariser de blablatages à courte vue d’intellectualisme réducteur.

Il est vrai que dans nos sociétés il est socialement inacceptable d’avoir raison avant tout le monde, simplement parce que les réseaux, les appartenances et les clientèles verrouillent les nominations, les publications et les recrutements. Dans cette situation lamentable Brun-Picard Yannick demeurera au fond de la cuvette de l’ignorance, de la bêtise et de la suffisance simplement parce qu’il a eu raison avant tout le monde et pire encore contre toutes les structures dites de l’élite intellectuelle et universitaire.

Puisque le changement c’est maintenant, les acteurs du système d’enseignement, de recherche, vont-ils avoir le courage d’admettre leurs errances, même superficiellement, et donner à ce chercheur la place que l’on peut attendre ?

Pour ma part j’en doute. Il faudrait pour cela que les pavloviens conscientisent leurs dysfonctionnements et perçoivent les abus de pouvoir. Il faudrait que les institutionnels parviennent à la dignité de servir la nation et non servir les cercles de pouvoir, d’influence et de clientèle.

Si le changement c’est maintenant, demain, ce chercheur aura un poste… Là tu rêves Charles !

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13 juillet 2012 5 13 /07 /juillet /2012 08:55

La France craque de partout. La prétendue industrie s’effondre, les structures sociétales se désagrègent et nos références institutionnelles sont dissolues dans l’illusionnisme à courte vue qui n’a pour finalité que de préserver les clientèles du pouvoir.

La négation du territoiredevient si aveuglante, prégnante et envahissante qu’aujourd’hui les incapacités, les insuffisances et le pavlonisme des prétendus élites de la France nous mettent dans le mur. Nous avons des énarquiens pavloviens qui sont partout et qui pratiquent la négation du territoire.

La négation du territoire se vérifie par l’implantation, la volonté d’implantation de ligne TGV qui ne sont que des impostures technocratiques et mercantiles qui ont pour objectif de drainer dans des puits sans fond l’argent de la nation au profit de quelques bénéficiaires en toute légalité.

La négation du territoire se vérifie dans les établissements scolaires où l’enseignement de l’histoire et de la géographie quand il est pratiqué de manière acceptable ne ramène pas les élèves à la notion de territoire et moins encore à celle d’interface humanité/espaces terrestres afin de leur permettre de comprendre le monde en construction.

La négation du territoire fut théorisée par Brun-Picard Yannick. Il s’est fait étrillé par les universitaires qui sont parvenus à enterrer ses articles sur ce thème, cela fait déjà 6 ans. Il y démontrait comment les technocrates soutenus par les investisseurs manipulent les conceptions pour faire du fric.

La négation du territoire est éclatante quand on regarde les prostituées s’approprier des parcelles sans que les forces de l’ordre n’agissent ou ne fassent le minimum syndical pour empêcher qu’elles ne tapinent devant les arrêts de car où les écoliers attendent leur moyen de transport.

La négation du territoire se vérifie dans l’incompétence de gestion territoriale mais dans le gargarisme, l’emploi à toutes les sauces du terme territoire sans lui donner une seule fois la teneur, sa définition et ses dimensions, car pour les politiques ce ne sont que des mots qui servent des idéaux.

La négation du territoire est éclatante quand on voit que dans les universités françaises les universitaires, éclats de rires, n’ont même pas la dignité d’aborder la notion dans sa complexité. En effet il faudrait faire autre chose que des idéaux et des croyances dans des développements médiocratiques de méthodologies dogmatiques.

La négation du territoire est démontrée quand les imposteurs politiciens agrègent des territoires locaux sans affirmer et concevoir le territoire national pour aire de développements, de dynamiques et de potentialités interterritoriales d’une mosaïque de territoires locaux.

La négation du territoire est attestée quand Peillon le ministre de l’éducation nationale est incapable de concevoir, ses conseillers pavloviens en sont partiellement responsables, que dans les écoles des territoires de violences existent et que les illusionnistes en poste ne sont pas en mesure de les percevoir aveuglés par leurs croyances et leurs idéologies.

La négation du territoire est physique quand nous constatons que tout est drainé vers un parisianisme à courte vue afin de servir les investisseurs au détriment du peuple. La cupidité, la suffisance et l’ego surdimensionné des élus contribuent largement à la négation du territoire simplement pour faire du fric.

La négation du territoire est devenue une normalité conceptuelle et organisationnelle validée par l’énarquisme à courte vue et par la technocratie rétrograde d’une inertie pavlovienne. Tous parlent de territoire mais n’agissent pas pour le territoire. Ils focalisent sur une parcelle et justifient leurs errances et la perversion de leurs solutions par l’action sur le territoire.

La négation du territoire est là, nous la vivons, puisqu’à l’école la géographie n’a plus de place. La notion n’est qu’un constituant de spécialités qui par imposture universitaire sont élevées au rang de science pour servir les clientèles et les idéaux.

Tant que les prétendus responsables ne seront pas capables de concevoir le territoire la désagrégation se poursuivra. Hélas cela n’est pas enseigner dans les structures pavloviennes des brillantissimes technocrates ou l’ignorance de la diversité et de la différence est devenue la norme.

Nous vivons l’inquisition sous sa forme évoluée puisque les politiques cautionnent de telles errances construites par des universitaires trop lâches pour accepter qu’ils se sont fourvoyés et qu’ils ne font que du vent tout particulièrement dans les sciences humaines.

Là est une autre forme de négation du territoire : celle de la production cognitive et scientifique…

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25 avril 2012 3 25 /04 /avril /2012 13:22

Les errances sarkozyennes dues au clientélisme, au réseau, à l’inertie médiocratique sont éclatantes dans le Var. Un dernier épisode où les incompétences les plus criantes nous sont jetées au visage vient de se dérouler. L’armée, il est vrai que Sarko n’est pas responsable du recrutement, mais il nomme les hauts responsables ceux qui ne conçoivent que le service de leur carrière, vient de montrer sa platitude et son incapacité à voir plus loin que ses galons : http://www.varmatin.com/article/home-page/eoliennes-des-pallieres-les-elus-declarent-la-guerre-a-larmee.844498.html, que vouloir dire de plus ? Rien de rien.

Ce n’est pas pour cela que le pote François fera quelque chose puisqu’ils sont tous en provenance du même moule. On ne voit pas plus loin que les galons que le règlement, quand celui-ci va dans le sens des intérêts des galons, et il est bafoué lorsqu’il vient à servir ceux des sans grade. Voilà, l’armée que Sarko cautionne et qu’il n’a pas fait changer. Vous me direz que François lui veut poursuivre l’œuvre destructrice du mitterrandisme, ce n’est pas mieux.

Nous y sommes la France craque de toute part. A force de faire en sorte que seuls ceux qui sortent des cursus des réseaux et des cercles d’influences accèdent aux responsabilités nous avons le principe de Peters qui se vérifie à chaque décision. L’incompétence fait craquer les administrations. Ici on vire un directeur en douceur en faisant penser qu’il obtient une mutation dans un autre hôpital. Là les galonnés ne font que deux ans car au-delà leurs manquements deviendraient trop visibles.

Que ce soit Sarko ou François, ils en ont rien à faire d’avoir les meilleurs, seuls ceux qui satisfont sont pris. De cette manière ils sont redevables et ferment leur bouche pendant leur carrière et l’attribution de décorations et autres honneurs. Comme dans l’enseignement, l’éducation, nous devrions dire l’instruction… En effet là l’art de l’illusion est à son comble. Les enseignants produisent des pavloviens qui ne font que satisfaire à la norme et ne sont plus capables d’aller plus loin. S’entend pour la multitude.

Cet exemple pour les éoliennes dans le Var démontre la médiocratie ambiante. L’ignorance est élevée au rang de référence ultime. De toute façon comment pouvons-nous faire confiance à un président qui n’a pas la dignité de répondre aux questions des citoyens ? Plus gros problème comment pouvons-nous donner notre confiance à un candidat qui a désagrégé son parti et à qui personne n’a voulu le nommé ministre ?

La France, ce qui fait la France est vérolé par la cupidité, la suffisance et l’infaillibilité.

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31 mars 2012 6 31 /03 /mars /2012 13:03

La Provence est sous la coupe réglée de la gauche depuis déjà de nombreuses années. Aujourd’hui les constations des opposants à la ligne LGV mettent au jour des aberrations dignes des insultes courantes de la surenchère médiatico-communicationnelle chère aux médiocrates. Ainsi, http://www.varmatin.com/article/les-dessous-de-la-lgv-reveles-par-les-opposants.822312.html, dans cet article nous avons suffisamment d’informations pour nous rendre compte sans avoir fait les écoles pavloviennes du genre des boites à illusionnistes, que le projet de la ligne LGV en PACA est une imposture, voire une simple escroquerie à la dignité de l’esprit humain.

Les copains à François si imbus de leur infaillibilité teintée d’une suffisance à toute épreuve veulent tout faire avec n’importe quelles justifications pour que la LGV voit le jour de manière à alimenter les caisses abyssales d’on ne sait quelle obédience. Comment peut-on donner notre confiance à un candidat qui ne dit mot de ces projets de spoliations, de destructions et de disparition de fonds publics, juste pour satisfaire l’égo de quelques médiocrates.

Il est vrai qu’ils sont élus, et de ce fait légitimes pour gérer les affaires de la cité. Toutefois, au regard des errances, des dettes et de tout ce qui ne peut pas être dit, il est temps de nettoyer au karcher ces spoliateurs et ces « dilapideurs » de fonds publics. Sarko parlait de karcher il serait temps que cela se fasse dans les régions comme en PACA où l’obscurantisme et les clientèles font la pluie et le beau temps.

Pour ce qui est de la gestion des territoires nous en arrivons à la négation de l’interface humanité/espaces terrestres, les gandins d’universitaires préfèrent se gargariser d’espace mais occultent par ignorance et surtout par lâcheté tout ce qui va avec car dans ce cas l’obsolescence de la ligne LGV en PACA serait si évidente sur la tracé proposé qu’il n’y aurait même pas besoin de débat.

Cela signifie que Sarko est mal conseillé, qu’il y a trop d’imposteurs et d’illusionnistes dans les rangs des organismes publics. On se demande pourquoi ? Qu’en réalité ils n’en ont rien à faire de la saine gestion des territoires : ils veulent faire du fric et briller. Et le pote François dans toute l’incompétence affichée cautionne les positions suicidaires d’un président de région de son parti qui a laissé des malversations se dérouler en toute liberté.

La ligne LGV en PACA est une synthèse des maux de la France contemporaine. Trop de hauts fonctionnaires pavloviens qui ne font que servir leur carrière. Trop de politiques qui ne font que préserver leurs privilèges. Trop de structures de gestion territoriale qui ne font qu’augmenter l’absence de lisibilité des orientations à prendre. Trop d’imposteurs qui surfent sur la vague de l’ignorance inculquée à l’école par un enseignement où la médiocratie enseigne l’abstraction, du moins tente de le faire, avant d’enseigner l’acquisition.

Sarko reste silencieux. Son pote François demeure si distant que l’on se demande s’il sait où se trouve la Provence. La classe politique dans son silence démagogique démontre qu’elle n’a aucune envie d’œuvrer réellement pour les citoyens et que seule compte la gloriole.

Tant que le territoire national ne sera pas conçu, géré et orienté comme une interface humanité/espaces terrestres d’optimisation, nous n’aurons que des projets ponctuels aux intérêts, aux destinations et aux potentialités en oppositions. Ce concept d’interface humanité/espaces terrestres est accessible dans : http://tel.archives-ouvertes.fr/docs/00/50/16/53/PDF/TheseCana2.pdf. Cette lecture devrait ouvrir les yeux des politiques inertielles qui ne voient pas plus loin que l’intérêt immédiat.

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30 mars 2012 5 30 /03 /mars /2012 15:52

De Fréjus à Brignoles en passant par Sainte Maxime et Cogolin nous trouvons des lieux de prostitution épisodique. Le lac de Saint Cassien qui a alimenté le débat pendant de trop rares journées est délaissé tout en demeurant actif. Les travailleuses du sexe, cette exposition sexuelle exprimée très près d’établissements scolaires où des adolescentes peuvent avoir pour modèles l’exercice de la prostitution, prennent position en réponse aux actions des institutionnels.

L’emploi de la terminologie prostitution en pointillés est dû à ces territorialisations ponctuelles, aux temporalités des plus variables à croire que ces dames prennent des rendez-vous pour venir s’exposer et se livrer au commerce du sexe tarifé. Leur mode de présence a évolué. Elles ne viennent que de temps en temps. Leurs territorialités ne sont perceptibles qu’alternativement, selon les pointes d’activités des lieux visés.

Cela rejoint les travaux de Brun-Picard Yannick, et qui sait un qu’il parviendra peut-être à faire publier où il met en exergue une forme de rotation des points de largage des filles et des horaires en fonctions des mouvements pendulaires, afin de faire le maximum de profits sur de courtes périodes. Toutefois, ces travaux ont-été partiellement plagiés, pillés, exploités et mis au service des institutionnels puisque les lieux sur lesquels les prostituées œuvraient ont vu leur fréquentation baisser et ont contribué à faire en partie disparaitre les prostituées.

Au moins, ça sert à quelque chose que de mettre en évidence les errances médiocratiques de sociologues qui ne veulent pas voir la réalité qui se vit devant leurs yeux car celle-ci bat en brèche leurs idéaux, leurs croyances et leur mérycisme. Ce n’est pas pour cela que Brun-Picard Yannick parviendra ne serait-ce qu’à publier, faut pas rigoler, il n’appartient pas aux clientèles des institutionnels.

N’oublions pas qu’en France dans cette France fondée en ce moment sur le mitterando-gaullisme, pour laquelle nous tolérons qu’un président de la République n’ait pas la dignité de répondre aux courriers des citoyens et où nous avons des imposteurs qui sont si infaillibles du syndrome énarquien qu’ils se réfugient derrière la proposition de rêves et non d’une lutte pour répondre aux maux auxquels les français vont devoir faire face.

La prostitution en pointillés est comme la politique en pointillés que Sarko et son pote François nous proposent. On donne l’illusion de ne plus être là, mais en réalité le réseau poursuit l’exploitation, l’esclavagisme sexuel et la prédation sur les femmes, tout comme les politiques qui ne font que des promesses, ne brassent que de l’air et ne rentrent jamais dans le concret.

La France est en mauvais état et nous avons que des promesses et des pratiquants de la méprisance. Tout comme les proxénètes qui méprisent les femmes en les mettant sur des étales afin de vendre leur chair pour des bénéfices.

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29 mars 2012 4 29 /03 /mars /2012 14:27

Les beaux jours arrivent, les températures augmentent et les tenues sont de plus en plus affriolantes. Les prostituées dans le département du Var, vers Sainte Maxime et Saint Tropez, commence à reprendre possession de leur territoire d’exercice, d’exposition et de pratiques sexuelles. Toutes les habituées ne sont pas là, il fait encore trop frais le matin.

En revanche, elles commencent à montrer le bout des tétons à droite et à gauche. Après avoir disparu pendant quelques temps, tout au moins, elles étaient devenues extrêmement discrètes nous avons un déploiement des forces du sexe, de la violence sexuelle, qui se répand à l’image des pires mensonges et promesses des politiques que ce soit Sarko et son pote François.

Ainsi, les travailleuses du sexe prennent lentement leurs quartiers d’été. Les premières vagues de touristes arrivent. Mais, la nationale qui mène du Muy à St Maxime va à nouveau être en travaux sur une partie où au moins deux camions servaient au sexe tarifé. Ces dames dans toute leurs attitudes et leurs présentations déjà très dévêtues vont glisser vers St Maxime et prendre position comme certaines à des points stratégiques afin que les clients puissent se dissimuler.

Il en est de même vers St Tropez, par le bord de mer. Là, le tapin est plus discret, des dames commencent à s’exposer sur les plages à proximité de Cogolin, dans des positions, des attitudes et des appels sans détour. Il faut croire que Brun-Picard Yannick dans ses études et ses analyses des dynamiques de la prostitution a occulté, ou oublié, ce phénomène de prostitution aux abords et sur les plages. Quelque part sa théorie est ainsi incomplète, il devra le corriger.

Et oui, pour ceux qui dans cette zone cherche une dame accueillante aux pratiques tarifées, il est envisageable de pousser jusqu’à proximité des plages entre St Maxime et St Tropez en passant par Cogolin. Il faut dire qu’elles sont rares car les lieux de pratiques au regard des premières constations sont des plus restreints et dès que les touristes seront là cela deviendra compliqué.

Les travailleuses du sexe ont trouvé une solution à leur déplacement elles territorialisent de nouvelles parcelles dans des situations scabreuses où les forces de l’ordre auront des difficultés à séparer les dames qui viennent se soleiller et celles qui viennent se vendre.

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2 mars 2012 5 02 /03 /mars /2012 15:39

Un coup d’éclat de lutte contre la prostitution vient alimenter les médias : http://www.lepoint.fr/societe/au-bois-de-boulogne-prostituees-et-clients-tentent-d-echapper-a-la-police-02-03-2012-1437262_23.php, c’est une bonne chose que la force publique agisse contre ce fléau. Toutefois, il faut se garder de tout triomphalisme.

En effet, dans cet article il est mis en évidence des luttes de territoires, des formes de guerres de réseaux, des dynamiques de territorialisations, des formes de territorialités, des appropriations de parcelles qui deviennent autant de territoires, des territoires de non-droit au cœur de la France, des réseaux de prostitutions qui contrôlent, gèrent et mettent en esclavagisme sexuel les filles.

C’est-à-dire, que cet article met au grand jour, sans détour, la pertinence des théories de la territorialisation par la violence sexuelle démontrées par Brun-Picard Yannick. Comment ce fait-il qu’il ne puisse pas parvenir à être reconnu par les institutionnels si ce qu’il démontre se vérifie chaque jour ? Comment le système avec à sa tête Sarko peut-il tolérer qu’une personne, qui théorise avec efficience des dynamiques sociétales que nous vivons chaque jour, ne puisse pas être valorisée et enseigner ses connaissances et ses savoirs introuvables dans les universités trop propres sur elles et trop vérolées par la suffisance et les clientèles ? Comment se fait-il qu’une théorie vérifiée et validée par la réalité vécue, ne serait-ce que par cette descente dans le bois, ne parvient-elle pas à être publiée et soutenue par les institutions ?

Toute la violence ostentatoire des prétendues élites, toute la violence institutionnelle d’un système arcbouté sur ses privilèges, toute la violence sexuelle des réseaux de prostitution, et toute la violence de l’infaillibilité, sont mises en synergie pour rejeter un théoricien qui décrit la réalité telle que les prétendus intellectuels et autres élites refusent de voir.

La prostitution au bois de Boulogne démontre la véracité des théories de Brun-Picard Yannick avec toutes les ramifications. Certains médiocrates diront que ce n’est que du factuel. Bien sur le cul vissé sur le poste obtenu par clientélisme ils peuvent déverser leur fiel. Mais là la démonstration est éclatante : ce n’est pas Brun-Picard Yannick qui a écrit l’article et qui a constaté les dynamiques dans le bois l’autre soir c’est un journaliste ! N’est-ce pas superbe !

Allez un peu de calme. Je sais que trop bien que Sarko n’a pas la décence ni même la dignité de répondre au citoyen qui lui pose des questions tout comme son pote François. Il est donc presque impossible que le théoricien puisse être enfin reconnu. Pour cela il faudrait faire œuvre d’humilité, d’équité et d’ouverture… Ce ne sont pas des valeurs portées par ceux qui prétendent, qui ont la prétention de nous rendre le monde plus accessible et plus compréhensible, au même titre que les politiques…

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